D’après Jean-Marc, seulement…
– C’est de ne pas dire des mots sales pour éviter de les avaler à
l’occasion.
– C’est d’être capable, selon les jours, d’être le pigeon et le monument.
– Toujours visiter des sites Web bien honnêtes pour faire bonne figure en
cas de mort subite.
– Toujours éviter les abus d’alcool.
On ne sait jamais, vous pourriez tirer sur un fonctionnaire de l’impôt et rater la cible.
– Conduire prudemment.
Tout comme on rappelle les autos, votre créateur pourrait vous rappeler.
– Si vous ne pouvez pas être poli, au moins restez vague et imprécis.
– Si vous prêtez 100 € à une personne, et que vous ne la revoyez plus
jamais, vous avez fait un bon placement.
– Vous pensez que personne ne tient à vous ?
Essayez de ne pas payer votre prêt bancaire pendant trois mois !
– N’achetez jamais une auto que vous ne pouvez pas pousser.
– Tout le monde se fout du fait que vous dansiez bien ou mal.
Levez-vous et dansez !
– Les vers de terre matinaux se font bouffer par les oiseaux.
Restez au lit !
Et puis aussi quelques « combles ».
Il y peut-être des « revenus »…
– Le comble de la patience pour une musicienne ?
Mettre le dos sur le sol et attendre l’introduction
– Le comble de malchance pour un poteau télégraphique ?
Lacher un fil
– Le comble du mathématicien ?
Se coucher avec une inconnue et se réveiller avec un problème !
– Le comble de l’avarice ?…
Un gars qui ne se masturbe jamais parce que ça vient de sa poche !
– Le comble de l’innocence ?…
Une nonne qui travaille dans une usine de préservatifs et qui pense fabriquer des sacs de couchage pour les souris.
– Le comble de la propreté ?…
Essuyer un refus.
– Le comble de l’habilité pour un barbier ?
Raser les murs.
– Le comble de la réussite pour un sourcier ?
Découvrir une source de revenus.
– Le comble de l’habilité pour un chasseur ?
Poursuivre une idée, chasser un mauvais souvenir, tirer une conclusion.
– Le comble de l’habilité pour un distillateur ?
Extraire l’essence de la rose des vents.
– Le comble du dévouement ?
Être membre d’un Club Optimiste.
– Le comble pour un nain ?
Se fait dire qu’il est mal élevé.
Le comble pour un journaliste ?…
Être à l’article de la mort.
– Et pour un Écossais ?
Filer à l’anglaise.
Le comble pour un électricien ?
Ne pas être au courant et avoir des ampoules aux mains.
– Celui de la politesse ?
S’asseoir sur son cul et lui demander pardon !
– Naturellement, celui d’un coq… c’est d’avoir la chair de poule !
– Le comble pour un agneau ?
Bien sûr : Avoir une faim de loup !
– Et celui d’un petit pois ?
C’est d’être chiche.
– Le comble pour une souris… c’est naturellement d’avoir un chat dans la
gorge !
– Quel est le comble de la vitesse ?
Courir autour d’un arbre et se rattraper pour se donner des coups de pieds au cul !
– Quel est le comble de la peur ?
Reculer devant une pendule qui avance !
– Quel est le comble de la propreté ?
Salir une réputation, pour s’en laver les mains.
– Quel est le comble pour un jockey ?
Être à cheval sur les principes !
– Et celui pour un dentiste ?
Extraire une racine carrée !
– Quel est le comble pour un serrurier ?
C’est d’être sous les verrous !
– Autre comble de l’avarice ?
Regarder la messe à la télé et la fermer quand on passe la quête !
Mais, philosophe, il nous fait part d’une réflexion :
– Quelle est la définition de : “Sentiments partagés” ?
C’est quand votre belle-mère est en train de reculer vers un énorme ravin dans votre voiture toute neuve !
C’est l’histoire d’un petit gars qui joue au hockey sur glace.
Il est assis sur le banc, enlève son casque et le lèche.
Il retourne sur la patinoire et marque un but.
Il retourne sur le banc, lèche à nouveau son casque et marque un autre but.
Il refait cela, une troisième fois.
Son entraîneur qui avait remarqué son manège lui demanda pourquoi il lèche son casque.
