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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 28 juin 2019

Une absurde, pour commencer.

Jean-Marc rapporte que…
 
Un médecin et sa patiente entretiennent une relation.
Ce qui devait arriver arriva, la patiente tombe enceinte et ils ne veulent pas garder l’enfant.
Or, juste avant l’accouchement, un prêtre est hospitalisé pour une opération à la prostate.
Le médecin dit alors à sa patiente :
« – Je sais ce que l’on va faire. Après l’opération du prêtre, nous lui donnerons le bébé et nous lui dirons qu’un miracle s’est produit, il a eu un bébé.
– Et tu penses qu’il va croire ça ?
– Je n’en sais rien mais ça vaut la peine d’essayer ».
Le médecin accouche sa patiente et après l’opération du prêtre, il lui dit :
« – Mon père, il s’est produit un miracle, vous avez eu un bébé.
– Mais c’est impossible », dit le prêtre.
« Je viens de terminer l’opération et c’est un miracle ! Voici votre bébé. »
15 ans plus tard, le prêtre réalise qu’il doit dire la vérité à son enfant.
« – Mon fils », dit-il, « j’ai quelque chose d’important à te dire : Je ne suis pas ton père.
– Que voulez-vous dire, vous n’êtes pas mon père ?
– De fait, non, je suis ta mère, c’est l’évêque qui est ton père. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul philosophent :
 
« – Pourquoi faut-il un million de spermatozoïdes pour fertiliser un œuf ?
– Parce qu’ils ne s’arrêtent jamais pour demander leur chemin. »
 
« – Pourquoi Dieu a-t-il créé l’homme ?
– Parce qu’un sex-toy ne peut pas tondre le gazon. »
 
« – Pourquoi les femmes n’ont-elles pas le même cerveau que l’homme ?
– Parce qu’elles n’ont pas de pénis pour le placer. »
 
« – Qu’est-ce que les seins et les trains électriques ont en commun ?
– Je sais : Dans les deux cas, c’est fait pour les enfants et ce sont les hommes qui s’amusent avec. »
 
« – Pourquoi les hommes se masturbent-ils ?
– Ça aussi je sais ! C’est parce que le sexe, c’est uniquement pour quelqu’un qu’ils aiment vraiment. »
 
« – Pourquoi le cerveau des hommes est-il plus grand que le cerveau des chiens ?
– Pour empêcher les hommes de sentir les jambes des femmes dans les cocktails. »
 
« – Combien faut-il d’hommes pour rabattre le siège de la toilette ?
– Tout le monde sait que c’est impossible à dire. On n’y est jamais parvenu. »
 
Jean-Paul demande à Jean-Marc :
« – Tu fais quoi après l’amour ?
– Je dors et toi ?
– Je m’en vais avant que tu rentres ! »
 
Et puis inversement :
« – Tu sais ce que dis une femme devant un gros zizi ?
– Non.
– Moi je sais ! »
 
« – Quelle est la salle la plus érotique d’un hôpital ?
– La salle des plâtres. C’est là que l’infirmière mouille et que le chirurgien bande. »
 
« – Comment fait-on pour oublier ses problèmes ?
– Il suffit de porter des souliers trop petits. »
 
« Les hommes ont une vie plus agréable que les femmes.
Premièrement, ils se marient plus tard et, deuxièmement, ils meurent plus tôt. »
 
Leurs deux femmes discutent de leur vie de couple.
« – Cette fois-ci c’est décidé, je vais demander le divorce !
– Pourquoi ?
– J’ai vu mon mari entrer au cinéma avec une autre femme !
– Et tu sais qui c’était cette femme ?
– Non. Pas la moindre idée.
– T’as pas pensé une minute qu’il y a peut-être une explication logique. Tu ne les as pas suivis ?
– Non. Jean-Marc avait déjà vu le film. »
 
« – Au fait… Comment va votre mari ? », demande le docteur à Germaine.
« – Ben pas tellement bien. Toujours malade, jamais mort… »
 
L’homme dit à sa femme…
« – J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La première, je te quitte.
– Ah… » dit la femme, « Et la mauvaise ? »
 
« – Quand je vais mourir », dit Jean-Marc à sa femme, « je veux que tu me fasses incinérer.
– C’est bien toi, toujours le genre à laisser de la cendre partout ! »
 
