On
commence par quelques « revenues »
Je rappelle pour les « béotiens » qui
passeraient par hasard sur ce blog pour la première fois (alors que la rubrique
des « Histoire d’en rire » existe depuis l’origine tous les vendredis des
semaines qui passent), parce que vous avez bien le droit de rigoler un peu
après la semaine d’enfer que vous venez de passer, qu’une « revenue », c’est
une blague qui a déjà été publiée sur ledit blog (même rubrique).
Elle est partie sur le Web, a fait le
tour du monde, parfois plusieurs fois, et m’est « revenue », transformée,
améliorée, enrichie.
Comme ça reste drôle, je vous en fais
part.
C’est Jean-Marc qui rêvait depuis toujours de monter en avion. Un beau
jour, il se rend à l’aéro-club le plus proche et trouve un pilote :
« –
Bonjour. Voilà, je voudrais faire un baptême de l’air car c’est mon rêve depuis
que je suis gamin. Mais attention, je veux des émotions, pas juste le petit
tour pour les touristes.
–
Pas de problème. »
Sur ce, ils montent dans l’avion, un
petit coucou pour faire des acrobaties et décollent.
Le pilote commence par des figures simples
: Une petite vrille, une descente en piqué, un peu de rase-mottes. Derrière
lui, il entend son passager dire :
« Ça,
je m’y attendais ! »
Le pilote se dit : Monsieur est un dur
à cuire, on va corser un peu les choses !
Et il enchaîne les figurent : Descente
en piqué, un looping, deux loopings, trois loopings, il aperçoit un petit pont
au-dessus d’un ruisseau, qu’à cela ne tienne, il passe dessous avec l’avion.
Après cette série, il entend à nouveau
son passager dire :
« Ça
aussi, je m’y attendais ! »
Le pilote décide alors de sortir le
grand jeu : Il coupe les gaz en plein vol, laisse l’avion tourbillonner en
vrille, remet les gaz enchaîne plusieurs loopings, puis à nouveau des vrilles,
retourne l’avion avec une série de tonneaux et vole sur le dos.
À ce moment-là, alors que le pilote en
est à ses propres limites, il entend l’autre dire :
« Ah
! Là… J’aurais pas cru ! »
Et, satisfait, ils finissent par
atterrir.
« –
Ben dites donc, pour quelqu’un qui monte pour la première fois en avion, vous
n’avez pas peur. Je vous entendais dire « Je m’y attendais ».
–
C’est à dire que vous n’avez pas tout compris. La première fois, quand j’ai dit
« Je m’y attendais », c’est que je venais de chier dans mon froc. La deuxième
fois, c’était quand je venais de remettre ça, mais quand l’avion était sur le
dos et que c’est remonté jusque dans mon col, alors là, j’aurais pas cru. »
La revenue de l’été dernier :
Dieu, une femme, décide que la fin du
monde aura lieu dans deux jours. Elle appelle les grands chefs d’États et le
leur annonce.
Elle téléphone à Obama :
« Barack,
c’est terminé. J’en ai marre. La fin du monde, c’est dans 2 jours ! »
Obama s’adresse alors à la nation sur
tous les réseaux de télé américains :
« Peuple
américain, j’ai deux mauvaises nouvelles ; Dieu est une femme et la fin du
monde aura lieu dans 2 jours. »
Dieu appelle Poutine :
« Vladimir,
j’en ai marre. La fin du monde sera dans 2 jours. »
Poutine s’adresse au peuple russe :
« J’ai
deux mauvaises nouvelles ; il y a un dieu et la fin du monde est dans 2 jours.
»
Dieu appelle Sarkozy :
« Nicolas,
c’est terminé. Je n’en peux plus. La fin du monde aura lieu dans 2 jours. »
Sarkozy se précipite à la télévision et
s’adresse à la population :
« Bon
peuple gaulois, j’ai deux bonnes nouvelles à vous annoncer : Dieu me considère
comme un grand chef d’État et François Hollande ne sera jamais élu ! »
Naturellement, vous connaissez la
suite…
Notre bon pape meurt et arrive au ciel
où Saint-Pierre le reçoit et l’amène visiter sa nouvelle demeure : Une petite
chambre bien ordinaire.
Plus tard le bon pape entend du bruit
qui vient de la chambre en face de la sienne.
Il cogne et demande au monsieur s’il
peut visiter sa chambre qui est d’un luxe en dehors de l’ordinaire, vraiment un
lieu à demeurer.
Quand il retourne pour voir St-Pierre,
il lui demande pourquoi lui n’a qu’une petite chambre alors que le voisin d’en
face a tout le luxe possible.
