… à l'exclusion de tous les autres.
Signé Winston Churchill, cet aphorisme est un des plus
inusables du débat politique. « Menuet-Valls », l’éliminé s’en est encore
resservi, le 11 mai dernier, et moi j’en use et abuse à l’occasion.
Une petite histoire personnelle : Il y a quelques
années, « on » me charge, en qualité de mandataire ad hoc, de valoriser une ruine-délabrée
et cachée dans 3 hectares de terrains incultes planté de broussailles (seuls
poussaient encore quelques oliviers souffreteux, signe d’une terre-agricole des
plus pôvres), legs d’un farfelu qui a claqué la fortune familiale en œuvres d’art
diverses tout au long de sa vie (qui a été longue…).
Même les héritiers putatifs ne voulaient pas en
entendre parler, vue les dettes fiscales accumulées et les travaux à envisager…
De prime abord, je cherche alors un « opérateur »
qui pourrait apurer le passif du bidule en transformant le tout en hostellerie
de campagne et de charme, quitte à embellir le castel et céder un bout de
terrain pour y faire une promotion immobilière.
Que nenni : Personne n’en veut dès qu’il s’agit d’aligner
les zéros devant la virgule.
Derrière, encore… mais devant, niet !
Bon, je tourne, j’y retourne et me vient à l’idée d’aller
piquer au ministère de la culture un peu de pognon pour ouvrir un musée en
valorisant l’espace et les collections disparates restées sur place et pas
encore pillées ni trop abîmées.
Bing ! Ça marche.
Je ne sais pas bien pourquoi, mais tout d’un coup, le
conseil municipal y voit un grand intérêt, les commerces locaux aussi, les
autorités ministérielles s’emballent avec quelques photos et, comme par
miracle, des fonds se débloquent pour financer l’étude de faisabilité, payer mes
honoraires et finalement le projet tout entier.
Que même les héritiers putatifs se réveillent !
Bon, je monte un « truc-compliqué » à
souhait (ça, j’aime bien…) où l’héritage « culturel » fait l’objet d’une
cession d’usufruit, l’héritage du bâtiment, d’un bail emphytéotique à réhabilitation,
le tout au bénéfice d’une association à créer dans laquelle je répartis les
sièges d’administrateurs entre les autorités locales, artistiques, la famille
et un comité d’usagers, « les amis du Sieur-Untel » pour administrer
le machin en toute démocratie appliquée et bien comprise.
Je mets en marche la machinerie, monte quelques événements de lancement et tire ma révérence une
fois que ça a bien démarré.
Et pas plus tard que l’autre fois, je suis appelé à la
rescousse, la « démocratie » en place vacille sous l’effet d’un
directeur qui n’en faisait qu’à sa tête, le Président piquait dans la caisse,
une partie des salariés étaient en grève, des administrateurs avaient
démissionné avec fracas devant les difficultés, bref, le boxon, plus de sou et
que des « immatures » qui se tiraient des bourres pas croyables, se
balançaient à la tronche des noms d’oiseau aux coins des couloirs, des invectives,
des dénonciations calomnieuses et j’en passe…
Toujours très démocratiquement, ils sont tous d’accord
(enfin plutôt les « tutelles ») pour me refiler « tous les
pouvoirs » avec mission de rétablir « le fonctionnement normal du
musée ».
Vous ne savez pas, mais moi, les musées et les
grands-magasins où l’on piétine, ça a tendance à me faire monter la tension –
ce qui n’est pas bon pour ce que j’ai – et mon taux de sucre varie
proportionnellement à mon énervement.
De plus, la culture, toujours pour moi, c’est un peu
comme la confiture : On s’en met plein les doigts, ça colle, ça fait sale,
et c’est du poison pour diabétique type II…
Ce en quoi, je sais faire, je veux dire, redresser à
peu près n’importe quelle « chose » qui a une activité économique,
quitte à l’inventer.
