Les
immanquables de Jean-Marc
Et autres & diverses :
Jean-Marc se confesse au curé
d’avoir fait l’amour avec cinq femmes en ligne la veille.
« – Comme pénitence, vous allez boire le jus de 5 citrons !
–
C’est pour nettoyer l’intérieur ?
–
NON ! C’est pour faire disparaître ton petit sourire qui m’agace ! »
« – Pour départager plusieurs prétendants de valeur égale », raconte le
responsable de l’embauche dans une grande entreprise, « je leur propose un dessin
représentant un homme sur une petite route barrée par un énorme rocher.
Ils
doivent inscrire dans une bulle le commentaire que cela inspire à l’homme.
– En
quoi est-ce déterminant ?
–
J’élimine d’emblée ceux qui le font s’interroger : « Que fait cette pierre ici ?
»
On
le voit bien, ce qu’elle fait : Elle empêche d’avancer.
En
revanche, j’accueille avec joie celui qui écrit, dans la bulle : « J’ai une
idée pour la dégager ! » »
Jean-Marc part en voyage et dit à
son fils aîné de 10 ans :
« Durant mon absence, c’est toi qui dois veiller au bien-être de la
famille. »
Le soir venu, le fils dit à sa mère :
« – C’est bien moi qui remplace papa ?
–
Oui mon fils.
–
Alors ce soir, je peux coucher avec toi ? »
Un peu hésitante, la mère répond :
« – Euh… Oui.
–
Comme tu fais avec papa, nous serons nus tous les deux ? »
La mère, très réticente, mais voulant
savoir jusqu’où son fils voulait aller, acquiesça.
Une fois au lit, le fils dit :
« C’est bien moi le chef de famille et je peux te demander n’importe quoi
? »
La mère est inquiète, mais joue quand
même le jeu. Alors elle répond : « Oui ! »
Alors, le gamin dit alors sur un air
très solennel :
« QU’EST-CE QUE TU DIRAIS D’ACHETER UNE NOUVELLE BICYCLETTE AUX ENFANTS ? »
Trois chauffeurs d’autobus se
rencontrent dans un café.
« – Alors Jean-Pierre t’as pris ta retraite ?
– Hé
oui, après trente ans à conduire des autobus scolaires, j’en pouvais plus de
supporter ces gamins criards et indisciplinés. Et toi Jean-Paul, toi aussi t’as
décidé de prendre ta retraite.
–
Ben oui, juste quinze ans, mais à conduire des handicapés… C’est dur sur le
moral. Toi Jean-Marc as-tu pris ta
retraite aussi ?
– Hé
oui… Moi, les « Tamalou », j’en pouvais plus.
–
Les « Tamalou » ? Mais …, nous pensions que tu travaillais dans un centre
d’hébergement pour personnes âgées.
–
C’est juste… Et à chaque voyage en autobus c’était toujours pareil : « Pis toi
Gertrude », t’as mal où ce matin ?
» »
« – Maman, c’est quoi la différence entre exciter et énerver ?
–
Quand j’ai connu ton père, il m’excitait, aujourd’hui… il m’énerve. »
« – Bonjour ! Je cherche un livre sur l’éducation des enfants.
–
Désolé. Nous n’en avons plus madame.
– Ah
non…
–
Par contre, je peux vous en conseiller un autre.
–
Allez-y !
–
Comment se contrôler et ne jamais perdre patience. »
Un gros bonnet offre un voyage à la
Martinique à son député.
« – Je ne peux pas accepter. Ça serait une tentative de corruption. Trop
dangereux !
–
Bon, et si je te le vends 50 €.
–
Dans ce cas-là, j’en achète un autre pour ma maîtresse. »
Ça fait plusieurs fois que Jean-Marc passe devant une maison où on
peut lire sur un écriteau : Danger ! Canari !
Un bon matin, sa curiosité le pousse à
sonner à la porte.
« – Monsieur, excusez-moi de vous déranger, mais j’aimerais comprendre le
sens de votre écriteau ?
–
Simple. C’est le canari qui siffle le chien… »
Au cimetière, le vieux Chinois dépose
un bol de riz devant la pierre tombale de sa femme.
Le jardinier du cimetière lui demande…
« – Vous croyez qu’elle va venir manger votre riz ?