Alors le petit gars lui répond :
« C’est parce qu’hier soir j’ai entendu mon père dire à ma mère : Lèche-moi le casque pis ça va rentrer ! »
Jean-Marc rapporte qu’un fonctionnaire qui avait décidé de faire un peu de ménage
dans les armoires de son bureau, trouve caché sous une pile de cartons
empoussiérés, ce qui ressemble fort à une lampe à huile en métal doré.
Trouvant l’objet à son goût, l’employé de l’état décide de le ramener chez
lui pour l’exposer sur sa cheminée.
Le soir, alors qu’il est en train d’astiquer la lampe, un nuage de fumée
envahit la pièce et un génie apparaît :
« Je suis le génie de la lampe », dit l’être extraordinaire, « et je peux t’accorder trois vœux ! »
Étonné et ravi, le fonctionnaire demande tout de suite :
« Je voudrais être beau et musclé comme un top model masculin ! »
Et aussitôt, le génie le transforme en bel Appolon.
Le fonctionnaire demande ensuite :
« Je veux être envoyé dans une île polynésienne uniquement peuplée d’indigènes nymphomanes ! »
Et d’un seul coup, le fonctionnaire atterrit sur une plage de sable blanc, au beau milieu d’un lagon, encerclé par des jeunes femmes qui jettent sur lui des yeux remplis de désirs.
Au génie qui l’a accompagné, le fonctionnaire prononce alors son troisième souhait :
« Je voudrais ne plus jamais avoir à travailler ! »
Et il se retrouve dans son bureau…
C’est l’adaptation d’une déjà revenue…
La fille de Marie-Chantal, Anne-Laure, 6 ans, court vers sa mère :
« – Maman, nos voisins sont très, très pauvres.
– Pourquoi crois-tu cela ?
– Parce qu’ils sont en train de crier très fort parce que mon amie a avalé un 5 centimes ! »
Réflexion de Jean-Paul à Jean-Marc :
« Tu sais que les dauphins sont tellement intelligents qu’après quelques jours de captivité, ils apprennent aux hommes à les nourrir de poissons frais tous les jours. »
Traduct-Google du langage des femmes (version 1.2 rectifiée ) :
– On a besoin = Je veux
– Peut-être = Non
– Il faut qu’on parle… = Je veux me plaindre.
– OK. Vas-y… = Je ne veux pas
– Est-ce que j’ai un gros derrière = Dis-moi que je suis belle
– OK, fais à ta tête = Tu vas me le payer
– Tu dois apprendre à échanger = Tu dois m’écouter
– Sois romantique, éteins la lumière = Je suis trop grosse
– Hum, tu es viril = Ta barbe est piquante et tu transpires
– M’aimes-tu ? = J’ai quelque chose à te demander
– OK. C’est ta décision = Tu te trompes encore une fois
– J’arrive dans une minute = Dix minutes
Encore une revenue, qui vient de très loin :
Il était une fois, au Moyen-âge, un roi qui vivait dans un grand château.
Il avait une fille, la princesse, qui était jeune et jolie et attirait tous les regards des princes de la région.
Mais la princesse avait un bug-natif : Tout ce qu’elle touchait fondait.
Peu importe la matière : Fer, acier, bois, plastique, céramique, poterie, etc.
Tout se mettait à fondre dès que l’objet était en contact avec sa main !
De ce fait, les hommes étaient effrayés à l’idée de la toucher.
Personne ne voulait l’épouser.
Le roi était au désespoir.
Que pouvait-il faire pour aider sa fille ?
Il prit alors conseil auprès des plus célèbres sorciers et magiciens du pays.
L’un des sorciers dit au Roi :
« Sire, si votre fille touche un seul objet qui ne fond pas, elle sera définitivement guérie ! »
Le Roi reprit espoir.
Quelques jours plus tard, il organisa une grande manifestation au château au cours de laquelle n’importe quel homme pouvait soumettre n’importe quel objet au toucher de la princesse…
Le chevalier qui arriverait ainsi à guérir la princesse pourrait l’épouser et hériter de l’immense fortune du bon roi…
La princesse accepta l’idée.
Trois jeunes princes s’inscrivirent à la compétition.
Le premier prince apporta un objet en fer.
Mais hélas, aussitôt que la princesse le toucha, l’objet se mit à fondre…
Le prince s’en retourna triste et déçu.
