L’élection
surprise de « Mak-Rond », le jupitérien.
Depuis que je suis londonien, je lis beaucoup plus de
« papiers » francophones que quand j’étais vénitien. C’est comme
ça : Je m’étais fait à la langue de Dante, Shakespeare, j’ai encore
beaucoup de mal. Je me croyais presque bilingue, bé c’est vrai mais à condition
d’avoir à mes côtés des « secrétaires » vraiment bilingues, elles…
Du coup, tout-à-fait par hasard, je tombe sur des fiches de lecture des
derniers ouvrages parus sur le continent.
Notamment Debray (Le Nouveau Pouvoir, Éditions du Cerf) et Taguieff (Macron
: miracle ou mirage ?, Éditions de l’Observatoire).
Bon, je n’en lirai pas plus, c’est tellement entendu… et ce ne sont pas
des auteurs que j’ai eu l’honneur de côtoyer (Titeuf, encore…).
Pour le premier, l’élection de « Jupiter » serait le résultat de
la profonde mutation culturelle que dénonçait déjà son précédent ouvrage. Il y
dressait déjà le constat de la dissolution de notre identité nationale dans la
culture anglo-saxonne mondialisée. Constant dans ses certitudes, nous serions
désormais « tous des Américains »,
mais aussi des Scandinaves : « liberté, égalité, fraternité » s’accompagnerait
de « probité, chasteté, sobriété ».
Là, j’adore, parce que les « suédoises & danoises » que je
peux croiser à Londres, pour être chastes, c’est une expérience absolument
intéressante… vraiment !
Mais il explique aussi « l’accident électoral » par la
conjonction de six facteurs :
1) Le nombre ultra-majoritaire de non-inscrits sur les listes,
abstentionnistes, votes blancs (sans précédent historique) ;
2) Le système électoral majoritaire à deux tours qui empêche l’émergence
d’offres politiques nouvelles (alors même que le nouvel élu est un contre-exemple d’anthologie) ;
3) L’effet repoussoir du « F-Haine » (devenu
« Haine-F ») et de « Marinella-tchi-tchi » (Il faut dire
qu’elle a été particulièrement « mauvaise » dans tous les sens du
terme à l’occasion du débat de l’entre-deux tours) ;
4) L’irresponsable attitude des « Républicains-démocrates »
et de leur champion ;
5) Les moyens médiatico-financiers colossaux apportés au soutien de « Mak-Rond »
;
6) Leur utilisation très maligne pour une « arnaque » électorale inouïe
(qui n’existe que dans le tiers-monde).
Le mek, même s’il perçoit un peu de l’écume de surface, il n’explique rien
d’autre et passe à côté des réalités.
Taguieff lui recense différentes hypothèses pour comprendre « la marche triomphale » de
« Manu » et cerne celle qui est relayée par « Jupiter » lui-même et
ses zélateurs, faisant de « Mak-Rond » une sorte de « miracle », un
nouveau de Gaulle, surgissant « des
profondeurs de la nation » pour « redonner
un sang neuf et un espoir au peuple français ».
Ce serait assez marrant, en effet, si cette hypothèse, à peine identifiée, était
aussitôt écartée par l’auteur : Il ne croit pas au « miracle » mais plutôt
à « un mirage ».
Loin d’être « un sursaut
démocratique », l’élection des
« Républicains-en-marche-même-pas-en-rêve » lui apparaît, au
contraire, comme le résultat de la décomposition du système politique « Gauloisien ».
Ce n’est pas faux, mais ça reste insuffisant.
Soyons sérieux : Le tissu industriel et agricole gauloisien est détruit.
Le PIB par habitant a reculé en euros constants au niveau de celui de 2004 et marque
un recul en euros courants pour une fange toujours plus nombreuse de la
population sur la même période, chômage de masse aidant.
On est passé en vingt-cinq ans d’une quote-part industrielle dans le PIB
de 30 % à 12 %. Et c’est là la clé de la quasi-réussite des deux candidats
« populistes » qui encadraient « Mak-Rond » au soir du
premier tour, « Mes-Luches » (frangins « trois-points » qui
croyait à ses chances) et « Marinella-tchi-tchi » (qui était
persuadée de ne pas pouvoir perdre).
Plantés tous les deux à la faveur d’un hold-up fabuleux assis sur une
abstention massive qui fragilise le quinquennat.
