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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 16 septembre 2016

Recuites … n° 12 !


Jean-Marc était inépuisable…

Un journaliste demande à un joueur de tennis :
« – Vous préférez l'herbe ou le synthétique ?
– Je ne sais pas. Je n'ai jamais fumé de synthétique. »

Jean-Marc demande à sa femme :
« – Alors, chérie, qu'est-ce que tu m'offres pour mon anniversaire ?
– Tu vois la Porsche stationnée en face ?
– Oh oui, mon amour !
– Eh bien, je t'ai acheté une cravate de la même couleur. »

Un couple à la limite de la dispute :
« – Tu sais, mon chéri, tu me fais penser à la mer…
– C'est parce que je suis sauvage, indomptable et romantique ?
– Non, c'est parce que tu me rends malade. »

Moi, qui sort de mon bureau Vénitien et disant à ma secrétaire en « francilien-natif » (elle a été recrutée pour se prétendre bilingue) :
« – Je pars pour Milan.
– Oh là-là… si longtemps que ça ? »

Un petit garçon demande à Jean-Marc, son père :
« – Dis, papa, c'est quoi un célibataire ?
– Un célibataire, c'est une personne qui peut descendre du lit des deux côtés. »

Marius a invité Olive à venir passer quelques jours dans son cabanon.
Cependant, au fur et à mesure que le week-end passe, un malaise s’installe entre les deux amis.
Au bout de trois jours, Marius est complètement crispé et il s'arrange pour éviter Olive.
Alors Olive le prend par le bras et lui dit :
« – Écoute, tu m'as invité, mais si ça ne te plaît plus, si vraiment je dérange, il vaut mieux le dire au lieu de me faire une tronche pareille !
– C'est pas que tu déranges, » réplique Marius. « Tu es seulement un peu inconscient. Samedi, tu t'es tapé ma femme. Bon, je ne lui cavale plus après depuis longtemps, alors je t'ai laissé faire. Dimanche, tu t'es tapé ma fille de 17 ans et elle était vierge. J'ai fermé ma gueule, parce que tu es un ami. Lundi matin, tu t'es fait la bonne. Lundi soir, tu t'es envoyé mon fils de 19 ans. Alors, résumons-nous : Ma femme, ma fille, ma bonne, mon fils… Et moi, un ami de vingt ans… rien ? »

Dans le métro parigot :
« – Attention, madame ! Vous avez oublié un paquet sur la banquette.
– Ça ne fait rien, c'est le casse-croûte de mon mari. Il travaille aux objets trouvés. »

Le navire est en train de couler.
Le capitaine rassemble l'équipage et demande :
« Y’ en a-t-il un parmi vous qui soit vraiment capable de prier avec ferveur ? »
Un homme s'avance.
« – Moi, capitaine.
– Parfait. Que tous les autres mettent les ceintures de sauvetage. De toute façon, il en manque une. »

Un curé fait la quête pour le salut des prostituées, mais un des paroissiens refuse obstinément de verser son obole :
« Ne vous inquiétez pas, monsieur le curé. Moi, je leur donne toujours de la main à la main. »

Une biche discute avec sa copine de sa première expérience amoureuse :
« – Depuis que je l’ai rencontré, je me sens envahie par une douce chaleur.
– Ce doit être ce qu'on appelle l'effet de cerf. »

Jean-Marc va à la pharmacie pour acheter des préservatifs.
Il paie et le pharmacien lui demande :
« – Vous voulez un sac ?
– Non merci. Cette fois-ci elle n'est pas si moche que ça. »

Un jeune apprenti commence à travailler dans la boutique d'un pharmacien.
Il apprend par cœur le nom de tous les médicaments.
Et il s'étonne de voir sur une étagère un étrange bocal avec une étiquette marquée « Illisible ».
« Cherche pas », lui dit le pharmacien. « Ça, c'est ce qu'on donne aux clients quand on n'arrive pas à lire l'ordonnance. »