Pour ce qui est d’un musée, c’est comme de la vente de
chaussette ou de lessive, il faut se mettre en ordre de marche et faire un peu
de pub. La meilleure astuce n’est d’ailleurs pas de moi, car je l’ai apprise
de chez le patron du Mémorial de Caen : Lui, il faisait distribuer des
entrées gratuites au péage de sortie de l’A13 en venant de Paris.
Il s’en foutait : La billetterie, c’était un
tiers des recettes. Les deux autres tiers, c’était la boutique et le
restaurant. Alors quand il n’y a personne, c’est l’occasion de faire tourner
les deux tiers restant en sacrifiant la billetterie.
Et puis c’était flatteur : Il pouvait annoncer un
demi-million de visiteurs tous les ans, même ceux qui ne profitaient pas de
leur billet gratos, considérés comme émis, donc vendus…
Ceci dit, la première chose qu’on me demande dans
cette mission, c’est de virer les « tchétchènes » et de « verrouiller »
la gouvernance.
Et tiens donc comme je sais y faire …
À la Corse que je leur ai fait ça !
À l’AG de confirmation de mon mandat, où je vous rappelle on ne prend que des résolutions, par oui ou par non, sur le seul ordre du jour que je décide, j’avais choisi
mes administrateurs désignés volontaires, même pas obligés de se déplacer du
moment qu’ils m’envoyaient leur pouvoir – le coup des urnes pleines – et tous
ceux qui votaient contre se sont faits exclure par le Conseil d’administration
(« à la main ») suivant…
Le soir même…
C’était d’ailleurs le lendemain de mon « attentat-vénitien
» : C’est dire s’il ne fallait pas venir me chercher des poux dans la
tête, je n’étais vraiment pas d’humeur.
Pas compliqué, la démocratie, finalement : Il
suffit de respecter les formes !
Peu importe le fond : Franchement, j’adore !
Ne vous en faites pas, je ne compte pas rester indéfiniment.
Juste le temps de faire le ménage, de faire quelques travaux importants, de
remettre au boulot les salariés qui veulent encore bosser et de recruter des
kons pas trop kons pour me remplacer.
Là, la démocratie, quand elle fait faillite, elle débouche tout naturellement sur du
despotisme.
Éclairé, espère-je seulement, de ma part.
Ailleurs, hein, advienne ce que pourra.
Ailleurs, hein, advienne ce que pourra.
Mais ça pourrait virer dictature, façon Ceausescu, dictature
personnelle… sauf que je sais comment ça se termine : Devant un poteau !
Et que ma peau ne vaut pas grand-chose peut-être, mais
c’est la mienne et j’y tiens encore un peu, en tout cas plus que les statuts de
marbres et les toiles de maître qui décorent les salles dudit musée :
Mourir pour de l’art, je n’ai pas encore le virus (et que Dieu m’en garde…),
très peu pour moâ.
Des idées, à la rigueur, mais alors, comme disait le « Grand
Georges », de « mort len-en-en-te ».
Dans les faits, la « démocratie », on peut
finalement en faire n’importe quoi à la différence de tous les autres systèmes de
gouvernement : C’est sa supériorité invraisemblable.
Tout ça pour vous expliquer que les tartuffes qui vous
assiègent de leurs délires pour obtenir vos suffrages dans quelques semaines,
connaissent parfaitement tous ces rouages.
Normal, ils en vivent (avec vos impôts).
Et qu’il faut rappeler le contexte dans lequel Winston
Churchill a prononcé son célèbre aphorisme.
Ainsi de rappeler que ce grand connaisseur de la chose
politique, n’était pas, comme on pourrait le croire, le dirigeant tout-puissant
d’une démocratie britannique qui a gagné la Seconde Guerre mondiale face aux
dictatures.
Mais un leader déchu !
