Je fulmine…
Pendant que certains votaient, d’autres jouaient aux kons.
La « machine à perdre » est repartie de plus belle : Au lieu de se rappeler d’où ils viennent, pourquoi ils sont là, qui les ont porté là où ils sont, ils tirent des plans sur la comète pour se faire valoir un destin, piétinant principes et lignes politiques.
Je vous avoue que je ne pouvais pas l’imaginer de la sorte.
D’abord, le premier tour des législatives partielles : Grand vainqueur par KO, l’abstention !
Il n’y a même pas photo.
15,5 % des inscrits seulement se sont rendus aux urnes dans le 20ème arrondissement de « Paris-sur-la-plage », 18,1 % en Indre-et-Loire, 24,3 % dans le Pas-de-Calais, 26,4 % dans l’Oise…
Le message est clair !
Le désintérêt d’une partie des électeurs à l’égard de ces élections a, paraît-il, été accentué par les circonstances.
Plusieurs fois reportées en raison de l’épidémie de « Conard-virus », ces élections se déroulent à un mois des régionales et des départementales, ce qui nourrit peut-être la confusion.
En outre, les futurs élus ne siégeront qu’un an à l’Assemblée nationale, avant les prochaines législatives.
L’enjeu pouvait donc paraître très limité.
Résultat, ils y reviendront le week-end prochain.
Ce premier tour s’est finalement révélé plutôt favorable aux sortants ou à leurs successeurs naturels, même si un certain suspense est maintenu dans la kapitale. Le parti « Les Républicains-démocrates »
peut même y trouver matière à satisfaction, alors que les « écololos »,
eux, ressortent grands perdants de cette journée-là et c’est tant mieux.
Le succès le plus net est celui de Victor Habert-Dassault, le candidat LRD pour la première circonscription de l’Oise. Après la
mort de son oncle Olivier Dassault dans un accident d’hélicoptère, l’apprenti
avocat de 28 ans avait été très rapidement choisi par sa tante et investi par le
parti pour tenter de reprendre le flambeau familial à l’Assemblée nationale.
Le nom Dassault s’est donc révélé efficace. Au premier tour, l’arrière-petit-fils de Marcel Dassault est arrivé loin en tête, avec 58,4 % des suffrages exprimés, devant le « Air-Haine » à 15,3 %.
La gôche et le « marcheur-même-pas-en-rêve » sont impitoyablement éliminées.
Malgré l’écart entre les candidats, un second tour est rendu nécessaire, le score de Victor ne représentant que 15 % des inscrits alors que 25 % sont requis pour être élu dès le premier tour.
Succès aussi pour Sophie Métadier, la maire de Beaulieu-lès-Loches, investie par l’Union des démocrates et indépendants (UDI) et LRD, et soutenue par « LRM-même-pas-en-rêve » en
Indre-et-Loire.
Elle finit nettement en tête du premier tour avec 45 % des suffrages, suivie par la soce « Mumu-Riz-au-lait » (20,1 %).
Elle semble ainsi à même de succéder à la députée sortante Sophie Auconie (UDI), qui a démissionné pour raisons de santé.
« Bibi-Bourg-quignon », la « sinistre » chargée de l’autonomie, une paria ex-soce ralliée à la « Jupitérie », réalise de son côté un score encourageant dans le Pas-de-Calais.
En juillet 2020, après son entrée au gouvernement, son suppléant avait refusé de prendre sa place, privilégiant ses mandats de maire et de président d’agglomération, et provoquant ainsi une élection partielle.
En s’appuyant sur son ancrage local, elle a rassemblé dimanche 35 % des suffrages, contre 24 % pour la candidate du « Air-Haine », son adversaire malheureuse en 2017.
La soce « Lama-mia-Elle-a-la-rage », la petite protégée de « Sœur-âne » dans le 20ème à « Paris-sur-la-Seine », est arrivée comme attendu en tête, avec 25,7 % des voix.
Le « P.Soce » espère bien conserver cette circonscription, la seule qu’il a gardée dans la capitale lors de la déferlante « Jupitériste » de 2017.
Mais l’insoumise locale, avec 20,8 % des suffrages, très active dans les quartiers populaires, entend bien faire mentir les pronostics, en séduisant une partie des électeurs « écololos » (18,4 %), et ceux du Parti communiste (10,6 %), qui a réalisé son meilleur score depuis quarante ans dans le 20ème arrondissement.
