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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 9 juin 2021

À quoi servent vraiment les « réchauffistes » ?

Il y a beaucoup à dire…
 
… notamment sur les acteurs « directs » (type GIEC) qui publient des études parfois très contestables, et « indirects » comme les « mouvements écolologistes », parfois subventionnés discrètement par des fonds publics ou internationaux.
Les uns et les autres poursuivent des « agendas » qui divergent de temps en temps, mais en réalité ils sont là pour prendre en otage les opinions publiques à charge pour ces dernières de faire pression sur les gouvernements.
C’est ça a quoi sert le lobbyisme version « démocratie avancée » : Tout est manipulé !
 
Vous aurez noté comme moâ, que là où il n’y a pas « d’écolologistes », en Chine en Corée de « Kim-tout-fou », en Russie, figurez-vous qu’il n’y a pas de problème de pollution !
En revanche, là où ils « pèsent » d’un point de vue électoral, « Europe du Nord » et plus particulièrement en « Teutonnie », on débranche les centrales nucléaires et on s’oblige à faire tourner des centrales à charbon, ou importer du gaz (russe de préférence) ou directement de l’électricité produite par les centrales nucléaire des pays voisins…
Dur retour de bâton : À l’origine, le « mouvement anti-nucléaire » n’est jamais qu’une invention du KGB qui visait seulement à désorganiser la filière atomique des pays de l’Otan.
Aujourd’hui, leurs successeurs (russes) sont ravis de pouvoir exporter du gaz en remplacement, source d’énergie « fossile » et pas particulièrement « propre » pour vos délicates alvéoles pulmonaires ni pour la planète…
Mais tout le monde s’en tape le coquillard, les yeux plein de cambouis !
 
En revanche, dans les années 60/70, on parlait déjà de « Pic oil », ou « pic pétrolier ». Un jour ou l’autre, il faudra faire face à une pénurie, c’est obligé.
Dans mes livres d’Histoire/géo, je me souviens parfaitement qu’il était indiqué que nous en avions pour 30 ans de réserve.
50 ans plus tard, nous avons toujours 30 ans de réserve alors même que la consommation (et l’extraction) aura plus que décuplé !
Et nos générations « Z » et autre « millenium » sont nées avec l’idée que le monde de l’abondance est derrière nous.
Probablement pas totalement faux, mais il faudrait y mettre des « nuances » quand on sait que « l’abondance » aura sorti des dizaines de million de personnes de l’extrême pôvreté : C’est un constat.
 
Et alors ce fameux « Pic Oil » est l’un des secrets les mieux gardés au monde depuis plusieurs décades.
On en parle encore, bien sûr, on le murmure dans certains cénacles, mais officiellement, il n’y a rien à voir.
Il faut dire que ça fait plus d’un siècle que nous vivons à l’ère du pétrole abondant et les quelques « secousses » qui auront marqué les dernière décennies (blocus de l’OPEP en 1973, crises successives et même jusqu’à récemment la surproduction de la crise du « Conard-virus ») aura démontré la formidable résilience de cette « économie-là ».
 
Sauf qu’il faut aussi bien avouer qu’il est très difficile de faire fonctionner une économie sans pétrole.
Ce qu’entre les lignes le GIEC (et autres « écololos ») vous racontent dans un beau concert de consensus « scientifique ».
De plus, imaginez comment faire la guerre sans char, sans camion, sans blindés, sans avion, sans logistique dont le fonctionnement est basé sur l’utilisation à outrance… de moyens mécanisés qui fonctionnent au seul pétrole !
De quoi inquiété tous les « militareux » de la planète…
En effet, avant d’en revenir au cheval de trait, nos armées se penchent sur le sujet : Faire la guerre en trottinettes électriques, ce n’est pas évident, et faire voler des avions de chasse à l’huile de colza ce n’est pas simple non plus !
Côté civil, regardez seulement l’interdiction des voitures diesel : Cela fait déjà râler le chaland, mais ce n’est rien quand dans moins de 10 ans on passera à l’interdiction des voitures à moteurs thermiques généralisée !
 