– Et
vous, vous pensez vraiment que les morts vont venir humer vos fleurs ? »
Jean-Marc, dans un supermarché,
s’approche d’une très belle femme et lui dit :
« – J’ai perdu ma femme ici, dans ce supermarché. Puis-je discuter un
petit moment avec vous ?
–
Bien sûr, mais pourquoi ?
–
C’est facile. Chaque fois que je parle à une jolie fille, ma femme réapparaît
de nulle part ! »
Jean-Marc à Jean-Paul : « Un jour, ma femme m’appelle furieuse sur mon
portable : Alors, vieux soûlard, où es-tu encore ?
Je lui réponds calmement
:
Te
souviens-tu de cette bijouterie où il y a très longtemps tu avais repéré une
superbe bague sertie de diamants. Tu en étais tombée amoureuse et je t'avais
dit : un jour elle sera à toi. À cette époque, je n'avais pas assez d'argent
pour te l'offrir.
Ma
femme émue, presque en sanglotant me dit :
Oh
oui, mon amour, je me souviens !
Eh
bien, je suis dans le bistrot, juste en face… »
Répondeur de Jean-Marc : « Bonjour laissez-nous
votre message après le bip. Et si vous êtes bien pressé laissez le avant… »
Jean-Marc est invité chez des
amis. Ses hôtes sont dans la cinquantaine, et viennent de fêter les noces
d’argent.
Après le repas, pendant que madame
prépare le café, Jean-Marc prend son hôte par le bras, et lui dit sur le ton de
la confidence :
« – Dis donc, tu m’épates, après 25 années de mariage, tu continues à
donner à ta femme des petits noms comme « Ma chérie », « Mon amour », « Mon
bébé ». Vraiment je t’admire !
–
Pour être honnête. J’ai oublié comment elle s’appelle. »
« – Ça va mal.
–
Comment ça ?
–
J’ai prêté 2.500 € à un gars pour qu’il puisse se faire remodeler le visage.
– Et
alors…
– Je
ne sais pas comment me faire rembourser. Je ne le reconnais plus ! »
Lundi à l’atelier, Jean-Marc se plaint à son collègue de travail :
« – J’en ai marre de ce monde d’individualistes. Personne n’est prêt à
lever le petit doigt pour aider son prochain.
–
Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
–
Regarde, ce week-end, mon beau-père est venu manger à la maison. Comme je dois
réparer ma bagnole, je lui demande de me prêter 1.000 euros pour que je puisse la
réparer et ce pourri a dit non.
– Je
te préviens tout de suite ! Moi aussi je suis un pourri ! »
Trois petits vieux, Jean-Marc, Jean-Paul et Jean-Luc, sont
assis au soleil sur un banc et parlent de leurs misères, comme tous les jours…
« – Ah », dit le premier, « ce matin, quand j’ai monté les escaliers, j’ai dû m’arrêter toutes les
trois marches pour souffler !
– Ah
les jambes, les jambes… » se plaignent les trois petits vieux en cœur…
« – Moi », dit le second, « je ne digère plus rien et hier soir j’ai
mangé du poulet, ce matin quand je rotais ça sentait la basse-cour…
– Ah
l’estomac, l’estomac… » se plaignent les trois petits vieux en cœur…
« – Moi, hier soir », dit le troisième, « je me suis retourné vers la Fernande pour la
lutiner un peu. Ben qu’est ce qu’y te prend qu’elle me dit, ça ne fait pas une
heure qu’on a fait l’amour !
– Ah
la mémoire, la mémoire… » se plaignent les trois petits vieux en cœur.
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Que dites-vous de ceci, My Lord ?
RépondreSupprimerhttp://www.viedemerde.fr/article/la-candidature-post-mortem_243254.html
Excellent week-end
Merci !
SupprimerAlors, toujours parmi nous à rechercher votre soulier perdu, Ô sublime Comtesse.
J'en suis ravi, mais je ne suis pas encore Lord.
Ca va venir... peut-être : On ne sait jamais !
Excellente la VDM.
Ceci dit, elle me rappelle celle du "Boss" qui meurt et à son éloge funèbre, le Dégé raconte à l'assistance venue aux obsèques que : "Avec sa disparition, on perd un patron exceptionnel et un excellent collaborateur".
Le gars au dernier rang se tourne vers son voisin : "C'est qui l'excellent collaborateur qui est mort avec lui ?".
Bien à vous et bon week-end à vous aussi !
I-Cube