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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 21 juin 2018

Les végétariens, végétaliens, vegans, écololos-bobos et autres me font bien rire.

Et vous ne savez pas combien !

L’autre jour j’apprends par hasard que vos « agri-kuls » bloquaient les dépôts de raffinerie d’essence (le bon diesel de vos « tas-de-boue-à-roulettes ») au motif que « Total-grou-pire-pétrolier » avait reçu la permission de raffiner aussi de l’huile, non pas d’olive, mais de palme !
Il faut dire que l’huile de palme, ça n’a aucun goût. Alors que l’huile d’olive, même dans un savon ou un steak-grillé, c’est incomparable…
En fait, tout cela est plus « subtil » : Il s’agit de protester vertement contre leur « sinistre » (dont ce n’est pas le dossier de compétence-première) contre le CETA suite du « mort-né » Tafta.
Mort, parce qu’avec « Trompe » qui y va de ses taxes sur tout ce qui vient d’ailleurs (un vrai « populiste » à lui tout seul, au point de se faire jeter du G7), ce traité n’est pas prêt de voir le jour : Des années de négociation « secrètes » payées avec vos impôts jetées aux ordures…
Les meks, ils n’ont rien compris.

On s’en contrecogne des problèmes d’huile « à qualité égale » : Ils devraient plus s’inquiéter des « écololos-bobos » et autres « végans » (végétariens, végétaliens) qui, parce que le marxisme-gôchisant est mort (en fait, parce qu’il n’a plus rien à apporter : La nationalisation d’une économie libérale telle que celle de la « Gauloisie-des-droits-de-l’homme » d’inspiration libérale sinon libertaire est achevée ou en voie de l’être et qu’il n’y a plus de « modèle-up-to-date » à conquérir [cf. la mort du PCF et celle du « P.soce »]) et qu’il s’agrège, coopère désormais avec d’autres formes « d’anti-tout ».
N’importe quoi faisant l’affaire.
Comme disait l’autre, les « idéologies des loosers », dépassés par leur époque, laissés sur le quai du train qui est déjà loin…
Ceux-là prétendent souvent vivre « sans Dieu ni maître », c’est pourquoi ces héritiers spirituels de Blanqui, Lénine, Mao et de Marx, passent leur vie-militante à faire des leçons de morale aux autres et n’ont de cesse de vouloir imposer leurs préceptes à la Terre entière alors qu’ils feraient mieux de bosser un peu, juste pour voir ce que c’est, à défaut d’aller jeter un coup d’œil sur ce que le propose le Califat islamiste…

Avant, il y a longtemps, dans un autre millénaire, c’était surtout durant le prêche de la messe dominicale (ou shabbat voire le vendredi de prière) que l’on avait droit à un sermon sensé remettre les brebis égarées dans le droit chemin. Aujourd’hui, c’est tous les jours qu’on vous explique qu’il ne faut pas manger de viande, ne pas manger trop gras, top salé, trop sucré, qu’il faut trier ses déchets, ne pas rouler en diesel, craindre plus que tout le nucléaire …
Il est vrai qu’aujourd’hui, plus trop de monde ne va à la messe le dimanche midi. Encore un peu à la synagogue (mais c’est surtout pour se montrer), beaucoup plus dans les prêches de rue. Et pour cause, le grand Karl (Marx, pas Groucho) l’a établi : La religion, c’est l’opium du Peuple.
C’était soi-disant l’outil idéal (c’est le cas de le dire…) avec lequel le bourgeois aliénait le prolétaire.
Une rapide discussion sur la religion avec un esprit critique éclairera le sujet : Elle commencera toujours par des éléments rationnels affichant le manque de preuves de l’existence d’une ou de plusieurs divinités (les fakes-news invérifiables par quelques journaleux accrédités mais absents ce jour-là) et se clôturera par cette démonstration définitive : Si il y a un Dieu qui sait tout, voit tout, connait tout… alors l’Histoire est déjà écrite et donc la liberté n’existe pas.
Bon ça, c’est mon côté « papiste-rebelle ». La liberté et le divin seraient incompatibles.
Le côté « papiste-catéchèse » me laisse penser qu’en réalité, si Dieu existe, Il a fait l’homme à son image (complètement ratée quand on voit tous ces meks en culottes courtes courir à 22 après le même ballon avec des airs-supérieurs), mais en tout cas « libre ».
Il aurait pu « ne pas faire » ce monde, l’univers et cette créature absurde qui ne pense qu’à forniquer avec la « pouliche-pas-à-lui », picoler des demis et éventuellement jouer au tiercé…
Et qui en souhaitant Le nier (ni Dieu ni maître signifie que la morale est forcément subjective, l’inverse voulant dire qu’il existerait un « constructeur » de la morale qui régirait nos vies) ne font que le recréer sans même sans rendre compte (c’est dire que le « bug-fondateur » est profond) : Un Dieu ou un maître.

