Les revenues du moment.
Un jeune homme fait de l’autostop pour partir en
vacances.
À peine installé, une première voiture, une limousine,
s’arrête.
Une porte s’ouvre et le conducteur demande à l’autostoppeur
s’il a voté à gauche ou à droite à la dernière élection présidentielle.
« J’ai voté
à droite », répond le jeune homme.
La porte se ferme et la superbe limousine s'éloigne en
trombe ...
Cinq minutes après, une deuxième voiture, une Ferrai,
s’arrête.
Là encore, la porte passager s’ouvre et le conducteur
demande à l'autostoppeur s’il a voté à gauche ou à droite à la dernière
élection présidentielle.
« J’ai voté
à droite », répond encore le jeune homme.
De nouveau, la porte se referme immédiatement et la
superbe F40 poursuit sa route sans lui …
Tout ça est très surprenant et laisse notre jeune
perplexe …
Quelques minutes plus tard, un superbe Z4 décapotable
de la célèbre marque bavaroise s’arrête et rebelote …
La porte passager s’ouvre et le conducteur demande à
l'autostoppeur s’il a voté à gauche ou à droite à la dernière élection
présidentielle.
« J’ai voté
à gauche », répond alors le jeune homme.
La conductrice, une superbe blonde l’invite alors à
monter à ses côtés.
Courtement vêtue, très jolie, elle provoque l’émoi de notre
autostoppeur qui se dit en lui-même : Bon sang, cela fait à peine 5 minutes que
je suis socialiste et j’ai déjà envie de baiser quelqu’un !
Vous aurez noté que celle-là, elle date d’au moins 5 à
7 ans.
Mais dans l’originale, sous l’époque de « Bling-bling »,
le jeune autostoppeur était « soce » et finit par dire qu’il vote à
droâte…
Un homme entre dans un bar super high-tech, de 4ème
génération, avec écrans plasma et claviers digitalisés de partout. En plus c'est
un robot qui sert à boire. L’homme s'installe confortablement et, dans la nano
seconde qui suit ,le barman-robot s’approche et lui demande :
« Quel est
votre QI ? »
L’homme répond : 150.
Alors, le robot lui sert un Whisky de 18 ans d'âge, et
entame la conversation sur le réchauffement climatique, l’interdépendance
environnementale, la physique quantique, les nanotechnologies etc. …
Au bout d’un moment, le client règle sa consommation
(naturellement on-line avec sa carte de crédit), et sort.
Il est vachement impressionné par ce qui vient de se
passer, et décide de revenir tester le robot à nouveau.
C’est d'ailleurs ce qu'il fait le lendemain même.
Il revient donc dans ce même bar, et le même scénario
se reproduit.
Il est à peine assis que le même barman-robot s’approche
et lui demande : Quel est votre QI ?
Cette fois-ci, l’homme répond : 80.
Immédiatement, le robot lui sert une bière et lui
parle de foot, de tiercé, de ses plats favoris, de femmes etc. …
Au bout d’un moment, l’homme repart. Il est de plus en
plus intrigué et décide de revenir à nouveau le jour suivant.
Le lendemain donc, même topo !
Le barman-robot s'approche et demande : Quel est votre
QI ?
Ce coup-là, l’homme répond : « 20 je crois ! »
Alors, le robot lui sert un verre de gros rouge et, en
lui posant la main sur l’épaule, lui demande avec condescendance :
« Alors,
comme ça, on a voté Hollande en 2012 ? »
L’originale qui est sortie il y a moins longtemps que
la première blague ci-dessus, qui se passait au paradis, avait pour chute :
« Alors, tu as voté Le-Peine, toi
aussi ? »
Poutine, Merkel et Sarkozy sont en enfer …
Poutine, Merkel et Sarkozy sont morts et en enfer, ils
veulent prendre des nouvelles de leurs pays respectifs et demandent au diable l’autorisation
de téléphoner :
« Bien
entendu » dit Satan à Poutine qui prend le téléphone, téléphone
pendant 1 h 30 et demande ensuite au Diable combien il doit.
« 3
millions de roubles » lui dit Satan et Poutine s’exécute.
Vient le tour de Merkel qui téléphone également
pendant 2 heures et règle au Diable ensuite la communication pour 1 million d’euro.
Vient ensuite Sarkozy qui prend l’appareil, reste 3 heures
au tél et demande ensuite à Satan combien il lui doit : « 30 euros » répond Satan.
Du coup les 2 autres s’exclament pourquoi ce
favoritisme vis à vis de Sarkozy ?
