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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

samedi 5 août 2017

Ultime récit : Chapitre double-zéro


Je plains mon biographe !

Si un jour il existe…
Le pôvre : Il va me penser totalement schizophrène, jouant de plusieurs personnalités, la vraie qui reste « anonyme » pour la plupart – mais c’est avec bien des difficultés et nombre de sueurs-froides – et puis celle « en ligne ».
Mais s’il n’y avait que ces deux-là, encore…

Non, il y a aussi mes personnages de « roman-d’été ». Oh pas très nombreux pour être toujours les mêmes à quelques « enrichissements » près, mais tout de même.
En fait, pour l’essentiel et dès l’origine, il s’agit des deux « Charlottes » : Celle dont le nez bouge quand elle parle (un personnage qui existe réellement dans la « vraie-vie ») et Paul de Bréveuil, un personnage fictif.
Une sorte de « projection » de moi-même. En mieux, bien naturellement : Beau, grand, fort, intelligent, etc.
Un peu mon contraire, finalement : Je suis moche, gros (quoique…), faible et kon.
Passons…

« Mes » personnages, je les ai créés il y a bien longtemps. Très choqué par l’incendie qui a ravagé les abords de Calvi (Balagne) dans les années 80, c’était alors facile d’imaginer un « épisode » où ce feu aurait été déclenché pour quelques malversations à inventer.
Le problème du moment, c’était d’avoir des « acteurs » crédibles à mettre en scène et là, j’ai ramé durant des années pour les « mettre au points ».
Les choses se sont précisées au fil du temps : Toujours à Calvi, une jeune-femme tombe des remparts. Des gens peuvent-ils encore en tuer d’autres, voire se tuer eux-mêmes ?
J’avoue avoir écouté longuement son père raconter son histoire : C’était poignant.
Et puis le mien à moi-même (de père, celui qui me fait encore frémir quand je l’évoque) a été abattu…
Il m’a fallu des années, deux décennies exactement, d’enquête personnelle pour comprendre ce qu’on ne voulait pas me dire, pour toucher ce qui avait été caché aux juges.
J’en ai fait un « papier » d’environ 60 pages pour « ma nichée » et celle de ma « petite-sœur », pour qu’un jour les enfants aussi sachent qui était leur grand-père…
Là, le besoin d’écrire s’est ancré profondément : Trace des lignes, il en restera forcément quelque chose !

Alors j’ai repris le clavier. D’abord pour tenter de finaliser « Le feu », toujours pas terminé. Puis « Le crime était parfait », à peine ébauché. Enfin deux autres actuellement sans titre, racontant l’un la manipulation possible de la justice (un thème abordé comme dans une tentative d’expiation dans « Au nom du père » [tome I et tome II]) de mon pôvre parcours personnel et ses longues blessures ; et l’autre sur une tentative d’escroquerie à l’assurance.
J’y reviendrais peut-être si Dieu m’en donne le temps et l’envie.

Car entre-temps, je déblogue sur un premier blog en relation avec l’Institut de l’entreprise. On est à une époque où « Le Chi » est finissant et il s’agit de doter le pays d’une force politique positive pour le faire avancer. Et j’y crois, kon que je suis (vous étiez prévenus depuis l’origine…).
Normal : Je suis engagé dans la vie politique depuis « tout-jeune », Gaulliste de conviction et par atavisme familial. Je n’en ai pas honte, au contraire.
Mais déjà, je sens que le destin de mon pays lui échappe.
Alors je compense : Je blogue.
Une fois, puis une autre fois dans la même année sur « Over-blog », puis une troisième fois sur cette plateforme-ci.
C’est l’occasion d’affirmer un style d’écriture, de corriger ses principaux défauts et je deviens « mûr » pour écrire mon premier vrai roman : « Opération Juliette-Siéra » !
Que je n’aurai jamais dû écrire, tellement il m’a entrainé loin de ce qui me plaisait vraiment.
Et qui n’est pas vraiment un roman d’ailleurs, mais une compilation d’informations par ailleurs recoupées. Le récit les remet dans l’ordre pour leur donner un sens.
Il n’y avait d’ailleurs pas beaucoup d’alternatives, pas vraiment le choix : L’écriture s’est imposée d’elle-même et… en utilisant mes fameux « personnages » détournés de leur objectif premier.
Passons…

