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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 18 juin 2021

Redites…

Jean-Marc a de la semoule dans le crâne !
 
Il s’agit d’une « revenue », déjà publiée dans cette rubrique, mais elle a été modifiée entre-temps :
Un jeune postulant pour un emploi dans un jardinerie est embauché.
Il se fait proposer par son chef de rayon de bien observer sa façon de faire pour être un bon vendeur.
Les deux employés se font arrêter par un premier client qui leur demande des graines de gazon…
« Bien sûr ! » s’empresse de dire le coach au client, tout en faisant un clin d’œil à sa jeune recrue.
« – En sac de 25 ou de 50 livres ?
– 50 !
– Voilà ! » dit le chef de rayon en sortant un sac de 50 livres des étagères.
« – Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Les graines vont pousser, il va falloir couper le gazon…
– Je n’y avais pas pensé. C’est d’accord, je l’achète. »
Le client quitte le magasin fier de lui, et le vendeur l’est tout autant.
La recrue, quant à elle, est très impressionnée.
Pour s’assurer que son élève a bien compris, il lui propose un deuxième essai.
Un deuxième client approche justement et demande un boyau d’arrosage…
« – Bien sûr ! » dit le vendeur. « Un de 25 ou de 50 mètres ?
– 50.
– Tenez ! Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Et bien, le gazon va pousser.
– J’La prends !
– WOW ! » pense la recrue, comment en ferais-je autant ?
« – À ton tour », dit l’entraîneur à sa recrue, qui se faisait interpeller au même moment par un client qui, achète des serviettes hygièniques pour sa femme.
« – Certainement ! En boîte de 25 ou de 50 serviettes ?
– HEU ? Je vais en prendre 50. C’est sûrement plus économique.
– Voilà ! » dit le jeune. Et, voulant impressionner son maître, il lance au client.
« – Une tondeuse avec ça ?
– Pourquoi une tondeuse ?
– Eh bien, de toute façon, ton week-end tombe à l’eau, alors, aussi bien tondre le gazon. »
C’est l’histoire du Grand-bazar d’Ajaccio, racontée par Dumè, mais avec variante, moins spectaculaire, il est vrai…
 
C’est Jean-Marc qui rentre dans un bar et demande une bière.
Il en boit une gorgée et la remet sur le comptoir quand, tout à coup, un singe grimpe sur le comptoir et fait pipi dans la bière !
Jean-Marc demande au serveur à qui est le singe ?
Ce dernier lui répond qu’il appartient au pianiste.
Alors Jean-Marc va le voir pianiste et lui demande :
« – Vous savez, votre singe a fait pipi dans ma bière !
– Non, mais si vous me donnez l’air, je peux essayer de la jouer. »
 
Prière du soir :
Seigneur.
Accordez-moi la Sagesse afin que je puisse comprendre mon homme ;
Accordez-moi la Patience afin que je puisse le supporter.
Je vous prie pour que vous m’accordiez la Sagesse et la Patience car si je demandais la Force et que vous me l’accordiez, j’y prendrait une volée.
Amen
 
Un grand patron du CACa40 décède.
Il arrive devant Saint-Pierre qui lui dit :
« Vous avez créé des milliers d’emplois, participé au rayonnement d’un pays, vous avez donné à des associations caritatives, donc je vous accorde le droit d’entrer au Paradis. »
Le grand patron remercie Saint-Pierre et se dirige vers les portes du Paradis.
Les portes s’ouvrent devant lui et le grand patron constate avec stupéfaction que des hommes sont en train de se faire fouetter, brûler vif, et subir d’autres formes de torture.
Il retourne alors voir Saint-Pierre et lui dit :
« – Mais je ne comprends pas, je croyais qu’on était au Paradis ?
– Ah j’avais oublié de vous prévenir : Nous avons fusionné ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, en terrasse de café au soleil, chacun devant une bière, philosophent sur l’étroitesse de la condition humaine :
« – Pourquoi les gardiens des poules sont tous des égoïstes ?
Chais pas ! Tu me dis ?
– Ils ne pensent qu’à eux (œufs) ! »
 
Un homme et sa femme vont au resto pour fêter leur dixième anniversaire de mariage.
 
