Moi,
j’adore !
On persiste à faire le tour du programme du bonhomme, commencé
hier, dont il assure qu’ils étaient 500 experts en « arrivant au
port », naturellement après un « prompt-renfort », dont celui du
petit-fils du « Chi », à se compter plus de 200.000… adhérents.
Des détails d’intendance.
« En Marche » avance…
Et c’est la joie dans les foyers.
On poursuit ?
Oui… juste pour le plaisir :
PRÉSERVER LE CADRE DE La LAÏCITÉ,
ACCÉLÉRER L’INTÉGRATION, REFONDER LE LIEN AVEC LA NATION
« Nous avons laissé se fragiliser ce qui
fait de nous une Nation, comme si nous pouvions accepter que les fractures qui
divisent notre pays s’élargissent sans cesse, et notamment les discriminations.
Nous avons tous en
partage notre langue, notre premier trésor commun, à la fois notre socle et
notre phare : ce qui nous a fait et ce qui nous distingue, nourri aussi par la
vitalité de nombreuses et belles langues régionales. Il faut aller plus loin.
Renouer avec le patriotisme sans renoncer à nos histoires multiples et à notre
projet européen. Car redonner à la France son éclat, c’est redonner confiance
aux Français. D’où qu’ils viennent. Où qu’ils habitent. Quels qu’ils soient. Et
leur faire confiance, c’est leur redonner le pouvoir de faire, d’agir, de
réaliser.
Nous voulons être une
Nation exigeante et bienveillante. »
Quand on vous dit que c’est beau comme un sou neuf…
Fiers d’être Français :
exigence et bienveillance
Une Europe protectrice et
à la hauteur de nos espérances
« Nous construirons une Europe qui
développe nos emplois et notre économie. Pour pouvoir investir beaucoup plus
qu’aujourd’hui, nous voulons un budget de la zone euro voté par un Parlement de
la zone euro et exécuté par un ministre de l’Économie et des Finances de la
zone euro.
Nous lutterons contre les
arrangements fiscaux entre États et entreprises multinationales. Ils faussent
la concurrence en Europe, comme celui entre Apple et l’Irlande qui a été
sanctionné. La France se montrera exemplaire en ce domaine.
Nous réserverons l’accès
aux marchés publics européens aux entreprises qui localisent au moins la moitié
de leur production en Europe dans le cadre d’un Buy European Act.
Nous généraliserons
Erasmus et l’étendrons aux apprentis. 200.000 étudiants et apprentis français
partiront chaque année dans un pays de l’Union européenne.
Nous construirons une
Europe qui nous protège.
Nous proposerons avec
l’Allemagne une Europe de la défense associant les pays volontaires, en créant
un Fonds européen de défense qui financera des équipements militaires communs
(comme les drones européens) et un Quartier Général européen permanent.
Nous construirons une
Europe qui protège nos industries stratégiques.
Nous voulons un mécanisme
de contrôle des investissements étrangers en Europe afin de préserver nos
secteurs stratégiques.
Dans la discussion du
Brexit, nous défendrons l’intégrité du marché unique européen. Toutes les
entreprises qui y accèdent doivent être soumises aux mêmes disciplines.
Nous créerons un marché
unique du numérique en Europe. Un fonds de capital-risque permettra de financer
le développement des start-ups européennes.
Nous créerons un marché
unique de l’énergie en Europe.
Nous fixerons un prix
plancher du carbone dans les pays de l’Union.
Nous donnerons la parole
au peuple.
Nous proposerons des
conventions citoyennes dans toute l’Europe dès la fin de l’année 2017 pour
redonner un sens au projet européen. Ces conventions aboutiront à un projet qui
sera ensuite adopté par tous les pays qui le souhaitent. Aucun État membre
n’aura le pouvoir de bloquer cette nouvelle étape.
Que de lâcheté et
d’hypocrisie, quand on entend parler d’Europe ! Certains l’accusent de tous les
maux, oubliant qu’ils ont eux-mêmes négocié et signé les traités et tous les
textes qui en découlent. D’autres prétendent rendre la France plus libre en
sortant de l’Europe. Comme si nous avions plus de chances de peser seuls face à
la Chine, à la Russie, aux États-Unis (mais aussi face à Google, Apple,
Facebook et tous les géants du numérique) plutôt que rassemblés avec 500
millions d’Européens… tous affaiblissent l’image de la France auprès de nos
partenaires en prétendant vouloir « renverser la table ».
