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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 7 juin 2019

La pêche de la semaine

Pentecôte oblige…
 
En fin d’après-midi, le père Henri rend visite à son copain de promo du séminaire, l’abbé Marcel. Il se confie à lui :
« J’en ai MARRE de cette vie vertueuse que notre sacerdoce nous impose !
Ce soir, j’ai envie qu’on aille faire la fête tous les deux. On fera la java, on boira, tout ce qu’on a toujours voulu faire mais qui nous est interdit parce qu’on est des curés, on le fera ! Qu’est-ce que t’en penses ? »
Le père Henri est consterné :
« Mais tu es fou ? C’est une petite ville ici et tout le monde se connaît. En plus, même s’ils ne nous connaissent pas, les gens vont nous repérer avec nos soutanes de curés… »
Mais le père Marcel a tout prévu :
« Ne sois pas si bête : On ira dans une ville où personne ne nous connaît, et on s’habillera comme tout un chacun. »
Finalement, après avoir insisté lourdement, Marcel parvient à emmener son copain Henri.
Les voilà partis à une centaine de kilomètres de là, dans une grande ville connue pour la chaleur de ses nuits.
Sur place, ils font la fête comme des pros.
Lorsqu’ils sont de retour chez eux, sur le coup des 6 heures du matin, Henri s’angoisse :
« Je viens juste de penser à un truc… Il va falloir se confesser de tout ça…?  »
Mais l’abbé Marcel a trouvé la parade une fois encore :
« Calme-toi. Cet après-midi, tu iras au confessionnal. Je serai là pour t’écouter confesser tes pêchés et t’absoudre. Ensuite on intervertira les rôles.
D’accord ? »
Henri est d’accord.
Et tous les deux vont dormir, l’esprit serein.
L’après-midi, le Père Henri est le premier à se confesser.
« Mon père, pardonnez-moi car j’ai pêché. Avec un ami à moi, nous sommes sortis la nuit dernière, et nous nous sommes conduits comme de vrais débauchés.
Nous avons bu de l’alcool jusqu’à nous rendre ivres, nous avons été grossiers, et nous avons eu des rapports charnels avec des prostituées ! »
Le père Marcel lui répond :
« Dieu est bon et indulgent, aussi le serai-je avec toi : Tu réciteras 5 Notre Père et 5 Je Vous Salue Marie, et tes pêchés seront absous. »
Un peu plus tard, c’est au tour de Père Marcel de se confesser, et au père Henri d’absoudre.
L’abbé Marcel s’installe et commence à se confesser.
Il raconte tout en détail, puis il attend la sentence de son ami Henri.
Après une pause, le père Marcel lui répond :
« – Je ne le crois pas ! Tu oses encore te dire prêtre après tout ce que tu as fait cette nuit ?
Tu me réciteras 500 Notre Père et 500 Je Vous Salue Marie, puis tu donneras tout l’argent des quêtes du mois à venir au Bureau d’Aide Social de la ville, tu n’oublieras pas non plus de faire 5 fois le tour de l’église à genoux en demandant son pardon à Dieu.
Lorsque tu auras fini tout ça, tu reviendras me voir, et là on verra si je peux te donner l’absolution – mais je ne te garantis rien !
– QUOI ? » hurle Henri, très choqué. « Tu oublies qu’on avait un accord ! »
Marcel lui répond :
« Hé, ce que je fais en dehors du boulot, c’est une chose, mais je prends mon travail très au sérieux »
 
Chaque dimanche, le curé de la paroisse tend le panier pour ramasser un peu d’argent pour ses bonnes œuvres et notamment la réinsertion de prostituées.
Or, Jean-Marc est réputé pour ses frivolités et refuse toujours de donner de l’argent, même s’il est à l’aise.
Un jour, il rencontre le curé en sortant du restaurant et celui-ci lui demande pourquoi il refuse d’aider ses œuvres.
« Ben voyez-vous, je préfère donner de main à main. »
 
