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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 29 septembre 2017

Collecte de l’été 2017 (1)


Je n’ai pas chômé…
 
Et on commence par les bons mots de Karl Lagerfeld, complètement déjantés et cruels :
 
« Si tu pisses partout, t’es pas Chanel du tout ! »
 
« Je me souviens d’une créatrice qui disait que ses robes n’étaient portées que par des femmes intelligentes. Évidemment, elle a fait faillite. »
 
« Les pantalons de jogging sont un signe de défaite. Vous avez perdu le contrôle de votre vie, donc vous sortez en jogging. »
 
« Je veux bien être gentil mais je ne veux pas que ça se voie. »
 
« Je trouve les tatouages horribles. C’est comme vivre dans une robe Pucci 24 heures sur 24. »
 
« Je suis une sorte de nymphomane de la mode qui n’atteint jamais l’orgasme. »
 
« Je publierai mes mémoires après ma mort. Avant je ne peux pas, j’ai trop de comptes à régler. »
 
« La tendance, c'est le dernier stade avant le ringard. »
 
« Si je sais combien j'ai sur mon compte bancaire ? Mais c’est une question de pauvre, ça ! »
 
« (Pippa Middleton) je n’aime pas son visage, elle ne devrait se montrer que de dos. »
 
Ah là, il a bien tort. Le visage peut-être, mais le reste n’est pas mal non plus !
 
Un enseignant demande à ses élèves :
« Que veut ta mère pour Noël ? »
Un premier élève répond :
« – Elle veut une machine à coudre.
– Et toi, petit Pierre, que veut-elle ?
– Moi, ma mère veut une laveuse à vaisselle. »
Et le grand Jean-Marc de lancer du fond de la classe :
« – Moi, ma mère ne veut rien.
– Comment cela », demande l’enseignant ?
« Parce qu’hier soir, mon père est arrivé complètement bourré, avec une fille dans chaque bras, et ma mère a dit : « Il ne manquait plus que cela ». »
 
Un enfant de dix ans pose des questions à sa sœur de 4 ans :
« – Comment appelait-on le coq avant qu’il ne soit devenu grand ?
– Un poulet.
– Et le poulet avant d’être un poulet ? »
La petite sœur hésite et ne peut répondre, alors le grand frère lui dit :
« Tu sais, tu en manges presque à chaque matin… »
Alors vivement la petite sœur de répondre :
« Du beurre d’arachide ! »
 
Deux cowboys qui accompagnent du bétail dans les plaines de l’Ouest distinguent la silhouette d’un Indien couché sur le sol. Ils se rapprochent, et s’approchent doucement de l’indien qui est étendu à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.
Les cowboys s’arrêtent, et l’un dit à l’autre:
« Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve. »
À ce moment-là, l’Indien relève la tête et dit:
« – Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan.  Un homme, une femme, deux enfants avec affaires dans chariot.
– Incroyable ! » s’exclament en cœur les cowboys.
« Cet Indien est tout bonnement incroyable ! C’est époustouflant ! Comment peut-il savoir tout ça ? »
Alors l’Indien relève la tête et dit :
« Chariot rouler sur moi il y a une demi-heure… »
 
« Pour une personne optimiste, le verre est à moitié plein.
Pour une personne pessimiste, il est à moitié vide.
Pour l’ingénieur, il est deux fois plus grand que nécessaire. »
 
Jean-Marc, Jean-Paul et leur copain un médecin, Jean-Claude, jouent au golf. Ils attendent après un groupe de golfeurs particulièrement lents.
Au bout d’un moment, Jean-Paul explose et dit :
« Mais qu’est-ce qu’ils fichent ? Ca fait bien un quart d’heure qu’on attend là ! »
Le toubib intervient, exaspéré lui aussi :
« Je ne sais pas, mais je n’ai jamais vu des gens s’y prendre aussi mal ! »
Jean-Marc dit alors :
« – Attendez, voilà un employé du club, on n’a qu’à le lui demander.
Dites-moi, il y a un problème avec le groupe de devant. Ils sont plutôt lents, non ?
– Ah oui, c’est un groupe de pompiers aveugles. Ils ont perdu la vue en tentant de sauver le clubhouse du golf des flammes l’année dernière, alors depuis, on les laisse jouer gratuitement. »
Le groupe reste silencieux un moment. Jean-Paul dit :
« C’est si triste… »
Le médecin ajoute :
« Moi, je vais contacter un copain chercheur en ophtalmologie pour voir ce qu’il peut faire. »
À ce moment Jean-Marc intervient :
« Mais alors… Pourquoi ils ne jouent pas la nuit ? »
 
Un Irlandais appelé Mac-Reynald va voir le médecin après plusieurs jours de grande fatigue et plusieurs analyses.
Le médecin, après avoir pris connaissance des résultats des analyses, regarde Mac-Reynald droit dans les yeux et lui dit :
« Vous avez un cancer avancé au stade terminal et il ne peut être soigné, je vous donne de 2 semaines à 1 mois. »
Mac-Reynald est anéanti par la nouvelle, mais il a une force de caractère qui l’aide à se relever.
Il sort du cabinet du médecin pour retrouver son fils qui l’attend.
Mac-Reynald dit :
« Fils, les Irlandais fêtent quand les choses vont bien et aussi quand elles vont mal.
Dans ce cas, ça ne va pas bien. J’ai un cancer et je n’ai qu’un court temps à vivre. Viens avec moi au pub boire quelques bières. »
Après 3 ou 4 bières Mac-Reynald et son fils sont un peu moins tristes, ils commencent à rire et continuent de boire de la bière.
Quelques vieux amis s’approchent de Mac-Reynald en lui demandant ce qu’ils fêtent.
Mac-Reynald répond que les Irlandais fêtaient les bonnes choses et les mauvaises.
Il s’approche pour leur dire qu’il buvait à sa fin prochaine.
« J’ai seulement quelques semaines à vivre on m’a diagnostiqué le SIDA. »
Ses amis offrent leurs sympathies et prennent quelques autres bières avec Mac-Reynald.
Lorsque les amis sont partis, le fils de Mac-Reynald est un peu confus et demande à son père :
« – Papa tu m’as dit que tu allais mourir d’un cancer, mais tu viens de dire à tes amis que tu avais le SIDA
– Je vais mourir du cancer, fils. Je veux seulement qu’aucun de ces bâtards couchent avec ta mère quand je ne serai plus là. »
 
