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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 19 juin 2019

Le vote « écololo », ça les met tous en érection !

Même « sœur-Âne »…
 
C’est dire qu’il s’agit d’un puissant aphrodisiaque !
La mairesse-parigote en vient même à déménager sa ville – enfin la mienne, mais c’est elle qui gère – à la campagne !
On dit que c’est à Alphonse Allais qu’on doit cette phrase : « Il faudrait construire les villes à la campagne, l’air y est plus sain ».
En vérité, il s’agit d’une plaisanterie qu’on retrouve déjà en 1848 dans « Le Pamphlet provisoire illustré », un quotidien de presse qui n’aura vécu que quelques mois…
Eh bien « Sœur-Âne », pour se faire réélire, invente le concept inverse : Transformer « sa » ville en vaste forêt !
Inutile de vous le dire : J’adore…
(Ironique)
 
Les voies sur berge, la place de l’Hôtel de Ville, l’arrière de l’opéra Garnier et le parvis de la gare de Lyon verront d’ici un an des arbres sortir de terre.
La mairie-centrale « débitumise » !
Un grand projet de jardin entre le Trocadéro et l’École militaire et maintenant quatre nouveaux lieux à Paris qui verront des arbres et de la pelouse pousser, s’implanter et grandir.
Car il lui faut constater le taux d’espace de verdure par habitant (environ 5,6 m² sans les balcons fleuris) alors elle défonce les chaussées et « usagers de l’espace public » pestent toujours plus contre la réduction des voies de circulation et l’augmentation des bouchons.
Mais elle est contente : « Le trafic recule de 5 % par an dans la capitale ».
Quand on compte plusieurs dizaines de million de déplacements quotidien, 5 %, ça fait au moins un million de personnes en moins pour venir soutenir le « petit-commerce » citadin : Magnifique l’euthanasie, n’est-ce pas ?
 
Et l’urgence politique est là, cachée derrière les faux-nez climatiques.
Alors qu’une ville c’est un univers minéral par excellence, surtout à « Paris-bobo-sur-rive-de-Seine », bé on va vous couper les perspectives inopinément avec des « herbacés » : Jusqu’au parvis de l’Hôtel de Ville, celui de la gare de Lyon, la placette derrière l’opéra Garnier, les voies sur berge (qui garderont un espace bitumé pour les urgences médicales… c’est dire que ça bouchonne dur juste au-dessus !).
Et ce n’est qu’un premier temps : On file des vélos aux vielles, des trottinettes aux plus jeunes, mais on garde des bus polluants un peu partout pour compenser et demain il s’agira de se déplacer de liane en liane dans « la forêt » que sera devenu Paris-sur-Seine !
Je me vois bien faire « l’apprentissage-Tarzan » à la nichée de « ma nichée », tiens !
Et ça, juste pour gagner une élection en racolant le vote « écololo ».
C’est tellement énorme, qu’elle parie que ça va fonctionner…
 
Elle dit elle-même que : « Je voulais que, dans ce mandat, la nature retrouve ses droits à Paris à travers l’agriculture urbaine des toits et des façades, mais aussi dans les rues et les places (comme la place de la Nation qui sera inaugurée le 7 juillet et la place de la Bastille). Je m’étais engagée à créer 30 ha d’espaces verts et de retour vers de la pleine terre, pour améliorer le cadre de vie des Parisiens et répondre au défi climatique. Nous avons réussi à dépasser cet objectif : nous en sommes à 40 ha » sur 556 ha déjà existants (hors les bois) : Bel effort…
Punaise ! Et c’est avec 40 ha en 5 ans qu’elle compte changer le climat ?
 
Car elle va plus loin : « J’ai en effet souhaité aller plus loin. On y travaille déjà sur l’esplanade du château de Vincennes où l’on replante 1,7 ha de végétation. Nous avons aussi les cours d’école « oasis », où la nature est revenue. Il y en a trois actuellement. À la rentrée de septembre, on en aura 28 de plus, dans tous les arrondissements. »
La vache : 28 ékoles « végétalisée », ça va vous changer la vie : Les pigeons pourront fienter plus à l’aise sur les mômes et dégueulasser les cours de récré.
Et comme chacun le sait, une crotte de pigeon, c’est sain en n’apportant aucune maladie aux chères « têtes-blondes » et ça n’eutrophise pas du tout la flotte des machines à laver…
 
Mais aussi des sites plus petits, comme la rue Louis-Blanc, le boulevard Pasteur l’avenue Daumesnil, une promenade végétale du parc de la Villette aux Buttes-Chaumont.
Comme si ça n’existait pas déjà…
Ou alors – comme je n’y suis pas retourné depuis un moment – c’est que la mairie-centrale aura abattu nombre de feuillus dès que j’ai eu le dos tourné…
Faire, défaire et refaire, en disait le Duce à une autre époque, n’est-ce pas… c’est toujours de la dictature appliquée que je te vous en dis !
 