Un grand pays s’honore de
tenir sa parole. Ce n’est pas la table qu’il faut renverser, c’est le cours de
l’Europe.
Nous devons faire chez
nous ce que tous nos partenaires ont fait chez eux : remettre notre économie en
mouvement et, dans l’intérêt de nos enfants, mieux gérer nos finances publiques.
Mais l’Europe aussi doit changer : elle ne doit pas avoir pour mission de gérer
une bureaucratie, mais de protéger notre présent et de préparer notre avenir.
Elle doit donc nous protéger dès aujourd’hui, et investir pour demain ! »
À boire, à manger et encore à boire…
Faire plus pour ceux qui
ont moins
« Le plus insupportable, en France, c’est
que plus on part du bas de l’échelle sociale, plus les obstacles s’accumulent :
en matière d’éducation, de santé, de logement, d’accès à l’emploi, au crédit,
ou aux vacances… Et à l’inverse, plus on est haut dans la société, plus les
barrières se lèvent d’elles-mêmes. L’égalité ne consiste donc pas à faire
pareil pour tout le monde : sinon on ne corrige pas toutes ces injustices !
La vraie égalité consiste
plutôt à faire plus pour ceux qui ont moins : les mères célibataires, les
habitants des territoires abandonnés, les jeunes décrocheurs qui ont cessé
d’aller à l’école, les seniors victimes d’un chômage de longue durée, et
surtout les 9 millions de Français pauvres. Il faut donc concentrer nos efforts
là où ils sont les plus indispensables.
Nous augmenterons le
minimum vieillesse de 100 euros par mois.
Nous créerons un
versement social unique. Toutes les allocations sociales (APL, RSA…) seront
versées le même jour du mois, un trimestre maximum après la constatation des
revenus (contre jusqu’à 2 ans aujourd’hui).
Nous créerons un «
accélérateur » d’associations. Elles font un travail formidable, mais il est
difficile pour elles de toucher tous leurs publics. Cette nouvelle structure
sera chargée de déployer sur l’ensemble du territoire et en moins de 5 ans les
associations les plus utiles à notre société. »
À force, je finis par me demander pourquoi personne n’y a
pensé avant…
PLUS POUR LA SANTÉ
« Nous mettrons en place la prise en
charge à 100 % des lunettes et des prothèses auditives et dentaires d’ici 2022,
en lien avec les mutuelles et l’ensemble des professionnels de santé.
Nous consacrerons 5
milliards d’euros de notre Plan d’investissement à la santé, notamment à la
transformation de notre médecine de ville et de nos hôpitaux.
Nous créerons un service
sanitaire. 40.000 étudiants en santé consacreront 3 mois à des actions de
prévention dans les écoles et les entreprises.
Nous renforcerons le
droit à l’oubli pour les personnes ayant été malades. Au moment de souscrire un
emprunt ou un contrat d’assurance, les malades de cancers et de l’hépatite C
n’auront plus à le mentionner dès 5 ans après leur rémission (contre 10 ans
aujourd’hui).
Nous l’étendrons aussi à
de nouvelles maladies.
Nous doublerons le nombre
de maisons de santé. Pour lutter contre les déserts médicaux, ces maisons
regrouperont des médecins, des infirmières, des orthophonistes, des
kinésithérapeutes, des professionnels du sport… »
Magnifique…
PLUS POUR LES PERSONNES
EN SITUATION DE HANDICAP
« Nous donnerons accès à un(e) auxiliaire
de vie scolaire à tous les enfants qui en ont besoin pour avoir une scolarité
comme les autres. Ces AVS auront un emploi stable et un salaire décent.
Nous augmenterons de 100
euros par mois l’Allocation Adulte Handicapé (AAH). »
PLUS POUR NOS AÎNÉS ET
LES PERSONNES MODESTES
« Des décennies d’accumulation de normes
et de règlements ont rendu la vie de chacune et chacun plus compliquée au jour
le jour. Que de temps perdu en démarches administratives, en renouvellement de
papiers, ou à cause de la lenteur de nos procédures de justice !
