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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 22 septembre 2016

Nos ancêtres les Gaulois…


« Bling-bling » a encore débloqué !

Magnifique de trisomie-autistique-appliquée ! Celui-là, il va nous aligner les perles pendant les semaines à venir, que ça va vraiment être splendide, avant que vous l’envoyiez croupir dans les poubelles de l’Histoire.
Comme ce sera vraisemblablement tous les dimanches et que je n’ai pas le temps de les relever pour le lundi matin, puisque je suis sur les routes transalpines, je prends la perle de la semaine en attendant la suivante qui va vous être servie durant mon séjour monégasque, tellement elle est extraordinaire.

Ainsi, les « ancêtres gaulois », ceux de « Gauloisie-sectaire »… mis en avant sur le ton péremptoire du « sachant » qui ignore tout.
Le culot indescriptible…
Car le gaulois, ça n’existe plus depuis la bataille d’Alésia pour être devenus des « Gallo-romains », si tant est que ça a pu exister, sachez-le d’emblée !
C’est une invention de Jules César, avec ses « Commentaires sur la Guerre des Gaules » (pas de la Gaule), mais eux-mêmes se désignaient comme « Celtes », à la même époque !
Erreur historique de la IIIème République…
Et les Celtes, ce n’est pas un peuple unique, puisque les bretons, les Aquitains, les Arvernes, les Éduens et les Germaniques en font tous historiquement partis sur le même continent.
Bref, les « gaulois », ce n’est finalement qu’un vaste condensé d’ignorances stratifiées et fossilisées en un mythe-errant compact.

Et que dire des « Français », la prochaine étape ?
Eh bien les Francs, dont ils tirent leur nom, constituaient d’abord un peuple germanique, apparaissant sous la forme d'une confédération de tribus au moment des grandes invasions qui défirent l’empire romain.
Et une partie d'entre eux joue d’ailleurs un rôle central dans « l’histoire de France », celle des Pays-Bas, celle de la Belgique, celle du Luxembourg et celle de l'Allemagne à compter de leur sédentarisation dans toute cette partie-là de l’empire des romains.
Ils ont même donné leur nom à nombreuses places et régions en Allemagne, la plus connue étant la ville Francfort-sur-le-Main.
Vous comprenez peut-être mieux pourquoi j’hésite toujours à employer ce terme dans ce blog, préférant le vocable antérieur (qui a pu exister chez les latins) à celui qui lui est postérieur, nettement plus « teinté-étranger », métèque quoi.
Dès lors, roulera-t-on, au prochain coup, vers un « anschluss » nouveau ?
Si oui, totalement « Bling-bling » dans sa tête, celui-là…

Personnellement, je n’emploie le vocable « Gaulois de Gauloisie » que pour désigner les hordes continentales qui viennent saccager (avec d’autres il est vrai) mes paysages et plages Corses en estives.
Par opposition en fait, et pour ne pas employer le qualificatif de « Pinzutu » que certains jugent, dans la « novlangue » actuelle, comme caricatural voire offensant.
Alors qu’il y a en fait dans ce terme un immense respect pour les « vainqueurs de 1769 »…
Et comme je reste un grand tolérant, même envers et devant l’Éternel, je ne veux vexer personne, bien entendu.
Ce qui n’empêche pas que parlant le « francilien-natif » depuis mon plus jeune âge, né à « Paris-sur-la-plage » (rive-gôche), ayant fait l’essentiel de mon parcours de vie en « hexagonie-tricolore » et sur les « rives-de-Seine » (gôche également), je suis né de toute façon « Gaulois-natif » par assimilation guerroyante et en vertu du droit du sol, ainsi que tous mes « cousins-natios », au moins depuis la bataille de « Ponte-Novo », perdue par « les patriotes » à la tête desquels se tenait le « Généralissime Pasqual-Paoli ».
Pas si compliqué… 

« Bling-bling » le dit lui-même de son côté : Un père hongrois, une grand-mère de Salonique – avant il ne sait pas trop, alors que moi au moins, j’ai une généalogie certaine qui remonte au VIIIème côté Corse et au XVIIIème, côté gaulois, puisque toutes les archives baptismales y ont été cramées par les sans-culottes sur ledit « continent » – je suis donc né incontestablement « Corsu-gaulois ».
Mes « cousins-natios » en disent d’ailleurs « Corse du continent », plutôt que « Gaulois-Corsu »…

