Publiée dans le journal Die Zeit du 22 juin.
Elle démontre que la stratégie géopolitique de la «
Grande Eurasie » de la Russie (qui est aussi associée à un pivot vers l’Asie),
n’est finalement pas dirigée contre l’Europe, mais offre une réinitialisation
des relations entre l’UE et la Russie, pour promouvoir un meilleur équilibre
entre la vision euro-atlantiste exclusive d’un grand Occident (sous le slogan
d’une « alliance des démocraties » avec les Etats-Unis comme chefs de file) et
une « Grande Asie » avec pour centre de gravité la Chine et de son projet des
routes de la soie !
Attends, l’ami ! Faire l’UE de « Brest à l’Oural », j’ai déjà entendu ça quelle que part…
C’est du De Gaulle, ça (m’émerveille-je) !
Une proposition opportune pour repositionner la Russie
dans le contexte de la nouvelle présidence « ricaine » et la tournée
récente de « Baille-dan » en Europe, mais aussi l’élection du futur
chancelier en « Teutonnie » à l’automne, et la présidentielle en « Gauloisie-vacancière »
en 2022.
« Nous espérions que la fin de la guerre froide serait synonyme de victoire pour l’ensemble de l’Europe. Dans peu de temps, semble-t-il, le rêve de Charles de Gaulle d’un continent uni deviendra une réalité, non pas tant sur le plan géographique, de l’Atlantique à l’Oural, que sur le plan culturel et civilisationnel, de Lisbonne à Vladivostok. »
Et le choix du journal Die Zeit, un média « teuton », n’est pas non plus anodin.
Il reflète aussi la réalité géopolitique européenne, avec la « Teutonnie » qui redevient alors la puissance centrale de l’UE.
De l’UE sans les britanniques…
Ce média est proche de la SPD (gôche libérale), qui se réfère encore parfois à l’Ostpolitik de Willy Brand inspiré par Egon Bahr dans les années 70.
Rappelez-vous (pour ceux qui étaient nés seulement) le
général de Gaulle avait promu et anticipé dès les années 60 une « Europe
de l’Atlantique à l’Oural » lorsque la Russie serait sortie du communisme
tandis que la chancelier allemand Willy Brand avait promu l’Ostpolitik pour
opérer un rapprochement entre la « Teutonnie » de l’Ouest et l’URSS
et les membres du pacte de Varsovie.
L’objectif était de faire baisser les tensions dans le cadre de la guerre froide mais aussi avec en ligne de mire la « Teutonnie de l’Est » pour créer les conditions d’une future réunification.
L’Ostpolitik a probablement contribué à la chute de l’URSS en prétendent même les « Teutons ».
Peut-être.
Après la guerre froide, le pays avait proposé un partenariat économique avec la Russie en 2007 dans le cadre de sa vision d’une « Europe de Lisbonne à Vladivostok ».
Plus récemment, Dimitri Medvedev a remis sur la table l’idée d’un traité de sécurité entre l’Europe et la Russie au lendemain de la guerre Russie-Géorgie en 2008 et avait obtenu le soutien de « Bling-bling » qui n’était pas allé plus loin.
Plus récemment, « Jupiter » avait proposé une nouvelle architecture européenne de sécurité avec la Russie en 2018.
Ces initiatives pour une entente continentale après la
guerre froide n’ont pas débouché sur une nouvelle configuration géopolitique
européenne, car la vision euro-atlantiste est restée la boussole géopolitique
principale des États membres de l’OTAN et l’UE.
La rivalité géopolitique « gallo-teutonne » aura aussi empêché de construire une synergie géopolitique sur les deux rives du Rhin : Les « Teutons » se sont toujours méfiés, jusqu’à présent, de la vision du général de Gaulle susceptible de remettre en cause l’ancrage à l’Ouest de leur pays et son lien privilégié avec les États-Unis.
Et souvent, les dirigeants de la « Gauloisie-éternelle » se sont aussi inquiétés d’un déplacement du centre de gravité géopolitique européen vers son voisin à l’occasion d’un rapprochement « Teuton-Russkoff ».