C’est qu’en 2008, pour passer mes vacances dans les « zones d’ombre » des couvertures « internetiques », sur la plateforme « Overblog », je laisse des photos de mes vacances de l’année précédente en « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
C’est tellement sublime.
Et encore, vous n’avez pas les odeurs…
C’était intéressé : D’abord partager ces images d’une beauté à couper le souffle, mais aussi « préserver » ce que je savais que j’allais perdre tôt ou tard et donc les mettre en ligne pour les récupérer un jour ou l’autre.
C’est que j’écrase un disque dur au moins une fois tous les deux ans et malgré mes efforts pour maximiser mes sauvegardes, je perds un nombre considérable de fichiers. Je crois que les plus anciens sont non pas sur un disque-dur amovible, mais sur une ou deux disquettes Zip (un truc qui n’existe plus et mon lecteur a brûlé avec l’incendie de mon « cruttiu » vénitien de cet hiver) et doivent dater de ma visite des « Grands-voiliers » à Rouen de juillet 2008…
Je rentre et « mes images » ont laissé la place à un récit qui n’est pas de moi : « Paradoxes temporels ».

Naturellement, j’ai d’abord cru à une mauvaise blague d’un de « mes cousins », me promettant de le démasquer l’été suivant et de lui casser la gueule au passage… pour lui expliquer « les bonnes manières ».
Mais je n’ai jamais réussi à l’identifier et encore moins à le corriger… depuis 2009 !
Depuis, j’ai laissé tomber cette quête : Ça ne servirait de toute façon plus à rien.
Et puis ce qu’il y avait de rageant, c’est que ces posts-là, je ne pouvais même pas les effacer…
Incompréhensible : Quand je l’ai fait à plusieurs reprises, ils étaient encore en ligne après la manœuvre !
Il faut en lire le contenu pour tenter d’expliquer : Ils viendraient du futur !
Mais si !
Impossible, incohérent, absurde, bien entendu…
D’autant que j’ai pu repérer plusieurs erreurs, des détails au fil du temps, mais qui montrent bien qu’ils étaient contemporains de 2008 et sûrement pas de plus tard, 9 ou 10 ans plus tard seulement.
Alors plusieurs décennies, probablement pas, à moins que…
Mais c’est de la pure spéculation de ma part.

Une histoire finalement passionnante, mais que j’ai depuis oublié pour « passer à autre chose », les autres « romans-d’été » successifs.
Mais là encore, peut-être inconsciemment, peut-être par déduction logique, j’en suis venu à admettre que peut-être, peut-être seulement, une technologie du futur pourrait manipuler la flèche du temps.
Et pourquoi pas, puisque ce serait la réponse logique à des phénomènes qui se précisent au fil du temps ?
Je laisse « l’Ami-râle » vous expliquer tout ça dans ses commentaires : Il a un site qui fait référence sur le sujet.
Si ça vous intéresse.
Moi, ça me dépasse quelque peu…

Mais je reprends, en fait je nourris l’idée que quelques « mains invisibles », une notion déjà existante chez les antiques philosophes grecs, guident le présent pour s’assurer de l’avènement de leur futur.
J’en ai quand même fait trois « romans-d’été » (ci-avant, le suivant et encore un autre l’été dernier) sur ce sujet et celui qui vient sera le quatrième !
Rien de moins…
Avec quelques exceptions toutefois dans cette succession de rigolades, d’abord « Au nom du père », tome I et tome II, tellement il était long à écrire (et mettre en ligne), à vocation plutôt « autobiographique » (jeter à la poubelle mes « vieux fantômes ») et  « Parcours olympiques ».
Cette fois-là, je me suis vraiment amusé et également instruit dans les grandes profondeurs pour y avoir « bossé » durant toute une année.
Après ce énième essai, promis, je passais à autre chose : Ça me bouffe trop le nerf !
Je ne suis pas fait pour ça et j’ai passé l’âge de me faire emmerder par des choses que je ne maîtrise pas et qui s’imposent à moi…
Ma « révolte » personnelle (à « décortiquer », détricoter par mon biographe éventuel, que je plains bien au passage) !