Le deuxième prince apporta un énorme diamant, persuadé que le diamant est la substance la plus solide et qu’elle ne fonderait pas.
Mais hélas, dès que la princesse posa la main sur le diamant, il se mit également à fondre…
Le deuxième prince s’en alla triste et déçu.
Le troisième prince approcha. Il dit à la princesse :
« Glissez votre main dans ma poche et sentez ce que vous touchez… »
Bien que devenant rouge pivoine, la princesse s’exécuta … elle sentit quelque chose de dur.
Elle le serra dans sa main … et la chose ne fondit pas !
Le roi était au comble de la joie ! Hourra ! Sa fille était guérie !
Le prince put marier la princesse et une grande fête eut lieu dans tout le pays pendant 3 jours !
Question de Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Qu’y avait-il dans la poche du pantalon du prince ?
– Tout le monde te dira que c’était des M&M’s ! Ca
fond dans la bouche, pas dans la main !
– Ah, tu la connaissais ?
– Même pas, mais ça tombe sous le sens ! »
Solutions des contrepèteries de la semaine dépassée :
« Quel cul ce Georges ! »
« Comment elle caresse son amant, cette belle Diana ! »
« Ce gros con est un faux blond. »
Celles proposées cette semaine à votre sagacité :
« Les mecs adorent se gratter les couilles ! »
« Sa mule a une tête de dame… »
« Cette entreprise-là me fait une belle jambe !
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
PS : N’oubliez pas la bibliothèque de « mon gardien » qui
n’a pas mis à jour son site avec son nouvel opus des « Enquêtes de
Charlotte » : « L’année Covid de Charlotte » !
Amazon.fr - L'année Covid de Charlotte: Les enquêtes de Charlotte - Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres
Ma bibliothèque
(livresinterdits.blogspot.com)
https://livresinterdits.blogspot.com/2019/09/ma-bibliotheque-1.html
On ne sait jamais, vous pourriez tirer sur un fonctionnaire de l’impôt et rater la cible.
Tout comme on rappelle les autos, votre créateur pourrait vous rappeler.
Essayez de ne pas payer votre prêt bancaire pendant trois mois !
Levez-vous et dansez !
Restez au lit !
Il y peut-être des « revenus »…
Mettre le dos sur le sol et attendre l’introduction
Lacher un fil
Se coucher avec une inconnue et se réveiller avec un problème !
Un gars qui ne se masturbe jamais parce que ça vient de sa poche !
Une nonne qui travaille dans une usine de préservatifs et qui pense fabriquer des sacs de couchage pour les souris.
Essuyer un refus.
Raser les murs.
Découvrir une source de revenus.
Poursuivre une idée, chasser un mauvais souvenir, tirer une conclusion.
Extraire l’essence de la rose des vents.
Être membre d’un Club Optimiste.
Se fait dire qu’il est mal élevé.
Être à l’article de la mort.
Filer à l’anglaise.
Ne pas être au courant et avoir des ampoules aux mains.
S’asseoir sur son cul et lui demander pardon !
Bien sûr : Avoir une faim de loup !
C’est d’être chiche.
Courir autour d’un arbre et se rattraper pour se donner des coups de pieds au cul !
Reculer devant une pendule qui avance !
Salir une réputation, pour s’en laver les mains.
Être à cheval sur les principes !
Extraire une racine carrée !
C’est d’être sous les verrous !
Regarder la messe à la télé et la fermer quand on passe la quête !
– Quelle est la définition de : “Sentiments partagés” ?
C’est quand votre belle-mère est en train de reculer vers un énorme ravin dans votre voiture toute neuve !
Il est assis sur le banc, enlève son casque et le lèche.
Il retourne sur la patinoire et marque un but.
Il retourne sur le banc, lèche à nouveau son casque et marque un autre but.
Il refait cela, une troisième fois.
Son entraîneur qui avait remarqué son manège lui demanda pourquoi il lèche son casque.
Alors le petit gars lui répond :
« C’est parce qu’hier soir j’ai entendu mon père dire à ma mère : Lèche-moi le casque pis ça va rentrer ! »
« Je suis le génie de la lampe », dit l’être extraordinaire, « et je peux t’accorder trois vœux ! »
Étonné et ravi, le fonctionnaire demande tout de suite :
« Je voudrais être beau et musclé comme un top model masculin ! »
Et aussitôt, le génie le transforme en bel Appolon.