Un vieux matelot à la retraite va trouver le curé de sa paroisse :
« – J'ai un perroquet très mal élevé. Il a bourlingué sur toutes les mers avec moi.
Et il passe son temps à jurer.
J'aimerais bien essayer de le mettre quelques jours en pension avec votre perroquet qui est si doux et si aimable.
Ça lui servirait de leçon.
– Bien sûr », dit le curé. « Mon petit animal, qui mène une vie parfaitement chrétienne, ne peut que faire du bien au vôtre. »
Mais à peine les deux perroquets sont-ils ensemble que celui du matelot lance à l'autre :
« Alors, mon petit père, tu veux que je te ramone le trou de balle ? »
Et le perroquet du curé répond en rougissant :
« Et pourquoi pensez-vous que je prie depuis si longtemps ? »

Un artiste-peintre est en train de bavarder tranquillement dans son atelier avec la fille qui lui sert de modèle.
Soudain, on entend une clé qui tourne dans la serrure.
« C'est sûrement ma femme ! » dit le peintre. « Vite ! Fous-toi à poil ! »

Un autre artiste se présente chez un directeur de cirque :
« – Je suis imitateur d'oiseaux. Vous ne voulez pas voir mon numéro ?
– Non, » dit le directeur. « Des imitateurs, j'en ai à la pelle. Vous pouvez disposer. »
Alors le gars hoche tristement la tête et s'envole par la fenêtre.

Trois naufragés dérivent sur un radeau.
Le premier dit :
« – Si on jouait au golf miniature ? Il suffit d'avoir un club, une balle et un trou. Moi, je fournis le club.
– Et moi, » dit le second, « je peux fournir la balle.
– C'est possible », dit le troisième, « mais moi je ne joue pas. »

C'est un cargo qui fait naufrage, lentement mais sûrement.
Le capitaine réunit tout l'équipage :
« Les gars, c'est foutu ! On est perdus ! Le radar et la radio sont en panne.
Prions Dieu pour qu'Il nous reçoive au moins avec indulgence au Paradis. »
Tout le monde est bouleversé et se met à genoux pour prier… excepté un matelot qui reste debout.
« – Eh toi ! » lui dit le capitaine. « Tu ne peux pas faire comme tout le monde et prier ?
– Non, moi je suis juif.
– C'est pas une raison ! La situation est suffisamment critique comme ça. Il y a plus de religion qui compte ! Tu devrais au moins faire un geste chrétien, Isaac ! »
Alors, Isaac enlève son béret et fait la quête.

Un jeune voyou fait des confidences à un congénère :
« – Tu sais, elle ne veut pas m'épouser, mais finalement je ne regrette rien.
Est-ce que tu te marierais, toi, avec quelqu'un de sale, débraillé et fainéant ?
– Non », dit l'autre.
« Ben elle non plus. »

Marius et Olive sont partis à la pêche ensemble, mais Olive est tellement empoté qu'il vient de laisser retomber à la mer un énorme poisson que Marius venait juste de ferrer.
Alors Marius pousse un énorme soupir, repose sa canne à pêche et dit à Olive :
« – Tu connais la métempsycose ?
– Non », dit Olive bêtement.
« – Eh ben, la métempsycose, c'est quand tu es mort et que ton âme revit dans d'autres choses. Par exemple, on t'enterre au cimetière et…
– Holà », dit Olive. « Je ne veux pas qu'on m'enterre, moi !
– Mais c'est un exemple, imbécile ! Tu es enterré dans ta tombe et ton âme passe dans une petite fleur qui pousse au-dessus. Et puis une vache mange la fleur et ton âme est transportée dans la vache. Tu me suis ?
– Bien sûr, je te suis.
– Et puis la vache rumine et pendant ce temps, ton âme est toujours dans la vache. Et puis la vache digère et elle fait une grosse bouse. À ce moment-là, ton âme est passée dans la bouse. Alors moi, je me pointe, je vois cette merde, et qu'est-ce que je dis ?
– Ben je ne sais pas, moi ! » dit Olive ahuri.
« Ben je dis : "Vé, ce bon vieil Olive ! Il a pas changé !" »

