Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 25 juin 2021

Authentiques !

Les aventures de Jean-Marc.
 
Les lettres qui suivent sont réelles.
Elles émanent d’un incident entre un Hôtel de Londres et l’un de ses clients.
La direction de l’hôtel finit par donner la correspondance au “London Sunday” Times pour qu’elle soit publiée.
 
« Chère femme de chambre,
Je vous prie de ne plus déposer les petites savonnettes de l’hôtel dans ma salle de bains, car j’ai apporté mon propre Palmolive familial.
Pourriez-vous enlever les six savonnettes qui sont sur l’étagère les trois qui sont dans le porte-savon ?
Elles m’encombrent. Merci
Jean-Marc. »
 
« Chère Monsieur de la chambre 635,
Je ne suis pas votre femme de chambre habituelle. Elle sera de retour demain, jeudi, après son jour de congé. J’ai enlevé les trois savonnettes du porte-savon, comme vous l’avez demandé. J’ai enlevé les six savonnettes de l’étagère pour qu’elles ne vous gênent plus, et je les ai mises sur le distributeur de Kleenex, au cas où vous changeriez d’avis. Il ne reste que les trois savonnettes que j’ai déposées aujourd’hui, qui sont mes instructions de déposer trois savonnettes par jour.
J’espère que cela vous conviendra.
Kathy, femme de chambre de relève. »
 
« Chère femme de chambre,
J’espère que vos êtes ma femme de chambre habituelle. Apparemment Kathy ne vous a rien dit au sujet du message concernant les savonnettes. En rentrant hier soir j’ai vu que vous aviez déposé trois petits Camay sur mon étagère.
Je vais séjourner à l’hôtel pendant deux semaines et j’ai apporté Mon Palmolive familial, je n’aurai donc pas besoin des six petits Camay qui sont sur l’étagère.
Ces savonnettes m’encombrent quand je me rase ou je me brosse les dents. Pourriez-vous les enlever ?
Jean-Marc »
 
« Cher Monsieur Jean-Marc,
Mon jour de congé était mercredi, donc la femme de chambre de relève a déposé les trois savonnettes que la direction nous ordonne. J’ai mis les six savonnettes qui vous encombraient dans le porte-savon où votre Palmolive était. J’ai mis votre Palmolive dans l’armoire à pharmacie. Je n’ai pas enlevé les trois savonnettes que l’on met dans l’armoire à pharmacie à chaque nouvelle arrivée, et pour lesquelles vous n’avez rien dit quand vous êtes arrivé lundi dernier. Je reste à votre disposition.
Votre femme de chambre habituelle, Dotty ».
 
« Cher Monsieur Jean-Marc,
Le directeur adjoint, Monsieur Condescendant, m’a dit ce matin que vous l’aviez appelé hier soir pour vous plaindre du service de votre femme de chambre. Je vous présente mes excuses, et vous annonce que j’ai placé une nouvelle femme de chambre à votre service. Si vous avez d’autres plaintes à l’avenir, veuillez me contacter pour que j’y apporte mon attention personnelle.
Appelez le poste 1108 entre 8 h 00 et 17 h 00. Merci.
Elaine Carmen, gouvernante. »
 
« Chère Madame Carmen,
Il m’est impossible de vous téléphoner, car je quitte hôtel vers 7 h 45 pour me rendre au travail et ne rentre pas avant 17 h 30 ou 18 h 00. C’est pour cette raison que j’ai appelé M. Condescendant hier soir. Tout ce que je lui ai demandé, c’est s’il pouvait faire quelque chose à propos de ces savonnettes. La nouvelle femme de chambre a dû penser que je venais juste d’arriver, car elle a déposé trois nouvelles savonnettes dans mon armoire à pharmacie, en plus de sa livraison habituelle de trois savonnettes sur l’étagère. En cinq jours, j’ai accumulé 24 savonnettes.
Pourquoi me faites-vous subir cela ?
Jean-Marc »
 
« Cher Monsieur Jean-Marc,
Votre femme de chambre, Kathy, a reçu l’ordre de ne plus déposer de savonnettes dans votre chambre et d’enlever celles qui sont de trop.
Je reste à votre disposition (poste 1108 entre 8 h 00 et 17 h 00)
Merci.
Elaine Carmen, gouvernante. »
 
« Cher Monsieur Condescendant
Mon Palmolive familial a disparu. Toutes les savonnettes ont été enlevées, y compris mon propre savon. Je suis rentré tard hier soir et j’ai dû appeler le groom pour qu’il m’apporte quatre petits Dove.
Jean-Marc. »
 