Le fonctionnaire demande ensuite :
« Je veux être envoyé dans une île polynésienne uniquement peuplée d’indigènes nymphomanes ! »
Et d’un seul coup, le fonctionnaire atterrit sur une plage de sable blanc, au beau milieu d’un lagon, encerclé par des jeunes femmes qui jettent sur lui des yeux remplis de désirs.
Au génie qui l’a accompagné, le fonctionnaire prononce alors son troisième souhait :
« Je voudrais ne plus jamais avoir à travailler ! »
Et il se retrouve dans son bureau…
C’est l’adaptation d’une déjà revenue…
« – Maman, nos voisins sont très, très pauvres.
– Parce qu’ils sont en train de crier très fort parce que mon amie a avalé un 5 centimes ! »
« Tu sais que les dauphins sont tellement intelligents qu’après quelques jours de captivité, ils apprennent aux hommes à les nourrir de poissons frais tous les jours. »
– On a besoin = Je veux
– Peut-être = Non
– Il faut qu’on parle… = Je veux me plaindre.
– OK. Vas-y… = Je ne veux pas
– Est-ce que j’ai un gros derrière = Dis-moi que je suis belle
– OK, fais à ta tête = Tu vas me le payer
– Tu dois apprendre à échanger = Tu dois m’écouter
– Sois romantique, éteins la lumière = Je suis trop grosse
– Hum, tu es viril = Ta barbe est piquante et tu transpires
– M’aimes-tu ? = J’ai quelque chose à te demander
– OK. C’est ta décision = Tu te trompes encore une fois
– J’arrive dans une minute = Dix minutes
Il était une fois, au Moyen-âge, un roi qui vivait dans un grand château.
Il avait une fille, la princesse, qui était jeune et jolie et attirait tous les regards des princes de la région.
Mais la princesse avait un bug-natif : Tout ce qu’elle touchait fondait.
Peu importe la matière : Fer, acier, bois, plastique, céramique, poterie, etc.
Tout se mettait à fondre dès que l’objet était en contact avec sa main !
De ce fait, les hommes étaient effrayés à l’idée de la toucher.
Personne ne voulait l’épouser.
Le roi était au désespoir.
Que pouvait-il faire pour aider sa fille ?
Il prit alors conseil auprès des plus célèbres sorciers et magiciens du pays.
L’un des sorciers dit au Roi :
« Sire, si votre fille touche un seul objet qui ne fond pas, elle sera définitivement guérie ! »
Le Roi reprit espoir.
Quelques jours plus tard, il organisa une grande manifestation au château au cours de laquelle n’importe quel homme pouvait soumettre n’importe quel objet au toucher de la princesse…
Le chevalier qui arriverait ainsi à guérir la princesse pourrait l’épouser et hériter de l’immense fortune du bon roi…
La princesse accepta l’idée.
Trois jeunes princes s’inscrivirent à la compétition.
Le premier prince apporta un objet en fer.
Mais hélas, aussitôt que la princesse le toucha, l’objet se mit à fondre…
Le prince s’en retourna triste et déçu.
Le deuxième prince apporta un énorme diamant, persuadé que le diamant est la substance la plus solide et qu’elle ne fonderait pas.
Mais hélas, dès que la princesse posa la main sur le diamant, il se mit également à fondre…
Le deuxième prince s’en alla triste et déçu.
Le troisième prince approcha. Il dit à la princesse :
« Glissez votre main dans ma poche et sentez ce que vous touchez… »
Bien que devenant rouge pivoine, la princesse s’exécuta … elle sentit quelque chose de dur.
Elle le serra dans sa main … et la chose ne fondit pas !
Le roi était au comble de la joie ! Hourra ! Sa fille était guérie !
Le prince put marier la princesse et une grande fête eut lieu dans tout le pays pendant 3 jours !
Question de Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Qu’y avait-il dans la poche du pantalon du prince ?
– Ah, tu la connaissais ?
– Même pas, mais ça tombe sous le sens ! »
« Quel cul ce Georges ! »
« Comment elle caresse son amant, cette belle Diana ! »
« Ce gros con est un faux blond. »
« Sa mule a une tête de dame… »
« Cette entreprise-là me fait une belle jambe !
I3
Amazon.fr - L'année Covid de Charlotte: Les enquêtes de Charlotte - Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres
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