Or, il y aurait aujourd’hui des avantages
géopolitiques pour les deux pays, mais aussi leurs partenaires européens à
négocier un pivot vers la Russie, afin de ne pas rester enfermés dans la
rivalité croissante entre les États-Unis et la Chine, d’autant plus que la
Russie propose une réinitialisation des relations avec l’Europe de l’Ouest.
Un rapprochement « Gallo-russe » sur les questions géostratégiques et un rapprochement « Teuton-russe » sur les questions économiques, pourraient contribuer à surmonter la fracture en plein cœur de l’Europe avec la Russie.
Sur le modèle de l’Europe des nations, il s’agirait d’atteindre un meilleur équilibre géopolitique dans le monde, au niveau pan-européen, mais aussi entre la « Gauloisie » et la « Teutonnie » au sein d’un nouveau triangle « Gallo-Teutano-Russkoff ».
Mon pote qui réseaute sur l’axe « Paris/Berlin/Varsovie » doit être aux anges, même s’il est dépassé.
Moâ aussi, parce que je lui ai toujours dit, depuis des décennies, de pousser jusqu’à Moscou.
De l’atavisme de mon « cousin » Bonaparte : La vraie grande Europe.
Pour le plaisir, parce que c’est assez rare et même si
je vous le fais très en retard, je vous reprends le texte de « Poux-tine » :
« Le 22 juin 1941, il y a exactement 80 ans,
les nazis, après avoir conquis pratiquement toute l’Europe, ont attaqué l’URSS.
Pour le peuple soviétique, la Grande Guerre patriotique – la plus sanglante de
l’histoire de notre pays – a commencé. Des dizaines de millions de personnes
ont perdu la vie, le potentiel économique du pays et ses biens culturels ont
été gravement endommagés.
Nous sommes fiers du courage et de la ténacité des
héros de l’Armée rouge et des travailleurs du front intérieur qui ont non
seulement défendu l’indépendance et la dignité de notre patrie, mais aussi
sauvé l’Europe et le monde de l’asservissement. Malgré les tentatives de
réécrire les pages du passé qui sont faites aujourd’hui, la vérité est que les
soldats soviétiques sont venus en Allemagne non pas pour se venger des
Allemands, mais avec une noble et grande mission de libération. Nous tenons
pour sacré le souvenir des héros qui ont combattu le nazisme. Nous nous
souvenons avec gratitude de nos alliés dans la coalition anti-Hitler, des
participants au mouvement de résistance et des antifascistes allemands qui ont
rapproché notre victoire commune.
Ayant vécu les horreurs de la guerre mondiale, les
peuples d’Europe ont néanmoins été capables de surmonter l’aliénation et de
rétablir la confiance et le respect mutuels. Ils ont mis le cap sur
l’intégration afin de tirer un trait définitif sur les tragédies européennes de
la première moitié du siècle dernier. Et je tiens à souligner que la
réconciliation historique de notre peuple avec les Allemands vivant à l’Est et
à l’Ouest de l’Allemagne unifiée moderne a joué un rôle énorme dans la
formation de cette Europe.
Je voudrais également rappeler que ce sont les
entrepreneurs allemands qui sont devenus les « pionniers » de la coopération
avec notre pays dans les années d’après-guerre. En 1970, l’URSS et la
République fédérale d’Allemagne ont conclu « l’accord du siècle » sur
l’approvisionnement à long terme de l’Europe en gaz naturel, qui a jeté les
bases d’une interdépendance constructive et lancé de nombreux grands projets
futurs, dont la construction du gazoduc Nord Stream.
Nous espérions que la fin de la Guerre froide serait
une victoire commune pour l’Europe. Il semblait qu’un petit effort
supplémentaire était nécessaire pour que le rêve de Charles de Gaulle d’un
continent unique – pas même géographiquement « de l’Atlantique à l’Oural »,
mais culturellement et civilisationnellement « de Lisbonne à Vladivostok » –
devienne une réalité.
