De nombreuses surprises !
Côté business, pas de surprises : Des indices mondiaux sont restés peu
actifs, tel qu’on se demande si les « robots » n’étaient pas eux
aussi « en vacances » ; une catastrophe post « Brexit »
annoncée qui n’a pas eu lieu ; le pétrole avec des cours en
« yoyo-stable », qu’on ne sait pas encore les réanimer, idem sur les
marchés des changes.
En revanche, les marchés émergeants flambent avant la remontée des taux de la FED attendue pour la mi-septembre : Encore une occasion pour les punis-consignés de mon boss d'avoir fait exploser les compteurs.
En revanche, les marchés émergeants flambent avant la remontée des taux de la FED attendue pour la mi-septembre : Encore une occasion pour les punis-consignés de mon boss d'avoir fait exploser les compteurs.
Côté économie, eh bien toujours les mêmes annonces de « plans
sociaux » un peu partout, une croissance molle, un taux de chômage en
suspension, des déficits publiques un tout petit peu meilleurs que ce qu’on en
pensait, bref, rien de transcendantal.
Quant « aux politiques », en Ritalie on se prépare à voter le mois prochain à l'occasion d'un référendum qui va encore secouer l'UE et l'Euro, « Bling-bling » qui se porte
candidat à la candidature – on en a déjà causé –, « Mc-Rond » qui
prend son envol en démissionnant – on en reparlera – et qui fait la
communication de la « hollandie » façon décoiffante…
Les deux seules « bonnes nouvelles », ça reste la condamnation
de « la pomme » à un remboursement massif d’impôt à l’Irlande, qui…
n’en veut pas : 14,5 milliards d’euros, intérêts compris, ça fait du bruit.
Une tempête dans un verre d’eau : L’UE pratiquerait les mêmes mesures
de rétorsions que les autorités américaines ?
De quoi rigoler : Elle n’a pas les mêmes outils pour imposer
l’exécution de ses décisions !
Et puis la suspension sine die
des négociations autour du TAFTA (TTIP) annoncée par l’Allemagne et même le
« Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois ».
Là encore, une annonce sans portée véritable : Ils continuent de
« négocier » dans le secret.
Il me semble qu’il ne s’agit que d’une façon parmi d’autres de faire
« plier » l’administration américaine, qui a reçu mission d’aboutir
avant la fin du mandat de « Baraque-Haut-bas-mât ». N’achopperait
plus que la difficulté relative aux marchés publics : Il suffit de rayer
ce chapitre-là du traité pour y revenir plus tard, et le tour sera joué.
Passons…
De mon côté et à titre personnel, j’ai eu la surprise de ne pas avoir été
attaqué par les méduses !
La première fois depuis bien des années…
Et pourtant, il y en avait en pagaille.
J’attribue cette « désertion » à mon régime « 103PR » (Sans Pâte, Pain, Patate, Riz) qui m’a fait fondre et passer du statut « double-quintal » à celui de « demi-quintal » (pas encore, mais je suis descendu largement sous les 100 kilos de masse corporelle).
J’attribue cette « désertion » à mon régime « 103PR » (Sans Pâte, Pain, Patate, Riz) qui m’a fait fondre et passer du statut « double-quintal » à celui de « demi-quintal » (pas encore, mais je suis descendu largement sous les 100 kilos de masse corporelle).
« Elles » ne me reconnaissent plus comme d’un monstre à
bâfrer !
Et du coup, autre conséquence, je ne flotte plus !
Incroyable, mais sans ma bouée abdominale adipeuse, il faut que je brasse fort
des jambes et des bras pour me maintenir à la verticale dans de l’eau de mer
calme et c’est fatigant, mais avec de l’eau jusqu’au menton quand j’inspire
fort, alors que l’année dernière, je bougeais seulement les phalanges pour
avoir les épaules hors de l’eau avec de l’air plein les poumons, jusqu’au
menton en position « expirée » !
