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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 4 août 2017

Les dernières de la saison…


Bon retour aux juilletistes !

Un damné téléphone de l’enfer à un copain bienheureux qui a mérité le Paradis :
« – Bah… Ici, cela ne va pas trop mal. Comme on est très nombreux, on travaille à relais deux ou trois heures par jour, pour allumer les feux. Le reste du temps, on se la coule douce.
Et toi, au Paradis, comment va ?
– Ne m’en parle pas », répond l’autre.
« – Un travail fou !
On se lève à six heures, on se couche à minuit.
Je n’en peux plus !
– Mais comment, comment cela se fait-il ?
– C’est à cause de la main-d’œuvre ! Il n’entre jamais personne ici... »

« Hé ! Hé ! Je rentre d’Acapulco.
J’étais en vacances un groupe de collègues du bureau.
La grande Nicole était avec nous.
J’avais jamais remarqué, mais elle est maigre, une affaire épouvantable.
Tellement maigre que le soir, après une journée à se faire cuire au soleil, elle a eu des brûlures d’estomac… »

Pendant un congrès, vous savez, souvent, dans les hôtels, certains congressistes se promènent d’un étage à l’autre, et il arrive que les portes des chambres et des suites soient ouvertes.
Une femme, très sexy, entre dans une chambre, et tombe sur un chauve…
« – Ô mon Dieu ! Je me suis trompée de chambre !
– Non, non, mademoiselle, c’est la bonne chambre, mais 20 ans plus tard. »

La petite vieille arrive au salon funéraire pour prendre les arrangements pour son mari qui vient de mourir.
« – Quel âge avait votre mari, madame ?
– 98 ans… C’est ça, un bon 98 ans. À peine un an de plus que moi.
– Mon Dieu, madame, dans votre cas, ça ne vaut quasiment pas la peine de retourner à la maison ! »

Après cent trente années de mariage, la vie amoureuse de Frankenstein et de son épouse était tombée dans l’impasse.
Chaque nuit, Frankenstein rentrait du boulot, mangeait sa soupe, et, finalement, s’endormait devant le téléviseur.
Madame Frankenstein, déçue par ce train-train, consulte un psy.
« – Il n’est jamais d’humeur à batifoler…
– Essayez un dîner romantique aux chandelles. »
Le lendemain, l’épouse retourne voir le psychologue avec une mine bien triste :
« – Ça n’a rien changé à son état d’esprit. Il s’est encore endormi devant la télé.
– Essayez quelque chose où la séduction prend une part importante. Mettez de la lingerie sexy et attirez-le dans la chambre juste après un repas léger. »
Mais le jour suivant, la femme du monstre revint voir son psy.
« – Votre truc n’a pas fonctionné. Il n’a pas voulu quitter son fauteuil. Il est vissé devant le téléviseur.
– Vous devriez tenter de recréer le moment où, tous les deux, vous avez connu vos premiers émois amoureux ! »
Vingt-quatre heures plus tard, madame Frankenstein revint voir le conseiller en arborant un sourire radieux :
« – Merci, merci, merci ! La nuit dernière, j’ai forcé Franky à sortir dehors. Il y avait un orage avec des éclairs magnifiques. Je n’ai eu à attendre que quelques minutes et c’est arrivé ; il m’a fait l’amour comme si c’était la première fois ! Ça a été formidable !
– Vous avez fait l’amour sous l’orage, au beau milieu de la pluie et des éclairs ?!
– Eh bien, j’avais pris la précaution de relier son sexe à un cerf-volant… »

« Pourquoi une sorcière ne peut pas avoir d’enfants ?
Parce que son mari a des boules de Cristal… »

« – Qu’est-ce que vous aimeriez qu’on dise de vous dans 100 ans ?
– Mon dieu qu’il est en forme pour son âge ! »

Un chien vient de mordre une vieille dame à la jambe.
« Mon dieu, pauvre chien ! Vous rendez-vous compte, obligé de manger des vieux ! »

Les vieux sont souvent malades.
Les hôpitaux sont remplis de vieux qui encombrent les corridors.
« Mon dieu, cest vrai. Ce n’est pas drôle, mais ça les occupe ! »

« – Lui ? On ne sait même pas de quoi il est mort…
– Ah bon…
– Ben, faut dire qu’on ne sait pas non plus de quoi il vivait ! »

« – La dernière chose qui vieillit chez une femme ?
– Son âge ! »

« – C’est mal de traiter un obèse de gros porc…
– Tu as raison…
– Mais par contre je cours plus vite que lui. »

« – Je suis deux régimes en même temps !
– Wow tu veux vraiment maigrir, toi !
– Non ! C’est que je n’arrive pas à manger à ma faim avec un seul régime. »

« Naissance de deux jumelles !
On leur souhaite une longue-vue. »

« Je vis tellement au-dessus de mes moyens que, pour vous dire la vérité, nous faisons chambre à part. »

« C’est quand on commence à payer des pensions alimentaires qu’on réalise combien le temps passe vite… »

« La meilleure façon de ne pas avancer, c’est de suivre une idée fixe. »

« – Quelles sont les lettres qui sont toujours aux toilettes ?
– Ce sont les lettres WC et PQ ! »

