Je n’ai pas chômé…
Et on commence par les bons mots de Karl Lagerfeld,
complètement déjantés et cruels :
« Si tu
pisses partout, t’es pas Chanel du tout ! »
« Je me
souviens d’une créatrice qui disait que ses robes n’étaient portées que par des
femmes intelligentes. Évidemment, elle a fait faillite. »
« Les
pantalons de jogging sont un signe de défaite. Vous avez perdu le contrôle de
votre vie, donc vous sortez en jogging. »
« Je veux
bien être gentil mais je ne veux pas que ça se voie. »
« Je trouve
les tatouages horribles. C’est comme vivre dans une robe Pucci 24 heures sur 24. »
« Je suis
une sorte de nymphomane de la mode qui n’atteint jamais l’orgasme. »
« Je
publierai mes mémoires après ma mort. Avant je ne peux pas, j’ai trop de
comptes à régler. »
« La
tendance, c'est le dernier stade avant le ringard. »
« Si je
sais combien j'ai sur mon compte bancaire ? Mais c’est une question de pauvre,
ça ! »
« (Pippa Middleton) je n’aime pas son visage, elle ne devrait se montrer que de dos. »
Ah là, il a bien tort. Le visage peut-être, mais le
reste n’est pas mal non plus !
Un enseignant demande à ses élèves :
« Que veut ta mère pour Noël ? »
Un premier élève répond :
« – Elle
veut une machine à coudre.
– Et
toi, petit Pierre, que veut-elle ?
– Moi,
ma mère veut une laveuse à vaisselle. »
Et le grand Jean-Marc
de lancer du fond de la classe :
« – Moi, ma
mère ne veut rien.
–
Comment cela »,
demande l’enseignant ?
« Parce
qu’hier soir, mon père est arrivé complètement bourré, avec une fille dans
chaque bras, et ma mère a dit : « Il ne manquait plus que cela ». »
Un enfant de dix ans pose des questions à sa sœur de 4
ans :
« – Comment
appelait-on le coq avant qu’il ne soit devenu grand ?
– Un
poulet.
– Et le
poulet avant d’être un poulet ? »
La petite sœur hésite et ne peut répondre, alors le
grand frère lui dit :
« Tu sais,
tu en manges presque à chaque matin… »
Alors vivement la petite sœur de répondre :
« Du beurre
d’arachide ! »
Deux cowboys qui accompagnent du bétail dans les
plaines de l’Ouest distinguent la silhouette d’un Indien couché sur le sol. Ils
se rapprochent, et s’approchent doucement de l’indien qui est étendu à plat
ventre, l’oreille collée contre le sol.
Les cowboys s’arrêtent, et l’un dit à l’autre:
« Tu vois
cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de
déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se
trouve. »
À ce moment-là, l’Indien relève la tête et dit:
« – Chariot
couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme, une femme, deux enfants avec
affaires dans chariot.
–
Incroyable ! »
s’exclament en cœur les cowboys.
« Cet
Indien est tout bonnement incroyable ! C’est époustouflant ! Comment peut-il
savoir tout ça ? »
Alors l’Indien relève la tête et dit :
« Chariot
rouler sur moi il y a une demi-heure… »
« Pour une
personne optimiste, le verre est à moitié plein.
Pour
une personne pessimiste, il est à moitié vide.
Pour
l’ingénieur, il est deux fois plus grand que nécessaire. »
Jean-Marc, Jean-Paul et
leur copain un médecin, Jean-Claude, jouent au golf. Ils attendent après un groupe
de golfeurs particulièrement lents.
Au bout d’un moment, Jean-Paul explose et dit :
« Mais
qu’est-ce qu’ils fichent ? Ca fait bien un quart d’heure qu’on attend là ! »
Le toubib intervient, exaspéré lui aussi :
« Je ne
sais pas, mais je n’ai jamais vu des gens s’y prendre aussi mal ! »
Jean-Marc dit alors :
« –
Attendez, voilà un employé du club, on n’a qu’à le lui demander.
Dites-moi,
il y a un problème avec le groupe de devant. Ils sont plutôt lents, non ?
– Ah
oui, c’est un groupe de pompiers aveugles. Ils ont perdu la vue en tentant de
sauver le clubhouse du golf des flammes l’année dernière, alors depuis, on les
laisse jouer gratuitement. »
Le groupe reste silencieux un moment. Jean-Paul dit :
« C’est si
triste… »
Le médecin ajoute :
« Moi, je
vais contacter un copain chercheur en ophtalmologie pour voir ce qu’il peut
faire. »
À ce moment Jean-Marc intervient :
« Mais
alors… Pourquoi ils ne jouent pas la nuit ? »
Un Irlandais appelé Mac-Reynald va voir le médecin
après plusieurs jours de grande fatigue et plusieurs analyses.
Le médecin, après avoir pris connaissance des
résultats des analyses, regarde Mac-Reynald droit dans les yeux et lui dit :
« Vous avez
un cancer avancé au stade terminal et il ne peut être soigné, je vous donne de
2 semaines à 1 mois. »
Mac-Reynald est anéanti par la nouvelle, mais il a une
force de caractère qui l’aide à se relever.
Il sort du cabinet du médecin pour retrouver son fils
qui l’attend.
Mac-Reynald dit :
« Fils, les
Irlandais fêtent quand les choses vont bien et aussi quand elles vont mal.
Dans ce
cas, ça ne va pas bien. J’ai un cancer et je n’ai qu’un court temps à vivre.
Viens avec moi au pub boire quelques bières. »
Après 3 ou 4 bières Mac-Reynald et son fils sont un
peu moins tristes, ils commencent à rire et continuent de boire de la bière.
