Moi,
j’adore !
Avec lui, ce n’est pas « demain on rase gratis »
comme avec « Âme-mont » et son revenu universel, qui comme par hasard
n’est plus du tout universel, parce que bon, quand y’a plus personne pour
payer, on n’est plus rasé du tout et on devient tous « barbus », mais
c’est plutôt, « voter pour moâ » vous allez devenir enfin heureux !
Hein, je te vous demande un peu… Tous les mêmes,
finalement !
Mais l’avantage, c’est que ça se fait par
touches-successives, l’air de rien, sans avoir l’air d’y toucher et ça commence
fort…
D’ailleurs on fera peut-être le même exercice pour
« Fifi-le-souteneur » (qui a bien le droit d’avoir des amis généreux
qui lui payent même ses costards, vous savez, de ceux qui font bosser autrui
pour assumer leurs propres frais, tellement celui-là est pingre…) qui
présentait justement lui aussi son programme « arrangé ».
Petite revue de détail, qui ne prend d’ailleurs pas les
détails, mais juste ce qui existe sur le site « EM ! » (« EM ! »,
au choix, « En Marche ! » ou « Emmanuel Macron ! »),
dont on a bien voulu m’envoyer les références (depuis perdues)…
Bien vivre de son
travail et inventer de nouvelles
protections
« Le problème qui est aujourd’hui au cœur
des préoccupations des Français, c’est le chômage de masse que nous connaissons
depuis tant d’années. Pour le surmonter, il faut changer d’approche. Notre pays
n’aime pas toujours la réussite : ceux qui réussissent suscitent une forme de
jalousie ou de suspicion.
Mais notre pays refuse
aussi l’échec : que ce soit à l’école ou dans la vie professionnelle, ceux qui
échouent sont souvent montrés du doigt et empêchés de tenter à nouveau leur
chance. Pourtant, nous avons besoin que nos concitoyens se lancent, tentent,
prennent des initiatives, quitte à les aider à rebondir s’ils échouent. Et nous
avons besoin que certains de nos concitoyens réussissent, créent de l’activité
et des emplois, entraînant les autres avec eux.
C’est pourquoi nous
voulons libérer le travail et l’esprit d’entreprise ! »
Vous aurez noté tout de suite qu’il ne dit pas
« je » comme trop de fats-insupportables d’eux-mêmes, mais
« nous ».
Nous, c’est on ne sait pas qui : Probablement qu’il est
dedans (mais ce n’est pas sûr), probablement aussi ses électeurs à lui (et pas
« à nous »), peut-être également ses « non-électeurs », en
tout cas un vaste ensemble qui ne sait pas encore bien qui il est et combien il
rassemble.
Passons…
Libérer le travail et
l’esprit d’entreprise
« Nous simplifierons la vie des
entrepreneurs. Nous réduirons leurs charges et supprimerons le Régime Social
des Indépendants (RSI) qui ne fonctionne pas.
Nous doublerons les
plafonds pour pouvoir bénéficier du régime fiscal de la microentreprise.
Nous mettrons fin à toute
forme de concurrence déloyale en permettant chaque année à tous les artisans et
commerçants d’opter ou non, selon leurs besoins, pour le régime fiscal de la
microentreprise.
Nous réduirons le coût du
travail. Nous aiderons les entreprises à embaucher en baissant les cotisations
sociales employeurs de 6 points en remplacement du CICE, et jusqu’à 10 points
au niveau du SMIC : les employeurs économiseront près de 1.800 euros par an et
par salarié au SMIC, 2.200 euros par an pour un salarié payé 3.000 euros bruts
par mois.
Nous combattrons la
précarité en responsabilisant les employeurs. Nous créerons un bonus-malus sur
l’assurance-chômage. Les employeurs qui entretiennent la précarité en recourant
exagérément aux contrats courts paieront plus de charges, ceux qui créent des
emplois stables en paieront moins. Nous redéfinirons le dialogue social.