« Eh bien »
répond le Diable, « vous êtes en
enfer, mais la France aussi depuis les dernières élections… donc Sarkozy
bénéficie du tarif d’un appel local … »
Dans l’originale, c’était Bush, Poutine et Netanyahou
qui téléphonaient à Dieu, à chaque fois qu’ils se rencontraient. Hors de prix
depuis les capitales américaine et russe, en revanche, 3 shekels depuis
Jérusalem…
Appel local aussi !
Une petite dernière ?
Le premier est Allemand :
« Nous, on
est tellement fort en chirurgie qu’on a pris un homme qui était sans testicules
à la suite d’un accident et on a réussi à lui en greffer une paire. Eh bien,
six semaines après, il cherchait du boulot ! »
L’américain tout fier dit :
« Nous, on
a fait mieux : on a pris un grand malade du cœur, on lui a fait une greffe et
quatre semaines après, il cherchait du travail ! »
Le Russe ne veut pas être en reste :
« Nous,
nous avons pris un homme qui avait un cerveau malade, nous lui avons greffé un
nouveau cerveau et deux semaines après, il cherchait du boulot ! »
Alors le Français intervient :
« Messieurs,
vous êtes vraiment très en retard !
Nous
avons pris un mec sans cœur, sans cerveau et sans couilles, on en a fait un
Président de la République et, dans six mois, c’est tous les Français qui
chercheront du travail. »
Dans l’originale, c’était des chirurgiens lors d’un
congrès et il n’y avait pas de français. On se contentait de raconter que le
patient avait été greffé d’un cerveau et avait été élu Président de la plus
grande puissance du monde…
Et puis
quelques nouvelles :
Lakshmi Narayan Mittal (Arcelormittal) vient de
décéder et arrive au paradis.
Dieu lui dit : Avec tout ce que tu as fait en France et
surtout en Lorraine il n’est pas question que je t’accueille au paradis, va
directement en enfer.
Trois jours après Satan frappe à la porte du paradis
et dit à Dieu :
« Reprends-le,
il m’a déjà éteint 3 fours ! »
Le soir, quand les pharmacies sont fermées, les boîtes
se parlent entre elles sur les tablettes.
C’est alors que la vaniteuse boîte de Tampax dit à la
boîte de condoms :
« Moi, à
tous les mois, on se sert de moi. »
La boîte de condoms, orgueilleuse, lui répond :
« Et moi,
si j’pète… Ben, c’est toi qui vas rester sur la tablette ! »
Un client consulte un psychanalyste pour une première
fois.
Le médecin l’interroge :
« – Depuis
quand avez-vous envie de faire l’amour avec votre mère ?
– Hé, oh !
Qu’est-ce que c’est que ça ? Je n’ai jamais dit ça !
– Woah ! », rugit
le psy, « Si vous ne vous montrez
pas plus coopératif, comment voulez-vous que je vous soigne ? »
Un client entre dans une pharmacie :
« –
Faites-vous des analyses d’urine ?
– Mais
oui, monsieur, toujours.
– OK,
lavez-vous les mains et remplissez mon ordonnance. »
Un couple se prépare à être converti par un rabbin
orthodoxe. Ils se retrouvent pour la dernière réunion préparatoire.
Le rabbin leur demande s’ils ont des questions à
poser.
Le mari en a une :
« – Est-il
vrai que les hommes et les femmes ne peuvent pas danser ensemble ?
– Oui,
c’est tout à fait vrai, pour des raisons de décence, les hommes et les femmes
doivent danser séparément !
– Ça
veut dire que je ne pourrai plus danser avec ma femme ?
– C’est
cela.
– Hmmm.
Et qu’en est-il des relations sexuelles ?
– Pas
de problème, du moment que ça reste dans le cadre du mariage.
– On ne
dit rien sur les différentes habitudes sexuelles ? Sur les positions par
exemple ?
– Non,
rien de spécial…
– Pas
de problème pour la position du missionnaire ?
– Non.
– Ni
pour la levrette ?
– Non
plus…
– Et en
position debout ?
– Ah
ça, NON… Ça pourrait conduire à la danse ! »
« Celui
qui, tout au long de la journée, est actif comme une abeille, est fort comme un
taureau, bosse comme un cheval, et qui le soir venu est crevé comme un chien,
devrait consulter un vétérinaire car il est fort probable que ce soit un âne. »
Le cannibale consulte un médecin :
« – J’ai
des crampes épouvantables.
– Où ?
– J’ai
des crampes et des brûlements d’estomac.
– Ah
bon, tu devrais faire cuire un pompier. »
« Et quand
tu seras vieux, qu’est-ce que tu feras » demande le grand-père au
petit Jean-Marc ?