Et puis alors, la catastrophe des législatives n’a fait que confirmer les
choses…
Enfin quoi, réfléchissez donc à cette débandade généralisée des partis
établis à l’occasion la formation du premier gouvernement où quasiment tout le
monde a su retourner sa veste en deux temps trois mouvements (ce qui en dit
long sur l’état de délitement du paysage politique du pays), les ceux-ce restés
sur la touche ou renvoyés au vestiaire à l’occasion du second gouvernement,
s’espérant être finalement provisoirement cantonnés sur le banc des
remplaçants…
Et puis encore, cette « chambre » totalement inexpérimentée, qui
merdoie un maximum avant de partir en vacances, tel qu’il faut des
« séminaires de recadrage » dès avant la rentrée, c’est-y pas
fabuleux ?
J’en viens même à me demander si le « tirage au sort » – que je
soutiens depuis toujours, au moins pour le Sénat – est une solution viable.
C’est vous dire…
En fait, où qu’on tourne le regard, tout le monde me semble passer à côté
des réalités profondes.
Elles sont pourtant simples à comprendre :
1 – « On ne peut plus faire
confiance aux peuples ! » Maintenant, c’est une certitude
confirmée depuis le début 2016.
Dès que vous lui donnez la parole (institutions démocratiques obligent),
il ne fait que des konneries : Les élections autrichiennes, néerlandaises,
le Brexit, la réforme « Rein-z’y » et, summum, l’élection de
« Trompe » contre « Il-a-rit » à qui
« Haut-bas-Mât » et quantité de démocrates de l’establishment avaient
ouvert un boulevard, jusqu’à même forcer les Républicains à présenter un clown
improbable contre elle…
Résultat, le TAFTA est enterré, l’ALENA va être renégocié, le puissant
GIEC et ses lobbies engoncés durablement dans l’ornière,
« l’Eau-bât-mat-care » en péril, les relations internationales et
commerciales redevenues aléatoires et tendues sur tous les fronts… Et ça,
l’imprévisibilité, le monde de la finance n’aime pas du tout.
Par-dessus le marché, la construction de l’Europe (et derrière l’Otan)
aurait été hyper-fragilisée si le second tour « Gauloisien » avait
été kidnappé par « Mes-Luches » et « Marinella-tchi-tchi ».
L’horreur…
2 – Pas d’autres solutions que d’intervenir pour diminuer les risques
d’une explosion du continent européen au moment où les tensions s’accumulent
partout autour de la planète. À la façon de Vladimir Ilitch Oulianov (dit aussi
Lénine) : Une minorité « éclairée » doit conduire le peuple !
Questions : En faveur de qui et comment ?
2.1 – Qui ? L’offre politique « Gauloisienne » se résume à
peu de chose. Si l’on fait confiance aux sondages,
« Marinella-tchi-tchi » est de toute façon présente au second tour.
La tendance peut être renversée, mais y a-t-on intérêt ?
Aucunement : Elle peut et doit servir de
« repoussoir » !
Ce qu’elle a parfaitement réalisé…
Contre qui ?
– À « drôate », « Bling-bling » est cuit et peu fiable
avec sa résolution de « moraliser » la finance mondiale : Exit.
Le concurrent le mieux placé – toujours d’après les études d’opinion –
c’est « Juppette ». Mais lui, c’est le fils adultérin du
« Chi » et le « Chi », pas question depuis sa
« sortie » contre la guerre en Irak : Exit.
Mais au pire, on fera avec. « Ils » ont bien fait 5 ans avec « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
et son ennemi qui ne vote pas…
Et pour ça, il faut mettre un « nul-crédible » en travers de son
chemin.
Le « nul », parmi les nuls, il y en avait plusieurs, dont
« Fifi-le-souteneur », « Coopé-rative » et
« LeMère ».
Or, ce dernier reste un « espoir » pour 2022. Un type brillant
mais qui n’a pas encore assez mûri dans les ministères, pas jugé assez fiable.
Restait donc « Fifi-le-souteneur », dit la
« serpillière-à-Bling-bling » qui peut jouer le parfait
« idiot-utile » d’autant que les dossiers sur sa probité-personnelle
sont nombreux.
On sait ça à travers les réseaux anglo-saxons : Son épouse a été
suffisamment discrète pendant 5 ans sur le continent, mais les
« services » ont des dossiers épais à son sujet, car outre-Manche,
elle a été nettement plus diserte.