Alors, « mes ancêtres Gaulois… », ils existeraient au moins dans les contes historiques, certes, et finalement je les partage volontiers avec tous ceux qui comme moi le veulent bien, comme mes potes africains, asiatiques, polonais, « Ritaliens », juifs-errants, lusitaniens, hispaniques, tsaristes, magrébins nés en « Gauloisie-territoriale », même si ce n’est pas vrai et je n’oublie surtout pas les descendants de mes Goumiers, de mes Tirailleurs-sénégalais (venus libérer la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » en avance sur les « pinzuti »), ni même, à l’occasion d’une autre guerre, mes coolies chinois, mais aussi mes cousins canadiens, américains, anglo-saxons, écossais et autres qui sont venus jusque dans mon pays-à-moi-même (celui que j’aime tant…) se faire tuer pour le libérer deux fois en 30 ans.
S’ils l’ont trouvé à leur goût (peut-être même souvent plus les femmes qui y ont grandi) – et je peux comprendre – pour s’y être implantés par la suite, ils restent « Gaulois » comme tous les autres si ça persiste, quels que soient leurs vrais ancêtres et c'est valable pour leurs descendances : Le reste, c’est de l’assimilation de contes de fée vous dis-je, d’un mythe fédérateur, rien plus.
Et sans avoir pour autant à apprendre des konneries-historiques, ou à prendre des vessies pour des lanternes…

Faut que je vous dise aussi que ça m’a toujours fait marrer d’entendre mes « boules de suif » raconter la fable de « nos ancêtres gaulois… ».
Eux aussi, d’ailleurs !

Le dernier, c’était encore « mon directeur » de fiscalité-appliquée, un juriste pointu qui inspirait le respect à la fac où j’œuvrais il y a quelques années à « spécialiser » quelques têtes-nouvelles aux charmes discrets et intempestifs de l’ingénierie fiscale tricolore.
Typé guadeloupéen-anthracite pur-jus, de ceux dont ses ancêtres-gaulois ont zigouillé tous les « métros-locaux » esclavagistes, son patronyme était affublé d’une particule.
Un soir de délibéré de jury, il me sort la phrase étonnante, je ne sais plus à quelle occasion (le départ prochain en vacances, peut-être) : « Nous les nobles, vous savez, on a beaucoup perdu le 4 août ! »
Je vous le jure : Je n’ai même pas rigolé !
J’ai acquiescé en rajoutant peut-être un « aaah, oui, si vous saviez ! »
Passons : En voilà tout plein qui ne voteront certainement pas « Bling-bling » ni aux primaires ni plus tard… 

Ceci dit, la manipulation des esprits-faibles par « Bling-bling » est une pure merveille de « politique-politicienne » électoraliste : Il faut lui rendre cet hommage.
Non pas qu’il ait pu dire seulement ce que voulait entendre son auditoire de « kouillons-aux-ordres » de l’applaudimètre, même s’il devient de plus en plus certain qu’il ne s’agit que d’une secte d’acéphales, mais parce qu’il « clive » de façon magistrale, d’un seul trait et en zigzag, à travers toutes les opinions.
Chapeau !

J’explique mon « ressenti » lagunaire (avec un peu de « retard à l’allumage » que je vous prie de bien vouloir m’excuser) : 

1 – L’ex-président a défini l’idée qu’il se fait du « commun », un mot finalement terrible qui, dans la bouche de ceux qui l’emploient, est souvent synonyme d’exclusion du plus faible, entre dénonciation de la « tyrannie des minorités » et apologie de la suprématie culturelle de la majorité.
Passons.
« En France, la seule communauté qui vaille est la communauté française ». D’abord, notons tout de suite le choix sémantique : Communauté « française » plutôt que « nationale ».
Un vrai républicain se serait réclamé de « la nation » quitte à être française puisque le nationalisme identitaire se réclame de « la France » quitte à être nationale et républicaine.
Pas lui : Démonstration que quand on porte une marque, elle représente tout sauf ce qu’elle veut dire, un peu comme « le Bon marché » qui est l’enseigne la plus chère des parigots ou « Du Bon, du beau, Dubonnet » peint dans les tunnels du métro des mêmes parigots dans le temps : Évidemment, s’en était pas, mais plutôt de la crasse centenaire !
Lui cause de « communauté »… La France, il n’en a rien à foutre, la République, pas moins…
Et ce n’est pas qu’une question de nuance ! Républicain, lui ? Pas du tout !