C’est exactement dans cette logique – celle de la
construction d’une Grande Europe unie par des valeurs et des intérêts communs –
que la Russie a cherché à développer ses relations avec les Européens. Tant la
Russie que l’UE ont fait beaucoup sur cette voie.
Mais une approche différente a prévalu. Elle était
fondée sur l’expansion de l’Alliance de l’Atlantique Nord, qui était elle-même
une relique de la Guerre froide. Après tout, elle a été spécifiquement créée
pour la confrontation de cette époque.
C’est le mouvement du bloc vers l’Est – qui, soit dit
en passant, a commencé lorsque les dirigeants soviétiques ont été persuadés
d’accepter l’adhésion de l’Allemagne unifiée à l’OTAN – qui est devenu la
principale raison de l’augmentation rapide de la méfiance mutuelle en Europe.
Les promesses verbales faites à l’époque, telles que « ceci n’est pas dirigé
contre vous » ou « les frontières de l’Union ne se rapprocheront pas de vous »,
ont été rapidement oubliées. Mais un précédent a été créé.
Et depuis 1999, cinq autres « vagues » d’expansion de
l’OTAN ont suivi. Quatorze nouveaux pays, dont les anciennes républiques de
l’Union soviétique, ont rejoint l’organisation, réduisant à néant les espoirs
d’un continent sans lignes de démarcation. Il est intéressant de noter que
cette situation avait été annoncée au milieu des années 1980 par Egon Bahr,
l’un des dirigeants du SPD, qui proposait une restructuration radicale de
l’ensemble du système de sécurité européen après l’unification allemande,
impliquant à la fois l’URSS et les États-Unis. Mais à l’époque, personne en
URSS, aux États-Unis ou en Europe n’était prêt à l’écouter.
En outre, de nombreux pays ont été mis devant le choix
artificiel d’être soit avec l’Occident collectif, soit avec la Russie. En fait,
il s’agissait d’un ultimatum. La tragédie ukrainienne de 2014 est un exemple
des conséquences auxquelles cette politique agressive a conduit. L’Europe a
soutenu activement le coup d’État armé anticonstitutionnel en Ukraine. C’est là
que tout a commencé. Pourquoi était-il nécessaire d’agir de la sorte ? Le
président sortant de l’époque, Ianoukovitch, avait déjà accepté toutes les
demandes de l’opposition. Pourquoi les États-Unis ont-ils organisé le coup
d’État et les pays européens l’ont-ils soutenu sans enthousiasme, provoquant
une scission au sein de l’Ukraine et le retrait de la Crimée ?
L’ensemble du système de sécurité européen s’est
aujourd’hui considérablement dégradé. Les tensions augmentent et les risques
d’une nouvelle course aux armements deviennent réels. Nous passons à côté des
formidables possibilités qu’offre la coopération, d’autant plus que nous sommes
tous confrontés à des défis communs, tels que la pandémie et ses terribles
conséquences sociales et économiques.
Pourquoi cela se produit-il ? Et surtout, quelles
conclusions devons-nous tirer ensemble ? Quelles leçons de l’histoire
devrions-nous rappeler ? Je pense, avant tout, que toute l’histoire de la
Grande Europe d’après-guerre confirme que la prospérité et la sécurité de notre
continent commun ne sont possibles que grâce aux efforts conjoints de tous les
pays, dont la Russie. Car la Russie est le plus grand pays d’Europe. Et nous
sommes conscients de notre lien culturel et historique indissociable avec
l’Europe.
Nous sommes ouverts à une interaction honnête et
constructive. Cela est confirmé par notre idée de créer un espace commun de
coopération et de sécurité de l’Atlantique au Pacifique, qui comprendrait divers
formats d’intégration, dont l’Union européenne et l’Union économique
eurasiatique.
Je réaffirme que la Russie est favorable au
rétablissement d’un partenariat global avec l’Europe. Nous avons de nombreux
sujets d’intérêt commun. Il s’agit notamment de la sécurité et de la stabilité
stratégique, de la santé et de l’éducation, de la numérisation, de l’énergie,
de la culture, de la science et de la technologie, de la résolution des
problèmes climatiques et environnementaux.