« Il est temps de faire un régime quand :
– Vos amis attendent que vous plongiez dans la piscine pour surfer.
– Vous devez appliquer votre maquillage avec un rouleau de peinture.
– Les Weight Watchers exigent votre démission.
– Vous vous pesez sur un pèse-personne de pharmacie, et la balance dit : « Une personne à la fois ! »
– Votre visage est tellement plein qu’on a l’impression que vous portez des lentilles de contact avec monture d’écailles.
– À l’école, lorsque vous montez sur l’estrade, vous effacez tout le tableau rien qu’en vous retournant.
– À votre mariage, on vous balance du riz soufflé. »
 
Jean-Marc arrive dans un bar avec sa femme et demande:
« Une bière s.v.p. »
Il la boit et demande :
« Une autre s.v.p., avant que ça commence. »
Le barman lui sert une autre bière.
Il la boit encore et demande à nouveau :
« Une autre avant que ça commence… »
Le même manège se répète plusieurs fois.
Et à un moment, la femme dit à son mari :
« Chérie, ça fait 7 bières que tu bois, tu ne crois pas que tu as assez bu ? »
Et Jean-Marc regarde le barman en disant :
« Et voilà, ça commence ! »
 
Louis et Claire sont deux amoureux qui, un beau jour, décident de rompre.
Deux catastrophes se produisent alors :
– Claire est devenue sourde depuis qu’elle a perdu Louis.
– Louis est devenu aveugle depuis qu’il ne voit plus Claire…
 
À la maternité, Jean-Marc remarque un homme anxieux attend dans le couloir.
Un médecin s’approche…
« – J’ai une bonne, et peut-être moins bonne nouvelle : Ce sont des jumeaux.
– Mais ce n’est pas une mauvaise nouvelle, et puis je m’y attendais un peu car pour tout vous dire, j’en ai une grosse comme une cheminée.
– Vous devriez ramoner votre cheminée parce qu’ils sont noirs. »
 
Une maman et son fils de onze ans entrent dans l’immeuble de la Sécurité Sociale.
Le bâtiment est vraiment gigantesque et l’enfant demande :
« Maman, il y a combien de personnes qui travaillent ici ? »
Et la maman répond sans hésiter :
« Oh, je ne sais pas moi, peut-être la moitié… »
 
C’est le printemps ! Les bourgeons éclatent et le soleil refait son apparition et brille de tout son éclat. Jean-Philippe, vieux paysan de la France profonde rentre des champs.
Arrivé à son domicile, il va directement dans sa chambre à coucher et crie :
« – Allez la Marie Hop ! Fous-toi complètement à poil !
– Mais qu’est-ce qu’il t’arrive ? » dit-elle alors toute étonnée !
« – Cela fait bien 10 ans que tu ne m’as plus fait l’amour.
– Ne réfléchis pas ! Allez ! Hop ! Déshabille-toi que je te dis ! Je ne peux plus tenir ! »
La Marie est toute excitée de voir que son mari s’intéresse pour une fois à elle et s’exécute immédiatement.
« – Ca y est.
– T’as tout enlevé ? T’es bien toute nue ?
– Oui, ça y est je suis toute à toi !
– POISSON D’AVRIL ! »
 
Dicton la petite semaine
Lundi : Tu ne fous rien parce que c’est le lendemain du week-end…
Mardi : Tu ne fous pas grand-chose parce que c’est le lendemain du lundi.
Mercredi : Tu t’énerves pas parce qu’il faut bien se reposer un peu…
Jeudi : C’est déjà trop tard pour commencer à travailler.
Vendredi : T’as autre chose à faire qu’à bosser la veille du week-end.
 
Les « revenues » pour terminer :
 
Jean-Marc va chez le psychanalyste.
Le praticien lui fait un test de Rorschach.
Il montre à son patient un cercle avec un point à l’intérieur et demande :
« Que voyez-vous ? »
Jean-Marc répond :
« Deux personnes en train de faire l’amour au milieu d’une pièce circulaire. »
Le psychanalyste montre à Jean-Marc un autre dessin qui est un carré avec un point à l’intérieur :
« Que voyez-vous ? »
Il répond :
« Deux personnes en train de faire l’amour au milieu d’une pièce carrée. »
Le psychanalyste montre un troisième dessin qui est un triangle avec un point à l’intérieur :
« Que voyez-vous maintenant ? »
Jean-Marc répond :
« Docteur, vous ne seriez pas un peu pervers ? »
 
C’est une jeune fille qui fait une sortie amoureuse avec Jean-Marc pour la toute première fois…
La jeune fille :
« Tu sais, ma mère m’a fait jurer de répondre « non » à toutes tes demandes ! »
Jean-Marc :
« Ah… Alors dans ce cas … ça te dérange, si on baise ? »
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
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