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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 30 septembre 2016

Recuites n° 14


La suite des archives de Jean-Marc

« – Dis, papa : Qu'est-ce qui a dix pattes, qui est vert et bleu et mesure 10 cm ?
– Je ne sais pas, fiston.
– Moi non plus, mais il est sur ton cou. »

« – Docteur, ma femme est complètement folle ! Elle héberge 60 chats dans notre appartement.
– 60 chats ? Fantastique ! Cela dénote un certain amour pour les félins.
– Et le plus terrible docteur, c'est cette odeur insupportable avec toutes les fenêtres fermées !
– Mais vous pouvez les ouvrir.
– Jamais de la vie ! Pour que mes 300 canaris s'envolent ? »

Le fils de Jean-Marc étudie les nombres négatifs à l'école.
Le soir, n'ayant pas compris cette leçon, il demande à son père de lui expliquer.
« Bon, écoute, c'est très simple. Imagine quatre personnes dans un bus. Si à l'arrêt suivant huit personnes descendent, alors il faut qu'il y en ait quatre autres qui montent pour qu'il n'y ait plus personne dans le bus. »…

Quelques jours après la rentrée des classes, on procède à la traditionnelle photo de classe.
La semaine suivante, l'institutrice essaie évidemment de persuader les enfants d'en acheter une chacun :
« Pensez un peu à l'avenir. Vous serez bien contents dans quelques années, quand vous serez grands, de vous dire en regardant la photo : ‘‘Tiens, là c'est Julie, elle est médecin maintenant.’’ Ou encore : ‘‘Là c'est Kévin, il est ingénieur… et là, c'est Amélie, elle est manucure’’… »
Alors la petite voix du fils de Jean-Marc se fait entendre au fond de la classe :
« Et là, c'est la maîtresse, Mme Planchon, elle est morte. »

Un samedi soir d'hiver, un Ecossais s'apprête à aller au pub comme à son habitude.
Il dit à sa femme :
« – Chérie, mets ton manteau.
– Pas possible ! » s'écrie-t-elle. « Tu m'emmènes ?
– Non, je coupe le chauffage. »

Variante :
Un soir, un Écossais dit à sa femme :
« – Chérie, je me suis dit que tu ne voudrais pas aller à ce concert avec ton vieux manteau…
– Oh non, bien sûr chéri, comme tu es gentil d'y avoir pensé !
– Ben oui, c'est pourquoi je n'ai pris qu'une seule place. »

Jean-Marc, petit-garnement, entre dans un magasin de jouets.
Il choisit une petite voiture et passe à la caisse.
« Cela fera 20 francs », dit la caissière.
Jean-Marc lui tend un billet de Monopoly.
« Ah non, ça c'est un faux billet ! » s'exclame la caissière.
« Mais c'est une fausse voiture aussi. »

Le fils de Jean-Marc rentre à la maison avec un carnet de notes rempli de zéros.
En colère, son père lui lance :
« – Quand George Washington avait ton âge, il était premier de sa classe.
– Oui papa, mais quand il avait le tien, il était déjà président des États-Unis. »

Devinette de Jean-Marc : Quelle est la différence entre un léopard, une laitue et une belle-mère ?
« Le léopard est tacheté dans le dos, la laitue est achetée au marché, et la belle-mère est à jeter par la fenêtre. »

En consultation, une femme et son époux demandent ce qu'il en est de l'état du mari, qui n'a pas l'air d'aller très fort.
« Mais votre mari n'a rien, madame. Il croit qu'il est malade, voilà tout. »
Une semaine plus tard, la femme téléphone au médecin :
« Docteur, mon mari croit qu'il est mort. »

Jean-Marc, à peine rentré chez lui un soir, demande à sa femme :
« – Qu'est-ce qu'on mange ?
– Aujourd'hui, tu as le choix : Les restes du ragoût de pattes de cochon.
– C'est tout ?
– Oui.
– Mais où est le choix là-dedans ?
– C’est à prendre ou à laisser. »

James Bond se rend dans une soirée. Très vite il s'aperçoit que c'est ringard, mais tant pis.
Il repère la fille qui a l'air d'être la moins beauf de la soirée.
« – Bonsoir, je me présente. Bond, James Bond.
– Bonsoir, moi c'est Monde, Ray Monde. »

À l'école, la maîtresse demande aux enfants la profession de leur père.
Très fiers, les enfants répondent tour à tour :
« – Moi, mon papa il est charcutier.
– Moi, boulanger.
– Et le mien, il travaille chez France Télécom. »
Arrive le tour de Jean-Marc :
« Moi, mon papa il est mort. »
Gros silence… puis la maîtresse, gênée, demande :
« – Mais, euh… avant de mourir, il faisait quoi ton papa ?
– Il faisait ‘‘Aaaarrgghhhhh !!!’’ »

À la caserne, un appelé téléphone à l'un de ses amis :
« Pfff… L'armée, c'est comme les poils, j'en ai plein le cul. »
Pas de chance, le sergent passe juste à ce moment-là :
« Les permissions, c'est comme les couilles, c'est suspendu ! »

La tante du petit-Jean-Marc lui demande :
« – Tu n’es pas trop triste que je parte demain, mon petit ?
– Oh si, Tatie, j'aurais tellement préféré que tu partes aujourd'hui ! »

C'est Jean-Marc qui rentre chez lui après une fête un peu trop arrosée et qui s'est gerbé dessus.
Il explique à sa femme :
« Chérie, il m'est arrivé une histoire incroyable. Je buvais un café au bar avec des copains, quand un type bourré est entré et m'a gerbé dessus. Remarque, le mec a été correct, il m'a donné 20 euros pour le pressing. »
Le lendemain matin, sa femme lui demande :
« – Dis-moi, le type qui t'a vomi dessus hier, tu le connais ? Tu vas le revoir ?
– Euh… C'est possible. Pourquoi ?
– Eh bien, tu lui diras qu'il te redonne 20 euros : Il a aussi chié dans ton slip. »

Deux mouches sont posées sur une grosse merde.
Soudain, l'une des deux pète.
« T'es dégueulasse ! » fait l'autre. « On est à table, tout de même ».