D’autant que nous savons tous que les voitures électriques sont une impasse redoutable, économique, sociale, écologique comme environnementale.
Elle va l’être encore plus pour ses industriels qui ne savent pas compter et vendent des ordinateurs sur roues sans source primaire d’énergie stable et durable !
Le vrai problème n’est pas « l’écolologique » : Il est dans la disparition du pétrole !
La disponibilité du pétrole en grande quantité et pour tout le monde.
C’est aussi sous cet angle là qu’il faut voir toutes les initiatives « nouvelles » qui émergent, du porte-containeur à voiles aux nouvelles routes de la soie par le rail.
Bref, il n’y aura plus de pétrole pour 2030, même que cela a déjà commencé en 2020, la faute à mettre un coup d’arrêt aux explorations, voire à interdire les extractions existantes…
Notez, ça reste justement des « stocks » stratégiques encore enfouis…
En fait pour tout dire, cela fait longtemps qu’on le sait et on a tous lu les « prophéties » du « fin-du-mondiste » « Yvon-Crochet », le premier des « déclinistes », devant ou derrière « Gratte-la-Tune-Berg », qui, sachant très bien qu’il n’y aura plus de voiture achète lui… une calèche avec des chevaux !
Le futur du « pôvre » : Cloitré chez lui (on a vu que ça pouvait fonctionner, même mal à l’occasion du premier confinement) ou faisant ses livraisons en cariole à bœuf !
Il va être frais le poisson venant jusqu’à Rungis…
 
La mondialisation est l’apogée, l’apothéose de cette période de notre développement basée sur l’utilisation à outrance des énergies fossiles aux stocks limités.
Et la triste réalité, c’est que Total se prépare à ne plus vendre de pétrole et en change même de nom : « TotalÉnergie » !
Tout un programme.
C’est aussi l’Agence Internationale de l’Energie nous explique qu’il ne faut plus investir dans le pétrole.
C’est également le fait que nous allons tous terminer, au mieux, dans des voiturettes électriques qui ne vous permettent même pas de traverser le pays en quelques heures, mais en plusieurs jours le temps de « faire le plein ».
Notez, on relance les trains de nuit…
C’est enfin le fait que l’on ne sait pas nourrir 8 milliards d’êtres humains sans tracteurs, sans engrais, sans industries agroalimentaires nécessitant des milliards de litres de carburant…
 
Derrière le vocable « transition énergétique », se cache la fin du monde basé sur le pétrole !
Et elle va être violente.
La propagande médiatique sera forte pour vous la faire avaler, parce qu’il n’y a pas le choix nous prétend-on.
Mais ce que l’on ne nous dit pas c’est la vérité, car si nous savions, probablement que les grandes villes se viderait comme on l’a vu lors du premier confinement de l’année dernière (pour 15 jours qui en ont duré 55), les campagnes se rempliraient, l’économie et les grands équilibres seraient rompus.
C’est l’effet entre-aperçue de la vaste répétition générale due au « Conard-virus » sorti des labos chinois par inadvertance alors que les États veulent toujours « gérer » les choses dans la douceur afin d’éviter les mouvement brusques et les désordres qu’ils impliquent.
Ils ont fait au mieux lors du « test » grandeur nature.
 
Mais on nous fait aussi miroiter des « solutions », des énergies « renouvelables », décarbonées, non polluantes qu’on vous fera payer comme le compteur Linky qui devait être pris en charge par les opérateurs, puisqu’il leur appartient…
Pour l’heure, ça ne convainc personne : L’intermittence des sources d’énergies renouvelables, essentiellement solaires et éoliennes, pose un problème majeur. Elle fragilise les réseaux électriques et contraint à doubler les capacités de production d’électricité par des moyens dits « pilotables », trop souvent encore « fossiles ».
À l’exception de la « Gauloisie-nucléaire » où on aimerait bien la démanteler pour des raisons électorales (ce qu’a fait « Mère-Quelle » pour un résultat plus qu’incertain sur le plan politique) alors que les centrales assurent plus de 70 % de la seule production d’électricité.
Le jour ou tout sera « électrique » et « propre », il faudra plus que doubler la capacité de production et les réseaux de distribution !
Et personne n’a le premier rond…
 
Compte tenu de l’épuisement des ressources fossiles et du réchauffement climatique, l’utilisation de ressources énergétiques renouvelables telles que les éoliennes, le photovoltaïque, la biomasse, l’hydroélectricité et la géothermie nous est présentée comme l’alternative la plus prometteuse aux énergies fossiles à court et moyen termes en fournissant une électricité plus propre et efficiente.
En « Gauloisie-énergétique », 13,6 % de l’énergie produite provient des sources d’énergie renouvelable citées ci-dessus, dont l’hydraulique représente la plus grande part, soit environ 9,8 %. Par comparaison, à l’échelle mondiale, 11,4 % de l’énergie provient de sources d’énergie renouvelable, mais la production d’énergie reste dominée par les ressources fossiles, environ 84 %.
C’est pourquoi il est dit qu’il est vital de « décarboner » notre système de production d’énergie actuel à travers l’intégration de sources d’énergie à faible émission de carbone comme le nucléaire.
 
