« Jean de La-salle » a ses
parrainages.
Incroyable mais vrai : On savait les
« lassaliens » partout, ceux issus de la congrégation de saint
Jean-Baptiste de Lassalle. Mais de là à porter un candidat jusqu’à l’Élysée, je
n’avais pas imaginé.
Pourtant, on savait le bonhomme, le député qui s’était
mis à faire régime grève de la faim directement au Palais Bourbon pour
sauver une usine installée dans « sa » vallée, post-difficultés
d’AZF de Toulouse…
Moi qui ai fait dans un passé révolu, je sais la
difficulté : Les premières 48 heures sont d’une cruauté difficile à
surmonter. Après, le mieux c’est de pioncer…
Bref, un homme du terroir, un homme du terrain, un
accent à couper à la hache, qui se porte candidat, on est loin des dandys
parigots qui se font porter leurs costumes par quelques-aimants amis
anonymes en plein scandale d’emplois fictifs jaillissant de toutes parts.
Celui-là, loin du « complotisme » de
« Cheminable », il peut déjà compter sur ma voix et même mon bulletin
le 23 avril prochain et probablement aussi 7 mai (sauf s’il faut
« faire-barrage », auquel cas je me porte volontaire…).
Petite aparté : Ils sont donc 11 à avoir eu les
500 parrainages validés par le Conseil Constitutionnel de
« Fafa-l’Empoisonneur ».
Mais savez-vous combien en ont également reçu sans
pour autant se qualifier ?
Par ordre alphabétique, ce sont :
ALLIOT-MARIE Michèle 74 ; ARTHAUD Nathalie 637 ; ASSELINEAU François 587 ;
BAROIN François 45 ; BESSON Éric 1 ; BLANAL Jérôme 1 ;
BORLOO Jean-Louis 3 ; BOURIACHI Philippe 1 ; CAMUS Renaud 1 ;
CAZENEUVE Bernard 1 ; CHEMINADE Jacques 528 ; COHN-BENDIT Daniel 1 ; DE PREVOISIN
Robert 1 ; DELAFON Olivier 1 ; DUPONT-AIGNAN Nicolas 707 ; FAUDOT Bastien 29 ; FESSARD
DE FOUCAULT Bertrand 1 ; FILLON François 3.635 ; GORGES Jean-Pierre 70 ; GOUE Michaël 1 ;
GUAINO Henri 33 ; GUILBERT Jean-Paul 1 ; GUYOT Stéphane 9 ;
HAMON Benoît 2.039 ; HENART
Laurent 7 ; HOLLANDE François 7 ; JADOT Yannick 5 ; JARDIN
Alexandre 165 ; JOSPIN Lionel 1 ; JUPPE Alain 313 ; KANNER
Patrick 1 ; KOSCIUSKO-MORIZET Nathalie 1 ; LAINE
Camille 1 ; LARROUTUROU Pierre 33 ; LASSALLE Jean 708 ; LE PEN Marine 627 ; LEMAIRE Bruno 1 ;
LEVACHER Jean-Michel 1 ; MACRON Emmanuel 1.829 ; MARCHANDISE Charlotte 135 ; MARTINEZ Jean-Claude
3 ; MELENCHON Jean-Luc 805 ;
MESSAOUDI Kamel 3 ; MIGUET Nicolas 15 ; MILLO Jean-Luc 1 ;
MORIN Hervé 1 ; MOURGUY Alain 1 ; MUMBACH Paul 14 ;
NIKONOFF Jacques 6 ; PASSERIEUX Régis 1 ; POUTOU Philippe 573 ; REGIS Olivier 7 ; TAUZIN
Didier 84 ; TEMARU Oscar 109 ; TONIUTTI Emmanuel 9 ; TRAMBOUZE
Bernard 1 ; TROADEC Christian 53 ; VERGNE Michel 3 ; WAECHTER
Antoine 11 ; WAUQUIEZ Laurent 1 ; YADE Rama 353…
61 !
