« Bling-bling »
est de retour !
Et « McRond » s’envole de ses propres ailes !
Quels scoops…
Pour le second, nous y reviendrons, mais pour le premier, il faut dire que
pour ceux qui ne s’y attendaient pas, ils y n’ont même pas eu à tomber de leur
fauteuil.
C’était tellement évident depuis des mois et des mois, qu’il aura attendu
le dernier moment pour « se déclarer » à l’occasion de la sortie de
son dernier bouquin, profitant honteusement de sa position de président des
« Républicains-démocrates » pour labourer l’opinion tous
azimuts et draguer les fils de l’extrême-droâte de
« Marinella-tchi-tchi ».
Et là, confirmation, il s’y entend, tel que vous n’avez pas fini
d’entendre parler de burkini, tchador, burqa, niqqab et autres tenues
« exotiques » pour lesquels il veut même transformer la Constitution
du pays : C’est vous dire qu’il est prêt à n’importe quoi « pour
plaire » à l’opinion…
Je vous plains, finalement !
Ce gars-là, décidément, il n’aura rien compris de la vie. Ce qui est quand
même dommage, arrivé à son âge-avancé et après avoir assumé, comme il le
pouvait, plusieurs fonctions électives, ministérielles et même un quinquennat
complet à la tête du pays.
Moi, ça ne m’étonne pas plus que ça, finalement : Quand on est
né-kon, même de la dernière pluie, on en devient forcément un
« vieux-kon » des neiges d’antan avec le temps !
Je sais, j’en suis !
De plus, lui, il est tellement kon, qu’il a su marier trois épouses
différentes. Alors que personnellement, j’ai compris dès la première :
Passons !
D’ailleurs, il faut que j’interroge ma « petite-sœur » à ce
sujet : Elle avait fait le pari que « Karlita » n’avait accepté
le rôle de « Princesse-qu’on sort » uniquement que pour être première
dame de « Gauloisie-intemporelle » le temps du reste dudit
quinquennat, et qu’elle se casserait après en cas d’échec.
Perso, je restais dubitatif : Battue en 2012, elle n’a pas dégagé, c’est
que ça n’a pas été sans mal de la retenir.
Il lui aura donc fallu lui promettre qu’il redeviendrait
« locataire-précaire » du palais de l’Élysée pour qu’elle reste.
Elle en a même fait une chanson…
Alors qu’elle aurait pu draguer le
« Capitaine-du-pédalo-à-la-fraise-des-bois », comme elle a su
« dégager » toutes autres prétendantes autour de son pingouin…
Et il lui a tout fait, sauf un second gamin, pour qu’elle résiste encore 5
ans d’attente.
Ceci expliquant cela.
Donc, le voici en position d’être « candidat à la candidature »
contre toute attente, n’est-ce pas…
Et « Veau-qui-est » de toucher son bâton de éphémère maréchal au passage
en se faisant bombarder démocratiquement président des
« Républicains-démocrates »…
Sans passer par la case élective, le fat, va !
Parce que bon, « Bling-bling » est bien le seul à ne pas s’être
rendu-compte que son quinquennat de 2007 à 2012 a été un profond échec sur
quasiment tous les plans de la conduite des affaires politiques du pays.
On y a pourtant cru, au moins tant que « Tché-tchi-lia » était
dans le « ticket » gagnant.
L’ingrate : Il lui a pourtant tout offert, de sublimes vacances sur
le yacht de « Beau-l’orée », puis un séjour à l’œil sur la côte-est
des USA, chez les ploucs-friqués, comme d’une princesse, d’autant qu’elle
n’avait même pas à s’occuper de ses « devoirs conjugaux », puisque
son mari avait emmener sa « poupée à galipettes » avec eux. Elle
avait un appart’ et un secrétariat à l’Élysée, et même une carte visa à
compte-ouvert et sans limite sur le « Trésor-pue-blic ».