Ce second tour constituera un test pour les « soces » avant les régionales de fin juin.
On en est d’accord.
Et les régionales et départementales seront le dernier « test » pour la présidentielle et les législatives suivantes.
On en est toujours d’accord.
Reste que par ailleurs, on continue à jouer aux kons !
Après les propos du député « Les Républicains-démocrates »
« Riton-Chiotti » sur l’insécurité qui n’avaient rien à envier à ceux
de « Marinella-tchi-tchi », c’est autour du n° 2 du parti, « Guimauve-Pelle-t’y-es »,
de se rapprocher des idées de l’extrême droâte dont il est issu.
Il ne pouvait pas rester au « Air-Haine », celui-là ?
Quelle légitimité de tapis-vert a-t-il au juste pour causer en mon nom ?
Interrogé sur le terrorisme, le député assume le lien entre « terrorisme et immigration », longtemps l’apanage du « Air-Haine ».
« Incontestablement, les terroristes ou la plupart des terroristes sont des immigrés ou des enfants d’immigrés », lance l’élu du Loir-et-Cher.
Étron : On ne va pas faire de la « politique », vie de la cité, uniquement sur une poignée de crétins qui ne savent rien d’autres que de se servir d’une kalachnikov !
« On en marre des bougies et des commémorations », a-t-il ajouté, proposant des « mesures très concrètes » décrète-t-il au nom du Parti.
Et attention, il a des idées… extrémistes !
Si son parti revenait au pouvoir, il souhaiterait « expulser systématiquement les étrangers fichés au fichier FSPRT » (fichier des personnes radicalisées).
« Pour ceux qui ne sont pas étrangers, nous proposons la création d’une cour de sûreté », et attention, chargée de délivrer des jugements par « prévention et “au cas par cas” ».
Hein, c’est beau le droit pénal « préventif » !
Et cet enfumé, il parvient même à citer pour modèle celle créée par le général de Gaulle en 1963 après les attentats de l’OAS, ce qui n’a rien à voir.
Cette cour de sûreté serait « composée de trois magistrats spécialisés » et « pourrait enfermer en prévention les individus après un faisceau de soupçons avérés et complets, sans possibilité de faire appel », avant qu’ils aient commis des actes terroristes, défend le député.
Fabuleux !
Avec les outils de la « Loi sécurité globale » que nous verrons demain, on finira tous en « résidence surveillée » comme lors du premier confinement de « Jupiter ».
Quand je vous dis qu’il s’agissait d’une « répétition générale », j’assume !
Quand les journalistes lui opposent que le Conseil constitutionnel pourrait s’y opposer et que cette mesure ferait sortir le pays de « l’État de droit » tel que nous le connaissons, il a le culot d’aller encore plus loin : « Dans ce cas-là on passerait par référendum », assumant la création d’« une justice exceptionnelle » pour éviter de passer par les « tribunaux, les cours d’appel et le Conseil d’État ».
Quoi, il pue le « troisième pouvoir » ?
Tout entre les mains d’un exécutif… exécutif ?
Du coup, il voit aussi dans la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) un obstacle à la politique qu’il entend mettre en place pour « rétablir l’autorité de l’État et protéger ceux qui sont menacés par le terrorisme ».
« Les droits de l’homme sont des biens très précieux », concède-t-il pour autant.
« Il n’empêche, si, ce qui est le cas aujourd’hui, la Cour européenne des droits de l’homme bride la souveraineté des peuples et des nations, je souhaite en sortir provisoirement pour contraindre les juges à respecter la souveraineté des États ».
Et pourquoi pas de l’UE, tant qu’on y est ?
Il faut dire que « Marinella-tchi-tchi » y a renoncé et reste dans « l’Euroland », désormais…
Voilà : Retour des juridictions d’exception, sans appel possible, pour des crimes « pas encore commis » et une mise au ban des nations de mon « beau pays » (que j’aime tant et qui me le rend décidément de plus en plus mal !)
Pour lui la présidentielle de 2022 n’emporte qu’un enjeu « civilisationnel, il n’est pas politique ou électoral ».
Clairement, avec lui, on revient à la « dictature » électoraliste : Ni Hitler, ni Mussolini, ni même « Poux-tine » ou quelques autres (« Kim-Tout-fou », « Xi-ping-pong », « Assad-le-chimique », le bélarusse) n’ont pas fait autrement.