Et dans le tas, ils sont nombreux à se compter
« tout-seul » (24, dont un certain « Pas-sérieux ») et
quelques-uns qui « font-masse » avec « papa-maman-tonton-tata »
et quelques cousins…
Parmi un vivier d’environ 42.000 élus, 14.586 ont
apporté leur signature à un candidat, dont 14.296 ont finalement été validés.
J’adore.
Bon un peu triste pour Madame Marchandise, Charlotte,
la candidate « citoyenne », mais bon, on ne va pas pleurer non plus.
Je préfère me réjouir d’avoir le choix « Lassalien » !
C’est que Saint Jean-Baptiste de La Salle (Reims, 30
avril 1651 – Manoir de Saint-Yon, faubourgs de Rouen, 7 avril 1719) était un
ecclésiastique gauloisien et un innovateur dans le domaine de la pédagogie, qui
a consacré sa vie à éduquer les enfants pauvres. Il a été le fondateur de l’institut
des Frères des Écoles chrétiennes et canonisé en 1900.
Sa vie a largement débordé l’organisme de son Institut,
et suscité la fondation d’œuvres similaires à la sienne. Son esprit a inspiré
les règlements de douze Congrégations enseignantes de Frères Gauloisiens entre
1816 et 1842. Et en 1904, ces congrégations totalisaient 20.311 religieux, 1.682
établissements et 201.332 élèves.
Les Sœurs des Écoles chrétiennes de la Miséricorde,
fondée par sainte Marie-Madeleine Postel (1756-1846), dans l’ancienne abbaye de
Saint-Sauveur-le-Vicomte (Manche), ont adopté les règles et les constitutions
de saint Jean-Baptiste de La Salle.
À l’étranger également, voient le jour des congrégations
d’hommes et de femmes qui font référence à Jean-Baptiste de La Salle, comme les
Christian Brothers en Irlande. Cet institut fondé en 1808 par le père Ignatius
Rice possède les mêmes règles que les Frères des Écoles chrétiennes, le même blason,
seul le costume est différent.
On lui doit d’avoir fondé les Écoles normales, qu’il appela « séminaires
pour les maîtres de la campagne », pour assurer la première et fondamentale
nécessité de l’école : La préparation morale et culturelle des enseignants.
Avant lui, les écoles étaient sans organisation et
sans lien entre elles. Le recrutement et la formation des maîtres n’offraient
que de médiocres garanties.
Il a fondé la première congrégation religieuse d’hommes,
les frères des écoles chrétiennes, constituée exclusivement de laïcs, et dédiée
aux écoles chrétiennes.
Il a fait triompher la méthode simultanée par niveau
dans l’enseignement primaire ce qui nous paraît si ordinaire. Auparavant le maître s’occupait de l'élève de
manière individuelle.
Contrairement à l’usage, il a donné la priorité à l’apprentissage
de la lecture et de l’écriture de la langue maternelle, l’étude de la langue
latine étant remise à plus tard, si nécessaire
Il a voulu la gratuité dans l’enseignement primaire
dans les écoles qu’il avait fondées, devançant les gouvernements les plus
progressistes.
Il a organisé, avant tout autre, les écoles du soir et
du dimanche pour les jeunes travailleurs.
Et pour faciliter la vie active des jeunes, il a
préconisé un enseignement en quatre points : Lire, écrire, calculer, dessiner,
les exercices s’inspirant rapidement des besoins du monde du travail (petit
commerce et artisanat).
Un hussard-noir avant les hussards-laïcards de la IIIème
République, et ça existe toujours…
En sera-t-il autant pour notre « Berger-des-Pyrénées » ?