Pour les entrepreneurs,
c’est la même chose. Certains passent plus de temps à lutter contre les
contraintes administratives qu’à développer leur entreprise. Les élus locaux
aussi se heurtent à des normes qui évoluent tout le temps et qui coûtent de
plus en plus cher. La justification de cette énorme accumulation de règles et
d’obligations ne peut pas être seulement qu’elles ont toujours été là…
De nouveaux outils, par
exemple numériques, existent déjà ou apparaissent chaque année pour rendre les
choses plus faciles. C’est donc une révolution culturelle qu’il faut mener,
notamment dans nos administrations.
Nous créerons un droit à
l’erreur pour tous. Le cœur de la mission de l’administration ne sera plus la
sanction mais le conseil et l’accompagnement, sauf en matière pénale, ou
lorsque la sécurité est engagée. Par exemple, aujourd’hui, un employeur qui
oublie de déclarer à l’URSSAF la prime de Noël qu’il verse à ses salariés est
condamné à une amende. Il pourra demain faire valoir son droit à l’erreur.
Aujourd’hui, des
grands-parents qui hébergent leur petite-fille parce qu’elle vient de trouver
un emploi près de chez eux doivent la déclarer à la CAF sous peine de perdre
une partie de leurs allocations logement et de payer des pénalités. Ils
pourront demain faire valoir leur droit à l’erreur et ne plus payer de
pénalités.
Nous passerons à la
vitesse supérieure en ce qui concerne la numérisation de l’administration. Tous
les renouvellements de documents officiels (carte d’identité, passeport, carte
grise, etc.) devront pouvoir se faire en ligne, sans nécessité de se déplacer.
Les horaires d’ouverture des services publics seront par ailleurs élargis aux
soirées et au samedi pour s’adapter aux nouveaux modes de vie des Français.
Nous donnerons aux
préfets la capacité d’adapter l’organisation des services de l’État aux besoins
de chaque région et département.
Nous ne rajouterons
aucune norme nationale aux normes européennes dans les secteurs agricole,
maritime et de la pêche. Tous les services publics accueillant du public
(hôpital, école, tribunal, CAF, etc.) seront tenus d’afficher leurs résultats
en termes de qualité de service (ex : temps d’attente, taux de satisfaction,
etc.).
Nous établirons dans
chaque département un tribunal de première instance qui sera le guichet unique
permettant un accès facilité au juge.
Nous ne fermerons aucun
site. Nous raccourcirons les délais de jugement pour les litiges inférieurs à 4.000
euros. La procédure les concernant sera entièrement dématérialisée et la
décision sera rendue en ligne. »
Bon tout cela fait un peu désordre, mais que de bonnes
intentions !
Et ce n’est pas fini.
Rendre la vie des
Français plus facile
Une démocratie rénovée
« Année après année, le regard que nous
portons sur notre classe politique se dégrade sans que rien ne change vraiment.
Il est faux de prétendre que rien n’a été fait pour tenter de retisser un lien
de confiance entre la Nation et ses représentants. Mais ce n’est pas assez. Des
pratiques que l’on pensait impossibles, parce qu’elles sont à l’évidence
inacceptables, sont en réalité répandues – comme l’embauche par les élus de
membres de leur propre famille.
Le soupçon s’est
installé, qui nourrit les extrêmes et affaiblit notre vie politique. Il faut
donc aller plus loin dans la transparence et l’exigence. Mais il faut aussi
avoir le courage d’aller plus loin vers la confiance et la proximité. Nos
représentants nous ressemblent trop peu… La France est en effet peuplée pour
une bonne moitié de femmes, pour un bon quart de jeunes, pour un bon cinquième
de Français d’origine étrangère plus ou moins lointaine… Or ces visages, cette
diversité, ces parcours différents, nous ne les retrouvons pas assez sur les
bancs du Parlement !