Lues pour vous les « Petites Annonces » de la semaine :
 
– À vendre :
Un lit vertical plus un recueil d’histoires à dormir debout.
 
– Homme ayant eu des hauts et des bas cherche place comme garçon d’ascenseur.
 
– Importante société pétrolière cherche représentant raffiné.
 
– Professeur bègue donnerait répétitions.
 
– Vétérinaire bisexuel cherche homme (pas trop chien…) ou femme (pas trop vache…)
 
– Besoin d’aide : Depuis que mon mari est parti, je n’ai plus de cochons à la ferme.
 
– Croisant un chien tenu en laisse par son maître, je me suis fait mordre par ce dernier.
 
– Homme mi-sportif, mi intello… (à moitié en forme, à moitié intelligent.)
Aimant les restos (ne sait pas faire à manger) …
 
Un émir souffrant d’une grave maladie cardiaque est venu se faire opérer à Paris par un spécialiste.
L’opération est réussie et avant de repartir dans son pays, l’émir dit au chirurgien :
« – Docteur, si je suis en vie, c’est grâce à vous. J’aimerais vous faire un cadeau pour vous remercier.
– Mais je n’ai fait que mon travail…
– J’insiste, docteur. Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ?
– Puisque vous y tenez vraiment, sachez que j’adore jouer au golf. Si vous m’offrez quelques clubs, je serais ravi. »
Un mois plus tard, le chirurgien reçoit un télégramme de l’émir :
« Suis heureux de vous offrir douze clubs de golf. Désolé, mais deux d’entre eux n’ont pas de piscine… »
 
Un architecte, un artiste et un informaticien discutent s’il vaut mieux passer du temps avec sa femme ou sa maîtresse.
L’architecte dit :
« Moi j’aime bien passer du temps avec ma femme à construire de solides fondations pour une relation durable. »
L’artiste lui répond :
« Moi je préfère passer du temps avec ma maîtresse, à cause de la passion et du mystère que j’y trouve. »
L’informaticien rétorque :
« – Moi, j’aime les deux.
– Les deux ?!?
– Bien sûr. Quand vous avez une femme et une maîtresse, chacune d’elles suppose que vous passez votre temps avec l’autre, ainsi vous avez alors le temps de travailler un peu ! »
 
C’est l’histoire de Germaine et Jean-Marc.
C’est l’heure d’aller se coucher, alors Germaine laisse sa boîte de suppositoires sur la table de chevet en se disant :
« Bon, je vais en avoir besoin demain. »
Et elle se couche.
Pendant ce temps, Jean-Marc décide l’aller à la chasse aux pigeons le lendemain et afin de ne pas oublier sa boîte de balles, il décide de la placer sur la table de chevet.
Le lendemain matin, il part pour la chasse sans oublier sa boîte de balles.
Germaine reste à la maison mais n’oublie pas de prendre ses suppositoires.
Le soir venu, notre homme revient à la maison et dit à sa femme :
« Je ne comprends pas ce qui s’est passé aujourd’hui ! Chaque fois que je tirais sur un pigeon, il y avait quelque chose de mou qui me tombait sur la tête ! »
Et Germaine se met à pleurer en disant :
« Ce n’est rien cela ! Imagine-toi donc que j’ai pété et que j’ai tué le chat ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une nouvelle bière.
Ils regardent un chat qui passe.
L’un d’entre eux dit :
« Regarde le drôle de chat qui s’en vient, il a juste un œil. »
L’autre lui répond :
« Il ne s’en vient pas, il s’en va ! »
 
Jean-Marc consulte un psychanalyste pour une première fois.
Le médecin l’interroge :
« – Depuis quand avez-vous envie de faire l’amour avec votre mère ?
– Hé, oh, qu’est-ce que c’est que ça ? Je n’ai jamais dit ça !
– Woah », rugit le psy, « si vous ne vous montrez pas plus coopératif, comment voulez-vous que je vous soigne ? »
 