« Jean La-salle » a perdu la particule de
son illustre homonyme et est un homme atypique. Élu pour la première fois, en
2002, à l’Assemblée nationale, il est régulièrement réélu : En 2007 sous
l’étiquette UDF-MacMoDem, en 2012 sous l’étiquette MacMoDem, un des rares survivants
du mouvement de « Bébé-Roux » (qui n’est pas roux et s’est rallié à « MacRond »,
et siège dans le groupe des non-inscrits. Il n’a pas voté pour « Tagada-à-la-fraise-des-bois »
en 2012 et prend vite ses distances avec son ancien-boss.
Cette indépendance, on la retrouve dans certains
épisodes singuliers de sa carrière :
En juin 2003, en plein Hémicycle, il entonne « Si
canti », interrompant le ministre de l’Intérieur du moment (le futur « Bling-bling »),
pour protester contre la suppression programmée d’une gendarmerie près du
tunnel du Somport. « J.L-Deux-Braies », qui préside l’Assemblée, le
menace d’un huissier : « Lorsque tout a
été essayé, il reste le chant », estime le député des Pyrénées-Atlantiques
et il obtiendra gain de cause.
Dans la salle des quatre colonnes, en mars 2006, il
entame une grève de la faim qui dure 39 jours. Il veut attirer l’attention sur
le départ, de la vallée d’Aspe, de l’usine Toyal, filiale d’un groupe japonais
qui emploie 150 salariés. Il en perd 21 kilos mais l’emporte finalement : le
gouvernement intervient pour empêcher l’opération.
Dernier exploit, en 2013, il entreprend, pendant huit
mois, un tour de Gauloisie à … pied.
Il veut se faire « la voix des sans-voix »,
recueillant les témoignages des oubliés de la République pour rédiger une sorte
de cahier de doléances, les « Cahiers de
l’espoir ».
Ses positions – qu’on les partage ou non – révèlent le
même esprit d’indépendance : Le 23 avril 2013, il vote, en seconde lecture,
contre le projet de loi ouvrant le mariage aux couples de personnes de même
sexe. En mai 2016, il soutient le mouvement « Nuit debout », échange
avec les manifestants dont il estime qu’ils sont à la recherche d’une société
nouvelle. En janvier, il s’est rendu à Damas avec des députés LR pour discuter
avec « Bachar el-Chimique ».
Sur son site, Jean Lassalle explicite quelques grands principes
de son programme : « Libérons-nous de
l’oppression financière », « Libérons
l’écologie de la financiarisation qui la dénature », « Rendons son pouvoir à l’institution locale la plus démocratique, la
commune », « Permettons aux
entreprises de servir le bien commun, le long terme », « Donnons à nos enfants la chance de maîtriser
leur destin », « Retissons le lien
social déchiré »…
Une auberge espagnole, un concentré de lieux communs qui
n’a aucune chance de tenir ses promesses électorales une fois élu, certes.
Il nous dit simplement ce qu’il pense, sans langue de
bois.
Son slogan ? « Ensemble
nous pouvons retaper la France. »
Il faut dire qu’elle en a bien besoin !
Certes, il ne fera pas un score pharamineux, même si
je lui souhaite de faire 5 % pour se faire rembourser ses frais de campagne :
D’autres misent bien là-dessus.
Il sait qu’il concourt avec les candidats qui se
partageront un tout petit pourcentage de suffrages.
« Ma maison,
c’est dans la montagne » (la mienne c’est mon « maquis-Corsu », qui va jusqu’en bord de mer par endroits),
aime-t-il à rappeler. Près de la nature, dans l’air pur, loin des miasmes de la
politique.
Ce que j’aime bien, c’est que la position qu’il
prendra au second tour permettra sans doute de savoir si sa candidature est
vraiment l’expression de convictions personnelles, qu’il a voulu défendre à
l’occasion de la campagne, ou s’il a, comme il arrive trop souvent dans la gent
politicienne, quelque arrière-pensée.
Il en dit s’être tapé tous les déserts, et vient « de sortir de celui de Sibérie. Ça a été très
difficile », racontait-il samedi matin le candidat à la voix
rocailleuse et au fort accent du sud-ouest.
Il est aussi « Vice-président » du conseil
général des Pyrénées-Atlantiques.