Nous proposerons une
grande loi de moralisation de la vie publique. Elle comprendra : L’interdiction
pour les parlementaires d’exercer des activités de conseil parallèlement à leur
mandat, pour mettre fin aux conflits d’intérêt. Toutes leurs indemnités seront
soumises à l’impôt. L’interdiction de toute embauche par un élu ou un ministre
d’un membre de sa famille. L’interdiction du cumul de plus de trois mandats
identiques successifs. L’interdiction pour tous les détenteurs d’un casier
judiciaire (niveau B2) de se présenter à une élection. La suppression du régime
spécial des retraites des parlementaires. Ils seront rattachés au régime
général. La présentation, par le
président de la République, de son bilan
national et européen une fois par an devant le Congrès.
Nous améliorerons le
renouvellement et le pluralisme de notre vie politique.
Nous réduirons d’environ un
tiers le nombre de députés et de sénateurs. Ils disposeront de moyens
supplémentaires pour faire leur travail.
Nous obligerons les
formations politiques à respecter la parité dans la présentation de leurs
candidats. Et nous diminuerons le financement public des formations politiques
qui auront une représentation déséquilibrée en termes de parité.
Nous ferons de la
procédure d’urgence la procédure par défaut d’examen des textes législatifs
afin d’accélérer le travail parlementaire.
Nous entamerons une
rénovation du fonctionnement parlementaire en limitant le nombre de mois pendant
lesquels le Parlement légifère et en réservant plus de temps à l’évaluation et
au contrôle de l’action du gouvernement, en s’appuyant sur les travaux de la
Cour des comptes.
Nous développerons la
participation des citoyens.
Nous demanderons aux parlementaires
de mettre en place des dispositifs innovants d’évaluation du travail
parlementaire et législatif (jurys citoyens, compte-rendus de mandat via les
réseaux sociaux…).
Nous encouragerons les
communes à développer les budgets participatifs, c’est-à-dire à consulter
directement les citoyens sur l’utilisation de l’argent public. »
À part les fautes « d’horto-graffe », c’est à
pleurer de bonheur…
Les territoires qui font
notre France
« Beaucoup de nos territoires se sentent
progressivement délaissés, voire abandonnés. À côté de la France des
métropoles, où beaucoup réussissent, il y a des quartiers et des banlieues
populaires où tout est plus dur et plus compliqué, même s’ils ne sont qu’à
quelques kilomètres de distance. De nombreux Français se sont installés un peu
plus loin, pour chercher un logement un
peu moins cher ou un peu plus spacieux, mais ils doivent affronter des
distances toujours plus grandes pour trouver un emploi, mettre leurs enfants à
l’école, se faire soigner ou accéder à des loisirs de qualité. Il y a la France
de la ruralité. Elle est dépositaire d’une part de notre identité. Et nous
n’avons pas le droit de laisser mourir certains territoires comme beaucoup de
nos paysans en ont parfois le sentiment. Il y a la France des Outre-mers. Grâce
à elle, nous sommes présents à travers le monde. Mais trop souvent, nous ne la
considérons pas à sa juste valeur.
Nous sommes fiers de tous
ces territoires. À égalité. Car tous ont des atouts pour réussir. Ensemble.
Nous exonérerons de la
taxe d’habitation tous les Français des classes moyennes et populaires (soit 80
% des ménages). C’est un impôt injuste : on paye souvent beaucoup plus quand on
vit dans une commune populaire que dans une commune riche. Dès 2020, 4 Français
sur 5 ne paieront plus la taxe d’habitation, et l’État remboursera entièrement
auprès des communes leur manque à gagner, à l’euro près, en préservant leur
autonomie fiscale.
Nous couvrirons en très
haut débit ou en fibre l’ensemble du territoire. Ce sera fait d’ici la fin du
prochain quinquennat, pour ne laisser aucun territoire à la traîne de la
transition numérique. Les opérateurs téléphoniques doubleront la couverture
mobile en zone rurale pour réduire les zones sans réseau, et l’État prendra ses
responsabilités partout où cela est nécessaire.
Nous réduirons le
millefeuille administratif.
Nous supprimerons au
moins un quart des départements, là où ils peuvent être rapprochés de l’une de
nos grandes métropoles.