C’est un couple qui se fait réveiller par le téléphone à une heure tardive.
Jean-Paul répond et raccroche violemment.
Sa femme lui demande :
« Qui c’était au téléphone mon chéri ? »
Il lui répond :
« J’pense que c’était un maudit marin qui s’est trompé de numéro, il voulait savoir si la côte était claire… »
(C’est une revenue où il était question des « horaires de train »…)
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« – Sais-tu pourquoi la mariée est vêtue d’une robe blanche ?
– Non. Par respect pour la pureté virginale de la mariée ?
– Non ! Parce que ça match bien avec la cuisinière, le frigo, la laveuse, la sécheuse, etc. »
 
« – Pourquoi les moutons ne se brossent jamais les dents ?
– ????
– Pour garder la laine fraiche ! »
 
Mes chers petits,
 
Mes mains tremblent et j’ai demandé à Louis, un infirmier très gentil d’écrire cette lettre pour moi.
Ce sera mon troisième Noël à la maison Bon Repos.
Je ne vous ai pas vu souvent, mais j’ai une très belle vue sur l’autoroute.
Il y a un peu de bruit, de poussière, mais ça roule.
Souvent, les fenêtres tremblent, mais l’infirmière m’assure que ce sont mes mains.
Elle a sans doute raison.
Elle est tellement gentille…
 
Jean-Marc,
Je sais que tu travailles beaucoup et que tu dois t’occuper de ta résidence secondaire. Ton épouse m’a dit un jour que vous êtes obligés de passer trois mois par année là-bas, pauvres enfants, et qu’elle a même été obligée de suivre des leçons de golf à son âge.
 
Germaine,
Je sais que tes enfants sont obligés de faire du ski tous les week-ends et que ton mari travaille toujours, ce qui fait que tu ne peux pas te libérer pour venir me voir.
 
Francette,
Tu dois sans doute être en République Dominicaine avec ton nouveau mari Alfonso. J’ai vu un reportage à la télé où on nous montre combien ils sont gentils avec les jeunes-filles à la recherche d’amour.
 
Et vous, tous mes petits-enfants : Marie-Lise, Pierre-Simon, Hélène, Marie-Dominique, Lucia et André, je réalise que vos études vous empêchent de venir saluer votre vieille grand-mère.
Même pas un petit cinq minutes.
Vous travaillez tellement fort pour vos études.
 
Surtout ne vous dérangez pas.
Je vous envoie donc une photo de moi prise par mon ami Louis.
Vous la trouverez au bas de la lettre.
 
Je vous embrasse tous très fort
 
Grand-maman Bernadette.
 
P.S. J’oubliais, Louis et moi on prend l’avion ce soir pour Hawaii.
J’ai gagné 52 millions à la loterie.
J’ai attendu avant de vous écrire pour être certaine de ne pas vous obliger à venir nous reconduire à l’aéroport.
C’est tellement pénible.
Après Hawaï, nous avons réservé notre place sur un super paquebot pour une croisière autour du monde.
Bien entendu, j’ai annulé ma chambre à la résidence Bon Repos et vous pouvez passer prendre le petit frigo ainsi que le téléviseur noir et blanc que vous m’aviez offert en vous cotisant tout le monde.
Je vous embrasse tous tendrement
 