Le monde est un endroit dynamique, confronté à de
nouveaux défis et menaces. Nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre
de porter le fardeau des malentendus, des rancœurs, des conflits et des erreurs
du passé. C’est un fardeau qui nous empêchera de nous concentrer sur les défis
à relever. Nous sommes convaincus que nous devons tous reconnaître ces erreurs
et les corriger. Notre objectif commun et indiscutable est d’assurer la
sécurité sur le continent sans lignes de division, un espace commun pour une
coopération équitable et un développement inclusif pour la prospérité de
l’Europe et du monde dans son ensemble. »
Déclaration en « nez-creux » ou un « faux-nez » ?
Une vessie ou une lanterne ?
J’attends de voir les réactions à travers la presse à venir, si elle arrive par les corbeaux là je me rends cette semaine.
Naturellement, je m’attends à des « réactions fortes » de la part des « Ricains » et autres « anglo-saxons ».
Mais la « Teutonnie » et la « Gauloisie-éternelle » veulent bien tendre la main à la Russie.
Même qu’« Angèle-la-Mère-quelle » veut inviter « Poux-tine » au prochain sommet des leaders de l’Union européenne : Avant de partir, elle veut raccrocher le wagon russe au train de l’Europe.
Rappelons que la Russie n’a pas participé à un sommet européen depuis 2014, année de l’annexion de la Crimée…
Le pays s’est même fait virer du G8 devenu G7 pour la même raison.
« Poux-tine » tournerait-il le dos aux « routes de la soie » proposées par « Xi-Ping-pong » ?
Une chine qui a désormais sa propre station orbitale fonctionnelle, rappelons-le, et envoie des sondes sur la face cachée de Lune et jusque sur Mars…
C’est un tournant, mais bien des efforts vont être
déployés pour que « ce rêve » gaulliste ne voient pas le jour.
J’en vois déjà un à travers les cartes et schémas publiés concomitamment avec cette tribune : Ni l’UK ni Israël ne sont inclus dans ces projets… Même pas des « partenaires » et parfois même pas représentés !
Et puis d’un autre côté, on aura justement appris que la flotte du pacifique a fait décoller en urgence ses chasseurs à l’approche d’une « task-force » russe aux abords de Pearl-Harbor, comme le remake d’un mauvais film.
Et qu’un destroyer britannique aura essuyé des tirs de semonce au large de la Crimée avant de regagner le large…
Ils sont décidément tous impitoyablement « indécrottables » à défendre leurs prérequis et schémas de pensée, même les plus archaïques, et ils le resteront tous encore longtemps…
Mais les rêves et utopies font avancer le monde, j’en reste convaincu.
Par conséquent : À suivre, une fois de plus, mais de près !
En attendant, c’est un « beau coup » de « Poux-tine » qui réveille ma fibre gaulliste.
Attends, l’ami ! Faire l’UE de « Brest à l’Oural », j’ai déjà entendu ça quelle que part…
C’est du De Gaulle, ça (m’émerveille-je) !
« Nous espérions que la fin de la guerre froide serait synonyme de victoire pour l’ensemble de l’Europe. Dans peu de temps, semble-t-il, le rêve de Charles de Gaulle d’un continent uni deviendra une réalité, non pas tant sur le plan géographique, de l’Atlantique à l’Oural, que sur le plan culturel et civilisationnel, de Lisbonne à Vladivostok. »
Et le choix du journal Die Zeit, un média « teuton », n’est pas non plus anodin.
Il reflète aussi la réalité géopolitique européenne, avec la « Teutonnie » qui redevient alors la puissance centrale de l’UE.
De l’UE sans les britanniques…
Ce média est proche de la SPD (gôche libérale), qui se réfère encore parfois à l’Ostpolitik de Willy Brand inspiré par Egon Bahr dans les années 70.
L’objectif était de faire baisser les tensions dans le cadre de la guerre froide mais aussi avec en ligne de mire la « Teutonnie de l’Est » pour créer les conditions d’une future réunification.
L’Ostpolitik a probablement contribué à la chute de l’URSS en prétendent même les « Teutons ».