Il lance sa phrase le 11 novembre 1947 à la Chambre
des communes alors qu’il n’est plus « que » leader de l’opposition, après avoir
été, à la surprise générale, largement battu lors des législatives de juillet
1945 par les travaillistes.
Il reproche alors à un gouvernement qui s’enfonce dans
l’impopularité de chercher à diminuer les droits du Parlement en amenuisant le
pouvoir de veto de la Chambre des Lords, la deuxième Chambre du Parlement.
« Comment l’honorable
gentleman conçoit-il la démocratie ? Laissez-moi la lui expliquer, M. le
président, ou au moins certain de ses éléments les plus basiques.
La
démocratie n’est pas un lieu où ou obtient un mandat déterminé sur des promesses,
puis où on en fait ce qu’on veut. Nous estimons qu’il devrait y avoir une
relation constante entre les dirigeants et le peuple. ‘‘Le
gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple’’, voilà qui reste la définition souveraine de la démocratie !
(…) Démocratie,
dois-je expliquer au ministre, ne signifie pas ‘‘Nous avons notre majorité,
peu importe comment, et nous avons notre bail pour cinq ans, qu’allons-nous
donc en faire ?’’. Cela n’est pas la
démocratie, c’est seulement du petit baratin partisan, qui ne va pas jusqu’à la
masse des habitants de ce pays.
(…) Ce n’est pas
le Parlement qui doit régner ; c’est le peuple qui doit régner à travers le Parlement.
(…) Beaucoup de
formes de gouvernement ont été testées, et seront testées dans ce monde de
péché et de malheur. Personne ne prétend que la démocratie est parfaite ou
omnisciente. En effet, on a pu dire qu’elle était la pire forme de
gouvernement à l’exception de toutes celles qui ont été essayées au fil du
temps ; mais il existe le sentiment, largement partagé dans notre pays, que
le peuple doit être souverain, souverain de façon continue, et que l’opinion
publique, exprimée par tous les moyens constitutionnels, devrait façonner,
guider et contrôler les actions de ministres qui en sont les serviteurs et non
les maîtres. »
Là, j’adore…
Le maître n’est rien d’autre que l’humble serviteur.
Le serviteur de l’intérêt supérieur du peuple qu’il
sert et représente.
Moâ, quand je joue au despote dans ma petite sphère de
compétence avérée, c’est « l’esprit-boutique » que je sers…
Ses financeurs, ses ayants-droit, ses salariés, la
communauté dans laquelle elle est installée.
Et quand on l’oublie pour servir son propre égo, même
surdimensionné, on galope vers la catastrophe.
Les prétendants, tous les prétendants, les présents et
les passés, tout comme les futurs, à toute « haute-fonction » ne
devraient jamais l’oublier et ne servir que le peuple dans son entier et jamais
aucunement leurs propres convictions…
« Un groupe
d’hommes qui a le contrôle de la machine et une majorité parlementaire a sans
aucun doute le pouvoir de proposer ce qu’il veut sans le moindre égard pour le
fait que le peuple l’apprécie ou non, ou la moindre référence à sa présence
dans son programme de campagne.
(…) Le parti
adverse doit-il vraiment être autorisé à faire adopter des lois affectant le
caractère même de ce pays dans les dernières années de ce Parlement sans aucun
appel au droit de vote du peuple, qui l’a placé là où il est ?
Non,
Monsieur, la démocratie dit : ‘‘Non, mille fois non. Vous n’avez pas le droit de
faire passer, dans la dernière phase d’une législature, des lois qui ne sont
pas acceptées ni désirées par la majorité populaire’’. (…) »
Auriez-vous mieux compris pourquoi « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
n’a pas à défendre un bilan ?
Dommage, parce qu’il paraît que même sur le front de l’emploi,
tout le monde s’extasie…
Notez que 200.000 créations d’emploi après en avoir
détruits 600.000, ce n’est pas vraiment la gloire.