Deuxième surprise, j’ai persisté à perdre du poids (pas grand-chose, mais
j’ai repris un rythme de 2 kg/mois sans forcer après un mois de juillet pas
très favorable), alors que j’avais à mon bord trois
« cuisinières-ritales » qui cuisinent divinement de la
« pasta », toutes natures (Spaghetti, Pene, Tiaglatelli, etc.) et du
rizotto, à toutes les sauces (Bolognaise, Milanaise, Frutti di Mare, Scampi,
Fungi, etc.), sans compter les pizzas et les Bruschettas diverses…
Et je ne vous dis même pas non plus la pâtisserie, notamment les
Tiramisus, les Pana-cotas, et les Gelatti-maisons, les Cornetto et les Bombas…
Bref, que du « poison » à glucide-caché et que c’était tellement
appétissant que j’ai eu du mal à me priver : Moyenne générale du taux de
glycémie à jeun, 1,136 g/l de sang, hors normes mais largement moins que mes 2,5 g/l de l'année dernière, 10 % au-dessus de mes
« performances » antérieures…
Faut dire que j’ai évité les cocktails, sauf une fois ou deux, le Spritz,
la vodka et le Campari, restant « sage » avec mon sceau de
« glaçons mouillés au whisky »…
Résultat du voyage, j’ai de nouveau le pouce du pied qui s’est permis de
saigner sans mon autorisation préalable et sans « heurts ». Pas
facile à faire cicatriser correctement.
Et puis j’ai l’impression désormais d’avoir deux pieds en carton…
Désagréable.
Depuis, j’ai remis des chaussettes et des chaussures et ça fait
« chaud » accompagné d’élancements inopinés : Ras-la-socquette.
Ceci dit, j’embarquais un couple de voisins semi-retraités de
Portoferraio, ma « cuisinière » du même cru et un peu plus tard, un
couple de milanais.
Chacun avait son « OTA » (objet transitionnel affectif, un
« doudou » chez les bambini, quoi) : Le Chat pour l’une, qui te
me regarde avec des yeux et des miaulements à fendre l’âme, implorant des
caresses, mais n’aime pas du tout les embruns malgré les oiseaux de mer qui
l’énervaient au plus haut point, le chiot des voisins, qui n’arrêtait pas
d’aboyer pour faire fuir les mêmes oiseaux (ceux qui énervent son pote le « chat-de-la-voisine »), d'autant qu'un chien ça pisse au pied des mâts, crotte n'importe où quand il n'est pas à quai, alors qu'un chat a sa caisse et attend de nous voir manger pour faire ses besoins, mange n'importe quand et tout le temps, là où le chien ne fait qu'un repas.
Et puis le dernier-né des milanais qui n’a pas encore ses dents, mais passe aussi son temps à brailler, souillant sa couche n'importe quand et ne s'habitue pas encore aux cycles jour/nuit, ni aux horaires fixes de nutrition …
Et puis le dernier-né des milanais qui n’a pas encore ses dents, mais passe aussi son temps à brailler, souillant sa couche n'importe quand et ne s'habitue pas encore aux cycles jour/nuit, ni aux horaires fixes de nutrition …
Ambiance sonore garantie avec le clapotis de l’étrave et du vent dans les
drisses en fond sonore pour calmer les nerfs…
Pour la première semaine, on a pris du retard sur le programme :
C’est qu’en fait, les « milanais » qui font « banquiers »
en Ritalie, ont eu du mal à s’échapper.
Car la banque en Italie, c’est un peu largement sinistré, façon le Beyrouth
des années 80.
Elle, elle est contrôleuse général-adjointe des salles de
« trade » de son boss à elle, et lui il fait l’informaticien dans la
même boutique située à Milan…
Je ne te vous raconte pas les futurs conflits d’intérêt familiaux pour ces deux
trentenaires…
Je les avais rencontrés à l’occasion d’un déplacement depuis la
Sérénissime et on avait sympathisé.
On a donc traîné pour rejoindre la Balagne, après avoir fait un tour de
l’Île-d’Elbe dans l’attente des derniers arrivants, première étape
indispensable puisque je devais embarquer la provision de pinard-gris du
« Cousin Dumè » pour notre croisière et quelques
« langoustes-pêchées-la-veille » à… Rungis.
Nous avons fait halte à
Saint-Florent pour le déjeuner et je recommande le restaurant posé au fond du
port sur la jetée : Agréablement surpris et c’est mieux qu’à Centuri.
Et puis on a été bloqué par un coup de mistral, vu le pied pas très marin
de mon équipage, à qui j’avais quand même fait faire la manœuvre de
l’homme-à-le-mer par précaution, avant de déraper sur Minorque et Ibiza avec
une mer plus calme.
Ce qui a laissé le temps à Dumè (le cousin qui fait « natio »
dans le civil et continue à vendre et distiller ses stocks après avoir arraché
ses vignes il y a de ça plus d’une dizaine d’années pour toucher la prime
européenne de l’époque) de nous raconter les anecdotes de l’hiver.