Peut-être.
Après la guerre froide, le pays avait proposé un partenariat économique avec la Russie en 2007 dans le cadre de sa vision d’une « Europe de Lisbonne à Vladivostok ».
Plus récemment, Dimitri Medvedev a remis sur la table l’idée d’un traité de sécurité entre l’Europe et la Russie au lendemain de la guerre Russie-Géorgie en 2008 et avait obtenu le soutien de « Bling-bling » qui n’était pas allé plus loin.
Plus récemment, « Jupiter » avait proposé une nouvelle architecture européenne de sécurité avec la Russie en 2018.
La rivalité géopolitique « gallo-teutonne » aura aussi empêché de construire une synergie géopolitique sur les deux rives du Rhin : Les « Teutons » se sont toujours méfiés, jusqu’à présent, de la vision du général de Gaulle susceptible de remettre en cause l’ancrage à l’Ouest de leur pays et son lien privilégié avec les États-Unis.
Et souvent, les dirigeants de la « Gauloisie-éternelle » se sont aussi inquiétés d’un déplacement du centre de gravité géopolitique européen vers son voisin à l’occasion d’un rapprochement « Teuton-Russkoff ».
Un rapprochement « Gallo-russe » sur les questions géostratégiques et un rapprochement « Teuton-russe » sur les questions économiques, pourraient contribuer à surmonter la fracture en plein cœur de l’Europe avec la Russie.
Sur le modèle de l’Europe des nations, il s’agirait d’atteindre un meilleur équilibre géopolitique dans le monde, au niveau pan-européen, mais aussi entre la « Gauloisie » et la « Teutonnie » au sein d’un nouveau triangle « Gallo-Teutano-Russkoff ».
Mon pote qui réseaute sur l’axe « Paris/Berlin/Varsovie » doit être aux anges, même s’il est dépassé.
Moâ aussi, parce que je lui ai toujours dit, depuis des décennies, de pousser jusqu’à Moscou.
De l’atavisme de mon « cousin » Bonaparte : La vraie grande Europe.
Une vessie ou une lanterne ?
J’attends de voir les réactions à travers la presse à venir, si elle arrive par les corbeaux là je me rends cette semaine.
Naturellement, je m’attends à des « réactions fortes » de la part des « Ricains » et autres « anglo-saxons ».
Mais la « Teutonnie » et la « Gauloisie-éternelle » veulent bien tendre la main à la Russie.
Même qu’« Angèle-la-Mère-quelle » veut inviter « Poux-tine » au prochain sommet des leaders de l’Union européenne : Avant de partir, elle veut raccrocher le wagon russe au train de l’Europe.
Rappelons que la Russie n’a pas participé à un sommet européen depuis 2014, année de l’annexion de la Crimée…
Le pays s’est même fait virer du G8 devenu G7 pour la même raison.
« Poux-tine » tournerait-il le dos aux « routes de la soie » proposées par « Xi-Ping-pong » ?
Une chine qui a désormais sa propre station orbitale fonctionnelle, rappelons-le, et envoie des sondes sur la face cachée de Lune et jusque sur Mars…
J’en vois déjà un à travers les cartes et schémas publiés concomitamment avec cette tribune : Ni l’UK ni Israël ne sont inclus dans ces projets… Même pas des « partenaires » et parfois même pas représentés !
Et puis d’un autre côté, on aura justement appris que la flotte du pacifique a fait décoller en urgence ses chasseurs à l’approche d’une « task-force » russe aux abords de Pearl-Harbor, comme le remake d’un mauvais film.
Et qu’un destroyer britannique aura essuyé des tirs de semonce au large de la Crimée avant de regagner le large…
Ils sont décidément tous impitoyablement « indécrottables » à défendre leurs prérequis et schémas de pensée, même les plus archaïques, et ils le resteront tous encore longtemps…
Mais les rêves et utopies font avancer le monde, j’en reste convaincu.
Par conséquent : À suivre, une fois de plus, mais de près !
En attendant, c’est un « beau coup » de « Poux-tine » qui réveille ma fibre gaulliste.
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