« – Tu sais, Jean-Paul, je suis devenu vraiment vieux. C’est fait.
– Comment ça ?
– Ben, hier soir, dans le métro, il y avait une très belle dame, bien en chair, dodue comme je les aime qui était assise en face de moi. Sa robe, légèrement relevée, me laissait deviner ses cuisses…
– Et alors ?
– Au lieu de la désirer, cette image m’a tout simplement rappelé de bons souvenirs… »
 
Le petit gars de Jean-Marc, trois ans joue avec ses testicules pendant qu’il prend son bain.
« – Maman, est-ce que c’est ça mon cerveau ?
– Non, pas encore ! »
 
On rapporte qu’un type se présente à la caisse de la banque, à Rome, en Italie.
Il présente à la caissière une petite feuille de papier où c’est écrit : « Donnez-moi l’argent. C’est un hold-up. »
La fille s’exécute, sans broncher.
Le gars quitte la banque et s’enfuit.
Quelques minutes plus tard, quand il arrive à la maison.
La police l’attend.
Il avait écrit son mot sur une enveloppe qui lui avait été adressée.
 
Deux couples d’amis discutent devant un tableau au Musée.
La toile représente trois hommes nus et très noirs, assis sur un banc.
Le pénis de l’homme, assis au centre, est rose. Et c’est autour de ce pénis que la conversation s’anime.
Arrive un gardien qui s’approche.
« – Étonnant, n’est-ce pas ?
– En effet », répond une des femmes. « Je ne comprends pas.
– Moi non plus », dit Jean-Marc qui accompagne l’autre femme.
« – Simple », dit le gardien. « Ce ne sont pas des Noirs, mais des mineurs d’une mine de charbon et le deuxième est allé dîner chez lui. »
 
Jean-Marc déguste lentement un verre au comptoir d’un café lorsqu’il voit passer son pote Jean-Paul.
Il lui fait signe de le rejoindre et s’étonne de le voir les yeux au beurre noir et le nez aplati.
« – Mais qu’est-ce qui t’est arrivé ?
– Je me suis fait lâchement agresser.
– Je t’offre un verre et je te raccompagne chez toi, ok ?
– Ah non ! Surtout pas ! J’en viens ! »
 
Deux femmes au visage recouvert d’un voile noir se croisent.
« – Vous êtes veuve aussi ?
– Non, moi, je suis laide. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Ma femme ne croit plus aux mathématiques.
– Comment ça ?
– Elle ne comprend pas comment elle a pu grossir de cinq kilos en mangeant une boîte de chocolats de seulement un kilo. »
 
Enfin « une revenue » :
Le Président des États-Unis téléphone au Premier ministre du Japon.
« – J’ai un service à te demander. Notre usine de préservatifs est hors-service. C’est un désastre.
– Ok Donald, qu’est-ce qu’on peut faire pour vous ?
– J’aurais besoin d’environ 100.000 condoms le plus vite possible pour nous dépanner quelques jours.
– Pas de problème Donald, je vous envoie ça le plus vite possible. »
Et avant de raccrocher, Donald ajoute :
« Les condoms doivent être rouges, bleus et blancs, avoir 12 pouces de long et un diamètre de 4 pouces. »
Abe est estomaqué avec les dimensions demandées.
Il pense que Donald veut juste se vanter, lui et toute la population masculine des États-Unis.
Néanmoins, il appelle l’usine de condoms :
« – Bonjour, ici Shinzō Abe, le premier ministre du pays. Je voudrais 100.000 condoms à expédier tout de suite aux États-Unis. Ils nous demandent qu’ils soient bleus, blancs et rouges, avec une longueur de 12 pouces et un diamètre de 4 pouces.
– WOW ! Ils sont équipés pour veiller tard les Américains ! Parfait monsieur Abe, je prépare cette commande. Autre chose ?
– Oui ! Sur chaque condom écrivez : MADE IN JAPAN. SIZE : SMALL ».
Dans l’originale, sur le blog précédent, il y a dix ans de ça, il s’agissait d’une demande de George Bush à Jacques Chirac.
Comme quoi, ça tourne tout autour du monde, mes « histoires d’en rire »…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
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