« Pas une voix ne doit se porter sur Emmanuel Macron en 2022 » et d’affirmer que « Marine Le Pen n’est pas l’ennemie de la République », contrairement à « l’islam politique ».
Celui qui défend le ‘‘patriotisme’’ comme pierre angulaire de son programme sur l’autorité, le travail et la liberté contre les normes espère ce qu’il appelle une « union des patriotes et des républicains des deux rives ».
Tout vice-président délégué qu’il est, il aura rapidement été « recadré » par le Président « plein et entier ».
Moâ, je lui aurai déchiré sa carte, remboursé sa cotisation, jeté hors du groupe parlementaire, je l’aurai renvoyé d’où il vient : Le « Air-Haine » accueille bien tous les traîtres et parias de la vie politique depuis des décennies, il y a forcément une place pour lui !
Qu’il gerbe, décanille, dégage et vite : À cause de tels olibrius et de leurs propos indigénistes (gloire aux suprémacistes), on perd des électeurs tous les jours.
Des meks qui sapent tous un peu plus les fondamentaux gaullistes dont ils sont peu ou prou les héritiers.
Quel gâchis !
Ils sont où les idéaux d’un pays soudé par une même appartenance historique si on désigne les uns ou les autres comme autant de futurs « séparatistes », communautaristes, presque spécistes basés uniquement sur une origine ethnique, une religion, une couleur de peau, une orientation sexuelle, « un genre » qu’il se donne ou je ne sais quoi encore… ?
Que des terroristes qui s’ignorent, figurez-vous !
Qu’ils se réveillent un peu : Plus ça va, plus ils détruisent leur héritage en croyant le sauver.
Flûte, ça fait des années (depuis l’arrivée de « Bling-bling » dans les cercles du pouvoir) que la classe politique de mon pays perd le nord, ne sait plus comment elle s’appelle, fait tout et n’importe quoi sans même avoir apparemment conscience vers quoi elle va se dissoudre.
Plus de « P.Soce » ravagé par ses querelles intestines, bouffé par « l’écolologisme », plus de PCF, même la « droâte-républicaine » se laisse bouffer, de l’intérieur par le « Air-Haine » et on s’étonne d’avoir « Jupiter » aux leviers de commandes qui n’est jamais qu’un agent infiltré « super-mondialiste » des « maîtres du monde ».
« Dit Papa, quand est-ce qu’on va où ? » chantait Renaud (Séchan, pour les intimes).
On y est.
Bref, je le vois mal, l’avenir que je rêvais pour « Ma Nichée » : Je n’ai pas milité pour ça toute une partie de ma vie…
Pendant que certains votaient, d’autres jouaient aux kons.
La « machine à perdre » est repartie de plus belle : Au lieu de se rappeler d’où ils viennent, pourquoi ils sont là, qui les ont porté là où ils sont, ils tirent des plans sur la comète pour se faire valoir un destin, piétinant principes et lignes politiques.
Je vous avoue que je ne pouvais pas l’imaginer de la sorte.
D’abord, le premier tour des législatives partielles : Grand vainqueur par KO, l’abstention !
Il n’y a même pas photo.
15,5 % des inscrits seulement se sont rendus aux urnes dans le 20ème arrondissement de « Paris-sur-la-plage », 18,1 % en Indre-et-Loire, 24,3 % dans le Pas-de-Calais, 26,4 % dans l’Oise…
Le message est clair !
Le désintérêt d’une partie des électeurs à l’égard de ces élections a, paraît-il, été accentué par les circonstances.
Plusieurs fois reportées en raison de l’épidémie de « Conard-virus », ces élections se déroulent à un mois des régionales et des départementales, ce qui nourrit peut-être la confusion.
En outre, les futurs élus ne siégeront qu’un an à l’Assemblée nationale, avant les prochaines législatives.
L’enjeu pouvait donc paraître très limité.
Résultat, ils y reviendront le week-end prochain.
Ce premier tour s’est finalement révélé plutôt favorable aux sortants ou à leurs successeurs naturels, même si un certain suspense est maintenu dans la kapitale. Le parti « Les Républicains
Le succès le plus net est celui de Victor Habert-Dassault, le candidat LR
Le nom Dassault s’est donc révélé efficace. Au premier tour, l’arrière-petit-fils de Marcel Dassault est arrivé loin en tête, avec 58,4 % des suffrages exprimés, devant le « Air-Haine » à 15,3 %.
