Fête des pères.
Dimanche, c’est la fête des pères.
L’année dernière mon papa en a profité pour me donner quelques conseils.
« – Mon gars, il ne faut jamais
épouser une standardiste !
– Pourquoi pas papa ?
– Car une standardiste te dira sans
cesse que tes trois minutes sont terminées et qu’elle va te couper.
– Ah, je comprends !
– Et puis, mon gars, il ne faut jamais
épouser une infirmière !
– Pourquoi pas, Papa ?
– Car elle te dira sans cesse, « Il
faudra te stériliser ! Il faudra te stériliser ! »
– Ah, je comprends ! Mais, dis, Papa,
avec qui pourrais-je bien me marier ?
– Il faudra que tu te trouves une
institutrice !
– Ah, bon ? Pourquoi donc ?
– Car elle te dira sans cesse « Tu me
referas ça, jeune homme, jusqu’à ce que ça soit parfait ! ». »
Un couple avait 2 garçons, un de 8 ans
et l’autre de 10 ans, de vrais espiègles, il n’y avait rien à leur épreuve, ils
avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables qui avaient eu lieu
dans leur petit village.
À chaque fois que quelque chose se
passait, les résidents savaient qui étaient les responsables.
La mère les avait punis, grondés.
Rien à faire.
Elle avait discuté avec eux mais
c’était peine perdue.
Le père, après avoir fait la même
chose, dit à sa femme :
« Et si on demandait au curé de
discipliner nos deux espiègles ? »
Ils demandent donc au curé de discuter
avec leurs enfants, mais un à la fois.
Donc le plus jeune se présente au
presbytère le matin, le curé lui demande de s’asseoir.
« Dis-moi, fiston, tu sais où
est Dieu ? »
Aucune réponse.
Le curé répète :
« Tu connais le Bon Dieu ! Où
est-il ? »
Toujours le silence.
Le curé exaspéré par le silence du
jeune lance cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire :
« Pour la dernière fois, je te
demande, où est Dieu ? Vite ! Dis-moi où est Dieu ? »
Le jeune se lève, prend ses jambes à
son cou et sans s’arrêter file jusqu’à la maison.
En arrivant, il prend son frère par le
bras, le tire jusque dans la cave, ferme la porte, et à bout de souffle, lui
dit :
« On est dans la merde ! Ils
ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c’est nous autres ! »
De Jean-Paul à Jean-Marc :
« – Pourquoi les femmes de San
Francisco ne portent-elles pas de minijupes ?
– Pour qu’on ne voit pas leurs couilles… »
« – Que fait un vieux en vacances
?
– Il meurt. »
Sœur Marie fait irruption dans le
bureau de l’aumônier de l’institution Saint-Joseph de l’enfant Jésus…
Elle est dans un état d’excitation
rarement vu…
« Mon père ! Vous ne croirez
jamais ce que j’ai vu ! »
Le prêtre lui dit de s’asseoir et de se
calmer :
« – Allons ma sœur,
reprenez-vous et dites-moi ce que vous avez vu.
– Eh bien, en me rendant à la chapelle
pour la prière, j’ai entendu des élèves discuter dans les toilettes. Je me suis
approchée pour écouter, et je les ai entendus qui pariaient de l’argent !
– Effectivement, voilà une grave
infraction à notre règlement intérieur !
– Mais ce n’est pas tout mon père,
c’est CE SUR QUOI ils pariaient qui est plus grave : Ils faisaient une sorte de
compétition et ce serait à celui qui urinerait le plus haut sur le mur !
– Quel pari incroyable », s’exclame le curé. « Qu’est-ce
que vous avez fait alors ?
– J’ai failli monter au ciel tant
j’étais exaspérée, mon père ! »
Et l’aumônier répond :
« Et vous avez gagné combien ? »
Jean-Marc demande à sa femme :
« Chérie, avec combien d’hommes
as-tu dormi ? »
Germaine répond toute fière et orgueilleuse
:
« Seulement avec toi chéri… avec les autres je restais éveillée ! »
Jean-Paul et Jean-Marc :
« – Ta femme est en vacances à
la mer ?
– Oui, et je lui écris tous les jours !
– Ça alors ! Après dix ans de mariage,
c’est de l’amour ou je ne m’y connais pas !
– Oui, mais en partant, elle m’a dit :
Si tu ne m’écris pas tous les jours, je reviens immédiatement ! »
Jean-Marc, excédé du caractère exécrable de son
épouse, se rend chez son avocat :
« – Maître, je désire divorcer !
– Bien. Avant toute chose, Monsieur,
voulez-vous me dire sous quel régime vous êtes marié ?
– Sous le régime dictatorial ! »
Un septuagénaire est marié à une jeune
et jolie femme.
Ses amis lui disent qu’il a pris des
risques.
« Oh ! À mon âge, on n’est plus
jamais cocu …. on est secondé ! »
« – Docteur ! Mon mari affirme
que je parle en dormant. Que puis-je faire ?
– Faites bien attention à ce que vous
dites ! »
Germaine et une de ses vieilles amies
prennent le thé.