Après, il s’agira de l’éliminer dès tout juste désigné par la primaire.
Les « réseaux » se disent prêts.
– À « gôche », on sait que si « Bling-bling » est
éliminé, compte tenu de son bilan indéfendable et catastrophique, « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
n’ira pas.
D’autant que son ambition personnelle reste de pourrir la vie à ses
« frondeurs » jusqu’à la fin des temps – ceux qui le lui ont tellement
savonné son quinquennat triomphal – et d’éliminer son
« premier-sinistre » d’alors (« Menuet-Valse ») qui n’en
fait qu’à sa tête tellement il est bouffé par l’ambition (la maladie
perpétuelle de l’Hôtel Matignon…).
D’ailleurs, pour ça, il a déjà mis en place une
« pilule-empoisonnée » qu’il fait monter en puissance :
« Manu-Mak-Rond » !
L’accord entre les deux hommes est clair : Il monte son parti (un
mouvement) à charge pour lui de ratisser au centre et il est prévu qu’il se
désiste à son profit au moment où le « Capitaine de pédalo » se
déclare, juste après la primaire de « droâte ».
Au plus tard en novembre 2016, barrant ainsi la route à tous les autres…
– Reste à trouver « le plus nul » à « gôche » parce
que « Tagada-à-la-fraise-des-bois », si c’est le bon cheval contre
« Bling-bling », il n’est probablement pas à la hauteur (question de
carrure) contre « Marinella-tchi-tchi ».
Et pas question de prendre le moindre risque avec ce pays forcément porte
d’entrée du continent sur l’océan atlantique (dont on se souvient aussi que le
« Chi » avait refusé le survol pour aller bombarder la Libye).
Et là, ils sont pléthores entre les « frondeurs », les
« has-been » et l’ex-premier-sinistre, « Menuet-Valse ».
Lui, on n’en veut plus depuis qu’il a dévoyé les lois
« Mak-ronds », leur lettre et l’esprit.
L’hésitation a été longue entre les tenants de
« Monte-et-bourre-la » qui a eu le tort de se mettre à dos une grande
partie de l’industrie mondiale (Titan, Florange & Cie) et
« Âme-mont ». Celui-là, il peut encore faire de l’ombre à
« Mes-Luches », ce qui n’est pas plus mal.
Ce sera donc lui.
2.2 – Mais cela ne répond pas totalement à la question du
« qui ». Si on sait qui on ne veut pas, il reste encore à trouver le
« social-mou », européen convaincu, surtout, qui a une assez bonne
hauteur de vue transnationale pour ne pas être une gêne à la construction d’un
ordre mondial « apaisé ».
« Bébé-Roux » pourrait répondre au cahier des charges, mais il
n’a peut-être pas la probité nécessaire, usé par des années et des années
d’occasions perdues : Un « has-been » lui aussi.
« Mak-Rond », trop jeune en disent les uns, pas assez
« mûrs » en prétendent d’autres, pas encore « éprouvé »,
mais lui y croit.
En tout cas, il est parti pour, pour être passé certes en choix de
« seconde-main » par l’ENÂ – même si ce n’est pas vraiment une ékole
d’excellence, ni dans le management ni en sciences politiques, mais c’est déjà
pas mal – en plus de ses divers DEA – et il est passé par la banque des
« boucliers-rouges ».
Il n’y a pas fait des étincelles, mais depuis il est à l’abri des
tentations d’argent pour ne pas être pourrissable par la corruption-endémique
qui mine le pays depuis deux décennies (voire plus…).
Et puis il a passé les « tests » de la Trilatérale, de
Bilderberg en 2014 et même il a reçu une formation réservée au « Young
Leader » de la French American Foundation…
Alors pourquoi pas ?
– D’autant qu’il est jeune, représente le renouveau, est présenté par « D’@tali » (un
« frère ») qui s’en porte garant pour avoir fait partie de l’équipe
qui a travaillé en 2007 sur son rapport remis à « Bling-bling »,
collabore régulièrement aux travaux des « Gracques », a l’appui
« d’Al-Hun-Mink » (autre « frère ») et sort du
« château » pour y avoir été secrétaire général adjoint.
Passé sous le bandeau, il coche presque toutes les cases : Seul point
noir, sa vie privée et intime, disons… « hors-normalité »…
Mais il donne des gages assez convaincants en soi. Normal, il a un cerveau
qui fonctionne vite.