La gôche et le « marcheur-même-pas-en-rêve » sont impitoyablement éliminées.
Malgré l’écart entre les candidats, un second tour est rendu nécessaire, le score de Victor ne représentant que 15 % des inscrits alors que 25 % sont requis pour être élu dès le premier tour.
Succès aussi pour Sophie Métadier, la maire de Beaulieu-lès-Loches, investie par l’Union des démocrates et indépendants (UDI) et LR
Elle finit nettement en tête du premier tour avec 45 % des suffrages, suivie par la soce « Mumu-Riz-au-lait » (20,1 %).
Elle semble ainsi à même de succéder à la députée sortante Sophie Auconie (UDI), qui a démissionné pour raisons de santé.
« Bibi-Bourg-quignon », la « sinistre » chargée de l’autonomie, une paria ex-soce ralliée à la « Jupitérie », réalise de son côté un score encourageant dans le Pas-de-Calais.
En juillet 2020, après son entrée au gouvernement, son suppléant avait refusé de prendre sa place, privilégiant ses mandats de maire et de président d’agglomération, et provoquant ainsi une élection partielle.
En s’appuyant sur son ancrage local, elle a rassemblé dimanche 35 % des suffrages, contre 24 % pour la candidate du « Air-Haine », son adversaire malheureuse en 2017.
La soce « Lama-mia-Elle-a-la-rage », la petite protégée de « Sœur-âne » dans le 20ème à « Paris-sur-la-Seine », est arrivée comme attendu en tête, avec 25,7 % des voix.
Le « P.Soce » espère bien conserver cette circonscription, la seule qu’il a gardée dans la capitale lors de la déferlante « Jupitériste » de 2017.
Mais l’insoumise locale, avec 20,8 % des suffrages, très active dans les quartiers populaires, entend bien faire mentir les pronostics, en séduisant une partie des électeurs « écololos » (18,4 %), et ceux du Parti communiste (10,6 %), qui a réalisé son meilleur score depuis quarante ans dans le 20ème arrondissement.
Ce second tour constituera un test pour les « soces » avant les régionales de fin juin.
On en est d’accord.
Et les régionales et départementales seront le dernier « test » pour la présidentielle et les législatives suivantes.
On en est toujours d’accord.
Reste que par ailleurs, on continue à jouer aux kons !
Après les propos du député « Les Républicains
Il ne pouvait pas rester au « Air-Haine », celui-là ?
Quelle légitimité de tapis-vert a-t-il au juste pour causer en mon nom ?
Interrogé sur le terrorisme, le député assume le lien entre « terrorisme et immigration », longtemps l’apanage du « Air-Haine ».
« Incontestablement, les terroristes ou la plupart des terroristes sont des immigrés ou des enfants d’immigrés », lance l’élu du Loir-et-Cher.
Étron : On ne va pas faire de la « politique », vie de la cité, uniquement sur une poignée de crétins qui ne savent rien d’autres que de se servir d’une kalachnikov !
« On en marre des bougies et des commémorations », a-t-il ajouté, proposant des « mesures très concrètes » décrète-t-il au nom du Parti.
Et attention, il a des idées… extrémistes !
Si son parti revenait au pouvoir, il souhaiterait « expulser systématiquement les étrangers fichés au fichier FSPRT » (fichier des personnes radicalisées).
« Pour ceux qui ne sont pas étrangers, nous proposons la création d’une cour de sûreté », et attention, chargée de délivrer des jugements par « prévention et “au cas par cas” ».
Hein, c’est beau le droit pénal « préventif » !
Et cet enfumé, il parvient même à citer pour modèle celle créée par le général de Gaulle en 1963 après les attentats de l’OAS, ce qui n’a rien à voir.
Cette cour de sûreté serait « composée de trois magistrats spécialisés » et « pourrait enfermer en prévention les individus après un faisceau de soupçons avérés et complets, sans possibilité de faire appel », avant qu’ils aient commis des actes terroristes, défend le député.
Fabuleux !
Avec les outils de la « Loi sécurité globale » que nous verrons demain, on finira tous en « résidence surveillée » comme lors du premier confinement de « Jupiter ».
Quand je vous dis qu’il s’agissait d’une « répétition générale », j’assume !