L’inconvénient principal des sources d’énergie « renouvelables » de type éolien et photovoltaïque est leur dépendance aux conditions météorologiques, qui conduit à une discontinuité de la production d’énergie.
Cette discontinuité de la production compromet leur intégration au réseau électrique pour pouvoir répondre en temps réel aux besoins énergétiques.
Dans ce contexte, pour faire face aux phénomènes intermittents de ces sources d’énergie, le stockage de l’énergie devrait donc avoir un rôle primordial.
En effet, il permet de stocker le surplus d’énergie en périodes de faible demande d’énergie et de les restituer en cas de fortes demandes d’énergie, afin de compenser le manque de production de ces sources d’énergie renouvelable.
Malheureusement, il faut souligner que l’électricité est difficile à stocker en grande quantité sous sa forme propre (sous forme d’électricité) : Il faut donc la convertir sous une autre forme (énergie chimique ou mécanique) pour permettre son stockage.
 
À l’heure actuelle, différents systèmes existent pour le stockage de l’électricité : Stockage « gravitaire » de masse d’eau, où l’on pompe l’eau vers le haut d’un barrage quand l’électricité est en surplus et on récupère l’énergie ainsi stockée en faisant tourner des turbines.
Le stockage « thermodynamique » avec les systèmes de stockage par air comprimé, où l’on comprime de l’air quand l’électricité est en surplus et on récupère l’énergie stockée en faisant tourner des turbines.
Le stockage d’énergie cinétique avec les « volants d’inertie », qui tournent sans perte d’énergie ou presque pendant le stockage.
Et le stockage « électrochimique » avec les batteries, dont il existe plusieurs types (sodium-soufre, lithium-ion, sodium-ion, graphène), ou avec les électrolyseurs, où l’électricité est stockée sous forme d’hydrogène.
 
Partant de ces exemples, les stockages gravitaires et thermodynamiques sont des systèmes de stockage matures et largement déployés ayant la capacité de stocker de grandes quantités d’énergie, supérieures à 1.000 mégawatts-heures.
En comparaison, le stockage d’énergie cinétique avec les volants d’inertie et le stockage électrochimique via les batteries (lithium-ion, sodium-soufre) s’adressent en particulier à l’électronique portable, aux transports, mais également aux sources d’énergie renouvelables, comme le photovoltaïque.
Des installations massives de batteries pour stocker l’électricité produite par des fermes éoliennes ou solaires ont déjà été déployées et représentent des capacités de stockage de seulement de l’ordre du mégawatt, pas plus…
Les autres technologies de batteries telles que les batteries sodium-ion et graphène sont toujours en phase de développement et permettront de répondre à certaines problématiques actuelles – notamment l’optimisation du temps de charge et de la capacité de stockage –, ainsi que l’utilisation de matériaux alternatifs pour éviter les matériaux toxiques comme le plomb et les matériaux dangereux et néfastes pour l’environnement comme le lithium et même, plus « stratégique », permettant de restaurer une « souveraineté » nationale (ou européenne).
 
Le stockage chimique sous forme d’hydrogène se présente comme une solution attractive et prometteuse pour le stockage de l’énergie à grande échelle d’une part, et pour les véhicules électriques d’autre part.
En effet, comparée aux technologies actuelles de stockage électrique comme les batteries, l’hydrogène présente une densité énergétique massique très élevée : Environ 120 mégajoules par kilogramme.
Sauf que si l’essence ou le diesel sont d’autres méthodes de stockage « chimique » de l’énergie qui possèdent une forte densité énergétique massique, alors que leur combustion dégage des gaz à effet de serre tandis que la combustion de l’hydrogène ne rejette que de l’eau, l’hydrogène est un gaz léger, caractérisé par une faible densité énergétique volumique (environ 10,8 mégajoules par mètre-cube).
Ce qui le rend moins favorable à son stockage et son transport.
Pour pallier ce problème, l’hydrogène peut être comprimé sous forme gazeuse pressurisée (environ 700 bars), sous forme liquide (à une température de – 253 °C) ou bien sous forme solide à basse pression (grâce à l’utilisation de matériaux pouvant adsorber l’hydrogène) comme les hydrures métalliques.
 