Né en 1955, c’est un « Technicien-agricole »
spécialisé dans l’hydraulique et l’aménagement du territoire. Il fonde un
cabinet de conseil qui emploie maintenant une dizaine de salariés.
À 21 ans, il est l’un des plus jeunes maires de
France. Cinq ans plus tard, il est élu conseiller général du canton d’Accous et
entre au Parlement de Navarre comme benjamin. De 1988 à 2002, il est suppléant
du député Michel Inchauspé, puis devient, en 2002, député de la 4ème
circonscription des Pyrénées-Atlantiques.
Parallèlement, il devient de 1994 à 2011
vice-président de l’Assemblée départementale, où il préside le comité
départemental du tourisme. Il est également, durant dix ans, président du parc
national des Pyrénées. Il est, depuis 1994, à la tête de l’institution
patrimoniale du Haut-Béarn.
Toujours maire de Lourdios-Ichère, il est aussi
pendant dix ans, à la tête de l’association des maires des
Pyrénées-Atlantiques, ayant pour objet la représentation des maires et
présidents d'établissements publics de coopération intercommunale adhérents, en
facilitant l’exercice de leurs fonctions, cet aspect se traduisant notamment
par un contrat groupe garantissant la responsabilité personnelle des maires, ainsi
que par le développement d’actions de formation envers les élus des communes.
Il est également investi dans l’association
départementale des élus de montagne.
Élu député UDF-MacMoDem aux législatives de juin 2007
à la suite d’une triangulaire — la seule de France — face à Hervé Lucbéreilh (UMP)
et Jean-Pierre Domecq (PS), il adhère au Mouvement démocrate dès le lancement officiel de celui-ci en
novembre 2007 et en devient vice-président le 27 mars 2010.
Hélas, il vote pour « Bling-bling » au
second tour de l'élection présidentielle de 2012. Au second tour des élections
législatives de juin suivant, où il se présente sous l’étiquette « Le Centre
pour la France » et est réélu en
obtenant 50,98 % des suffrages exprimés contre son rival François Maitia (PS).
Ancien président du parc national des Pyrénées de 1989
à 1999 et du Comité départemental du tourisme des Pyrénées-Atlantiques, il
défend l’idée de « protéger sans
interdire » au travers d’un collectif qu’il a contribué à fonder et
préside, le Collectif national des racines et des hommes (CNRH).
Le CNRH dénonce notamment le système des parcs
nationaux perçus comme l’instrument d’une réquisition des territoires et d’une
financiarisation de la nature, au détriment des habitants. Le collectif dénonce
une politique de gestion du territoire antidémocratique et prône le principe de
gestion en bien commun librement partagé par et pour tous dans un souci de
protection de la nature au profit du respect de la vie de ses autochtones.
Il défend à l’Assemblée nationale, en novembre 2008,
la position de la plupart des hommes politiques sur le pacte écologique proposé
par Nicolas Hulot : « Je propose
simplement d’élever Nicolas Hulot au rang de père de la Nation, et même,
profitant des bonnes relations qu’entretient le Président de la République avec
le pape, de le canoniser. (Sourires.) Il
serait en effet prudent de le mettre à l’abri de la justice, qui risque de lui
demander un jour des comptes : car c’est bien l’argent des grands spéculateurs
les plus pollueurs qu’il blanchit, ou verdit, dans sa fondation ! »
Il préside depuis 1994 l’Institution patrimoniale du
Haut-Béarn (IPHB), un organisme basé sur la charte de développement durable des
vallées béarnaises et de la protection de l’ours (signée le 31 janvier 1994), qui
a pour but de réfléchir à l’avenir de trois vallées béarnaises : Ossau, Aspe, Barétous,
avec deux missions : Le développement socio-économique des vallées et la
gestion de l’ours, de la faune et des milieux naturels. L’institution
fonctionne en « gestion de patrimoine
commun » basée sur l’implication, la concertation et la décision partagée :
Ainsi les habitants sont mis au centre des projets concernant leurs vallées.
