Notre
Jean-Marc national, en ce vendredi saint !
La preuve, après le bouleversant incendie de Notre-Dame de Paris :
Un directeur à son employé :
« – Rappelez-moi votre nom?
– Convert, monsieur le
directeur.
– Ah oui, c’est la
couleur qui m’échappait ! »
Dans un magasin, une jeune femme cherche un cadeau pour son amoureux.
Coopératif, le vendeur lui demande :
Coopératif, le vendeur lui demande :
« – Qu’est-ce qu’il fait comme
métier votre ami ?
– Il est écrivain.
– Ah ! Alors, offrez-lui
cette grande corbeille à papier. »
Dans le cabinet d’un médecin :
« – Docteur, que faire ? Je me
sens lourd comme un éléphant, je mange comme un oiseau et j’ai une fièvre de
cheval.
– Cher Monsieur, voyez
plutôt un vétérinaire. »
« – Dis donc, qu’est devenu ce
merveilleux perroquet que tu possédais ?
– Je me suis marié et il
est mort de chagrin.
– Il était jaloux de ta
femme ?
– Oui, forcément, il ne
pouvait pas placer un mot. »
Le petit-garçon de Jean-Marc
dit à son père :
« – Dis papa qui a acheté mon vélo pour Noël ?
– Le Père Noël évidement, mon fils.
– Alors, est-ce que tu peux le joindre, parce-qu’il y a un type qui a appelé cet après-midi et il a dit qu’il n’était pas payé ! »
– Le Père Noël évidement, mon fils.
– Alors, est-ce que tu peux le joindre, parce-qu’il y a un type qui a appelé cet après-midi et il a dit qu’il n’était pas payé ! »
Une reprise pas encore vue :
Trois chiens, un Polonais, un Russe et un français, discutent
tranquillement :
Le chien français s’exclame :
« – C’est un véritable
scandale, ce matin, j’ai dû aboyer pour avoir ma pâtée…
– C’est quoi, la pâtée » demande le chien polonais ?
Le chien russe : « C’est quoi,
aboyer ? »
Il était temps pour le vieux Père Joseph de prendre son bain du samedi
soir et la jeune sœur, Sœur Nathalie, avait préparé l’eau du bain, les
serviettes et tout le reste, suivant exactement les instructions données par la
vieille sœur, Sœur Berthe.
Sœur Berthe avait également recommandé à Sœur Nathalie de ne pas regarder
la nudité du Père Joseph autant que possible, de faire tout ce qu’il lui
demanderait et de prier.
Le matin suivant, Sœur Berthe demande à Sœur Nathalie comment le bain de
la veille s’était déroulé.
« – Oh, ma Sœur ! »
répond Sœur Nathalie les yeux rêveurs, « j’ai été sauvée !
– Sauvée ? Et comment
est-ce que ce beau miracle s’est-il produit ? » demande la vieille sœur incrédule qui savait que le
vieux Père Joseph avait plus d’un tour dans son sac.
« – Eh bien, lorsque le Père
Joseph était dans son bain, il m’a demandé de le laver, et pendant que je le
lavais, il a guidé ma main entre ses jambes, à l’endroit où le Seigneur garde
la Clé du Paradis. C’est ce qu’il m’a dit.
– Ah bon ! Il a fait ça ? » répliqua la vieille sœur, le
regard froid et direct.
Sœur Nathalie continue :
« – Oui, et le Père Joseph m’a
dit que si la Clé du Paradis fonctionnait avec ma serrure, les portes des Cieux
seraient ouvertes pour moi et je serais assurée d’être sauvée et j’aurais la
paix éternelle.
Et ensuite le Père Joseph
a guidé sa Clé du Paradis dans ma serrure.
– Ah oui… », dit la vieille sœur encore
plus froidement.
« Au début, c’était très douloureux,
mais le Père Joseph a dit que le chemin de la rédemption était souvent rempli
de douleur, mais que la Gloire de Dieu remplirait bientôt mon cœur avec extase.
Et c’est arrivé !