Pareillement pourquoi « Menuet-Valse » n’a
même pas passé le cap des primaires après sa loi « El-Konnerie »
imposée aux forceps…
Et que son parti va en mourir aux prochaines
législatives après avoir accouché d’un mutant qui reçoit l’appui d’un
Bloomberg, ex-maire milliardaire de New-York dans la foulée de l’ex des
parigots-bobos, et qui fait une OPA sur les militants-soces…
Bien sûr, le discours de Churchill, qui cherche ici à
la fois à défendre les droits de la Chambre des lords (héréditaire) et du
peuple britannique (pour qui il réclame des élections anticipées), n’était pas
exempt d’opportunisme.
Bien sûr, tout cela ne nous dit pas ce qu’il penserait
de l’article 49.3 de notre Constitution.
Mais cela nous rappelle en tout cas que le contexte
des « grandes phrases » historiques est souvent plus compliqué que ce que
laisse voir une simple formule frappante et qui sonne bien.
Ceci dit, l’homme-sage apprend du passé. Et c’est
celui qui n’en fait qu’à sa tête que son destin abandonne en chemin.
À méditer.
J’adore Churchill, ce type était extraordinaire.
RépondreSupprimerCela me fait penser que cela fait très longtemps que l’on n’a pas eu de nouveaux héros. Mais où se terrent-ils ?
En tout cas, vous nous livrez là une très belle et parfaite démonstration du principe démocratique et de ses limites.
Et puis, voilà ce qui arrive quand on prend des raccourcis, les têtes tombent, mais le canard court toujours...
ComtesseÔPiedNu
Et pourtant, je ne "théorise" pas : Je fais.
SupprimerBon, à ma façon et sans honte dès lors que c'est pour la bonne cause.
Mais attention, la fin ne justifie pas toujours n'importe quel moyen. Il faut savoir garder raison.
Et surtout savoir se tirer de là en laissant une situation "propre" et gérable par quelques imbéciles qui sortent un peu du lot, parce que d'une part personne n'est éternel et qu'à la fin, ça n'est même plus drôle...
Comme vous le pressentez, de toute façon le "pouvoir" s'use et si l'on ne veut pas terminé "raccourcis", il ne faut pas rester, ne pas s'accrocher.
C'est en général par là que les fats pèchent.
D'ailleurs, souvent c'est à cela qu'on les reconnait.
Mais pas seulement...
En attendant, c'était un post promis à "l'Ami-Râle" et qui me ravit de vous savoir émerveillée : Vous le valez bien, Ô Comtesse au pied dénudé !
Bien à vous !
I-Cube
L'Angleterre, la mère des parlements. Sont étonnants ces anglais. Auj, leur ministre du budget est en difficultés car il revient sur une promesse de campagne des tories!
RépondreSupprimerAbsolument. D'autant mieux dans un pays de "common-law".
SupprimerDe droit "non-écrit". Je rappelle qu'ils n'ont pas besoin de constitution, eux.
Or, souviens-toi ne notre déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen : "Un pays qui n'a pas de constitution... etc..
Etonnant, pour des esprits continentaux de droit écrit depuis l'empire Romain.
Bien à toi !
I-Cube
Merci pour ce billet qui rappelle les bases d’une démocratie.
RépondreSupprimerOui !...
Les élus sont là pour servir le peuple.
Et pas pour se servir…
Chez nous, il y a quand même du travail !...
Quand le pouvoir est confisqué par une structure mafieuse, où les dirigeants se remplissent les poches en faisant des cours de morale, on arrive à un moment à un « ras-le-bol » des citoyens, à des craquements du système, et même, parfois à son effondrement.
On y est.
D’où la nécessité de redresser la situation, repartir sur de nouvelles bases plus saines.
C’est ce que vous avez fait pour une association.
Il n’y a plus qu’à le faire pour un pays, encore faudrait-il trouver des spécialistes du redressement d’une démocratie qui va à « vau-l’eau » !...