Ce sont 2 nonnes écossaises qui viennent juste d’arriver aux USA par bateau.
La première dit à la seconde :
« – J’ai entendu dire que les américains avaient l’habitude de manger du chien chaud (Note du traducteur : Hot-dog)
– C’est curieux », répond la seconde, « mais si nous devons vivre dans ce pays, nous ferions mieux de suivre les coutumes des habitants. »
Un peu plus tard, les deux sœurs remarquent justement un vendeur de hot-dogs…
« Deux hot-dogs » lui demandent-elles.
Le vendeur leur enveloppe leur hot-dog dans un papier alimentaire et leur donne.
Les nonnes sont assez excitées de savoir à quoi ça ressemble.
Elles déballent leur hot-dog.
La première en voyant ce que le pain contient s’arrête un moment puis demande à la seconde :
« Quelle partie du chien avez-vous eue ? »
 
Parmi les revenues :
Dimanche six heures du matin, Jean-Marc se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse.
Il charge son VTT dans la voiture, et s’en va.
Arrivé sur le parcours il se met à tomber des trombes d’eau.
Sa matinée est foutue, il décide de rentrer chez lui.
Il se déshabille sans faire de bruit, et se recouche doucement tout près de son épouse, et lui chuchote à l’oreille :
« Il pleut comme vache qui pisse »
Et elle, répond :
« Quand je pense que l’autre idiot est en train de pédaler… »
 
Deux femmes ? Germaine et Marie-Agnès prennent un café (déconfiné)…
« – Hum, ce manteau de fourrure est très beau mais, t’as pas honte qu’un animal innocent paie pour tes caprices ?
– Et depuis quand défends-tu mon mari ? »
 
Jean-Marc arrive au bureau et ses collègues remarquent qu’il porte une boucle d’oreille.
Ils sont d’autant plus surpris que Jean-Marc est connu pour son grand conservatisme et son manque d’ouverture d’esprit.
Trop curieux, l’un des collègues finit par dire :
« – J’ignorais que tu aimais ce type de bijoux ?
– Oh, ça va. N’en fais pas une romance !
– Et depuis combien de temps portes-tu une boucle d’oreille ?
– Depuis que ma femme l’a trouvée dans le lit. »
 
C’est Jean-Marcel qui ne va pas bien du tout.
Il se rend à l’hôpital.
Après une foultitude de tests, le médecin lui dit :
« J’ai des mauvaises nouvelles pour vous… Vous avez la syphilis, lèpre et le SIDA ! »
Jean-Marcel est effondré :
« – Oh mon Dieu, et qu’est-ce que vous pouvez faire ?
– Pas grand-chose malheureusement. Vous devrez rester à l’hôpital et on vous prescrira un régime alimentaire à base de crêpes, de soles et de pizzas.
– Et comment est-ce que tout ça va me sauver ?
– Je ne sais pas, mais en tous cas ce sont des aliments qu’on peut facilement glisser sous la porte. »
 
Un instituteur qui trimballait toute une classe de bambins dans un minicar arrête son véhicule pour laisser passer un camion de pompiers, toutes sirènes hurlantes.
Sur le siège passager de ce camion de pompiers, il y avait un labrador.
La vue de l’animal déclencha une discussion sur l’utilité du chien pour les pompiers :
« Ils l’utilisent pour tenir la foule à distance », dit l’un deux.
« C’est juste leur mascotte » dit un autre.
Et un autre, plus perspicace que les autres dit :
« Mais non, ils l’utilisent pour trouver les bouches d’incendie ! ».
 
Jean-Marc et Germaine se dispute :
« – Je te connais. Tu as accepté de me marier parce que je venais d’hériter d’un élevage de visons de l’once Pierre…
– Totalement faux ! Je me moquais bien de qui tu as hérité ! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
 
« Les grecs adorent se mater les couilles ! »
« Sa dame a une tête de mule »
« Cette entrejambe-là me fait une belle prise ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« Le camp des cons battus…
« Elle montrait encore son fer, hier, cette dame. »
« Le clerc du notaire ne peut atteindre son but !
 »
Bon week-end à toutes et à tous !
 
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PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » qui n’a pas mis à jour son site avec son nouvel opus des « Enquêtes de Charlotte » : « L’année Covid de Charlotte » !
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