J’en ai retenu une : Le peloton de gendarmerie local a touché un radar
routier-portatif dernier-cri, cet hiver.
Ils l’ont essayé au rond-point de la route de la pinède et de
Pietramaggiore un matin, prenant en enfilade la nationale (qui est devenue une
« route-territoriale » locale), à l’entrée d’un bout de la pinède.
Tout le monde s’est fait épinglé, venant de Lumiu, de l’aéroport ou de
Calinzana et allant au boulot à Calvi à mâtines, des taxis au camion des
pompiers, des ambulances et autres véhicules sanitaires, aux véhicules de
fonction de la sous-préfecture et de la mairie, en passant par les autocars de
ramassage-scolaire, les fournisseurs et même la benne-à-ordure !
Il n’y a vraiment que la balayeuse qui a échappé au massacre…
Et de confirmer, qu’effectivement, le 14 juillet, tout le monde attendait
un « attentat dans l’Île » depuis une huitaine de jours, les services
de sécurité en alerte et les réservistes rappelés, même dans la
Cité-Colombienne, « Semper Fidelis »
(à Gênes… précise-je).
Personnellement, je n’ai vu qu’une patrouille de police militaire en
voiture sur le boulevard Wilson et trois flics en arme, à pieds et en gilet
pare-balle sur le quai Landry, un soir.
Que c’est définitif, il n’y aura plus de rotation de ferries dans le port
de commerce ;
Que personne n'a vu la fille de « Ségololo » dans la voiture de la sous-préfète, même pas les gendarmes devant assurer sa protection ;
Que personne n'a vu la fille de « Ségololo » dans la voiture de la sous-préfète, même pas les gendarmes devant assurer sa protection ;
D'ailleurs le « Calvi on the Rocks » risque de disparaître comme le
festival du vent depuis trois ans. La raison ? Ça fait beaucoup de bruit,
ça laisse des seringues et des capotes partout sur la plage et sous les pins mais
surtout, c’est financé par les commerçants de la ville qui n’en voient pas les
retombées : Ces kons-là, ils font « gargote-sur-plage » et du
coup aucun festivalier ne vient en ville…
Ceci dit, Minorque c’est sympa, avec des coins vraiment très jolis et plein de charme, Majorque
aussi, mais c’est nettement plus « bétonné ».
Mais l’un dans l’autre, ça ne vaut pas Port-Cros.
On devait faire quelques ronds autour des îles et filer vers Valence où
« mes potes banquiers » devaient reprendre l’avion : Ils ont
moins de vacances que moi.
Ils seront repartis depuis Majorque, parce que
« mon-Boss-à-moi », qui ne fait jamais les choses comme tout le monde
les a retenus. Il avait loué un « magic-Gin-Fizz » (définition d’un
maxi-yacht trois ponts avec équipage résident, une quinzaine de suites, où l’on
sert du Gin-Fizz) luxueux, à défaut de trouver une chambre d’hôtel convenant
à « Sa-Dame-à-lui »…
Et puis le « petit-kon » de fondé de pouvoir vénitien avait bien
son yacht personnel et pas elle…
Je ne sais même pas s’ils sont sortis en mer avec, puisque nous les avons
embarqués pour une virée diurne avant de reprendre le large…
Et voilà que « mon-boss-à-moi » en profite pour se mettre à
draguer ma minette « banquière-milanaise » en vue de la débaucher (et
étoffer ses équipes à lui qui bossaient à lui en mettre plein les poches), faisant l’article de la fiscalité avantageuse de Monaco,
les avantages sociaux, les vacances, etc. !
Ce qu’il n’a pas compris, c’est que c’est une primipare après avoir été
une primigeste et que sans son « inséminateur-personnel » (Producteur
intérieur de bonheur… PIB) à proximité, elle ne déménagera pas tout de
suite : Ils veulent un second baby dès que possible.
Que même, déjà, ils s’en occupaient assez bruyamment à nocturne…
La vie des bêtes… enfin, passons !
Ceci dit, le seul maître à bord après Dieu que j’étais, vu le décalage
dans le timing, il met aux voix la suite du parcours.
Et eux veulent visiter la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » qu’ils ne
connaissent pas, alors que Barcelone et les Îles d’Hyères, peut-être l'année prochaine seulement…
Tant pis pour ma recherche d’un anneau plus proche de Monte-Carlo.
Coup de bigophone à « ma nichée », il y a une cabine deux
bannettes libérée.
