C’était lundi 1er avril 2019
La nouvelle était tombée la veille, mais la veille au
soir, j’en avais ras-le-chapeau-melon et je n’ai découvert la
« news » que le lendemain. In London, ce jour-là, ils ont perdu leur
sens de l’humour alors, je m’attendais à tout.
D’ailleurs, dimanche je leur avais fait des truffes au
chocolat salées…
« Ah
merde ! J’ai dû me tromper de bocal, so sorry ! ».
Ça a mis de l’ambiance pour la semaine, au bureau…
Et puis je me jette sur les dépêches et découvre que
les trois « sortants » du gouvernement de « Jupiter » (une
véritable hémorragie de « maxi-talents », avec tous ces
« conseillers » sur le départ…) ont été très vite remplacés pour le
sixième remaniement en moins de 2 ans , car le conseil des « sinistres »
se tient le jour même, avant le départ de « Jupiter » pour ses deux
dernières étapes du « Grand-Débat » (avant que ça ne revienne devant
le Parlement) avec publication sur les sites locaux des mesures de sécurité
pour son déplacement en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » : Huit
compagnies de CRS et gardes-mobiles, pas moins, plus une zone additionnelle et provisoire
de survol interdisant tout engin aérien « civil » au-dessus de
Cozzano !
Pourquoi Cozzano, caché dans sa montagne, loin de
tout, là, mystère…
Comme quoi, parfois même eux confondent « vitesse
et précipitation », parce que le casting reste fabuleux.
À force de trop lire mes « petits-posts »,
ils prennent tout à l’envers.
La dernière fois, ça avait mis 15 jours pour reformer
« une équipe », tellement « ils » restent isolés,
déconnectés de tout et du « bas-peuple ».
(Celui qui pue des pieds, sent la roteuse et le
calendos, pour faire plus « poétique » que « la clope et le
gasoil » !)
Et finalement, à vouloir « compenser », ils
ne démontrent rien de plus que leur immense désarroi face au vide abyssal de
« leurs effectifs » !
Pensez donc : Deux « conseillers »,
déjà dans les lieux de pouvoir, des « technos » donc, qui passent
ministres (ils font les fonds de tiroirs) et « Mon-Câlin », seule
députée de la première heure (il n’y en avait pas avant), donc
« politique », qui change de métier avec une belle promotion qui
lui sied à merveille.
C’est malheureux d’en avoir si peu d’autres sous la
main…
Passons : Ça confirme simplement le « Grand
isolement », faute de « remplacement » !
« Cèdre-Hic-Eau », je ne connais pas. C’est
un HEC qui aura été collaborateur de « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
lors de sa campagne présidentielle, puis recasé chez « Pierrot-Moscou-vicié »
avant d’aller rejoindre « Jupiter » en tant que membre du bureau
exécutif depuis 2017. Et il aura fini « conseiller-partagé » du
président et du « Premier sinistre ».
Un type qui ne sait pas quoi faire de sa peau,
finalement.
Comment peut-on s’appeler comme d’une seule lettre de
l’alphabet Latin ?
Bé il tient son nom de son père, une sud-coréen qui
s’était exilé en « Gauloisie-prospère » avant de retourner chez ses
ancêtres.
Mais le plus drôle dans ce jeu de chaises musicales,
c’est qu’il a une sœur, Delphine, qui n’est autre que la suppléante du
secrétaire d’État au numérique sortant (qui brigue la mairie de
« Paris-sur-la-Plage »), députée de la seizième circonscription.
Bref, vous l’avez compris : C’est une
« petite-affaire » familiale et… consanguine !
Rien de plus.
Une fois de plus…
Amélie (pas le site de la « séc-soc ») porte
le nom de son mari qui lui aura fait trois marmots et bosse chez Boston
Consulting Group (BCBG : Beau-Kul-Belle-Gueule).
Une HEC aussi, mais qui passe par un stage ouvrier
à l’Assemblée nationale en 2007 auprès de « Valy-Paic-Tresse », ce
qui la conduit à travailler pour la campagne présidentielle de « Bling-Bling »
avant de se retrouver au ministère de l’Enseignement supérieur et de la
Recherche.