Qu’elle en a usé et abusé, souvenez-vous-en…
Mais elle s’est tirée quand même.
Et dès lors, ça a commencé à déraper.
Certes, sur le plan des initiatives économiques et politiques, on y a cru aussi
entre la loi TEPA et la LME, les réductions d’effectifs de fonctionnaire promises
(le « 1 sur 2 »), le traité de Lisbonne et les économies budgétaires
qui devaient aller avec.
Perso, je n’ai toujours pas compris comment il comptait faire, parce qu’un
fonctionnaire d’active, ça coûte un peu plus cher qu’un fonctionnaire mis en
inactivité, de l’ordre de 20 %, mais sans que ça bosse pour la Patrie, puisque
la pension de retraite est calculée non pas comme dans les régimes du privé sur
50 % des 25 meilleurs années pour une partie, et sur le nombre de
« points » acquis au fil d’une carrière pour une autre partie (plus
faible), mais carrément sur 80 % du dernier salaire…
Certes, il y a un effet « noria » : Les plus âgés, en
principe les mieux payés pour avoir eu le maximum d’avancement, sont remplacés
par des « plus jeunes », en début de carrière, et à des salaires de
misère.
Mais tout de même…
D’autant que, pour preuve, la même erreur de calcul a été renouvelée au
quinquennat suivant, mais sans le dire, et malgré le gel provisoire du point
d’indice, la masse salariale n’a cessé de croître.
Comme quoi, à la fac de Nanterre ou à l’ENÂ, ils n’apprennent toujours pas
à compter…
Notez que ça a été assez drôle finalement : Entre
« Fifi-le-déchu » qui s’accrochait sur sa loi travail, de celle du
temps du « Chi », rallongeait les carrières d’active des salariés du
privé, alors que l’on poussait dehors des effectifs de la fonction publique, il
fallait le faire…
Passons encore.
Une logique « comptable », certes, mais totalement inéquitable,
d’autant que l’intention de rapprochement des deux régimes s’est très vite
heurtée aux résistances syndicales parfaitement prévisibles défendant
« les acquis » dans l’iniquité cynique : Tout allait bien, la
« Gauloisie-ruinée » restait elle-même, creusant avec les dents ses
propres déficits.
Tiens, d’ailleurs question déficits : Le programme était clair en
2007, après un petit coup d’accélérateur, on devait revenir très vite aux
« 3 % » du critère de Maastricht et presque toucher à l’équilibre en
fin de quinquennat.
Crise oblige en 2008 comme d’un fabuleux alibi, les déficits ont pris la
grosse-tête et l’endettement a été outrageusement gonflé, comme jamais.
Je crois qu’ils n’ont jamais autant crû depuis l’époque de
« Bat-la-mou ». Pourtant il avait fait fort en 2 ans, celui-là,
comptant se faire élire avec ses largesses contre le « Chi »…
Bé, avec « Bling-bling », entre son salaire-doublé et ses
« cadeaux-aux-riches », que même « Bête-en-cours » en aura
touché son chèque de ristourne, les records ont été écrasés en moins de temps
qu’il ne faut pour le dire.
Là, dès le « Kaas-toi-pôv’-kon », on savait qu’on allait à
l’échec.
Et la trahison a été totale la dernière année de ce quinquennat d’enfer,
quand il a fallu « matraquer » le kon-tribuable pour éviter la
faillite.
Doubler en plus d’un virage vers l’extrême-droâte absolument inattendu
pour un type biberonné aux vertus cardinales de la démocratie élective et aux
« valeurs républicaines ». Il a seulement pour lui et comme seule
excuse d’avoir été formé à Nanterre…
Ça n’a pas fait un pli : Même un canasson-boiteux l’aurait battu en
2012, je vous l’avais prédit à l’époque…
On me l’a d’ailleurs assez reproché !
On vient de le dire, il remet
ça : Je drague à « droâte », ouvrant à son adversaire
politique de « gôche-soce » un boulevard vers les centristes-mous.