3 – La question étant réglée (en fait, ça aurait été beaucoup plus
compliqué que ça), reste le comment.
Pas trop difficile pour des « organisations » qui ont su
imposer « Ségololo » en 2007 contre toute attente pour favoriser
« Bling-bling » qui n’avait qu’une seule mission, renouveler et
confirmer les relations avec les USA finissantes des « Boubouche ».
Tout le monde était prêt, dans « les réseaux » et les médias,
déjà faisant les yeux doux à la « pilule-empoisonnée » de
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » pour sacquer
« Menuet-Valse ».
Bon, il aura fallu « mobiliser » et « motiver »
l’électorat des « Républicains-démocrates », ce qui n’a pas
été simple, puisque le parti était réputé être « à la pogne » de
« Bling-bling ».
Il aura fallu faire baver en direct « Juppette » à coup de
boissons sucrées, comme un sénile – qui n’aurait pas tenu tout un quinquennat.
Il aussi aura fallu « dégommer » « Fifi-le-souteneur »
en dosant les sorties d’informations et de révélations fracassantes dans la
presse via les « francs-maks » parmi les « francs-maks » du
« Canard-déchainé » et de « Plaie-n’aile » jusqu’à ce que
l’ensemble des agences de communications, drivées par les équipes de
« D’@ctali » comprennent d’où venaient les budgets « pub ».
Il faut dire que plus leur cible se défendait, plus en réalité il
s’enfonçait : Un scénario « idéal » !
Et une fois de plus, le hold-up a eu lieu avec à peine 22 % des bulletins
au premier tour (même si ça a été « juste », frôlant ainsi le pire)
soit à peine 12 % des électeurs qu’on a bien écœurés durant des mois et des
mois !
« Marinella-tchi-tchi » n’a rien compris à jouer le rôle de « l’idiot
utile » à la perfection avec son « UMPS » alors que les médias se déchaînaient
avec le « tous pourris ».
D’ailleurs, la première loi de l’élu aura été de finir de donner des gages
(certes pour le moins très limités) avec la loi sur la moralisation de la vie
politique (le triomphe de « Bébé-roux » qui aura su l’imposer contre
sa démission : Mais quel kon celui-là, décidément !)
Maintenant la « créature » doit accomplir son destin tracé par
d’autres. Ça ne va pas se faire sans heurts ni biais & travers, mais il est encadré et recadré plus qu'à son tour par des « pros » qui maîtrisent encore parfaitement le problème.
D’accord, il fait un bug par semaine – mais c’est le cas depuis janvier
2016… un point noir récurrent – mais il s’accroche et persiste à donner
« des gages » de bonne volonté, dans la bonne direction :
Europe, FMI aux mains de « La-Garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas » qu’il
va falloir « éliminer », le redressement systémique du pays, la
coopération-teutonne, ses réactions avec la crise de Corée et la gestion de la
prochaine crise financière.
Même si la perspective d’une sortie de crise de la Grèce s’amorce au
profit de « Tsi-tsi-prasse », ce qui n’est pas non plus l’idéal.
Reste que le bonhomme a aussi réussi à se mettre à dos presque tout le
monde et que son assise populaire est pour le moins très fragile, même si grâce
à ses « gourous », il a su s’imposer au niveau de la vie
institutionnelle du pays.
Enfin, l’autre problème resté en suspend, ça reste son renouvellement en
2022 et son « contrôle » jusque-là.
Mais là, on sera tous morts : À chaque jour son problème. Et demain
matin, ce sont les élections allemandes qui doivent confirmer les choix arrêtés
début novembre 2016.
À suivre naturellement.
En attendant, les « philosophes » passent à côté de tout,
confondant comme autant d’autistes les causes et les effets et dissertant
finalement pour ne rien dire.
Une fois de plus !
Dommage : On a décidément que ce qu’on mérite et pas mieux…
J’ai laissé "décanter" une semaine, et j’avoue que c’est bien enlevé !...
RépondreSupprimerJe comprends beaucoup mieux la situation et qu’il va falloir le soutenir, même s’il bug chaque semaine, même s’il est "accros" à sa « Kougar » d’une façon hors norme, même si c’est un vrai bordel avec les « Marcheurs ».
Il va aussi falloir le soutenir parce qu’il fragile.