2 – C’est aussi sa marque de fabrique à lui : Sa capacité à générer le débat à travers lui, la faculté qu’il se donne à jouer des sentiments racistes plus ou moins latents qui s’épanouissent dans le pays et la préparation, déjà, de son second tour de l’élection présidentielle, quand viendra le temps… de rattraper les électeurs de gauche désemparés par un nouveau 21 avril et apeurés par la perspective d’une victoire de « Marinella-tchi-tchi »…
Et non pas pour draguer uniquement les électeurs de ladite miss comme je le croyais jusque-là !
Quoique… Mais c’est astucieux.
Et, conséquence, une fois encore, le débat public se structure et s’organise autour de sa saillie : En prononçant ces mots, en s’emparant de cette référence, il savait à l’avance les réactions qu’elle susciterait et sans doute le savourait-il également.
Opération réussie compte-tenu du buzz ainsi généré, tous azimuts : Chapeau l’artiste !

3 – Sur un temps court, il continue donc de parler aux électeurs potentiels de la Primaire « Les Républicains-démocrates » avec les mots du FN.
Ces dernières années, il n’y avait plus que les dirigeants du parti lepéniste (et encore, pas tous…) pour croire encore à la fable « Nos ancêtres gaulois… » qui, inventée par la IIIème République pour préparer la revanche de 1870, était tombée en désuétude après les années 60 (1960, hein, pour ceux qui ne suivent pas…).
Ressusciter aujourd’hui ce vieux mythe ringard national-décadent, c’est raconter un énorme-bobard en assumant que c’est un mythe nécessaire, au moins autant qu’on a pu nous l’enseigner dans les ékoles-et-collèges des années 60 à 70 (dix-neuf cents…) et peut-être même au-delà, le cœur de ses électeurs…
Mais c’est aussi infliger à quantités de « réputés-gaulois » électeurs une humiliation culturelle !
Qu’ils viennent d’Europe, d’Asie, d’Afrique ou d’ailleurs, les voilà niés dans leur identité personnelle, sommés de s’identifier à un mythique « roman national » dont tout le monde sait depuis les années 60 qu’il est aussi ridicule que faux.
Un peu comme la réécriture de l’Histoire de l’occupation nazie, qui laissait croire aux jeunes que tous les « Gaulois » étaient des résistants…
Même « Mythe-errant », mais si !
Souvenez-vous du Colonel Morland, son nom de guerre…
Sommer les uns et les autres de s’identifier à un « roman national » reposant sur du vent, est pour eux synonyme de persécution et d’oppression de leur histoire familiale, et c’est générer une forme d’insécurité culturelle dans la société, destinée à contraindre les consciences.
Il n’en a cure : Il sait deviner le niveau, le degré et la forme de racisme que son public attend de lui.
Et il me semble qu’on doive s’alarmer de constater l’incapacité de ses adversaires de la Primaire LRD, à inventer une communication politique susceptible de contrer cette formidable machine à imprégner la sphère publique.
C’est ainsi que depuis le début, il se donne les moyens de remporter la Primaire.

4 – Sur le temps long, se dévoile aussi une astuce politique : La référence « nos ancêtres les Gaulois… » s’adresse aussi, et c’est là que c’est magnifique, à la gôche-souverainiste, identitaire et, pour une large part d’entre elle, laïciste-aigue, qui est de plus en plus tenaillée, tiraillée par le démon identitaire, au nom d’une lutte contre une radicalité islamique autorisant tous les amalgames.
Machiavélique, il jette donc un pont en direction de ce flanc souverainiste menant ceux-ci à dénaturer la neutralité de la laïcité afin de la métamorphoser en arme de destruction culturelle massive, le tout pour mieux la diriger contre les minorités qui leur déplaisent.
Surtout l’une d’entre elles. Et toujours la même d’ailleurs.
D’autres balancent encore, espérant que « Menuet-Valse » sera demain le bras armé de leur « laïcisme-identitaire », mais constatent aussi l’émergence de « MacRond », le candidat qui parle aux curés de la « manif pour tous », qui risque de les transformer en orphelins !
« Derrière l’invocation de l’identité nationale ou de l’identité républicaine (…) se fait jour une conception verticale, hiérarchique de l’ordre culturel et social (… qui devient) manifeste.
Cette vision de la France et de la République a largement investi le champ politique, au point de brouiller – de manière subreptice mais réelle – les traditionnels clivages entre gauche/droite/extrême-droite.
La nostalgie d’une France fantasmée est en effet partagée par une large partie de nos élites politiques » en dira très intelligemment un analyste-intello-de-gôche.
Pas totalement faux…
Jouant du brouillage des clivages, surfant sur la nostalgie d’une France fantasmée, le message est clair : « Venez à moi les petits-orphelins du souverainisme identitaire de gauche, qui ne peuvent compter sur personne d’autre » !
« Venez à moi, le futur candidat du second tour de l’élection présidentielle face à Marinella-tchi-tchi » !
Habile stratégie !
Car le moment venu, et connaissant ses propres faiblesses, il aura besoin de toutes les voix, « à gôche », qui lui apporteront les bulletins nécessaires à sa victoire finale. Si quelques intellectuels identitaires peuvent ramener, ici et là, des dizaines de milliers de voix, voire plus par contamination, cela peut toujours servir.
Il n’y a jamais de petit profit électoral…
Très bien joué, redoutable, même !