Mon « Ultime récit ».
Et pour faire aussi kon que possible, eh bien le 20 juin, après une saison épuisante, j’ai mis en ligne « Paradoxes temporels » sur ce site-ci.
J’ai beaucoup hésité : Rien dans le texte d’origine ne fait mention de ces posts-là.
Je « trichais » avec « le futur ».
Notez qu’ils ont déjà été repris par « l’Ami-râle » sur son site exo-sciences (cité ci-avant) et que ça n’a pas changé la face du monde, à ce que je sache…
Peut-être que la plateforme Blogspot de « Gogol » n’existe plus dans le futur au moins autant que celle de Typepad ?
Que ne reste qu’Over-blog ?
Alors pourquoi pas moi ? Pourquoi ne rajouterai-je pas « ma patte » à quelque chose qui s’est si bien greffée sur mon blog-ancien à mon corps défendant ?
À cette occasion, j’ai vu défiler les « robots »… étonné(s) ! Au moins une demi-dizaine à chaque mise en ligne : J’ai remis ces « posts-pirates » à leur date de parution originelle et ça n’a pas arrêté de défiler durant plusieurs heures devant le compteur des « vues » (127 dès le premier jour pour 21 « chapitres » : Je ne postais pas les week-ends à cette époque-là).
Étonnant !

Mais avec une idée précise en tête : Ces posts-là laissent sur votre faim quand vous lisez jusqu’au bout.
Pas de « lieu/place » réservée depuis lors entre-temps.
Avec l’idée de compléter par des chapitres qui vont au-delà, 22, 23, etc.
Ceux-là qui n’existeront effectivement pas, jamais sur « over-blog » !
Et donc pas plus dans « le futur » si on donne du crédit à leur contenu…
Une sorte de défi lancé aux « Mains invisibles » qui nous viendraient potentiellement de… notre futur !
J’adore les « trucs-compliqués » et là, je pose une mine … à retardement…
Qui pourrait « compliquer » à souhait la situation, à moins, hypothèse beaucoup plus probable, que ça fasse finalement « pschitt ! »
Rien que l’idée, ça m’amuse déjà extraordinairement : On a les joies que l’on peut à mon âge avancé, figurez-vous !

Je vous remets dans le contexte : J’ai à peine un mois devant moi pour vous fournir une trentaine de posts qui vous raconte une histoire « qui n’existe pas ».
On part de mai 2016 et on balaye jusqu’à novembre de la même année. Souvenez-vous, il s’est passé plusieurs tremblements de Terre en ces quelques mois : Le « Brexit » certes, quelques attentats de plus, de plus et de trop, l’échec des primaires politiques du pays en vue des échéances de mai et juin 2017, l’élection du 4 novembre 2016 aux USA et la percée historique d’un « délirant-outsider » en la personne de « Mak-Rond ».
Une époque formidable, d’autant que cette histoire-là n’est pas terminée : Elle ne fait que commencer et vous allez le découvrir dans un épisode qui restera à écrire ultérieurement, pour mieux vous surprendre.
Mais là, je ne vous dévoile rien : L’actualité s’en chargera pour moi.

Sur ce, en ce qui me concerne, une fois de plus, « je dégage » vers des cieux lointains où je vais oublier tout ça.
Si Dieu le veut, je reviens en septembre prochain. Mais ce n’est pas si sûr que ça, loin de là !
Faut vous dire que j’en ai un peu marre de « durer autant ».
Et comme la mort, c’est aussi « culturel », « psychologique », il est possible que j’aspire à … être aspiré par les profondeurs de la « Grand-bleue » !
On verra.

En bref, en toute hypothèse, il s’agit bien d’un « Ultime récit ».
Un titre qui s’impose au moment où je trace ces lignes.

Bien à toutes et tous !
Et bonne continuation à vous !

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