« Je vais
rajeunir. »
Une jeune fille entre dans un commissariat de police.
« – Je
viens déposer plainte pour viol !
– Quand
est-ce arrivé mademoiselle ? » demande le policier.
« – Il y a
quinze jours.
– Il y
a quinze jours ? Mais pourquoi avoir attendu si longtemps avant de le signaler ?
– Ben…
heu…, je ne savais pas que j’avais été violée… jusqu’à ce que le chèque soit
refusé à la banque. »
Deux copines d’une cinquantaine d’années prennent le
thé à la terrasse d’un café.
« – Mon
mari a perdu l’esprit… » se plaint la première. « La semaine dernière, il a acheté un lit
d’eau. Sans m’en parler !
– Tu
devrais être contente. À mon avis, il a voulu te faire une surprise… Et puis,
c’est plutôt excitant un lit d’eau… Non ?
–
Excitant ? Tu parles. Si on se fie à la notre vie sexuelle depuis les dix
dernières années, c’est pas un lit à eau qu’il aurait dû acheter, mais une
croisière sur la Mer Morte. »
« – Jean-Marc ! Tu ne casses pas tes
noix avant de les manger ?
– Pas
nécessaire, je sais ce qu’il y a dedans. »
Il est important de savoir quoi dire en cas de
contrôle de police routière pour, en ces temps difficiles, passer une nuit à l’abri
et être nourri gratuitement.
« Mon permis ? OK, tenez-moi ma bière que je
l’attrape… »
« Désolé monsieur l’agent, je n’ai pas fait
attention : mon détecteur de radar était débranché… »
« Eh, vous êtes le mec de Village People ? »
« Je voulais être flic, mais j’ai finalement
décidé de terminer mes études. »
« Je suivais juste le trafic ! Oui, je sais, il
n’y a pas de trafic, mais justement, il fallait bien que je le rattrape. »
« Écoutez, en fait, quand j’ai voulu attraper ma
dose d’héroïne, mon flingue est tombé de ma poche et il s’est coincé sous le
frein alors forcément j’allais vite. »
« Non, je ne sais pas à quelle vitesse je
roulais. Le compteur est bloqué à 200. »
« Ça va durer longtemps ? Votre femme m’attend. »
« Faites pas chier hein, je m’énerve facilement
quand j’ai picolé. »
« Je vais juste prendre mon portefeuille. Essayez
de ne pas me tirer dessus, ok ? »
Un courrier des plus réalistes pour finir :
« Monsieur
l’agent du Trésor Public,
Mon
colis a pu vous étonner au départ. Alors voilà quelques explications. Je vous
joins à cette lettre une photocopie de l’article du Nouvel Observateur intitulé
« Les vraies dépenses de l’État » vous noterez que dans le quatrième paragraphe,
il est précisé que l’Élysée a l’habitude de payer des brouettes 5.200 euros,
des escabeaux 2.300 euros et des marteaux 550 euros pièce.
Par
ailleurs, un très intéressant article du Canard Enchaîné dont la bonne foi est
bien connue (copie également jointe) rapporte que le prix des sièges WC du
nouveau Ministère des Finances est de 3.750 euros pièces. Vous devant la somme
exacte de 13.816 euros pour l’année fiscale qui s’achève, je vous adresse donc
dans ce colis quatre sièges WC neufs et cinq marteaux, le tout représentant une
valeur de 14.000 euros.
Je vous
engage par ailleurs à conserver le trop perçu pour vos bonnes œuvres ou bien à
utiliser les 184 euros restants pour que notre Président de la République
puisse compléter sa boite à outils.
Ce fut
un plaisir de payer mes impôts cette année, n’hésitez pas, à l’avenir à me
communiquer la liste des tarifs usuels pratiqués par les principaux
fournisseurs de l’État. »
L’âge
du capitaine…
Le capitaine Haddock – notre « Ami-râle »
connu sous ce surnom dans tout le monde aéronautique de la planète (et même m’a-t-on
dit « par ailleurs ») pilotait non pas un drone, mais un planeur.
Féru de vol-à-voile, donc sans moteur aucun sinon celui
du « tracteur » au décollage, pas étonnant qu’il ait pu se crasher à
un moment où à un autre.
C’est même une manœuvre totalement indépendante des
conditions climatiques, sauf que là, il s’est probablement fait piégé par une « rabattante »…
Bravo !