« Cher Monsieur Jean-Marc,
J’ai informé la gouvernante, Elaine Carmen, de votre problème de savon. Je ne comprends pas pourquoi il n’y avait plus de savon dans votre chambre alors que les femmes de chambre ont l’ordre de déposer trois savonnettes à chaque fois qu’elles font une chambre. Votre problème devrait être immédiatement résolu. Veuillez accepter mes excuses.
Martin L. Condescendant, directeur adjoint. »
 
« Chère Madame Carmen,
Qui a déposé 54 putains de savonnettes dans ma chambre ? J’ai trouvé 54 savonnettes en rentrant hier soir. Je ne veux pas de 54 Camay, je veux mon Palmolive. Est-ce que vous réalisez que j’ai 54 savonnettes ici ? Tout ce que je veux c’est mon propre savon. Rendez-moi mon savon !
Jean-Marc »
 
« Cher Monsieur Jean-Marc,
Vous vous êtes plaint de trop de savon alors je les ai fait enlever. Ensuite vous vous êtes plaint à M. Condescendant parce que tout votre savon avait disparu, alors j’ai moi-même tout remis dans votre chambre. Les 24 Camay qui avaient été pris et les trois que vous êtes censé recevoir quotidiennement. Votre femme de chambre, Kathy, ne savait pas que j’avais tout remis à sa place et a elle-même rapporte 24 Camay plus les trois quotidiens… Je ne sais pas d’où vous sortez que l’hôtel fournit des Palmolive familiaux. J’ai réussi à trouver un Monsavon familial que j’ai laissé dans votre chambre.
Elaine Carmen, gouvernante. »
 
« Chère Madame Carmen,
Juste un petit message pour vos fournir un inventaire récent de mon stock de savon. Au jour d’aujourd’hui, je possède :
– Sur l’étagère de l’armoire à pharmacie : 18 Camay en quatre piles de 4 et une pile de 2.
– Sur le distributeur de mouchoirs : 11 Camay en deux piles de 4 et une pile de 3.
– Sur la commode de la chambre : Une pile de 3 Dove, une pile de 4 Monsavon, et 8 Camay en deux piles de 4.
– Dans l’armoire a pharmacie : 14 Camay en trois piles de 4 et une pile de 2.
– Dans le porte-savon : 6 Camay, très mous.
– Au coin nord-est du lavabo : 1 Dove a moitié utilisé.
– Au coin nord-ouest du lavabo : 6 Camay en deux piles de 3.
Pouvez-vous demander à Kathy de s’assurer que les piles soient nettement formées et bien époussetées ? Faites-lui également savoir que les piles de plus de 4 ont tendance à s’écrouler. Puis-je suggérer que le rebord de ma fenêtre n’est toujours pas utilisé et formerait un excellent entrepôt pour les livraisons à venir ?
Une chose encore : j’ai acheté un autre Palmolive familial, que je garde dans le coffre-fort de l’hôtel afin d’éviter tout malentendu.
Jean-Marc »
 
De retour sur le continent, Jean-Marc Philosophe à nouveau sur l’étroitesse de la condition humaine, devant une paire de bière :
« On réalise qu’on est vieux quand, à la suite d’un coup de vent qui dévoile les cuisses d’une belle femme, on a des souvenirs plutôt que des désirs. »
 
« Toutes les femmes cherchent l’homme idéal, mais les plus intelligentes se marient. »
 
« – Non mais peux-tu me dire comment cette femme-là est devenue si riche. Elle ne travaille pas, n’a pas de commerce, elle vient d’une famille pauvre et n’a pas de diplôme. Je sais, on pourrait penser qu’elle a une vie secrète, mais ce n’est pas le cas.
– Simple, elle vient de réussir son troisième divorce. »
 
Après deux années d’une étude très sérieuse et portant sur un effectif très important, l’Institut National des Hautes Études Statistiques vient de fournir ses conclusions quant aux préférences des Américains en matière de sports.
1. Le sport le plus en vogue chez les personnes sans emploi est le Basketball.
2. Le sport le plus en vogue chez les personnes sans qualification est le Bowling.
3. Le sport le plus en vogue chez les ouvriers spécialisés est le Football.
4. Le sport le plus en vogue chez les cadres est le Baseball.
5. Le sport le plus en vogue chez les cadres supérieurs est le Tennis.
6. Le sport le plus en vogue chez les chefs d’entreprises est le Golf.
La conclusion de l’étude est que plus la situation est haut placé dans le monde du travail, plus les “boules” sont petites.
(On savait…)
 