Quand les journalistes lui opposent que le Conseil constitutionnel pourrait s’y opposer et que cette mesure ferait sortir le pays de « l’État de droit » tel que nous le connaissons, il a le culot d’aller encore plus loin : « Dans ce cas-là on passerait par référendum », assumant la création d’« une justice exceptionnelle » pour éviter de passer par les « tribunaux, les cours d’appel et le Conseil d’État ».
Quoi, il pue le « troisième pouvoir » ?
Tout entre les mains d’un exécutif… exécutif ?
Du coup, il voit aussi dans la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) un obstacle à la politique qu’il entend mettre en place pour « rétablir l’autorité de l’État et protéger ceux qui sont menacés par le terrorisme ».
« Les droits de l’homme sont des biens très précieux », concède-t-il pour autant.
« Il n’empêche, si, ce qui est le cas aujourd’hui, la Cour européenne des droits de l’homme bride la souveraineté des peuples et des nations, je souhaite en sortir provisoirement pour contraindre les juges à respecter la souveraineté des États ».
Et pourquoi pas de l’UE, tant qu’on y est ?
Il faut dire que « Marinella-tchi-tchi » y a renoncé et reste dans « l’Euroland », désormais…
Voilà : Retour des juridictions d’exception, sans appel possible, pour des crimes « pas encore commis » et une mise au ban des nations de mon « beau pays » (que j’aime tant et qui me le rend décidément de plus en plus mal !)
Pour lui la présidentielle de 2022 n’emporte qu’un enjeu « civilisationnel, il n’est pas politique ou électoral ».
Clairement, avec lui, on revient à la « dictature » électoraliste : Ni Hitler, ni Mussolini, ni même « Poux-tine » ou quelques autres (« Kim-Tout-fou », « Xi-ping-pong », « Assad-le-chimique », le bélarusse) n’ont pas fait autrement.
« Pas une voix ne doit se porter sur Emmanuel Macron en 2022 » et d’affirmer que « Marine Le Pen n’est pas l’ennemie de la République », contrairement à « l’islam politique ».
Celui qui défend le ‘‘patriotisme’’ comme pierre angulaire de son programme sur l’autorité, le travail et la liberté contre les normes espère ce qu’il appelle une « union des patriotes et des républicains des deux rives ».
Tout vice-président délégué qu’il est, il aura rapidement été « recadré » par le Président « plein et entier ».
Moâ, je lui aurai déchiré sa carte, remboursé sa cotisation, jeté hors du groupe parlementaire, je l’aurai renvoyé d’où il vient : Le « Air-Haine » accueille bien tous les traîtres et parias de la vie politique depuis des décennies, il y a forcément une place pour lui !
Qu’il gerbe, décanille, dégage et vite : À cause de tels olibrius et de leurs propos indigénistes (gloire aux suprémacistes), on perd des électeurs tous les jours.
Des meks qui sapent tous un peu plus les fondamentaux gaullistes dont ils sont peu ou prou les héritiers.
Quel gâchis !
Ils sont où les idéaux d’un pays soudé par une même appartenance historique si on désigne les uns ou les autres comme autant de futurs « séparatistes », communautaristes, presque spécistes basés uniquement sur une origine ethnique, une religion, une couleur de peau, une orientation sexuelle, « un genre » qu’il se donne ou je ne sais quoi encore… ?
Que des terroristes qui s’ignorent, figurez-vous !
Qu’ils se réveillent un peu : Plus ça va, plus ils détruisent leur héritage en croyant le sauver.
Flûte, ça fait des années (depuis l’arrivée de « Bling-bling » dans les cercles du pouvoir) que la classe politique de mon pays perd le nord, ne sait plus comment elle s’appelle, fait tout et n’importe quoi sans même avoir apparemment conscience vers quoi elle va se dissoudre.
Plus de « P.Soce » ravagé par ses querelles intestines, bouffé par « l’écolologisme », plus de PCF, même la « droâte-républicaine » se laisse bouffer, de l’intérieur par le « Air-Haine » et on s’étonne d’avoir « Jupiter » aux leviers de commandes qui n’est jamais qu’un agent infiltré « super-mondialiste » des « maîtres du monde ».
« Dit Papa, quand est-ce qu’on va où ? » chantait Renaud (Séchan, pour les intimes).
On y est.
Bref, je le vois mal, l’avenir que je rêvais pour « Ma Nichée » : Je n’ai pas milité pour ça toute une partie de ma vie…
Et je fulmine !
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