5 – De plus, réaction immédiate du gouvernement à travers l’incroyable réponse de « Nagea-va-l’eau-Belle-qui-sème » : « Faut-il (lui) faire un cours d'histoire (à lui) qui visiblement en a besoin ? » s'interrogeait avec ironie la « sinistre » des ékoles de « les-Ducs-à-Sion ».
Pas la peine, d’autant que la gamine franco-marocaine s’y est tellement mal-pris qu’elle s’en est couverte de ridicule : « Bling-bling » n’en demandait pas autant !
À croire qu’elle est comme moi (également élève assidu de la Res-publique-laïcarde), qui n’y a jamais pu apprendre à lire, écrire et compter correctement…
« La ministre de l'Éducation que je suis connaît parfaitement les premières phrases de ce livre, « Tour de France par deux enfants », d'Ernest Lavisse, sous la IIIème République : Autrefois, notre pays s'appelait la Gaule et les habitants les Gaulois », déclare-t-elle.
L’outrage hilarant !
Elle connaît tellement bien l'ouvrage dont il tire sa saillie « bling-blinguesque » qu'elle se trompe d’auteur…
Le best-seller auquel il est fait référence par les deux acéphales-chefs, imprimé à près de 9 millions d'exemplaires depuis sa parution en 1877, et qui aura connu plus de 500 rééditions successives, a en fait été rédigé par un certain G. Bruno, et non par Ernest Lavisse.
Et encore, s’agit-il d’un pseudonyme de plume qui cache en fait Augustine Fouillée (née Tuillerie), épouse du philosophe et normalien Alfred Fouillée, qui avait déjà publié quelques années plus tôt, en 1869, « Francinet », l'histoire romancée d'un adolescent faisant son entrée dans la vie professionnelle au milieu du XIXème siècle.
Quand on est nul, on ne se la ramène décidément pas, que ce soit pour l’un comme pour l’autre : C’est insulter les « Gaulois d’aujourd’hui », leur cracher à la tronche que d’étaler son inculture avec une telle indécence !

6 – Conclusions provisoires de l’épisode : Non seulement l’un et l’autre mentent de façon éhontée, en tout cas trompent le chaland, mais ils font presque sciemment la preuve de leur immense ignorance de ce qu’est mon pays (celui que j’aime tant…) depuis des temps immémoriaux.
(Enfin, pas si immémoriaux que ça, puisque même moi qui n’étais pas né, je me souviens tout de même…).
Autrement dit, ni l’un ni l’autre ne sont « légitimes » pour donner des leçons d’Histoire à qui que ce soit !
Pourtant, ils se font ainsi tous les deux « diaboliques ».
Un vrai drame pour mon pays (que j’aime tant…) !
Et conforte mon a priori : L’un a été Président de la République durant cinq ans et regardez ce qu’il en a fait et ce qu’il s’apprête à en faire ; l’autre « sinistre » des « têtes blondes » depuis plus d’un an, mais reste avoir été « sinistre » depuis 2012 à des portefeuilles divers, persiste à confirmer son incompétence qui devient de plus en plus éclatante et notoire…
Je vous demande un peu où l’on va…

Finalement, n’importe qui d’autre, vous ou moi, serait moins « illégitime » à les remplacer, pour les surpasser tous, ne pensez-vous pas ?
Enfin, moi j’y renonce depuis que je surfe avec volupté vers « mon cycle-final » : Rien à battre, vous n’aurez jamais plus que ce que vous méritez et je vous laisse volontiers la place.

1 commentaire:

  1. A signaler le député-maire d'Aiacciu, "juppettiste" qui en rapporte que :
    "Si j'avais soutenu Nicolas Sarkozy, j'aurais été un peu gêné par sa déclaration...".

    Bien à toutes et tous !

    I-Cube

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