Elle exerce une activité de conseil auprès de l’UMP,
puis directement dans l’entourage de « Juppette » pendant la campagne
de la primaire.
Elle ne retournera sa « jupette » qu’après
l’effondrement de son « patron » bavant au crachoir devant « Fifi-le-souteneur »
pour devenir députée « Marche-ou-crève » dans le sixième de l’Essonne
et sera le gentil « petit-gendarme » de « Fer-Rang » pour
faire respecter les consignes de vote à l’Assemblée, lieu bien connu de toutes
les libertés-républicaines…
Un bon soldat qui aura seulement échoué
(partiellement) à l’occasion de la dernière loi
« sécurité-terroriste ».
Après avoir aussi œuvré à la vice-présidence du parti
« Jupitérien » (avec les mêmes fonctions de police interne) et dans
la commission des finances, elle se trouve propulsée au Secrétariat d’État
chargée des Affaires européennes en remplacement de la cheffe énârque, qui
était ministre (un déclassement ?) partie conduire la liste
« LREM-même-pas-en-rêve » aux élections européennes (qui passionnent
tellement de monde… sauf en Angleterre !), la dénommée
« Nath-Moineau ».
Cette dernière, avec son charisme de porte de prison,
si elle ne se prend pas une veste, je veux bien me priver du digestif vespéral
au moins une fois dans ma vie !
Mais le plus drôle, c’est la-celle qui va porter la
parole du Gouvernement de sa majesté-jupitérienne.
Un phénomène tellement immense qu’elle a besoin d’une
double nationalité pour assumer l’ensemble !
C’est une femme. Bien.
C’est une « minorité visible ». Très bien.
C’est une « grosse »… pas filiforme,
quoi…
On s’en fout, du moment qu’elle nous fait rire avec
son large sourire !
Et « la politique », c’est dans le sang
familial : Parfait !
D’ailleurs elle commence par militer à l’UNEF (cette
« usine-à-soces ») pour devenir administratrice de La Mutuelle des
étudiants et déclare avoir adhéré au Parti socialiste en réaction à l’accession
du « Borgne de San-Coud » au deuxième tour de la présidentielle de
2002, alors que je fêtais le retour du « Chi » dans un canapé !
Elle a fait la campagne de « Déesse-Khâ »
pour sa primaire avec l’échec que vous savez…
Elle est kon, parce que l’hurluberlu à « quéquette-sauvage-gavée-au-viagra »,
il ne déteste pas le « bois d’ébène », en témoignera son épisode New-Yorkais
d’antan… et elle collectionne déjà trois marmots elle aussi.
Ce que j’adore chez elle, c’est ses saillies, son ton
et ses méthodes de travail en qualité de collaboratrice et proche de
« Jupiter » : Elle-même pu raconter, des konneries en barre.
En juillet 2017, elle n’hésite pas à appeler « les médias quotidiennement quand on a
des divergences d’interprétation » si un article déplaît.
Il lui aurait fallu qu’elle s’y fasse, parce que de
toute façon, les « journaleux » ne racontent que des konneries depuis
des lustres : C’est un métier à part entière !
Et là, elle va pouvoir s’en prendre pour son grade…
La presse la décrit comme exerçant des pressions sur
les journalistes dont les articles lui déplaisent : « C’est pas du travail de journaliste, c’est du travail de sagouin !
» l’entend-on dire à un journaliste dans un documentaire (Les coulisses d’une
victoire), jusqu’à les mettre sur « liste noire » !
Rigolade !
Pour « protéger
le président », elle va jusqu’à déclarer « j’assume parfaitement de mentir. »
Ah dilemme : Si c’est une menteuse-née (et
assumée) ment-elle quand elle affirme être une menteuse-née ?
Mais elle affirme que désormais, elle ne mentira plus
parce qu’elle « porte-la-parole » du gouvernement qui n’en a plus qu’une…
Du lard ou du cochon ?
D’autant que ces derniers temps, les membres de ce gouvernement
n’ont pas cessé de vous envoyer des informations « contradictoires »
en vol serré…
En août 2017, « Le Canard déchaîné »
rapporte que, interrogée par un journaliste sur la réalité de la mort de notre « Mômone-nationale »,
aurait répondu par le délicat SMS : «
Yes, la meuf est dead ».