Actuellement, le stockage de l’électricité sous forme hydrogène est en pleine phase de démonstration et d’expérimentation avec de nombreuses plates-formes expérimentales en « Teutonnie », au Canada, au Danemark, en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi », en Norvège, en Thaïlande et en Nouvelle-Zélande.
Et différentes applications sont envisagées.
Des véhicules personnels électriques (Kangoo ZE Hydrogen, Toyota Mirai, Hyundai Nexo, et Honda Clarity) et des trains (Coradia iLint d’Alstom circulant en « Teutonnie ») fonctionnant à l’hydrogène sont déjà déployés.
Dans ce type de véhicule, des réservoirs d’hydrogène sont embarqués afin d’alimenter une pile à combustible, permettant de transformer l’hydrogène en électricité.
Pour optimiser la durée de vie de la pile à combustible et étendre l’autonomie du véhicule, des batteries électriques sont également présentes (fréquemment lithium-ion). Des recherches sont en cours pour alimenter aussi les navires et les avions en hydrogène.
Mais pour ces derniers, c’est plus aléatoire vu le nombre de difficultés à surmonter, même si les meilleurs lanceurs spatiaux fonctionnent avec ce carburant.
Une technologie « mature »…
 
Une autre application du stockage de l’hydrogène est le concept de « conversion d’électricité en gaz » qui consiste à convertir le surplus d’électricité renouvelable en hydrogène puis l’hydrogène en gaz naturel « vert ».
On utilise pour cela le processus de méthanation.
Toutes les plantes-vertes de la planète et jusqu’au plancton, savent le faire « naturellement »…
Le gaz naturel peut ensuite être injecté dans des pipelines et installations souterraines existantes de gaz naturel, et être utilisé suivant les besoins.
Toutefois, l’utilisation de dioxyde de carbone dans le processus de méthanation pose des problèmes en termes de décarbonation : Il reste crucial de capter et de valoriser les émissions de dioxyde de carbone issues de l’industrie pour rendre ce processus plus « respectueux » de l’environnement.
 
De plus, mais on sort du stockage de l’électricité pour entrer dans le monde de la production industrielle, l’hydrogène peut être utilisé dans différents procédés industriels tels que la chimie (synthèse d’ammoniac, production de méthanol), la métallurgie (travail des métaux, aciers au carbone) et l’électronique (fabrication de semi-conducteurs).
En bref, c’est le « grand choc » de la transition énergétique qui s’amorce depuis quelques années.
Et les puissances publiques y mettent un paquet de vos impôts !
Il s’agit de sortir des laboratoires d’essais et de passer au stade industriel.
Avec deux axes : Hydrogène comme vecteur énergétique, ou électricité stockée sans la technologie de l’hydrogène ?
 
Personnellement, dans mon ignorance crasse, je pensais qu’on aurait pu développer des condensateurs capables d’absorber de grandes quantités d’énergie électrique en claquant dans les doigts et les restituer au fil des besoins.
L’inverse d’un condensateur.
On m’a expliqué que ça s’appelle « batterie »…
Mais l’un dans l’autre, c’est le retour de bâton des « anti-nucléaires » : Il faudra bien de l’énergie électrique fabriquée avec des chaudières atomiques.
Pas forcément avec les filières connues issues de la bombe atomique (uranium/plutonium), mais bien plus probablement avec celles du thorium.
Plusieurs industriels travaillent sur le sujet, dont Bill Gates et quelques autres.
Tout cela est d’ailleurs évoqué dans le dernier laïus des « Enquêtes de Charlotte ».
(https://www.amazon.fr/Lann%C3%A9e-Covid-Charlotte-enqu%C3%AAtes/dp/B09483MHCJ/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=l%27ann%C3%A9e+covid+de+Charlotte&qid=1621522198&s=books&sr=1-1)
Vous n’avez qu’à suivre le lien ou attendre le mois d’août prochain…
 
Bref, il n’y a pas de fatalité : L’avenir appartient aux progrès à faire dans les années à venir.
N’en déplaise aux « déclinistes » patentés.
Et j’ai hâte d’être à la décennie suivante pour m’acheter un « tas de boue à roulettes » fonctionnant à l’hydrogène, dès que les stations de ravitaillement seront en nombre suffisant : Dix minutes pour faire « un plein » et 600 bornes d’autonomie.
Je vais regretter mon « veau diesel » et ses 1.100 bornes d’autonomie…

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