Jean-Marc, sur un parcours de golf 18 particulièrement compliqué, réalise subitement qu’il est perdu. Il est sur un parcours croisé, et il ne veut pas prendre de chance.
Il s’approche de la dame qui est devant lui.
« – Madame, je m’excuse, mais pouvez-vous me dire sur quel trou je joue.
– Je suis sur le septième trou, vous êtes un trou derrière moi, vous devez donc être sur le sixième trou.
– Merci beaucoup. »
Un peu plus tard, il se retrouve toujours dans la même situation.
Perdu.
« Vais-je à gauche, ou à droite ».
« – Madame », dit-il en riant, « je suis encore perdu. Pouvez-vous m’aider.
– Bien, écoutez, je suis sur le 14ème trou, vous êtes toujours un trou derrière moi, alors vous êtes sur le treizième. »
Une fois au clubhouse, notre joueur voit la femme qui est assise au bar.
Il s’approche du barman et lui glisse un gros pourboire.
« – Dites, connaissez-vous cette femme ?
– Oui, elle joue souvent ici.
– Que fait-elle ?
– Je sais qu’elle est vendeuse, mais j’ignore dans quel domaine. »
Jean-Marc s’approche de la femme.
« – Madame, vous m’avez dépanné à deux reprises, et je l’apprécie beaucoup, puis-je vous offrir un verre.
– J’accepterais bien un verre de blanc. Merci.
– Je crois que vous êtes dans les ventes ?
– Oui, en effet. Comment vous avez deviné ?
– L’intuition.
– Hum…
– Mais dans quel secteur êtes-vous ?
– Je ne vous le dis pas car vous allez rire de moi.
– Mais non. Promis.
– Bien je suis représentante pour Tampax. »
Jean-Marc éclate de rire.
Un rire fou.
Qu’il ne peut plus contrôler.
« Voyez, vous riez de moi », dit la femme humiliée.
« Non. Non. Non. Je suis vendeur, moi aussi, et je suis représentant pour Préparation d’hémorroïde. Vous voyez, je suis encore un trou derrière vous ! »
 
«  Jean-Marc, je te défends de rouler dans la boue.
– Mais je joue à l’Indien
– Attention ! Les Indiens obéissent à leur maman.
– Mais moi je joue à l’Indien orphelin. »
 
Jean-Marc se fâche après son jeune fils.
« – Mais enfin, qu’est-ce que je dois faire pour que tu cesses, une bonne fois, de jouer avec les allumettes ?
– Je ne sais pas, moi », répond le gamin. « Peut-être m’acheter un briquet. »
 
Dans un grand restaurant, Jean-Marc passe sa commande :
« – Hors-d’œuvre variés, pâté de foie de canard, huîtres Rockefeller, homard thermidor…
– Et avec ça », demande le maître d’hôtel, « que prendrez-vous ? »
Germaine, sa femme répond :
« Ben voyons, du ventre ! »
 
Inscription sur l’épitaphe d’une vielle fille :
« Qui a dit que l’on ne pouvait jamais rien emporter avec soi. »
 
Une « revenue » des « histoires d’en rire de Dumé »
 
Un Corse, sur son lit de mort, décide de tester ses 3 fils pour savoir lequel a le plus l’esprit corse.
Il demande à l’ainé de monter et lui pose cette question :
« – Mon fils, que fais-tu si tu es à la terrasse d’un bar, qu’il fait très chaud et que tu aperçois un billet de 500 euros de l’autre côté de la rue ?
– Ouh… j’attends qu’il fasse moins chaud pour aller le ramasser. »
Le vieux appelle son deuxième fils.
« – Que fais-tu si une jolie fille te fait de l’œil pendant que tu fais ta sieste ?
– Ouh… papa… Je termine la sieste d’abord. »
Le vieillard appelle son dernier fils :
« – Aho, Dumé monte me voir.
– Non papa ! Toi descends ! »
 
Voici une petite série de phrases entendues à la Cour.
 
« – Elle avait trois enfants, c’est ça ?
– Oui.
– Et combien de garçons ?
– Aucun.
– Y avait-il des filles ? »
 
…et encore…
 
« – Êtes-vous mariée ?
– Non je suis divorcée.
– Et que faisait votre mari avant que vous ne divorciez ?
– Beaucoup de choses, mais je n’étais pas au courant de quoi. »
 
…et encore une…
 
« – Quelle était votre relation avec la plaignante ?
– Elle est ma fille.
– Et était-elle votre fille le 5 mai 2016 ? »
 
« – Est-ce que vous pouviez le voir de là où vous étiez ?
– Je pouvais juste voir sa tête.
– Et où était sa tête ?
– Sur ses épaules ! »
 
 
Bon week-end (prolongé) à toutes et à tous !
 
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