Deux psychanalystes venus à New York pour participer à un congrès rentrent déjeuner à leur hôtel. Dans l'ascenseur, le groom, tout souriant, leur dit :
« Beau temps, aujourd'hui, messieurs. »
En sortant sur le palier, les deux psys se regardent, perplexes.
L'un demande à l'autre :
« À ton avis, qu'est-ce qu'il a voulu dire par là ? »

Une starlette raconte à l'une de ses amies :
« – Hier, mon producteur a eu le culot de sonner chez moi au moment où je venais de me coucher. J'ai mis un slip pour aller lui ouvrir. Et tu ne sais pas ce qu'il m'apportait ? Un collier de perles ! Alors je lui ai dit : ‘‘Non, mais vous me prenez pour une grue ? Puisque c'est comme ça, je ne veux plus vous voir !’’
– Ça alors ! Et qu'est-ce qu'il a fait ?
– Il a été réglo. Il a éteint la lumière ».

Dans un bar, Jean-Marc et Jean-Paul discutent :
« – Qu'est-ce que tu as fait à Paris ?
– Je suis allé voir Toulouse-Lautrec.
– Sans blague ? Ça avait lieu à Paris ?
– Oui, je t'assure.
– Et alors, qui a gagné ? »

Dans la forêt vierge, au pied d'un grand baobab, un lion est en train de parlementer avec un singe qui s'est réfugié dans les branches.
« – Je t'en prie, descends de là. Je te promets que je ne te ferai pas de mal. Je cherche seulement un compagnon de jeu. Tout le monde a peur de moi et ça me désespère.
– Ouais », réplique le singe, « tout ça c'est du baratin. Dès que je serai descendu, tu vas me sauter dessus et me bouffer. Je connais les gens de ton espèce.
– Mais non, je te jure que je suis sincère. Je ne demande que de l'affection. Je ne cherche que l'amour. Tiens, pour te prouver ma bonne foi, je vais m'attacher les pattes. Comme ça tu n'auras plus peur. »
Et joignant le geste à la parole, le lion arrache une longue liane avec laquelle il se ligote les pattes.
Puis il attend, soumis, que le singe vienne le rejoindre.
« – Je veux bien descendre », dit le singe, « mais alors il faudra que tu te laisses passer une muselière.
– D'accord. »
Et le singe, dégringolant prudemment de sa branche, saute devant le lion et s'empresse de lui museler solidement le mufle avec d'autres lianes.
Puis il le regarde avec une certaine satisfaction.
« – Tu as bien dit que tu ne cherchais que l'amour ?
– Mais oui », dit le lion.
Le singe se met à trembler de tous ses membres.
« – Tu as donc encore peur de moi ?
– Non, non, » dit le singe, tout couvert de sueur. « Je tremble parce que c'est la première fois de ma vie que je vais baiser un lion. »

Une jeune femme terriblement enrhumée a pris la précaution d'emporter deux mouchoirs avant de se rendre à un grand dîner.
Elle en met un dans son sac et l'autre dans son corsage.
Au dessert, elle ne peut plus décemment se servir du premier mouchoir qui est ruisselant.
Elle met sa main dans son corsage pour chercher l'autre. Mais il a dû glisser.
Elle fouille fiévreusement à droite et à gauche, tout le long de sa poitrine.
Elle y met les deux mains.
Et soudain, elle s'aperçoit que les conversations ont cessé et que tous les convives ont le regard fixé sur elle.
Alors elle retire précipitamment les mains de son corsage et dit en rougissant :
« J'étais pourtant sûre d'avoir les deux en arrivant… »

Allez, sans rancune : Bon week-end à toutes et à tous !

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