Comment dit-on déjà ? L’erreur est humaine, persévérer est
diabolique, non ?
On est en plein dedans, sauf que là, il s’agit de primaire : Il aura
5 mois pour corriger le tir, ou au contraire insister, d’autant que les
sondages ne sont pas bons pour lui depuis ses premiers discours de campagne.
Même si d’autres affirment le contraire : Comme quoi, on fait dire
toujours n’importe quoi aux chiffres…
C’est qu’il a une promesse à tenir à sa dulcinée…
C’est fou ce que les quelques dizaines de grammes de sexe mou savent faire
faire, finalement…
Passons encore !
D’autant que « Flanby » pense que ce sera son adversaire d’il y
a 5 ans qui se représentera : Il sait tout l’attrait que la fonction
représente.
Pensez, avoir le doigt posé sur le bouton nucléaire et le droit de vie ou
de mort sur des dizaines de millions de gens posés bêtement à l’autre bout de
la planète, ça en fait tourner les têtes !
Enfin, pas tout-à-fait tout de même : L’ordre de tir est
« préparé » par l’état-major. Il n’y a pas de tir sans cette préparation,
même si la décision reste finalement « politique ».
Je vais vous dire, l’Élysée est équipé d’un « bouton reset »,
d’annulation qui fonctionne même après le départ des missiles vers leurs
cibles.
Je peux vous le dire, puisque c’était une hypothèse émise à l’occasion
d’une première pièce de théâtre, « Aux plaisirs du
Palais » qui attend
toujours son troisième acte et que vous retrouverez sur l’autre blog (seulement
si le cœur vous en dit).
Et cette hypothèse a été vérifiée par le « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois »
mis dans la confidence, dès la première année de son quinquennat.
Bon, on nous a expliqué qu’il ne s’agit pas de cela, mais que l’échec du
tir d’essai était dû à un dysfonctionnement électrique du missile M 51.
Je veux : Les ingénieurs ont planché pendant des mois et des mois
pour soi-disant corriger le défaut. Ils ont tout décortiqué et tout repris de
leurs calculs et plans.
Mais rappelez-vous, le « Chi » avait lui aussi usé de ce
dispositif en ouvrant la dernière campagne de tirs dans le pacifique, que les « militareux »
n’avaient encore rien compris du comment à l’époque, avant la fin définitive de
la campagne des essais.
Un dispositif qui a été perdu à la mort de « Pompon-Pie-Doux »,
s’il ne l’avait jamais eu, et retrouvé par hasard par le « Chi », un
jour qu’il essayait les « petites-pilules-bleues », dopées au viagra…
Code pour armer la fonction « reset » : « Putain de
Gaulle ».
Et le « Chi », une fois bourré au viagra alors même que sa secrétaire
particulière armée de ses dossiers matinaux est entrée dans son bureau, il s’est
exclamé « putain de gaule » au lieu de causer de « la
trique » ou de « la banane ».
La machine s’est déclenchée.
Un malin De Gaulle : Qui pouvait s’exclamer de la sorte en sa
présence dans son bureau élyséen ?
Personne sauf lui…
Passons toujours.
Donc, les primaires sont engagées à « droâte ». Le calcul est
simple : « Fifi-le-déchu » n’a aucune chance, non pas que son
programme n’est pas viable ni attractif, mais uniquement parce qu’il a été le
premier ministre de « Bling-bling » pendant 5 ans et qu’il n’en a strictement
rien fait.
Enfin si : Il n’avait pas assez de kouilles pour ne pas avaler
couleuvres sur couleuvres, visière inclue, au lieu de dire « M… »
(étron) !
« Le mer » n’est pas « mûr », « Coopé » est
un menteur-tricheur, « Haine-qu’a-aime » est carrément dépourvue de
« kouilles », la pôvrette, et sans doute de parrainages : Pas
crédible.