St-Pierre lui répond :
« Voyez-vous
Saint-Père, ici le ciel est rempli de papes et nous n’avons qu’un seul avocat,
alors nous devons faire attention à lui. »
(Dans l’originale, c’est un curé de
campagne qui compare sa chambre avec la somptueuse suite d’un chauffard de
conducteur de bus. Et Saint-Pierre d’expliquer qu’avec ce chauffeur-là, tous
ses passagers passaient leur temps à prier durant leurs voyages, alors que dans
l’église de campagne du curé…)
La scène se passe dans un restaurant du
quartier des banques.
Soudain, un client se lève, et dit :
« – Mon Dieu, j’ai perdu mon
porte-monnaie. J’offre 10 € à celui qui le trouve !
– J’en offre 15 € » surenchérit un
banquier.
(Dans
l’originale, ça s’est réellement passé à Calvi – Balagne, «
Corsica-Bella-Tchi-Tchi » –, au Rex, le bar des légionnaires situé en face du
monument aux morts de la ville. Ce soir-là, soir de solde, tous passablement
éméchés, il y en a un qui lance l’annonce ci-dessus… Il s’en est suivi une rixe
qui a marqué les mémoires…)
Trois sœurs de 8, 10 et 12 ans se
promènent dans le sous-bois près de la maison.
Soudain elles découvrent un couple
d’amoureux qui s’étreint sur le tapis de mousse.
« Mais
le monsieur est en train de la battre ! », dit la plus jeune interloquée.
« Non,
ils font l’amour », réplique celle de dix ans.
« Et
ils le font mal » conclue l’aînée.
Jean-Marc a organisé un
pique-nique pour l’anniversaire de Jean-Paul, mais il a oublié d’inviter
Jean-François.
Pris de remords, il l’invite à la
dernière minute.
« Trop
tard ! J’ai déjà prié pour qu’il y ait un gros orage. »
Ça se passe dans une petite ville de
province.
Une grenouille de bénitier rencontre
son curé après la messe dominicale.
« –
Monsieur le curé, il faudrait faire quelque chose pour Madame Léger, vous
savez, celle que son mari a laissé tomber avec trois enfants sur les bras, pour
aller vivre avec une autre. Elle est misérable. En plus, elle n’arrive plus à
payer son loyer.
–
Hmmm, quelle tristesse. Je vais voir ce que la paroisse peut faire pour elle.
De combien aurait-elle besoin ?
–
Ben, je sais qu’elle a trois loyers de 600 € en retard. C’est ce qu’il faudrait
lui avancer.
–
1.800 € C’est beaucoup ! Bon, Je vais essayer de mettre les fidèles à
contribution. Après tout, un peu de charité chrétienne ne fera de mal à
personne. Mais dites-moi, comment êtes-vous au courant des difficultés de
Madame Léger ? Vous êtes une voisine, ou bien peut-être de sa famille ?
–
Non, non, je suis sa propriétaire. »
Jean-Marc rentre chez lui après le
travail.
Sa femme est sortie pour la soirée, il
prépare son souper.
Après, il rince sa vaisselle et voit un
mot sur le lave-vaisselle :
« PROPRE MAIS PAS VIDÉ ! »
Alors il vide le lave-vaisselle.
La soirée passe, puis il se prépare à
aller se coucher.
Il va prendre sa douche, se couche dans
le lit et se colle le papier sur le front.
« PROPRE MAIS PAS VIDÉ ! »
Jean-Paul fait l’amour à sa femme. Puis
il allume la lampe et se tourne vers elle.
« –
Est-ce que je t’ai fait mal ?
–
Non ! Pourquoi tu me demandes ça ?
–
Parce que tu as bougé. »
Deux gars toxicomanes, des vraies
pestes, emmerdent tout le village avec leurs folies.
Par contre, ils assistent à la messe
tous les dimanches, et donnent généreusement à la quête en espérant se racheter
ainsi.
Un beau jour, un des deux frères meurt.
La veille des funérailles, le survivant
visite le curé.
« – Je vais vous faire un chèque d’un beau
montant qui vous permettra de finir la réfection du clocher, mais à une
condition…
–
Laquelle ?
– Il
faudra dire, pendant l’office, que mon frère était un saint. »
Après réflexion, le curé donne son
accord et encaisse le chèque.
Le lendemain, au cours de la cérémonie,
le curé fait l’éloge funèbre et commence par ces mots :
« Cet
homme était habité par le diable. Il trompait sa femme, on l’a soupçonné
d’avoir allumé plusieurs incendies dans le village, il était violent… »
Le curé parle comme ça pendant
plusieurs minutes… et termine par :
« Mais,
en conclusion, comparé à son frère, cet homme était un saint ! Que Dieu ait son
âme ! »
Allez, sans rancune aucune : Bon
week-end à toutes et à tous !
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