Et très curieusement, c’est ce que je fais en essayant notamment de récupérer ses maladresses avec la Défense, c’est-à-dire de lever le voile sur le détournement des indemnités de la guerre du Golfe et en proposant un projet « Hors norme » d’un bouclier spatial planétaire (rien d’autre qu’une reprise), mais aussi avec le projet « Euroclippers », tout à fait européen et international.
Je n’ai vraiment pas envie de voir « Marinella » ou « Mélengeons au Château !...
Là ce serait une dictature comme celles que l’on a vu au cours du siècle précédent.
Alors, il faut faire « avec » !...
Bien à vous !...
Haddock
Mais c'est déjà la dictature, "douce", certes, qui, en conséquence, ne se voit pas !
SupprimerLa démocratie et ses interminables débats ne sont déjà plus de mise.
Terminé, exit.
Le bonhomme est peut-être fragile (à mon avis il "fonctionne" à un truc que la médecine ne sait pas encore détecter... une hypothèse non-étayée de ma part), mais il est soutenu par "un appareil" qui sait faire émerger "une offre-politique" parfaitement improbable en moins d'un an.
Elle a échoué aux USA - et en Angleterre à deux reprise : Le Brexit même pas annoncé dans les télescopes et les législatives ratées de "Théière-Mais" - là où on a mis des "populistes" sur son chemin (Sanders chez les démocrates et "Trompe" chez les républicains) : Il fallait se ressaisir impérativement.
Ceci dit, je pense que "Manu-Mak-Rond" nous prépare un "putsch-doux" institutionnel pour assurer sa réélection.
En tout cas, c'est ce que je ferai à sa place et c'est très simple à réaliser avec une bonne préparation et un peu d'astuce : Je ne suis pas inquiet.
Notez que j'avais élaboré une stratégie-gagnante à coup d'ordonnances pour le cas où "Si j'étais votre président", il y a des années de ça.
C'est à peu de chose près ce que "Manu-Mak-Rond" a su faire, mais en douceur alors que personnellement, je l'aurai fait "à la hache" (mais moi c'est moi et lui c'est lui...).
Comme quoi, son entourage lit aussi mes posts-anciens !
"Mes-Luches" fera "pschitt" (comme en disait "Le Chi") en 5 ans. De toute façon la "gôche-coc" est en phase de réorganisation.
"Marinella-tchi-chi" est elle-même au cœur d'un typhon (le parricide pas terminé, la défection de sa nièce, écœurée, "Fil-y-Pot" sorti à la façon de "Maigre-est") et va en ressortir "lessivée".
On va voir ça aux élections européennes de tantôt.
Le "P.soce" est mort et liquide même son siège : Les gars ne savent même plus comment ils s'appellent ! Dur.
Quant à la "droâte", elle va avoir du mal à se réorganisée et va doucement s'orienter vers de difficultés financières sans nom - une fois de plus ! - telle que je ne suis pas sûr qu'elle puisse de nouveau peser autrement qu'à la marge.
Quant à "Bébé-Roux", il est mort d'avoir été absolument ridicule (une fois de trop) : Exit.
Et les "écololos" sont devenus inaudibles, inexistants.
Restera les "ralliés" et ils vont devoir "marcher" au pas cadencé: Attendez-vous à un remaniement d'ici le mois de juin prochain qui va forcé la marche, déjà, vers une réélection "du Boss".
M'en fous : Je ne serai plus là pour voir ça (compte tenu de mes ALD diverses) et cette perspective m'enchante, figurez-vous !
Je n'aurai pas à dire "merci"...
Bien à vous !
I-Cube
Ah, une précision :
Supprimer"Les dossiers", il va s'en servir, vous verrez, justement pour faire son "coup d'Etat-soft" : C'est toujours une munition-nucléaire active.
Mais pas pour financer ni la défense, ni un bouclier anti-astéroïde, ni pour vos grands voiliers.
C'est la façon inattendue de l'aider.
Bien à vous !
I-Cube
Je viens de reprendre un texte paru en août et qui détaille les dessous de l’élection de « Mak-Rond » :
RépondreSupprimerhttp://www.alerte-ethique.com/2017/09/macron-a-d%C3%A9pens%C3%A9-plus-de-167-millions-d-pour-sa-campagne-pr%C3%A9sidentielle-plus-que-tout-autre-candidat.html
Pas très cohérent pour de Castries qui soutenait « Fifi-le-corrompu ».