Qu’elle ne se fait pas priée pour débarquer à Aiaccio par la compagnie Low-Cost
locale, alors qu’elle connaît déjà pour l’avoir fait l’année dernière.
Pas de place au port Tino-Rossi, on se retrouve au mouillage forain dans
le golfe la première nuit, puis sous le vent des Sanguinaires la seconde (où se
tenait l’assemblée générale annuelle des méduses), pour finalement pouvoir
amarrer à proximité du boulevard Napoléon au port Charles Ornano.
Re-visite de la maison natale de l’empereur, pillée et incendiée à son
époque par les ajacciens et les anglais, le marché, sa Mairie, sa Préfecture,
l’avenue et le musée Fesch (toujours aussi décevant, mais bon, il s’y entendait
à racketter les paroissiens, celui-là)…
Ils ont voulu aller jusqu’au château des « Pozzo-di-Borgo », un
ennemi de la Patrie qui a pactisé avec les anglais durant la Convention, une
bâtisse reconstruite avec les pierres des Tuileries : Je n’y suis pas
allé, non mais.
Pour finalement leur proposer un tour vers Girolata et la Scandola,
toujours aussi sublime, bivouaquer, à Cargèse sur le retour, puis au large de
Roccapina, boire un Mojito à Bonifaciu et son fjord toujours aussi spectaculaire.
Et etour sur les « bases-arrières-préparées-à-l’avance » à
Portoferraio.
Et là, autre surprise : Quand j’avais une connexion internet, je
basculais un lien du post du jour vers « Fesse-book », m’interdisant
toute autre navigation internétique dans la journée.
J’avais donc suivi la progression d’audience de ce blog, passant d’un
total de 64.000 connexions le 4 août à 71.000 début septembre…
7.500 visiteurs sur le mois, en moyenne : Ce qui donne un total de
page/vue sur les seuls chapitres du roman « Laudato si… » de
13.770 dimanche dernier !
Que là, j’en reste sur le kul.
Pour une surprise, c’est une grosse surprise, en plein mois d’août, il faut
le faire : Pour comparaison, l’année dernière, pour la même période et selon la même méthode de calcul, il
n’y avait eu que 3.719 visites !
Félicitations, la jeunesse : Merci infiniment pour vos encouragements
anonymes !
Avec toutefois une remarque curieuse : Plus de la moitié des visiteurs sont géo-localisés à l'étranger, ce qui est inhabituel !
Avec toutefois une remarque curieuse : Plus de la moitié des visiteurs sont géo-localisés à l'étranger, ce qui est inhabituel !
Pour le reste, on comptera une autre fois : Je n’ai pas encore eu le
temps.
Car les « affaires » ont repris sur les chapeaux de roue : Figurez-vous
que lundi matin les carabiniers ont perquisitionné les locaux vénitiens de mon « boss-à-moi »
sur plainte d’un ex-client (je ne vous raconte pas la quasi-crise d'hystérie de la secrétaire pas habituée), viré par mon prédécesseur, beaucoup trop magouilleur pour la boutique, en faillite personnelle et que
j’en ai été entendu dès le lendemain, mardi matin, par les mêmes…
Je vous jure : Y’en a qui, quand ils font des konneries à en faire de
très mauvaises affaires, ce n’est jamais de leur faute, mais celle d’autrui,
forcément !
Celui-là, il va devoir assumer les conséquences d’une dénonciation
calomnieuse en plus de son propre fatras de casseroles impossibles.
Je l’attends au tournant, celui-là.
Non mais !
Et puis il faut que je m’atèle à l’écriture de la suite de « Laudato
si… » : Pas une seule ligne en plus de 30 jours que je ne sais plus
où j’en suis.
Faut dire aussi que j’hésite encore entre deux déroulés du scénario :
Vais-je poursuivre avec l’enquête du FBI ou d’abord revenir à « Charlotte »
qui fait des siennes dans l’intervalle ?
Encore hier, où je postais ce billet, je ne savais pas.
Il y aura peut-être « un blanc » dimanche prochain : C’est
qu’il faut remettre un peu d’ordre dans le voilier sur le retour, après le
passage à Monaco.
Beaucoup de route chronophage, d’autant que je me fais « léger »
sur le champignon à réussir des parcours à 5,2 litres aux 100 avec mon « gros-tas-de-boue-à-roulettes »
: Un vrai champion du « frein-moteur » et du régulateur de vitesse
!
Bonne fin de week-end et bien à toutes et à tous !
I3
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