Quelques vieux amis s’approchent de Mac-Reynald en lui
demandant ce qu’ils fêtent.
Mac-Reynald répond que les Irlandais fêtaient les
bonnes choses et les mauvaises.
Il s’approche pour leur dire qu’il buvait à sa fin
prochaine.
« J’ai
seulement quelques semaines à vivre on m’a diagnostiqué le SIDA. »
Ses amis offrent leurs sympathies et prennent quelques
autres bières avec Mac-Reynald.
Lorsque les amis sont partis, le fils de Mac-Reynald
est un peu confus et demande à son père :
« – Papa tu
m’as dit que tu allais mourir d’un cancer, mais tu viens de dire à tes amis que
tu avais le SIDA
– Je
vais mourir du cancer, fils. Je veux seulement qu’aucun de ces bâtards couchent
avec ta mère quand je ne serai plus là. »
« Il est
temps de faire un régime quand :
– Vos
amis attendent que vous plongiez dans la piscine pour surfer.
– Vous
devez appliquer votre maquillage avec un rouleau de peinture.
– Les
Weight Watchers exigent votre démission.
– Vous
vous pesez sur un pèse-personne de pharmacie, et la balance dit : « Une
personne à la fois ! »
– Votre
visage est tellement plein qu’on a l’impression que vous portez des lentilles de
contact avec monture d’écailles.
– À
l’école, lorsque vous montez sur l’estrade, vous effacez tout le tableau rien
qu’en vous retournant.
– À
votre mariage, on vous balance du riz soufflé. »
Jean-Marc arrive dans
un bar avec sa femme et demande:
« Une bière
s.v.p. »
Il la boit et
demande :
« Une autre
s.v.p., avant que ça commence. »
Le barman lui sert une autre bière.
Il la boit encore et demande à nouveau :
« Une autre
avant que ça commence… »
Le même manège se répète plusieurs fois.
Et à un moment, la femme dit à son mari :
« Chérie,
ça fait 7 bières que tu bois, tu ne crois pas que tu as assez bu ? »
Et Jean-Marc regarde le barman en disant :
« Et voilà,
ça commence ! »
Louis et Claire sont deux amoureux qui, un beau jour,
décident de rompre.
Deux catastrophes se produisent alors :
– Claire est devenue sourde depuis qu’elle a perdu
Louis.
– Louis est devenu aveugle depuis qu’il ne voit plus
Claire…
À la maternité, Jean-Marc
remarque un homme anxieux attend dans le couloir.
Un médecin s’approche…
« – J’ai
une bonne, et peut-être moins bonne nouvelle : Ce sont des jumeaux.
– Mais
ce n’est pas une mauvaise nouvelle, et puis je m’y attendais un peu car pour
tout vous dire, j’en ai une grosse comme une cheminée.
– Vous
devriez ramoner votre cheminée parce qu’ils sont noirs. »
Une maman et son fils de onze ans entrent dans l’immeuble
de la Sécurité Sociale.
Le bâtiment est vraiment gigantesque et l’enfant
demande :
« Maman, il
y a combien de personnes qui travaillent ici ? »
Et la maman répond sans hésiter :
« Oh, je ne
sais pas moi, peut-être la moitié… »
C’est le printemps ! Les bourgeons éclatent et le
soleil refait son apparition et brille de tout son éclat. Jean-Philippe, vieux
paysan de la France profonde rentre des champs.
Arrivé à son domicile, il va directement dans sa
chambre à coucher et crie :
« – Allez
la Marie Hop ! Fous-toi complètement à poil !
– Mais
qu’est-ce qu’il t’arrive ? » dit-elle alors toute étonnée !
« – Cela
fait bien 10 ans que tu ne m’as plus fait l’amour.
– Ne
réfléchis pas ! Allez ! Hop ! Déshabille-toi que je te dis ! Je ne peux plus
tenir ! »
La Marie est toute excitée de voir que son mari
s’intéresse pour une fois à elle et s’exécute immédiatement.
« – Ca y
est.
– T’as
tout enlevé ? T’es bien toute nue ?
– Oui,
ça y est je suis toute à toi !
–
POISSON D’AVRIL ! »
Dicton la petite semaine
Lundi : Tu ne fous rien parce que c’est le lendemain
du week-end…
Mardi : Tu ne fous pas grand-chose parce que c’est le
lendemain du lundi.
Mercredi : Tu t’énerves pas parce qu’il faut bien se
reposer un peu…
Jeudi : C’est déjà trop tard pour commencer à
travailler.
Vendredi : T’as autre chose à faire qu’à bosser la
veille du week-end.
Les « revenues » pour terminer :
Jean-Marc va chez le
psychanalyste.
Le praticien lui fait un test de Rorschach.
Il montre à son patient un cercle avec un point à
l’intérieur et demande :
« Que
voyez-vous ? »
Jean-Marc répond :
« Deux
personnes en train de faire l’amour au milieu d’une pièce circulaire. »
Le psychanalyste montre à Jean-Marc un autre dessin
qui est un carré avec un point à l’intérieur :
« Que
voyez-vous ? »
Il répond :
« Deux
personnes en train de faire l’amour au milieu d’une pièce carrée. »
Le psychanalyste montre un troisième dessin qui est un
triangle avec un point à l’intérieur :
« Que voyez-vous
maintenant ? »
Jean-Marc répond :
« Docteur,
vous ne seriez pas un peu pervers ? »
C’est une jeune fille qui fait une sortie amoureuse
avec Jean-Marc pour la toute
première fois…
La jeune fille :
« Tu sais,
ma mère m’a fait jurer de répondre « non » à toutes tes demandes ! »
Jean-Marc :
« Ah… Alors
dans ce cas … ça te dérange, si on baise ? »
Bon week-end à toutes et tous !
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