C’était si bon d’être
sauvée ! »
Sur ce, la vieille sœur fut outré :
« Le vieil escroc ! Il m’avait
dit que c’était la Trompette de l’Ange Gabriel et il m’a fait souffler dedans
durant les 40 dernières années ! »
C’est une petite fille qui surprend Jean-Marc,
son père, tout nu dans la salle de bain.
Comme c’est la première fois, elle est toute surprise de voir son
ustensile d’amour au garde à vous.
« Qu’est-ce que c’est ça papa ? »
Jean-Marc comprend qu’il n’a pas le choix de lui expliquer mais comment
sans la traumatiser.
« Écoute ma petite fille… ça
c’est l’ustensile d’amour que les hommes transportent, mais quelque fois, ils
le prêtent à la maman. Si tu es sage, quand tu seras grande, tu en auras un,
mais si tu n’es pas sage, tu en auras plusieurs. »
Une « classique », revue et un peu « corrigée » :
Quatre mères catholiques discutent lors d’une réunion de bienfaisance.
Elles ont été à l’école ensemble mais elles ne se sont pas revues depuis
40 ans.
La première dit aux autres que son fils est prêtre et qu’elle en est très
fière.
« – C’est merveilleux, quand il
entre dans une pièce, tout le monde l’appelle « Mon père ».
– Le mien est évêque » dit la deuxième « et, quand il entre dans une pièce, tout le
monde l’appelle « Monseigneur ».
– Le mien est Cardinal, dit la troisième « et, quand il entre dans une salle, tout le
monde se lève et on l’appelle « Éminence ». »
Les trois autres se tournent alors vers la quatrième…
« Ben… le mien mesure 1,85
mètre, il est extraordinairement beau et il travaille comme danseur nu.
Quand il entre dans la
salle, toutes les femmes se pâment et disent : « Ô mon Dieu ! » »
Deux copines vont au restaurant.
En arrivant, elles voient le restaurant complètement plein, la majorité
des tables étant occupées par des couples.
Une des deux femmes prend son téléphone portable et fait un appel à voix
haute en regardant les couples assis…
« Bonjour ma chérie. Je suis arrivée
au restaurant et ton mari est ici, avec une autre femme. Viens tout de suite…
»
Cinq hommes sortent en courant, deux femmes s'évanouissent.
En rangeant son téléphone, la femme dit à sa copine :
« Suis-moi, il y a de la place
maintenant ! »
Une petite théorie intéressante qui donne à réfléchir ?
« Un troupeau de buffles ne
peut pas se déplacer plus vite que le buffle le plus lent. Et quand le troupeau
est pourchassé par un prédateur, ce sont les buffles les plus faibles qui
restent à l’arrière et qui meurent les premiers.
Cette règle de sélection
naturelle est une bonne chose pour le troupeau dans son ensemble, puisque la
vitesse générale et la santé du groupe augmentent avec la disparition régulière
de ses membres les plus faibles.
Or, de la même manière,
le cerveau humain ne peut pas aller plus vite que le plus lent de ses neurones.
Or comme chacun le sait,
la consommation excessive d’alcool détruit les neurones, mais naturellement ce
sont les neurones les plus faibles qui sont attaqués en premier lieu.
Dans ce sens, la
consommation régulière d’alcool élimine les neurones les plus faibles, faisant
du cerveau une machine toujours plus rapide et plus efficace.
Le résultat de cette
profonde étude neurologique vérifie et valide la relation causale entre les
fêtes de fin de semaine et le rendement des mathématiciens, informaticiens,
ingénieurs, économistes, avocats, architectes, stagiaires, etc.
De cette façon on
explique pourquoi, quelques années après la sortie de l’université et après
s’être marié, la plupart des professionnels ne peuvent maintenir les niveaux de
rendement des étudiants récemment diplômés.
Seuls les rares qui
persistent à imbiber des litres d’alcool, peuvent maintenir les niveaux
intellectuels tels qu’ils étaient durant leurs années estudiantines.
Pour toutes ces raisons, ceci
est un appel aux armes :
Pendant que notre pays
est en train de perdre son potentiel intellectuel, nous ne pouvons décemment
pas rester à la maison sans rien faire !