Jean-Lionel revient de l’école avec son bulletin et des zéros partout.
« – Quelle excuse vas-tu encore me donner ? » soupire sa mère.
– J’hésite entre l’hérédité et l’environnement familiale… »
 
Jean-Marc entre dans un bar et aperçoit un de ses potes (Jean-Étienne), désœuvré, avachi sur le comptoir, avec 4 ou 5 verres vides devant lui.
Il s’assoit à côté de lui et lui demande ce qui ne va pas.
« – Eh bien, tu te rappelles de cette nana à mon boulot, avec qui je voulais sortir ? Celle qui me donne une érection à chaque fois que je la vois ?
– Oui, tu m’en as assez parlé !
– Eh bien, finalement, j’ai trouvé le courage de lui demander par email et elle a accepté…
– Eh, mais c’est génial ! Quand est-ce que vous avez rendez-vous ?
– C’était ce soir, il y a une heure… Je suis allé chez elle, mais comme j’avais peur d’avoir une érection au moment de l’avoir en face de moi à la porte, j’ai pris du gros ruban adhésif et je me suis scotché la bite le long de ma jambe !
Comme ça, impossible de voir quoi que ce soit pour le cas où j’attrape le gourdin…
– C’est une sage décision !
– Enfin, j’arrive à sa porte, et là elle m’ouvre, habillée avec une jupe hyper courte et un décolleté incroyable !
– Et alors ?
– Alors ? Je lui ai envoyé mon pied dans la gueule… »
 
Jean-Marc venait de se marier.
Le lendemain de la noce, il dit à Germaine, sa femme :
« Bon, alors chérie, maintenant dans cette maison, il va y avoir quelques règles à respecter.
Tout d’abord, il faut savoir que je rentrerai à la maison si je le veux et à l’heure que je veux.
Et je ne veux pas de chamaillerie pour autant au moment où j’arrive.
Je veux aussi qu’il y ait un bon repas sur la table en 30 minutes si j’ai envie de manger.
Je ne veux aucune discussion quand je m’en vais pêcher, chasser, boire un coup ou voir un match de foot avec les copains.
C’est bien compris ? »
Alors la jeune mariée lui a répondu :
« Oui, oui, c’est d’accord pour moi. J’aurai juste une seule règle : Tous les soirs à 21 heures, il y aura du sexe à la maison, que tu sois là ou pas… »
 
Le gamin de Jean-Marc, pour sa fête, voulait un vélo 10 vitesses.
Son père lui dit :
« Mon fils, je t’en donnerais bien un mais l’hypothèque sur la maison est de 80.000 € et ta mère vient de perdre son emploi.
Nous n’en avons malheureusement pas les moyens. »
Le jour suivant, Jean-Marc voit son fils qui sortait par la porte avant avec sa valise.
Il lui demande :
« – Où tu vas comme ça ?
– Je sortais de ma chambre hier soir puis je t’ai entendu dire à maman que tu te retirais. Puis maman t’a dit : “Attend je vais venir aussi”.
Si vous pensez que je vais rester ici tout seul avec une hypothèque de 80.000 € et sans vélo… »
 
Deux personnes âgées ont tous les deux des problèmes de mémoire.
Leur médecin leur a suggéré d’écrire ce qu’elles voulaient faire.
Dans la soirée, en regardant la TV, le vieil homme se lève et dit :
« – Tu veux quelque chose, je vais dans la cuisine ?
– Apporte moi un bol de crème glacée, svp.
– Certainement !
– Tu devrais l’écrire pour pouvoir t’en souvenir !
– Non, je vais m’en souvenir.
– Bon ! J’aimerais aussi des fraises sur le dessus. Tu devrais l’écrire !
– Non, je vais m’en souvenir, un bol de crème glacée et des fraises.
– J’aimerais aussi de la crème fouettée par-dessus. Écris-le pour t’en souvenir.
– NONNN ! Je n’ai pas besoin de l’écrire, tu veux de la crème glacée avec des fraises et de la crème fouettée ! »
Au bout de 20 minutes, l’homme revient de la cuisine et apporte à sa femme un plat de bacon et des œufs.
« Ah non ! T’AS encore oublié mes TOASTS…! »
 
Solutions des contrepèteries de la semaine passée :
 
« Le cul des combattants… »
« Elle montrait encore son derrière, cette femme. »
« Le blair du notaire ne peut atteindre son cul ! »
 
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
 
« C’est toute l’élégance de la particule du noble »
« Il n’est pas mauvais de rire avant l’élection. »
« Voilà une femme déçue. »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » qui n’a pas mis à jour son site avec son nouvel opus des « Enquêtes de Charlotte » : « L’année Covid de Charlotte » !
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