Les principes
fondamentaux (durée légale du temps de travail, égalité professionnelle,
salaire minimum…) resteront dans la loi. Mais, par exemple, les horaires
effectifs ou l’organisation du travail seront négociés au plus près du terrain.
Ils seront définis par accord
majoritaire ou par référendum d’entreprise sur la base d’un accord.
Nous permettrons à tous
les travailleurs d’avoir droit à
l’assurance-chômage. Les artisans, les commerçants indépendants, les
entrepreneurs, les professions libérales, et les agriculteurs disposeront,
comme les salariés, de cette protection.
Nous créerons sur
Internet un nouveau service
d’explication de la réglementation pour les entreprises. Un site Internet
unique donnera à chaque TPE ou PME les obligations légales et conventionnelles
qu’elle doit respecter en fonction de sa situation. Les réponses fournies en
ligne seront valables face à l’administration. »
Personnellement, j’aime bien la notion de « libérer le
travail ». Comme oxymore, c’est comparable à faire « la guerre à la
guerre »…
Bon, libérer « l’esprit d’entreprise », c’est
plutôt une tautologie…
Et puis si les entreprises avaient un esprit, ça se saurait.
Passons, je n’ai peut-être pas tout bien compris : Vous
savez que je suis né « kon », pour n’avoir qu’un seul neurone en
fonction, celui du nerf-honteux.
Alors, hein…
Nous lancerons un grand
Plan d’investissement de 50 milliards d’euros.
« Ce plan sur 5 ans sera mis au service
des qualifications de tous les citoyens, de la transition écologique, de la révolution
numérique, de la modernisation des services publics et de la rénovation
urbaine. Nous soutiendrons l’investissement privé. Nous baisserons l’impôt sur
les sociétés de 33,3 % à 25 % pour rejoindre la moyenne européenne. Nous transformerons le CICE en
allègements de charges pérennes, et l’ISF en « Impôt sur la Fortune Immobilière
» sans accroître la fiscalité actuelle sur l’immobilier et les droits de
succession, et sans taxer ce qui finance les entreprises et l’emploi. Nous
créerons un prélèvement unique sur les revenus du capital, de l’ordre de 30%.
Nous créerons un Fonds pour l’industrie
et l’innovation.
Doté de 10 milliards
d’euros issus des actions d’entreprises possédées de manière minoritaire par l’État, il servira à financer
l’industrie du futur.
Nous placerons la France
en tête du combat contre les perturbateurs endocriniens et les pesticides. Ils
sont l’une des principales causes de l’augmentation des cancers des enfants
depuis 20 ans.
Nous rénoverons 1 million
de logements mal isolés d’ici 2022, et en priorité ceux des propriétaires les
plus modestes.
Nous ferons de la France
le leader mondial de la recherche sur la
transition environnementale. Les spécialistes étrangers bénéficieront de
formalités d’accueil accélérées.
D’ici 2022, 50 % des
produits proposés par les cantines scolaires et les restaurants d’entreprise
devront être bio, écologiques ou issus
de circuits courts.
Nous diviserons par deux
le nombre de jours de pollution atmosphérique. Nous remplacerons les vieux
véhicules polluants en créant une prime de 1.000 euros pour acheter un véhicule neuf ou d’occasion
moins polluant.
Nous créerons une banque
de données numériques.
Les administrations
chargées d’autoriser des activités (l’ouverture d’un hôtel, ou l’obtention d’une
licence de chauffeur privé, …) devront mettre à disposition leurs données.
Face aux géants
étrangers, des nouvelles start-ups pourront ainsi s’adresser par exemple à tous
les hôteliers pour leur offrir de nouveaux services.
Changer le travail et
l’entreprise ne suffit pas. L’essentiel est de changer notre rapport à
l’écologie et à l’environnement. Des progrès ont déjà été faits, notamment en
agriculture. Mais regardons les choses en face : les dégâts que nous faisons
collectivement au climat et à la biodiversité sont pour beaucoup irréversibles.
Les conséquences sur notre santé sont
connues : des dizaines de milliers de morts par an rien qu’en France, des
cancers de plus en plus nombreux et de plus en plus précoces… ce n’est pas
qu’une question d’énergie, même si le réchauffement climatique est la menace la
plus pressante. C’est aussi une question qui est posée à chacun d’entre nous. C’est
une question sur notre modèle de développement et de production qui nous est posée à tous.
Et qui peut créer des
emplois !
Surtout, c’est une
question d’approche et de volonté : nous avons toutes les ressources pour
changer ce qui doit l’être, et ne plus continuer comme avant, pour
surmonter le poids des lobbies. Alors
nous allons faire autrement. Car nous croyons que nous pouvons redevenir
maîtres de notre destin ! »
Vraiment fourre-tout : Pire qu’une auberge
espagnole !
Comme disait ma grand-mère (qui le tient de sa propre
grand-mère) : « Bienvenu qu’apporte ».
Bref, il annonce 50 milliards de dépenses supplémentaires
(ou non, je n’ai pas compris), probablement empruntés parce qu’on n’a pas un
sou vaillant dans les caisses – du business pour ses potes banquiers – qu’on
n’a pas bien vu qui payera au bout.
Passons, de toute façon, il ne sait même pas ce qu’il va,
pardon, « nous allons » en faire, mais là encore, peu importe du
moment qu’il y a l’ivresse du moment…
Inventer un nouveau
modèle de croissance
« Nous mettrons fin aux injustices de
notre système de retraites. Un système universel avec des règles communes de
calcul des pensions sera progressivement mis en place. Le fait de changer
d’activité ou de secteur sera sans effet sur les droits à la retraite. Avec un
principe d’égalité : pour chaque euro cotisé, le même droit à pension pour tous
!
Nous ne toucherons pas à
l’âge de départ à la retraite, ni au niveau des pensions.
Nous publierons les noms
des entreprises qui ne respectent pas
l’égalité salariale entre les femmes et les hommes.
Nous testerons au hasard,
et massivement, les entreprises pour vérifier qu’elles respectent bien la loi
en la matière.
Nous alourdirons les
sanctions contre la fraude fiscale. La lutte contre la fraude aux prestations
sociales sera amplifiée. Une fraude
grave entraînera désormais, en plus du remboursement, la suspension de la
prestation.
Nous imposerons les
grands groupes de l’Internet sur leur
chiffre d’affaires réalisé sur notre sol. Pour cela, la lutte contre
l’optimisation fiscale sera une priorité de notre action européenne.
Nous ferons la
transparence sur l’attribution des
logements sociaux. Au lieu de procédures parfois opaques, nous mettrons en
place un système de points, fondé sur des critères objectifs (taille de la
famille, niveau des ressources, lieu de recherche). Il permettra à chacun de
connaître ses chances d’obtention d’un logement et le délai d’attente
prévisible.
Nous nous battrons contre
les abus liés au travail détaché. Nous devrons limiter à un an la durée
autorisée de séjour d’un travailleur détaché dans notre pays et redéfinir au
niveau européen les règles du détachement pour mettre fin à toutes les formes
de concurrence sociale déloyale.
En France, la République
est née de l’abolition des privilèges. Et pourtant, ils sont encore nombreux !
Notre pays se veut la patrie de l’égalité. Mais le favoritisme fausse souvent les
choses. Les privilèges bloquent notre société. La reconnaissance n’est pas
toujours au rendez-vous pour ceux qui font des efforts. Cela doit changer. Nous
voulons une société où tous ont les mêmes droits, tous ont les mêmes devoirs et
tous sont soumis aux mêmes règles.
Nous voulons en finir
avec les passe-droits, les arrangements, la fraude, la corruption.
Et nous ? En Marche ! Ce
changement, En Marche n’attend pas une nouvelle loi pour l’incarner dans le
champ politique. Aucun de nos candidats
à des élections – locales, nationales et européennes – n’aura de casier
judiciaire. Nos futurs élus auront l’interdiction absolue d’embaucher des
membres de leur famille dans leur équipe.
Les mêmes règles pour
tous. »
C’est beau comme un camion neuf.
Mais ce n’est pas tout…
Un État qui protège
« Vivre dans la peur, c’est vivre sans
être libre. La peur, c’est désormais celle que nous pouvons éprouver au moment
de nous rendre dans une gare, à la terrasse d’un café, à un rassemblement qui
pourrait être une cible pour des terroristes. La peur, c’est aussi une forme
d’angoisse quotidienne : la crainte de laisser son logement inoccupé pendant
qu’on part au travail ou en vacances, de croiser le mauvais regard ou de
s’asseoir à la mauvaise place dans les transports. Surtout quand on est une
femme. La puissance de l’État doit être mise au service de la protection de
tous les Français, partout sur le territoire. Et pour cela, ce sera tolérance
zéro lorsqu’il s’agit de sécurité.
Car la sécurité est la
première de nos libertés.
Nous recruterons 10.000
policiers et gendarmes supplémentaires. Ils renforceront notamment notre
dispositif de renseignement contre le terrorisme.
Nous créerons une police
de sécurité quotidienne. Au plus près des Français, elle développera une
connaissance approfondie des lieux et des habitants qu’elle sera chargée de
protéger et d’entendre.
Nous donnerons aux
policiers et aux gendarmes un nouveau pouvoir : sous le contrôle du juge, ils
pourront interdire à une personne délinquante de fréquenter le quartier où elle
a commis ses délits.
Nous ne tolèrerons plus
les incivilités. Le harcèlement des femmes, les insultes, la dégradation du
mobilier urbain, les crachats… Ces incivilités seront punies d’amendes
immédiates et dissuasives.
Toute peine prononcée
sera exécutée.
Nous construirons 15.000
nouvelles places de prison.
Nous confirmerons la
cyberdéfense et la cybersécurité comme priorités de notre sécurité nationale.
Nous augmenterons les
moyens de nos armées.
Nous mobiliserons 2 % du
PIB qui serviront à renouveler les avions ravitailleurs, à moderniser les
blindés de l’armée de terre, ainsi que la flotte de surface de notre marine
nationale.
Nous créerons un
état-major permanent des opérations de sécurité intérieure, de renseignement et
de lutte contre le terrorisme. Directement rattaché au président de la
République, il associera les services et états-majors des ministères de
l’Intérieur et de la Défense, avec la participation des ministères des
transports, de la santé et de l’industrie.
Nous agirons avec nos
partenaires européens pour créer une force de 5.000 garde-frontières européens.
Ils seront chargés de surveiller et protéger les frontières extérieures de
l’Union européenne. »
Ce n’est plus « En marche », mais même pas « En
Rêve » !
Les mêmes chances pour
tous nos enfants
« La France a été
faite par tous ceux qui, génération après génération, ont porté notre pays à chaque
fois un peu plus loin. L’éducation a été le moteur de cette progression, et les
enseignants en ont été les artisans. C’est grâce à eux que la France fait
partie des premières puissances du monde, alors qu’elle représente moins de 1 %
de la population mondiale. Depuis que nos performances scolaires diminuent,
notre pays éprouve des difficultés : ce n’est pas un hasard.
Notre cohésion nationale
en dépend.
Ce n’est pas qu’une
question de connaissances : c’est une question de justice. Car la mission de
notre République, c’est de remettre tous ses membres sur la même ligne de
départ à chaque étape importante de leur vie. Bien sûr, il y en a toujours qui
courront vite et d’autres qui trébucheront. Ou ne pourront tout simplement pas
se lancer dans la course. Ou choisiront une trajectoire différente.
Mais si l’on connaît à
l’avance l’ordre d’arrivée, alors à quoi bon essayer de courir ?
Nous donnerons la
priorité à l’école primaire pour que tous les élèves sachent lire, écrire et
compter en arrivant en 6ème.
Nous interdirons l’usage
des téléphones portables dans l’enceinte des écoles primaires et des collèges.
Nous donnerons plus
d’autonomie aux équipes éducatives. Elles seront suivies et évaluées. La
formation des enseignants sera adaptée à ce nouveau cadre. Nous limiterons à 12
élèves par enseignant la taille des 12.000 classes de CP et de CE1 en zone
prioritaire. Ces enseignants recevront une prime annuelle de 3.000 euros nets.
Et ils seront plus expérimentés : d’ici 2022, ceux affectés en zones
prioritaires auront au moins 3 ans d’ancienneté.
Nous rendrons possible le
rétablissement de parcours bi-langues au collège, de parcours européens et d’un
véritable enseignement du grec et du latin.
Nous proposerons à tous
un accompagnement après la classe. Au collège, nous rétablirons les études
dirigées après la classe grâce à des bénévoles (étudiants et retraités).
Nous moderniserons le
baccalauréat. Il y aura désormais 4 matières obligatoires à l’examen final. Les
autres seront validées par un contrôle continu.
Nous renforcerons
l’autonomie des universités. Elles pourront recruter leurs enseignants et
définir leurs formations.
Nous ouvrirons 80.000
places dans les filières professionnalisantes.
Nous demanderons à chaque
lycée professionnel et université de publier ses résultats (débouchés,
salaires, etc.) sur les 3 dernières années.
Nous construirons 80.000
logements pour les jeunes.
Nous ouvrirons les
bibliothèques en soirée et le week-end. Nous créerons un « Pass Culture ». Il
permettra à chaque Français de 18 ans d’effectuer 500 euros de dépenses
culturelles (cinéma, théâtre, livres...).
Nous ne retirerons pas un
euro au budget du ministère de la Culture.
Nous appliquerons
strictement le principe de laïcité.
Nous organiserons pour
les ministres du culte une formation universitaire à la laïcité, aux valeurs de
la République et à la langue française.
Nous développerons la
connaissance des différentes religions à l’école en prévoyant un enseignement
spécifique sur le fait religieux.
Nous n’étendrons pas
l’interdiction du voile à l’université.
Nous démantèlerons les
associations qui, sous couvert de religion, s’attaquent à la République.
Nous fermerons définitivement
les lieux de culte dans lesquels certaines prêchent l’apologie du terrorisme.
Nous créerons des emplois
francs pour encourager l’embauche des habitants des quartiers prioritaires de
la politique de la ville. Quel que soit le lieu où elle se situe, une
entreprise qui recrutera en CDI un habitant de l’un de ces quartiers
bénéficiera d’une prime de 15.000 euros sur 3 ans : c’est comme si elle ne
payait plus de charges !
Nous ferons de la lutte
contre la discrimination une priorité nationale.
Nous développerons des
opérations de contrôle aléatoires et imprévues à grande échelle, en matière
d’accès à l’emploi ou au logement. Les partenaires sociaux seront également
mobilisés.
Nous ferons de la
maîtrise de la langue française le principal critère de l’obtention de la
nationalité française.
Nous renforcerons
l’apprentissage de notre langue pour les candidats à la naturalisation. Quelle
meilleure preuve de la volonté de quelqu’un de s’intégrer et de devenir
français ?
Nous examinerons les
demandes d’asile en moins de 6 mois, recours compris. C’est nécessaire pour
accueillir dignement les réfugiés qui ont droit à la protection de la France.
Les autres seront reconduits sans délai vers leur pays afin qu’ils ne
deviennent pas des immigrés clandestins. »
Bon ok, il manque quoi pour enfin vivre le « paradis
sur terre-MacRond-rien » ?
Eh bien, au moins la moitié de son programme, puisqu’il y en
a encore autant à se tartiner et peut-être des frites au menu !
Quoique pour moâ, c’est du « poison »…
Donc digérez déjà tout ça et on y revient une prochaine
fois…
D’accord ?
Non, la bonne formule « MacRonesque », c’est « nous »
y revenons une prochaine fois.
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