Elle permet donc la rencontre de plusieurs acteurs concernés par la vallée : Élus,
administrateurs, bergers, association de protection de la nature, hydro
électriciens… Elle a obtenu des investissements importants pour les bergers de
montagne et la préservation de l’ours.
En novembre 2008, Jean Lassalle lance avec André
Chassaigne un appel national pour des États généraux des campagnes françaises,
appelant à faire de l’arrêt du déclin programmé des campagnes « Gauloisiennes »,
une grande cause nationale. Cet appel dénonce publiquement la dégradation des
services publics dans les campagnes, l’absence de financement pour les espaces
ruraux dans la politique d’aménagement du territoire, l’endettement des
communes rurales sous le poids des normes et le manque de crédit supprimant la
possibilité de toute vision d’avenir pour les élus, la disparition des
agriculteurs suivi du départ des artisans et des commerçants.
En 2016, il est le seul député, sur 525 votants, à
voter contre la nouvelle mouture de la loi montagne.
Il est également vice-président de l’association
Estivade d’Aspe Pyrénées, présidée par Marthe Clot, sa première adjointe à la
municipalité de Lourdios-Ichère.
L’organisation a notamment pour but de réaliser des
chantiers d’insertion et des actions d’accompagnement et d’accès à l’emploi
pour des personnes en difficulté sociale et professionnelle.
Autrement dit, jusque-là, contrairement à beaucoup d’autres,
il n’est vraiment pas dangereux pour le pays et son avenir.
Il rencontre également de hauts représentants
politiques en Teutonnie, en UK, l’Ireland, Riotalie, Slovénie, la Croatie, Tchéquie,
Hispanie, Roumanie, Hellénie, Danemark et Suède. Et il dresse un constat sévère
sur l’Europe : Manque de démocratie, manque d’identité européenne, opacité des
institutions européennes, croissance des inégalités, des diagnostics qu’on peut
partager.
Il critique très vivement le projet de traité TAFTA et
a plusieurs fois manifesté sa colère face à l’opacité des négociations de ce
traité, qui aura selon lui un lourd impact sur les normes sociales, sanitaires
et environnementales en « Gauloisie-des-Lumières ».
La seule chose qui peut lui être reproché, ce sont ses
visites en Syrie, notamment celle de janvier 2017. Il déclare en effet, dans le
quotidien régional, à propos du président syrien : « Je suis dans l’incapacité de dire si ce qu’il fait, c’est bien ou mal.
Je ne suis pas un tribunal, je ne suis pas La Haye ! La France refuse ce débat,
on est tout de suite accusé de pactiser avec le diable. »
Dans ce cas-là, on ferme sa gueule et on se casse…
De plus, il a tendance à attirer un peu trop à mon
goût la sympathie des médias proches du Kremlin comme Russia Today qui
multiplie les articles (du 6 au 10 janvier 2017), ou Sputnik à qui le député
accorde une interview.
De quoi se mêleraient donc les « poux-tiniens »,
là dites-donc ?
Je me mêle de leurs élections, moi ?
Bon alors…
On va y revenir, parce que cette candidature ne manque
pas de sel : Je vous ai dit, j’adore.
Parce que le pays avec ce gars-là – qui n’a aucune
chance, rappelons-le – il pourrait devenir enfin jouissif.
Et comme la vie est trop courte et bien chargée en
désopilances-néfastes, il n’y a aucune raison de se priver d’en jouir…
Eh bien voilà! Vous l'avez votre candidat de "substitution"! Ce Brave Jean Lassalle!
RépondreSupprimerAu rythme où ça fonctionne, il se pourrait bien qu'il devienne le mien! Je n'en suis pas encore là.
Ouais !
SupprimerC'est "géant", cette campagne 2017 !
J'adore et ne regrette pas d'avoir survécu jusque-là !
Bien à vous !
I-Cube