Allons tous au bar, les amis
! »
Deux religieuses se dirigent vers le réfectoire pour prendre le petit-déjeuner.
Elles rencontrent la mère supérieure qui semble d’une humeur massacrante.
« – Hoho ! Notre mère
supérieure a dû se lever du mauvais pied ce matin…
– Elle s’est plutôt levée
du mauvais côté du lit !
– Oui, c’est ça : Elle
a réussi à enfiler les chaussures de Père Barnabé. »
Une « revenue » du paradis :
Un Anglais, un Français et un Russe se trouvent devant un tableau d’Adam
et Eve au paradis originel.
L’Anglais dit :
« Regardez leur réserve, leur
calme… Ils doivent être Anglais »
Le Français dit alors :
« Je ne pense pas. Regardez-les
comme ils sont beaux et impudiques. À mon avis, ils sont Français. »
Le Russe les achève en se marrant bruyamment :
« Vous n’y êtes pas du tout les
amis. Regardez mieux. Ils n’ont pas de vêtement, pas de maison, seulement une
pomme à manger et on leur dit que c’est le Paradis !
Ils sont Russes
évidemment. »
Germaine et sa copine :
« – Mon mari chiale tout le
temps contre ma cuisine.
– Pourquoi ?
– Il n’aime pas ce que je
prépare. Il compare toujours mes plats avec ceux de sa mère.
– Pas moi. Il ne dit
jamais un mot.
– Tu dois être un
véritable cordon bleu ?
– Non, ceinture noire. »
Jean-Marc, jeune marié :
« – Chéri, il faut que je te
dise quelque chose.
– Quoi donc, mon bel
amour ?
– J’ai pas tellement le
goût d’aller en lune de miel.
– Mais pourquoi ça ?
– Parce que le docteur
m’a dit que je devais me mettre au régime ! »
Jean-Marc et Jean-Paul sont convoqués au bureau
des impôts :
Le second rentre et ressort 30 minutes plus tard, complètement à poil.
Jean-Marc s’adresse à son pote
« – Mais qu’est ce qui t’es
arrivé ?
– Ils m’ont tout enlevé ! »
Alors Jean-Marc ne perd pas de temps : Il se déshabille immédiatement
et pousse la porte.
Il ressort, dix minutes plus tard, avec une ficelle autour du zizi et un
bouchon dans le cul…
« – Mais… qu’est ce qu’ils
t’ont fait?
– Ils m’ont coupé l’eau
et le gaz ! »
Deux puces se rencontrent, en vacances à Miami.
L’une arrive à Miami transie et grelottante.
L’autre lui demande:
« – Mais qu’est-ce qui t’arrive
? T’as l’air complètement gelée.
– Ben, je suis arrivée du
New-Jersey dans la moustache d’un gars sur une Harley.
– C’est la pire façon de
voyager !
Essaie plutôt ceci : Va-t’en
à l’aéroport, et trouve-toi une belle hôtesse de l’air. Grimpe le long de sa
cuisse, et cache-toi où c’est bien chaud et confortable.
C’est la meilleure façon
de voyager.
– Merci ! J’essayerai
ça l’hiver prochain. »
Une année passe et lorsque la première puce arrive à Miami elle est encore
toute grelottante.
« – T’as pas fait ce que je t’ai
dit l’année dernière ?
– Oh si ! J’ai fait
exactement ce que tu m’as conseillé. Je suis allée au bar de l’aéroport, j’en
ai profité pour prendre quelques verres et, finalement une jolie et jeune
hôtesse est entrée.
Alors j’ai grimpé le long
de sa cuisse et je me suis cachée dans son nid douillet.
C’était si doux et chaud
que je me suis endormie.
Et lorsque je me suis
réveillée, j’étais dans la moustache d’un gars sur une Harley. »
Bonne fin de semaine à toutes et à tous !
I3
PS : N’omettez pas les publications de « mon gardien » où
vous retrouverez quelques-unes des blagues de Jean-Marc (et surtout quelques autres déjà oubliées) :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire