Je me pose « ailleurs »…
J’ai plein de choses à vous dire, mais j’ai le neurone
un peu coincé par l’attentat de Londres et l’attaque d’Anvers.
Anvers, c’est probablement le fait d’un « archi-aviné ».
En revanche London, c’est bien un attentat islamiste, d’un taré-déjanté,
puisque l’attaque a été revendiquée par Daesh.
J’en reste, comme ça devient hélas l’habitude, coi,
sans voix.
Je ne suis plus moi-même, je ne me reconnais plus…
D’autant que là, je suis particulièrement choqué et
vous allez comprendre.
Cette attaque est une sorte de remake de ce dont j’ai
pu être témoin en décembre 2015…
Des flics, des pompiers, des hélicoptères partout
autour de Big-Ben, sur le pont de Westminster, celui qui donne sur l’arrière de
Waterloo-station d’un côté et le Palace of Westminster de l’autre, l’house of
Commons, le Parliament square Garden, la statue de Churchill, l’abbaye de
Westmisnter, etc.
Même scène en 2015, peut-être en plus court, sur le
coup de midi-local, avec des effectifs déployés probablement moins imposants.
Mais à l’époque, pas un mot dans les médias, tous
orientés sur les inondations dans le nord du pays ante-brexit.
Et puis le surlendemain, il y a eu cette attaque au
couteau dans le nord-est de la capitale de l’empire britannique, dans les
couloirs du Tube…
Là, ça avait fait grand-bruit à travers le monde au
moins occidental, et en tout cas européen après les attaques de novembre à
Paris…
Me souvenant parfaitement de cet épisode forcé, malgré
ma
blessure profonde, il m’a fallu trouver une explication à ce silence
médiatique, étant sûr de n’avoir pas rêvé : On aurait dit une scène « à
la James Bond »…
Mais sans les caméras, et un public, dont j’étais,
refoulé par les autorités.
Vous savez quoi ?
Je vous en ai fait un chapitre dans le roman d’été du
moment « Laudato
si… », en ligne depuis le 15 octobre 2016, mais écrit à la fin
de l’été de la même année…
Souvenirs, souvenirs.
Alors ? Un remake.
Une copie.
C’est vous dire ma sidération…
Unicité de lieu, probablement de moyens, en revanche
le procédé diffère, les causes et conséquences aussi : Elles sont bien
plus tragiques dans la réalité.
Encore plus absurdes que celles que j’ai pu étaler
dans ma « création-littéraire », à l’occasion de ma logorrhée-imaginative.
C’est vous dire dans quel état de choc je me suis
retrouvé cette semaine…
Alors je marque une pause ce jour.
Faut se poser pour retrouver ses marques.
Et vous laisse ce « petit-post » tout-court
pour me laisser le temps de méditer.
Et si Daesh se mettait à lire mes posts ?
Parce que vous n’avez pas non plus tout vu de l’activité
de ce blog : Ce
post-là de novembre 2015, post attentats-parigots… vu par une petite
centaine d’internautes au moment de sa mise en ligne, pas plus et comme d’habitude
(tellement vous êtes des « fidèles » qui y reviennent), puis une petite
vingtaine de visiteurs post-mise-en ligne, est devenu en quelques semaines le 4ème
billet le plus lu de ce blog en quelques semaines !
Des dizaines, des centaines de visites tous les jours
depuis quelques temps : Parfaitement incompréhensible…
Et ça me met le neurone en feu, là, en plein délires pré-électoraux…
J’ai manifestement besoin de repos et d’éloignement :
Je délire moi-même !
Alors aujourd’hui, on passe et on verra bien demain.
Veuillez m’en excuser et
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
I3
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