Naturellement elle dément, assurant que « le SMS est totalement faux ».
Mais comme c’est une « menteuse-née » et
assumée, on ne sait plus…
Selon le même journal, « Jupiter » « cherche désormais à « muscler » la
communication, et à mettre Sibeth Ndiaye sous tutelle. »
Ah oui ?
En lui laissant la bride sur le cou ?
Drôle de façon de faire…
Un ancien conseiller de « Menuet-Valse », aura
estimé pour sa part que la polémique qui a suivi l’épisode du « Twist »
« relève d’un racisme insidieux encore
bien présent en France. »
Je ne vois pas le rapport : Est-ce
« anti-black » ou « antisémite » ?
En tout cas, elle buzze !
Ça va chauffer dans les rédactions…
Elle remet ça en février 2019, où lors du Salon de
l'agriculture elle balance « sur un mode
fait d’injonctions et de menaces » avec un « vous devez obéir » à des journalistes.
« Si vous n’êtes
pas contente, je vous sors du pool ».
« Trompe » ne fait pas mieux…
Il paraît que c’est à elle qu’on doit le
« scoop » de l’année et la séquence du « pognon
de dingue » !
L’AFP évoque sagement « son langage cru, ses coups de gueule, son habitude du franglais (elle a
ainsi tweeté sa fierté de nouveau ‘‘job’’) » après sa nomination comme
secrétaire d’État et porte-parole du gouvernement.
Un poste exposé : Vous aurez eu
« Castagneur » qui me rappelait « Pasquale » par cette
façon ironique de prendre de haut tout et n’importe quoi.
D’ailleurs, celui-là aura pris la pleine mesure de son
sobriquet en ce même ministère, dans la joie et la bonne humeur…
Puis l’insipide « Benne-Jasmin-Gris-Veaux »
au sourire si rare qu’on ne l’imagine même pas devenir maire de la « festive »
ville (ses gays-pride, ses nuits-blanches, ses techno-pride, ses nuits-debout,
ses fêtes de la musique, ses plages-sur-Seine, ses manifs’, ses casseurs, etc…)
des « Parigots-écololo-bobos » !
Ou alors il va devoir se violer lui-même tellement il
nous faisait penser à Roger Gicquel qui te vous présentait le JT avec la mine
et le ton d’un croquemort durant toute sa carrière…
Même les naissances princières ne le déridaient pas
plus qu’une catastrophe aérienne !
Bé, tiens donc, je me suis donc précipité sur « ma
télé-en-ligne » sur le coup de midi (à Londres) pour assister à sa
première prestation de « porte-la-parole ».
Une catastrophe !
Qu’est-ce que j’ai rigolé en ce premier avril-là !
Non seulement on sentait bien que l’atmosphère était
lourde dans les rangs des « journaleux » qui se sont transformés en « taiseux »,
mais alors, combien de « euh… » dans ses phrases ?
Des montagnes…
Ponctuant ses « hésitations » manifestes
alors que le propos n’a rien d’extraordinaire à énoncer.
Et en plus, avec ses notes sous le nez.
Le pire, c’est qu’elle s’en est probablement euh…
rendu compte… euh et qu’elle a mis fin euh… euh… à l’exercice des
questions-réponses après seulement euh… quelques minutes… euh !
Bé oui, vous n’êtes pas bien barrés, là, il n’y a pas
à dire…
Logique, quand on en est réduit à faire le fond des
poubelles, c’est que ça sent la fin anticipée et toute proche d’un règne…
Euh… on aura probablement à y revenir !
Mais quelle rigolade que ce « numéro-canular » là :
Dommage qu’il fût si court…
Ca y est je sais pourquoi Cozzano !
RépondreSupprimerC'est là que "Jupiter" se rend et où doit se tenir la dernière réunion du "Grand-débat" avec des élus locaux.
Mais c'est mal barré, puisque les gars du CTC et de l'ATC ont décidé de boycotter depuis lundi dernier...
On y reviendra, bien naturellement !
Bien à toutes et tous !
I-Cube