Nous accélérerons la
construction de logements là où c’est nécessaire.
Nous mettrons en place
des procédures accélérées dans les zones où le logement coûte trop cher. Cela
permettra de construire plus vite des logements et de faire baisser les prix de
l’immobilier.
Nous réformerons
radicalement notre politique des transports. Car l’enjeu n’est plus de
construire partout des autoroutes, des aéroports et des lignes de TGV. C’est,
grâce à notre Plan d’investissement, de moderniser les réseaux existants et de
développer de nouveaux services pour que tous les territoires soient raccordés
efficacement aux lieux de travail, d’éducation, de culture ou de soins.
Nous lancerons un Plan de
Transition Agricole de 5 milliards d’euros. Il soutiendra tous les projets de
montée en gamme des exploitations, d’adaptation aux normes environnementales et
de bien-être animal.
Nous développerons la
continuité territoriale au profit des Outre-mers. D’ici la fin du quinquennat,
nous proposerons chaque année aux ultra-marins au moins 200.000 billets d’avion
à prix aidé en particulier pour les étudiants et les entrepreneurs pour leur
mobilité entre les Outre-mers et l’Hexagone, et dans leur environnement
régional.
Nous installerons en
Outre-mer l’Agence Française pour la biodiversité.
Nous permettrons aux
collectivités d’Outre-mer de modifier la réglementation de droit commun pour
l’adapter à leur situation particulière. »
Là encore, que de promesses.
Une question toutefois : La « Corsica-Bella-Tchi-tchi »
est-elle ou non un « Outre-la-mer » ou seulement un territoire îlien
pas d’outre-la-mer pour rester « métro » ?
SÉRIEUX ET RESPONSABILITÉ
« Nous savons tous que l’État est
lourdement endetté. Il n’y a pas de politique qui vaille sans responsabilité
budgétaire. C’est pour cela qu’il faut RÉDUIRE NOS DÉFICITS. La France s’y est
engagée mais c’est surtout un devoir à l’égard des générations futures.
La première exigence,
c’est de respecter cet engagement envers les Français. Nous effectuerons donc
60 milliards d’économies, en responsabilisant les ministres sur leurs objectifs
de réduction des dépenses.
La deuxième exigence,
c’est de FAIRE DES CHOIX : cibler un petit nombre de dépenses prioritaires
(l’éducation, la défense, la sécurité et la justice) et sélectionner les
baisses de prélèvements qui créeront de l’activité économique et de l’emploi.
Nos baisses d’impôts
seront réparties de manière juste entre les ménages et les entreprises, et
seront financées par nos économies.
Nous mettrons fin à
l’instabilité fiscale. Une loi d’orientation votée en 2017 fixera pour 5 ans
l’évolution de la fiscalité sur le quinquennat. Nous ne réformerons pas
plusieurs fois un même impôt dans le quinquennat.
La troisième exigence,
c’est de RENOUER AVEC L’EXCELLENCE DE NOS SERVICES PUBLICS.
Nous sommes attachés à
notre hôpital, à notre école.
Nous voulons qu’ils redeviennent
les meilleurs, pour que nos agents publics soient respectés à leur juste
valeur.
Nous voulons un État
agile, concentré sur les priorités du pays, qui s’adapte à nos besoins et à nos
modes de vie. Efficacité, simplicité, adaptabilité : c’est aussi comme cela que
nous ferons des économies.
La quatrième exigence,
c’est d’INVESTIR POUR TRANSFORMER. À l’heure du numérique, de la transition
écologique, de la révolution des compétences, c’est la condition pour dépenser
moins et mieux demain : former les chômeurs plutôt qu’attendre que l’économie
aille mieux ; isoler les bâtiments plutôt que de trop dépenser en chauffage ;
et moderniser l’agriculture plutôt que de payer des aides d’urgence.
Nous en tirerons
rapidement les fruits. »
Admirable.
Je vous laisse avec tout ça aujourd’hui, pour mieux vous en
imprégner…
On passera aux critiques (pas trop virulentes et pour cause :
C’est probablement votre futur président pour 5 ans, j’aurai tout le temps pour
en rigoler…) une autre fois.
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