Et pour l’instant, il n’y a pas grand monde…
De toute façon, il en faudra un assez kouillu pour divulguer le détournement des fonds de la division Daguet, détournés par « Mythe-Errant », et mettre le système à plat, faire des réformes, et laisser le peuple gouverner plus directement.
Par des référendums et même le tirage au sort des sénateurs parmi des citoyens volontaires !...
On n’en est pas encore là…
Bien à vous !...
Haddock
Oui enfin moâ, c'est juste - dans le cas cité - un musée sous forme d'institut associatif, un truc qui n'appartient à personne (même si c'est provisoirement 99 ans...) pour l'heure.
SupprimerEt j'ai transformé un système "démocratique" en système despotique.
Finalement, c'est assez facile...
Mais c'est une habitude de "redresseur d'entreprises" (commerciale et/ou industrielle) : T'es pas là pour peindre la girafe en vert, mais pour remettre les gens au travail et ce n'est pas si simple qu'on veut bien le croire...
Pour un pays, surtout avec une longue histoire républicaine, finalement, je ne suis pas sûr que ce soit possible de la même façon : La preuve, le "despotisme" est obligé de se parer des vêtements de la démagogie (et non la démocratie) et se transforme vite-fait en "système-mafieux" qui met en coupe-réglée des pans entiers de l'économie du pays, par "petits-bouts".
Un vrai cancer.
Alors quant à trouver un assez "kouillu" pour faire "le sale-boulot", si les prétendants sont forcément nombreux, y'en a aucun à la hauteur des enjeux.
Dommage...
Probablement qu'il faudra attendre que l'ensemble s'effondre, qu'en sortent quelques sanguinaires et qu'ensuite les gamins y aillent avec leur ingénuité.
Juste pour un nouveau tour.
Merci d'être passé et bien à vous !
I-Cube
Donc, si je vous suis bien, il vous est plus facile de faire fonctionner les choses d'une manière despotique plutôt que démocratique ... Dont acte!
RépondreSupprimerEn outre, selon vous, un Etat ne saurait fonctionner sur une base autre que démocratique ... Dont acte!
Une fois de plus, vous n'avez rien compris avec vos gros sabot !
SupprimerOlus facile... pour moâ et seulement moâ, de prendre en charge la direction et les responsabilités de redresser une activité ou une entreprise en se passant d'un contrôle réellement démocratique (où tout serait discuté et débattu, sans même espérer former "consensus").
Genre, il y a un incendie, on fait quoi ? On prend un extincteur, une couverture ou on le laisse se développer pour ne pas déranger les pompiers pour rien : Faut en discuter ! AG de tout le personnel dans le réfectoire...
C'est plus clair, là ?
En revanche, je n'ai jamais dit, je ne sais pas où vous avez pu lire ça, qu'un Etat, une Nation, un pays "ne saurait fonctionner sur une base autre que la démocratie"...
Vous savez quoi ?
Vous êtes un gars extrêmement dangereux, finalement !
Voire d'une des pires espèces...
Bien à vous !
I-Cube
Ah bon? Ce n'est pas bien que de vouloir qu'un Etat ne puisse fonctionner QUE sur une bas DEMOCRATIQUE? Selon vous, il faut aussi envisager qu'un Etat puisse fonctionner sur une base despotique?
RépondreSupprimerRelisez bien la réponse que vous m'avez faite ... Je vous fait le compliment que vous êtes un démocrate et vous me taxez, en retour, d'être un gars extrêmement dangereux!
C'est à n'y plus rien comprendre!
C'est le coup de la double négation : Vous êtes perdu et vous parvenez à comprendre tout à l'envers...
SupprimerQuand je vous dis que vous êtes un citoyen dangereux, en voilà la preuve, comme d'une auto-démonstration.
Splendide...
Où avez-vous vu que j'approuve de façon exclusive l'une ou l'autre de vos affirmation (négatives d'ailleurs...) ?
Bon courage à vous !
I-Cube