Pont d’Iéna, elle envisage de faire des plantations dans le cadre des jardins Trocadéro-Tour Eiffel : « C’est le devoir que nous avons de transformer notre Ville et de le faire sans perdre de temps. Les transformations sont spectaculaires. Elles créent parfois des polémiques. Mais tout le monde reconnaît qu’il est indispensable d’embarquer Paris, ville historique et minérale, dans la transition écologique. Nous devons à la fois nous adapter au changement climatique et respecter le patrimoine. C’est une transformation radicale. C’est ça le défi. »
Et de préciser que « pour en arriver là, il a fallu plusieurs mois de recherche, de travail, avec l’Atelier parisien d’urbanisme (Apur), notamment sur les espaces de pleine terre possibles. On a aussi regardé les parkings où il était envisageable de récupérer les étages supérieurs pour mettre de la pleine terre. C’est un travail de presque un an. »
Et c’est qui qui paye ?
Même pas les « habitants » exonérés (pour une partie) de leur taxe d’habitation qui en profiteraient sans le savoir…
« Un travail sur la « débitumisation » que nous avons démarré il y a trois ans avec les cours d’école, les cours « oasis », et sur tous les espaces qui nous permettaient de récupérer les eaux de pluie. »
C’est lent…
 
« On va continuer sur Daumesnil, le boulevard Pasteur… En fait il y a vraiment une reconquête à faire sur toute la partie qui est encore occupée par de la voiture aujourd’hui. Je pense à des places de stationnement qui pourront devenir de petits jardins ou de micro-jardins. Il y a aussi un travail sur les façades, sur les toits avec des murs et des façades végétalisés. Sur le périphérique, nous allons travailler à des propositions, là encore très ambitieuses, à travers les ateliers du périphérique qui débutent dès le 12 juillet. »
Une vraie merdre étron qui te coupe la lumière dans les logements et t’apporte des araignées…
Même que la végétalisation de la « Tour triangle » est une foirade déjà renoncée…
 
Ceci dit, elle a encore ses chances face à une opposition dépassée.
Quand les barons RPR de la ville retournent leur veste au profit de « Jupiter », jusque et y compris la cheffe de groupe à l’Hôtel de Ville assise sur l’inexpugnable Vème arrondissement du « Cousin Jean » (Tiberi), c’est qu’il y a de l’eau dans le gaz.
Et que ça va profiter aux « rêveurs-marcheurs ».
Sauf que là aussi, ça tiraille dans tous les sens.
« Entre une désignation précipitée, (…) et une primaire qui déchire, il y a la place pour un processus fait de débat serein et de consultation citoyenne », estiment les signataires d’une tribune, dont « Mourir-Mah-jolie » et « Céde-trique-Vit-lani », « Hug-Rançon » et Âne-La-bretonne », concurrents de « Ben-Jasmin-Gris-veaux » pour l’investiture « LREM-même-pas-en-rêve » pour les municipales à Paris. Ils réclament « une consultation citoyenne » plutôt qu’une désignation par une commission, début juillet.
Les meks, ils n’ont rien compris au fonctionnement du parti dont ils portent les couleurs « Jupitérienne » : Il faudrait qu’ils relisent les statuts qu’ils ont signé.
 
Les six candidats (en incluant l’écolologiste « Toni-Du-arte ») « seront auditionnés le 9 juillet pour un verdict a priori le 10 », avait indiqué jeudi à l’AFP la Commission d'investiture (CNI) du mouvement alors que plusieurs d’entre eux s’étaient déjà montrés favorables à l’organisation d’une « consultation ouverte ».
L’ancien porte-la-parole du gouvernement, donné actuellement favori, avait quant à lui estimé qu’une primaire est « une machine à diviser qui enclenche plutôt la défaite qu’une dynamique de victoire »…
Pas faux.
« Les prochaines élections municipales doivent nous permettre de montrer qu’une autre gouvernance est possible », estiment de leur côté l’ex-secrétaire d’État au numérique, les députés et l’élue du IVème arrondissement sur présentation de sa carte (sans cotisation, vous rappelle-je)
Ils plaident pour « un processus fait de débat serein »
« En Marche s’est construit sur une idée de progrès, d’émancipation et de dépassement des clivages, ainsi que sur des principes de débat démocratique, d’ouverture et de large consultation », arguent-ils.
Ce qui est faux : Il s’est construit en catimini sur le « dégagisme » prôné par « Marinella-tchi-tchi » et « Mes-Luches ».
 
Mais eux pensent aussi que Marseille, où plusieurs candidatures sont aussi déclarées au sein de « LREM-même-pas-en-rêve », devrait être concernée : « Paris et Marseille ne sont pas des villes ordinaires (…) La victoire ne pourra donc passer que par un rassemblement conduisant à la désignation d’une tête de liste ».
C’est histoire de se faire des alliés dans le sud pour leur démarche iconoclaste…
Pas sûr et certain que ça facilitera « l’union » des moyens et bonnes volontés à disposition.
 
Enfin bref, on saura mi-juillet comment et par qui les « Parigots-sur-Seine » seront bouffés : Soit des iconoclastes qui n’ont jamais géré une ville, encore moins une « grande-ville », soit « Sœur-Âne » qui va te leur en remettre une couche !
Un « non-choix » finalement…
Vive la démocratie élective !

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