Ceci dit, cette semaine nous sommes dans un café littéraire
qui invite quelques férus de poésie écouter les vers contés par leur auteur…
Celui-ci lit son dernier ouvrage devant l’assistance silencieuse
et subjuguée :
« D’eux
deux il en fut ainsi
Comme
il en est du chèvrefeuille
Qui au
coudrier se prend :
Quand
il s’est enlacé et pris
Et tout
autour du fût s’est mis,
Ensemble
ils peuvent bien durer ;
Qui les
veut ensuite désunir
Fait
tôt le coudrier mourir
Et le
chèvrefeuille avec lui.
- Belle
amie, ainsi est de nous :
Ni vous
sans moi, ni moi sans vous. »
Et ainsi de suite.
Sauf que tout d’un coup… panne de courant, plus de
lumière et l’auteur continue pourtant comme si de rien n’était en tournant les
pages de son livre dans le noir absolu.
Auriez-vous une explication rationnelle, sauf à dire
que l’auteur connaît par cœur sa création (ce qui serait très présomptueux)
?
Bon week-end à toutes et à tous !
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Alors là c’est facile: l’auteur lit son texte sur sa liseuse électronique autonome et rétro-éclairée.
RépondreSupprimerIl est à noter une certaine tension dramatique dans la salle obscure car le visage de l’auteur flotte dans l’air, auréolé d’une lumière bleutée
et fantomatique. C’est à ce moment là qu’un homme se lève brusquement et crie “Plagiaire !”
Mais qui est-il donc ?
Bon week end
ComtesseÔPiedNu
Ce n'est pas l'auteur desdits vers, puisqu'il est mort il y a fort longtemps.
SupprimerC'est donc l'académicien du moment, à l'immense culture... académique qui aura reconnu les vers de Marie de France (1160 - 1210)...
Il n'empêche notre homme n'a pas de liseuse électronique personnelle, ni même une lampe de poche ou un téléphone portable "éclairant", parce qu'il est...
(cf. réponse suivante)
L'auteur est aveugle et lit en braille
RépondreSupprimerParce qu'il est aveugle !
SupprimerExact !
Et il lit son ouvrage en version braille !
Bravo, "anonyme" !
Ceci dit, à la fac, j'avais un pote aveugle qui nous cassait les pieds à prendre ses cours en braille...
En écrivant à l'envers... qu'il en faisait un potin d'enfer.
Et que nous, quand il levait son poinçon, on lui tournait les pages en douce, sales gamins que nous étions.
C'était assez extraordinaire : A table on lui déplaçait ses aliments dans l'assiette, en forêt on le menait sur des trous ou des bûches.
Mais dans le civil, il a fini administrateur civil, malgré son handicap, d'une administration centrale et il se promenait dans le sahel pour vérifier que les subventions servaient bien à creuser des puits pour les autochtones-locaux.
Et le jour où il y a eu une panne de courant dans le grand-Amphi, c'est lui qui nous a guidé dans les dédales d'escalier pour évacuer : Il y "voyait" comme en plein soleil...
Clin d'œil à "domino" !
I-Cube
Et merci à la Comtesse qui a bien essayé...
« Son appareil a subi de gros dégâts, pourtant, la compagnie ne le suspend même pas, ni ne prend aucune mesure de rétorsion à son encontre ».
RépondreSupprimerC’est marrant, j’avais trouvé une autre explication.
Après un crash pareil, le capitaine Haddock, un vrai « monomaniaque », était immédiatement médiatisé et il ne fallait pas le fâcher !...
En effet, ce n’était pas la peine de prendre le risque de le voir raconter des choses horribles sur les dirigeants…
Mais c’était pas mal, le crash en planeur…
Haddock
Oui, en effet, une autre explication.
SupprimerMais notez que "l'équilibre de la terreur" entre le "Capitaine Haddock" et ses employeurs (surtout qu'à l'époque c'était mon "cousin Spin-êta", un Corsu bien né), ce n'était pas gagné pour vous.
Après tout, eux aussi savent broyer des hommes : Vous pouvez en témoigner.
Et puis souvenez-vous du pilote qui a amerri dans l'Hudson, moteurs en rideau et a ainsi sauver tous ses passagers : Il lui en a fallu des efforts pour ne pas avoir obéit au contrôle aérien qui voulait le faire planer jusque de l'autre côté du fleuve...
Un cador, le mek !
Le planeur n'est donc plus que la seule explication, mais on aurait pu aussi en dire autant avec une aile volante (dit "deltaplane" alors qu'il s'agit d'une aile "Rogalo" l'ingénieur qui l'a inventée pour le compte de la NASA) ou carrément un autogire (Le fils Cousteau s'est tué avec ce type d'appareil et une panne-moteur : pas aussi doué).
Bien à vous !
I-Cube