Le fils de Jean-Marc dit à sa mère :
« – J'aimerais vivre au Moyen Âge.
– Tiens donc ! Et pourquoi ?
– Parce que comme ça j'aurais moins d'histoire à apprendre. »

Dans un village africain, le chef arrive chez le médecin blanc.
Il brandit un nouveau-né blanc et hurle, furieux, au médecin :
« Ma femme avoir accouché d'un enfant blanc. Toi être le seul blanc de la région. TOI MOURIR !!! »
Le toubib, embarrassé, essaie de se défendre :
« Mais non ! Regarde ton enfant. C'est pas un blanc, c'est un albinos. Tu sais ce que c'est ? Non ? Eh bien, c'est génétique. Il peut arriver qu'un enfant soit tout blanc comme ça. Tiens, pour te donner un exemple, c'est comme dans ton troupeau de moutons. Normalement, ils sont blancs, mais il arrive qu'il y en ait un noir. C'est génétique ! »
Alors le chef réfléchit, puis s'approche du médecin et lui chuchote :
« Bon, moi rien dire pour enfant blanc, mais toi rien dire pour mouton. »

Le saviez-vous ?
Rudolph est le renne le plus populaire des USA et il a un nez rouge.
Quant à Ride, il est toujours derrière Rudolph pour tirer le traîneau du Père Noël et il a un nez marron.
Pourquoi ?
Parce qu'il n'arrive pas à freiner aussi vite que Rudolph.

Un petit vieux se rend chez le médecin.
« – Vous savez, docteur, Dieu veille sur moi. D'ailleurs, je vais vous faire une confidence : Il me fait signe.
Tenez ! Hier soir, je suis allé aux toilettes pour un besoin urgent et la lumière s’est allumée toute seule.
Lorsque j'ai eu fini, elle s’est éteinte toute seule aussi.
C'est bien une manifestation divine, non ?
– Tout à fait », lui répond le docteur, qui ne veut pas le contrarier. « Rhabillez-vous et allez attendre votre femme pendant que je l'ausculte. »
Entre alors Mauricette.
« – Bonjour Docteur !
– Bonjour Mauricette ! Dites-moi, votre Eugène, il n'a plus toute sa tête. Il m'a dit que l'autre soir, la lumière des toilettes s'était allumée toute seule quand il s'y est rendu et…
– Ah, le con ! » l'interrompt Mauricette. « Il a encore pissé dans le frigo ! »

Deux golfeurs disputent leur partie hebdomadaire.
« – Tu as appris la nouvelle ? » dit Jean-Marc. « Charles a tué sa femme avec son revolver !
– Ça alors ! » s'écrie Jean-Paul. « Et en combien de coups ? »

Une femme va porter plainte au commissariat :
« Depuis une semaine, un homme dans l'immeuble d'en face se met tous les jours tout nu à la fenêtre. »
Le commissaire se rend chez elle pour faire un constat et voit le bonhomme, torse nu.
« – Il n'y a pas de mal à ça, ma petite dame.
– Vous n'avez qu'à monter sur la chaise, vous verrez ! »

Et dans la série des « revenues » (ces « histoires d’en rire » qui voient le jour dans cette rubrique, partent faire plusieurs fois le tour du monde, et reviennent un jour ou l’autre) :

Jean-Paul et Jean-Marc amis discutent dans un bar :
« – Chaque fois que je me dispute avec ma femme, elle devient historique.
– Tu veux dire hystérique ?
– Non, non, historique ! Elle se souvient de tout ce que j'ai fait de travers, du jour et de l'heure. »
J’adore… : C’est du vécu !

Dans un bar, Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Dis donc, tu as su pour ma femme ?
– Non, quoi ?
– Elle est partie avec mon meilleur ami !
– Hééé attend ! Je croyais que c'était moi, ton meilleur ami ?
– Ah là, plus maintenant… »
La variante d’une « revenue » où Jean-Paul, parti avec la femme de Jean-Marc, devenait le meilleur ami de ce dernier…

Une blonde entre dans un bar.
Elle s'approche du barman et lui chuchote timidement à l'oreille :
« – Où sont vos toilettes ?
– De l'autre côté. »
Alors la jeune-femme se déplace et lui chuchote à l'autre oreille :
« Où sont vos toilettes ? »
Là encore une revenue : Dans l’originale, la dame s’essuie les doigts sur la barbe et les vêtements du barman ravi et finit par expliquer qu’il n’y a plus de PQ dans les WC…

Trois gamins dans la cour de récré :
« – Moi, mon père, il a une Ferrari qui fonce à 350 km/h.
– Moi, mon père, il a un jet privé qui fonce à 900 km/h.
– Ben moi, mon père, il a une 2 CV. Il travaille à la Poste, et quand il finit à 17 heures, il est à la maison à 16 h 30. »
Dans l’originale où il était question de TGV, de Concorde et de spationaute, le père de Jean-Marc était le plus rapide mais c'était un fonctionnaire…

Bon week-end tout de même à toutes et à tous !

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