C’est l’heure des confidences :
« – Mon mari, quand il a fini
son petit câlin, il pousse le cri de Tarzan !
– Quelle santé !
– Peut-être, mais moi, ça me réveille ! »
La même à une autre de ses amies :
« – C’est grâce à moi qu’il est
devenu millionnaire !
– Et avant, qu’est-ce qu’il était ?
– Milliardaire. »
Jean-Paul s’étonne auprès de Jean-Marc :
« – Quoi ! Toi, si pudique, tu
as emmené ta femme, cet été, dans un camp de nudistes ?
– Oui, au moins, pendant un mois, elle
ne s’est pas plainte de n’avoir rien à se mettre ! »
Jean-Marc a été cambriolé.
Le lendemain, le commissariat le
prévient qu’on a arrêté le voleur et le convoque. Il demande au policier :
« – Puis-je parler au voleur ?
– Pour lui dire quoi ?
– Écoutez, Monsieur le commissaire, il
a pénétré chez moi à 2 heures du matin sans réveiller ma femme.
S’il m’explique comment il s’y est
pris, je retire ma plainte ! »
Aux USA, ils ont 3 héros :
– Superman qui survole les tours ;
– Spiderman qui les escalade et…
– Musul-man qui les démolit !
Le Petit Chaperon Rouge rencontre mon
premier dans les bois.
Mon deuxième est quelque chose qu’on
souhaite très fort.
Mon troisième est le contraire de tard.
Mon tout est le petit de mon premier.
Solution : Un louveteau (loup-vœu-tôt)
!
Jean-Jacques fête sa retraite avec ses
amis.
Après quelques heures et plusieurs
verres, notre bonhomme est complètement saoul.
Fatigué, il entre chez lui à pied.
Il marche en titubant dans la rue, un
peu désorienté.
Après quelques minutes, il entre dans
une église et va dans le confessionnal.
Le prêtre assis dans le confessionnal
pose sa bible et s’apprête à entendre ses confessions.
Pourtant, le gars ne dit pas un mot.
Le prêtre attend toujours.
Après quelques minutes, le prêtre se
dit que le gars s’est peut-être endormi et donc il cogne deux petits coups sur
le mur.
« Hé ! Ça ne sert à rien de cogner, y’a
pu de papier ici non plus ! »
C’est une jeune fille qui commence à travailler
dans un bar tabac.
Le patron lui dit :
« Aujourd’hui tu vas t’occuper
du tabac, si tu as un problème tu n’hésites pas tu m’appelles. »
La fille va à son poste, elle y passe
une partie de la matinée tout va bien.
En milieu de matinée un monsieur arrive
pose 8 euros sur le comptoir met ses deux pouces sur ses tempes et remue les
doigts de la main sans parler en regardant la fille.
La fille ne comprend pas alors le
monsieur s’énerve et recommence.
La fille affolée va voir le patron lui
explique la situation, le patron regarde le client et dit :
« Ne vous inquiétez pas, c’est
un habitué de la maison, il est sourd et muet et il vous demande un paquet de
gauloises. »
La fille s’exécute, le client s’en va
content.
Le reste de la journée se passe bien,
jusqu’au moment où le même client arrive pose l’argent sur le comptoir et il
pose ses pouces sur les tempes et remue les doigts, puis il se gratte le bas du
ventre et mime l’onanisme...
La fille toute rouge va voir le patron
et lui explique la situation, très gênée.
Le patron rigole et en refaisant les
gestes il dit :
« Ah ce coup-ci, il veut un
paquet de gauloises, un morpion, et un solitaire. »
Madame vient de perdre son mari.
Dans la famille, il est d’usage de se
faire incinérer.
La veuve demande à l’employé des pompes
funèbres de prendre contact avec le crématorium.
La veillée funèbre a eu lieu, et il y
avait plein de monde.
Son mari était un homme très apprécié
et très aimé.
Puis vint le moment de conduire le
défunt jusqu’au crématorium pour l’incinération.
Là, la veuve réalise avec effroi que
son mari porte un costume noir, alors qu’il a toujours détesté le noir.
Le bleu était sa couleur fétiche.
La veuve demande à l’employé de trouver
un costume bleu et qu’elle paiera le montant nécessaire.
Elle lui promet un pourboire royal.
L’employé lui dit qu’il va faire le
nécessaire.
Plus tard, la veuve constate que
l’employé a trouvé un costume bleu très joli.
Elle lui dit alors toute sa joie de
voir son mari dans un si beau costume et lui demande combien ce costume a
coûté.
« En fait, ça n’a rien coûté.
Une chose amusante s’est produite : Au
moment où vous êtes partie, on apportait un autre corps, de sexe masculin, de
la même corpulence que votre mari, et qui portait un costume bleu.
J’ai demandé à la veuve si cela ne la
dérangeait pas de voir son mari incinéré en costume noir plutôt qu’en costume
bleu. Elle m’a répondu que cela avait peu d’importance.
Alors, comme elle était d’accord, j’ai
inversé les têtes ! »
Bon week-end à toutes et à tous !
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