Un "Putsch Doux" pour sa réélection ?...
Pour l’instant, il "bug" en continu et va continuer sa descente aux enfers à moins que le bourrage de crâne médiatique suffise à émerveiller les électeurs.
Dictature "douce", mais dictature quand même surtout pour ceux qui seront des "gêneurs" et qui seront "doucement" neutralisés.
Le chemin a été pavé par les lois liberticides : loi renseignement qui permet de fliqué l’ensemble des citoyens et le décret du 3 août 2017 N° 1230 qui pénalise des propos homophobes, etc, dans la sphère privée.
C’est vraiment « 1984 » de Georges Orwell où les citoyens sont surveillés et où une « police politique » les élimine, ou les rééduquent doucement.
Et avec une dose de « Qui rend-mou », un médicament psychotrope qui affaiblit les esprits et rend les individus incapables de libre arbitre et de révolte.
Alors, je ne suis pas d’accord, je vais relancer le « Parti de la mer – Normandie » puis essayer de trouver quelques allumés du niveau « Chasse, pêche, nature et traditions » (4.000 membres, affilié aux républicains) et organiser, à mon modeste niveau, la rébellion qui commencera par la demande de limiter les lois liberticides exclusivement aux « fichés S » (18.000 personnes) avec de sérieuses réformes dans le fonctionnement démocratique.
Législatives au scrutin uninominal à un tour et tirage au sort des sénateurs parmi des citoyens volontaires, etc…
Les bases sont déjà en ligne sur :
http://euroclippers.typepad.fr/parti_de_la_mer/
Objectif : la cambuse de la Région Normandie !...
Cela va m’occuper.
Et puis, c’est intéressant de voir combien de gens pourraient être intéressés, et prêt à s’engager.
Et, s’il y a des courageux, ils pourront créer un parti identique pour la Bretagne, la Côte-D'Azur, les Antilles, la Polynésie (pour Vincent), et la Nouvelle Calédonie (Pour Atama), etc…
Ce seront des partis régionaux parce que les besoins sont spécifiques à chaque partie maritime du Pays.
Et quand j’aurai suffisamment de correspondants dans les îles, je ferai le tour du monde offert à chaque captain qui prend sa retraite à « Air Transe » !...
Bien à vous !...
Haddock
Pour ce qui est des "régions", on attend la réforme territoriale en "Corsica-Bella-Tchi-tchi" et des élections prévues en décembre.
SupprimerCe sera à suivre de près.
De toute façon, on nous a promis une réforme institutionnelle : A suivre aussi de très près.
J'attends aussi de mon côté les textes relatifs à l'état d'urgence.
A mon sens, ils vont être encore plus torrides que ceux que vous énoncez.
Et puis j'ai au moins un "cousin" fiché S qui n'a rien à voir avec la radicalisation islamiste.
Un peu tête-brûlée, mais sa femme va le calmer...
Quand on a des gosses, on ne fait plus le coup de feu sur les condés.
Ceci dit, les informations reprises sur votre site recoupent les miennes.
Mais je n'avais pas tous ces détails : Je vais pouvoir "monnayer" ça contre d'autres plus pointus des mes "correspondants". Enfin peut-être seulement, parce que quand c'est déjà sur la toile, ça ne vaut plus rien.
Effectivement, "Deux-Castrat" est président en exercice de Bilderberg. Bien sûr qu'il a participé à faire adouber le rejeton des "frères-trois-points".
Depuis, il s'est recasé dans un fonds de gestion, parmi ses nombreuses activités.
De là à jouer "double-jeu" avec "Fifi-le-souteneur", c'est un grand classique des réseaux-actifs : Toujours plusieurs fers aux feu.
C'est dire que ce n'est pas ni la loyauté ni l'idéologie-politique qui le motive : Il obéit à autre chose qu'il estime "supérieur".
Tant pis pour les autres, les "riens", les "sans-dents", le feignasses et traine-savate.
Logique de classes.
C'est là où je ne comprends pas mes "potes-cocos-staliniens" : La lutte des classes n'a jamais été aussi présente dans nos pays et ils n'arrivent pas à la cerner.
Je ne comprends pas.$
En attendant, bien à vous.
Ce week-end je vais "désarmer" mon yacht et tenter de réparer les dégâts de l'été dernier.
Pas sûr que j'ai de liaison internet...
I-Cube