Reste « Juppette » qui est non seulement crédible, toujours
« droit dans ses bottes » après avoir assumé toutes les arsouilleries
d’autrui à la place d’autrui, crédible dans ses propos et son programme encore
un peu flou de « l’identité heureuse » (et non pas peureuse ou
dangereuse), avec, pour ne rien gâcher le soutien de quelques
« soce-démocratouilles » centristes et surtout les yeux de Chimène de
l’opinion.
Normalement, c’est lui qui ressortira en tête du premier tour de la
primaire.
Reste le second tour : Là, il suffit à « Bling-bling » de
tricher.
Et il sait y faire pour avoir épousé en première noce la nièce du
« cousin » Achille, un Corsu du meilleur vintage qui lui aura tout
appris en la matière, jusqu’à coiffer au poteau le « cousin-Pasquale »,
lui aussi « bien-né » mais d’une autre vallée, dans la course à la
mairie de Neuilly-sur-la-seine…
De toute façon, « Bling-bling » est un tricheur-magouilleur dans
l’âme. Non seulement il a fait ses armes dans l’ombre de
« Perré-t’y », mais on l’a vu à l’œuvre plus tard, lors de ses
campagnes 2007 et 2012.
2007, tout le monde sait que ses financements ont été pour le moins
« obscures », un peu sur le modèle de son mentor
« Bat-la-mou ». Mais bon, on n’en cause pas : L’affaire est
couverte par le secret de l’instruction qui traîne.
Celui-là détenait la signature des rétro-commissions de ventes d’armement
du moment et il en a usé.
Sauf que le vainqueur de 2002, il a mis un « holà » qui s’est
traduit par l’attentat contre les ingénieurs de la DCN à Karachi.
2007, « Bling-bling » aurait effacé les traces en faisant
liquider « Kad-a-Phi »… Là encore, les juges
« bossent-fort », donc rien à en dire.
Depuis, tout le monde se méfie.
2012, il n’a pas hésité à dépasser les plafonds légaux de ladite campagne
présidentielle pour prétendre ensuite n’avoir pas été au courant : Le
chapeau a été porté par « Coopé » qui n’a rien compris à ce qui lui
arrivait tellement il est nul, et a même voulu garder « au secret »
les comptes de campagne et surtout le redressement financier du parti à
l’agonie, sauvé par le « Bling-bling-au-thon ».
Une opération de « blanchiment » extraordinaire et très réussie,
telle que même le « Trésor pue-blik » en attend toujours les
retombées en termes de crédit d’impôt au titre de l’IR des
« généraux-donateurs ».
Souvenez-vous, non seulement il y en a qui ont renvoyé leur carte
d’adhérents « UMPiste », se sentant pas vraiment concernés, alors
même que la trésorière du parti s’était largement planté dans ses chiffres. Je
vous raconte tout ça dans le détail et ce chapitre-là… pour la postérité.
Au moins, ça reste cohérent avec ce que l’on sait.
Et de vous rappeler que ce qui m’a mis la puce dans l’oreille, ça reste ma
« môman-à-moi-même » : Militante du « cousin Jean »
(Tiberi), « cousinage » par son propre père (mon grand-père) et
quelques alliances cortenaises, elle avait été sollicitée plusieurs fois par
jour durant la campagne de 2012 pour « mobiliser » : Messages,
appels téléphoniques, SMS, courriels, courriers, tracts et appels aux dons, en
veux-tu en voilà.
Pour le « Bling-bling-au-thon », alors que la situation était
critique et qu’elle aurait naturellement participé à l’effort de refinancement
même avec des pincettes et une paire de gants jetables, elle n’a reçu aucune
demande, aucun message… et n’a envoyé aucun chèque.
Mais elle a profité du certificat auquel était attaché le crédit d’impôt
« financement de parti politique » l’année suivante, au même titre que
ses dons au secours papiste, aux petites sœurs des pôvres et aux
« resto-du-cœur »…
Je sais, c’est moi qui ai fait sa déclaration de revenu.