C’est l’Halloween, un petit gars se présente sonne à une porte, il est habillé en Rocky.
Une dame ouvre et lui donne quelques bonbons.
Une minute plus tard, il sonne à nouveau.
« – Tu n’es pas le petit Rocky qui est venu il y a une minute ?
– Non, là je suis Rocky 2, m’dame ! »

Jean-Marc dit à sa femme :
« Sais-tu faire un huit avec ta bouche ? »
Sa femme essaye mais n’y arrive pas.
Elle lui répond :
« – Non.
– Tu es bien nulle ! Les poules savent faire un œuf avec leur cul. »

Jean-Marc met des petits chiffons blancs dans son jardin.
Alors Jean-Paul arrive et demande :
« – Pourquoi mets-tu des petits chiffons blancs ?
– C’est pour faire fuir les girafes. »
Jean-Paul répond, interloqué :
« – Mais il n'y a pas de girafes dans le coin.
– C’est normal, vu que je mets des chiffons blancs. »

« – Que font les vaches quand ils ferment les yeux ?
Je ne sais pas !
Du lait concentré, voyons ! »

« – Qui est le plus menteur entre un jardinier ou un boucher ?
– Le jardinier parce qu’il raconte des salades ! »

« – Pourquoi aucun éléphant ne pourra jamais devenir informaticien ?
– Facile : Parce qu'ils ont une peur bleue de la souris ! »

« – Comment appelle-t-on une fleur qui prend sa graine à moitié ?
– Une migraine ! » 

Jean-Marc entre dans un bar :
« – Je peux avoir 2 bières, j’attends ma femme.
– Brune, blonde ou rousse ?
– Ça vous regarde ? »

Jean-Marc, bourré sonne chez un couple à 3 heures du matin.
Le mari finit par demander :
« – C’est qui ?
– Descends, il faut que tu me pousses !
– Comment ça, il faut que je te pousse ? Ça va pas, j’te connais pas et en plus t’es bourré… !
– Descends, il faut que tu me pousses… ! »
La femme finit par dire à son mari :
« Écoute, il est en panne, va le pousser ! »
Alors le mari ouvre la porte et se met à gueuler :
« – T’es où ?
– Là, sur la balançoire… »

Jean-Marc va voir son médecin :
« – Docteur, quel est donc ce médicament que vous m’avez prescrit ? Ça fait une semaine que je le prends et je suis encore plus malade !
– C’est étonnant !
– En plus, le goût est infâme !
– Mais, monsieur, ça ne se…
– Il n’y a pas de mais, je pourrais me le mettre dans le cul, ça me ferait pareil ! »

Un touriste anglais vient passer ses vacances en France.
En arrivant de bonne heure à la plage, il voit déjà quelques baigneurs faisant trempette.
Très poli, il lance un « hello ! » à la cantonade.
Les baigneurs répondent en chœur :
« Elle est bonne ! »

Et on termine la saison par une revenue … bigrement enrichie :

Le petit Jean-Pierre demande à sa maîtresse s’il peut lui parler après le cours.
Elle accepte.
« – Alors, que veux-tu me dire Jean-Pierre ?
– Je pense être bien trop intelligent pour rester dans cette classe, je m'embête. Je voudrais directement passer au lycée. »
Sur ce, le directeur informé, demande à Jean-Pierre s’il veut bien passer des tests.
Le gamin accepte sans hésiter.
Alors le directeur, pour clore l’entretien rapidement, commence le test.
« – Voyons voir Jean-Pierre : 36 x 49 ?
– 1.764 !
– Et le carré de 363 ?
– 131.769, Mr le directeur…
– Capitale du Liechtenstein ?
– Vaduz ! »
Le test continue pendant une demi-heure.
Jean-Pierre ne fait aucune erreur.
À la fin du test le directeur est satisfait, mais la prof demande à son tour, si elle peut lui poser des questions.
Le gamin et le directeur acceptent, la prof commence :
« – Bon, Jean-Pierre… la vache, elle en a 4 et moi j'en ai 2, qu’est-ce que c’est ?
– Les jambes, madame !
– Correct.
– Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ? »
Le directeur est de plus en plus gêné…
« – En Afrique, madame !
– Qu’est-ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ? »
Le directeur ouvre de grands yeux surpris…
« – Des poches, madame !
– Qu'est-ce qui est mou, mais qui devient dur avec les mains d’une femme ? »
Le directeur est de plus en plus étonné, mais avant qu’il ait eu le temps de parler, le gamin répond :
« – Le vernis à ongles, madame !
– Qu'est-ce que les hommes et les femmes ont au milieu des jambes ?
– Les genoux, madame !
– Bien. Et qu’est-ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ? »
Le directeur n’en croit pas ses oreilles…
« – Le lit, madame !
– Parfait. Quelle est la partie de mon corps, qui est souvent la plus humide ?
– Votre langue, madame !
– Quel mot commençant par la lettre « c », désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
– Le ciel, madame ! »
Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, décide d’arrêter le test et s’exclame :
« Ce n'est pas au lycée que je vais t’envoyer, mais directement à l’université !
Même moi, j'aurais tout raté à ce test ! »
Moralité de l’histoire :
C’est avec l’âge que l’on devient pervers…

Bon week-end à toutes et à tous !
Bon retour pour les juilletistes et bonnes vacances pour les aoûtiens, si comme moi, ils laissent la planète à tous les autres !
Peut-être à se retrouver à la rentrée !

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