Bon, motus et bouche cousue : Personne n’a officiellement rien
remarqué d’anormal !
Tricheur, il l’a été également dans le vol, il n’y a pas d’autre mot, du
fauteuil de président du parti…
Tout un mélodrame de bourrage d’urnes et d’oublis d’autres disparues dans
les tréfonds des oubliettes de l’Histoire. Un « truc »
magnifique !
Alors, là encore, rien ne lui interdit de tricher à nouveau, au contraire.
D’ailleurs, ça n’a pas encore commencé que déjà ça a démarré avec
l’affaire des votes électroniques.
Pourrais-je voter depuis Venise, ou devrais-je aller jusqu’à Rome ?
D’ailleurs, où sera mon bureau de vote et quels seront ses horaires
d’ouverture ?
Pour l’heure, mystère…
C’est la raison pour laquelle je prévois deux aller-retour jusqu’à Paris
(en fait, probablement sa banlieue) si possible armé de quelques
« procurations » pour les premier et second tours.
Mission : Faire barrage à « Bling-bling » et voter
« Juppette » !
Après, on y verra plus clair…
Parce que de toute façon, mission pour l’élu des « Républicains-démocrates »,
faire barrage à la « gôche » qui aura mis carrément le pays à terre
en 5 ans, mais également fait complètement exploser le peu qui reste « d’humanisme-soce »
dans son électorat, ce qui ne saura pas très difficile, et surtout, surtout,
faire barrage à « Marinella-tchi-tchi ».
Et là, il y a du boulot.
Car depuis l’attentat de Nice, mais déjà auparavant à grands coups de
« communautarisme » des bons « sentiments-soces » et de
« droit à la différence », elle fait le plein sur les marchés et dans
les campagnes et cités : Les gens ont peur (merci l’état d’urgence et les
patrouilles militaires dans les rues qui ne servent à rien d’autre que de
rajouter des poussées d’adrénaline : On l’a bien vu au Bataclan et à
Saint-Denis, puis à Nice, où GIGN et patrouilles de biffins étaient tenus à
l’écart) deviennent schizophrènes et en viennent à se dire qu’ils n’ont pas
encore essayé la solution frontiste.
C’est justement le vœu pieu du « Califat », un allié objectif :
Créer de la haine et la guerre-civile, forcer les
« musulmans-intégrés » à choisir leur camp et la cause du
« Califat ».
Et entre les « Natios-corsi » et
« Marinella-tchi-tchi », ils ont de quoi faire pour y parvenir…
Même leurs plus faibles d’esprit s’y laissent séduire, c’est dire !
D’ailleurs, cet été à Siscu en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », ils
ne s’en sont pas laissés compter : On y reviendra sous peu.
« Bling-bling » est donc un mauvais choix, même pour eux. Et
puis le « TSS » a encore quelques résiliences dans l’opinion
publique.
Or, le « Capitaine-de-pédalo-à-la-fraise-des-bois », même s’il
se présente n’a aucune chance d’atteindre le second tour : Certains en
disent qu’il serait même dépassé par « Mes-luches ».
Pourquoi pas ?
Reste donc un face-à-face « Marinella-tchi-tchi » contre un
candidat de « droâte » au second tour, si il y a second tour des
présidentielles.
Reste aussi à choisir ce dernier dans l’offre des primaires où ils
sont si nombreux à croire à leurs chances (en fait un calcul politique de
ralliement au second tour contre la promesse – non-tenue ? – de quelques
fonctions ministérielles) : Or, entre le « TSS » et la candidature de
« Juppette », c’est bien lui le seul à pouvoir rassembler pour
« faire barrage ».
Aller contre ces évidences, ce serait trahir la République, me semble-t-il.
Autrement dit, mon choix était déjà fait, que « Bling-bling »
ait enfin ou non jeté le masque !
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