Et du coup même les héritiers spirituels de Blanqui, de Marx, de Léo Ferré ou de Renaud et quelques autres, passent-ils leur vie à faire des leçons de morale à tout le monde et n’ont de cesse de vouloir imposer leurs préceptes à la Terre entière !
Fabuleux de crânerie.
Nous avons tous vu ces vidéos terribles prises dans des abattoirs et dénonçant les atteintes faites aux animaux : Le « spécisme », faire une distinction entre les êtres vivants, relèverait de la même déviance morale que porter un jugement de valeur sur les êtres humains en fonction de leur couleur de peau (racisme), leur sexe (machisme), leur orientation sexuelle (homophobie), leur origine ethnique (anti-Corsu), etc… et donc tuer des animaux serait condamnable au même titre que tuer des êtres humains.
J’en viens à me demander comment ils arrivent à concilier la virulente condamnation morale de la mort d’un bébé vache (conçu, né et élevé pour ça) et la revendication du droit à éliminer les embryons humains non désirés ? On n’a pas beaucoup vu de « végans » ou « d’écololos-bobos » tourner de vidéos dans des centres de planning familial ou les « usines à avorter »…
Moi, je connais (un peu) et je peux témoigner du drame de « nos dames ».
Certaines ne se reconstruisent pas, d’ailleurs… tellement c’est lourd.
On peut aussi se demander comment ils arrivent à faire une distinction entre les végétaux (comestibles) et les animaux (non comestibles) sans faire appel à quelque chose qui de près ou de loin ne serait pas du « spécisme ». Les deux ne sont-ils pas des êtres vivants ? D’ailleurs, on sait que les plantes voient, sentent, entendent et communiquent entre-elles…
Bref, ce n’est pas le propos : Mes contradictions, j’ai déjà du mal à assumer, alors celles des autres, franchement…

Reste que l’élevage produirait des vilains gaz à effet de serre. Personnellement, je ne comprends pas trop : Le corps d’un animal étant en grande partie composé de composés carbonés, celui-ci n’est rien d’autre qu’un puits à carbone !
En effet s’il n’existait pas sous forme de muscles et de tissus, ce carbone se retrouverait forcément ailleurs, donc très probablement dans l’atmosphère avant d’avoir été fixé par la photosynthèse des plantes que l’animal a mangées.
Notez qu’heureusement le gaz carbonique est plus dense que l’air, sans ça, il faudrait aller chercher du foin à bestiau dans les hautes altitudes himalayennes…
Le corps humain est probablement une merveilleuse machine (pas nécessairement « divine ») qui sait elle-même fabriquer tout ce dont elle a besoin pour fonctionner, s’entretenir, se réparer quand nécessaire, sauf qu’elle a besoin d’eau (qui la compose aux deux tiers), et de quelques doses quotidiennes de graisse, de sel, de sucre et de protéine.
Mais ça produit des déchets (étrons, urines et autres crottes). Notez que sur les 910 millions de tonnes de déchets produits par an en « Gauloisie-des-poubelles », 23 millions sont des ordures ménagères dont à peine 20 % est réellement recyclable. Mais vous êtes priés de faire le tri de vos déchets domestiques même si ça ne concerne donc en fait que 0,5 % des déchets produits à l’échelle du pays : On vous refile des poubelles spéciales pour ça et on paye même les syndics de copropriétés pour qu’ils les casent dans vos parties-communes.
Notez également que même pour un des éléments les plus facilement recyclable, l’aluminium, les emballages triés puis recyclés ne représentent que 5 % de la consommation annuelle du métal. Quant aux bouteilles en verre, je n’ai toujours pas compris ce qu’il y avait d’économe en énergie à faire fondre les bouteilles pour en faire de nouvelles plutôt que de les laver et de les réutiliser, même si je sais que la chaîne logistique du verre-étoilé (bouteille de 98 cl) est un enfer financier.
En fait, le recyclage est avant tout une question industrielle et le tri ménager n’a qu’un impact infinitésimal sur la consommation de ressources naturelles et la pollution. Mettre votre canette dans la poubelle de la bonne couleur a quasiment comme seul effet celui de flatter votre ego de superhéros sauveur de la planète.
En revanche, personne ne s’inquiète du phosphore qu’on balance au fond des océans (sous la pression des « écololos-bobos »), alors que c’est « l’INDISPENSABLE » à la vie !
Et il n’y a en plus que pour 335 années de consommation à raison de 2g/jour par humain…
Et c’est sans même causer de votre moteur diesel (celui de votre « tas-de-boue-à-roulettes »). Avant c’était bien, solide, énergétiquement plus économe, maintenant c’est mal. Il faut dire que dans l’intervalle, on s’est rendu compte que la demande de gasoil ayant explosé, le prix hors taxe d’un litre de super a été rattrapé par celui du litre de gasoil qui n’était auparavant qu’un sous-produit du raffinage de pétrole.
On s’est aussi rendu compte que le diesel pouvait facilement passer du statut de carburant pour voiture à celui de carburant pour dépenses publiques. Mais il fallait bien trouver une bonne raison pour justifier l’augmentation des taxes et la hausse du prix du diesel.
Donc, donc… le diesel, est devenu tout d’un coup plus toxique et plus taxé.
Et même cette abrutie de « Sœur-Âne » qui n’a rien compris des délires de son adjoint « écololo-bobo » aux transports (« Nage-Ove-ski ») de carrément l’interdire pour que quand elle aura été virée de son bureau…
Tuer la poule-aux-œufs-d’or, faut-il être crétin !

Mais il n’y pas que ça : Le nucléaire, c’est très, très mal !
Quelle planète allons-nous laisser à nos enfants ? Voulons-nous vraiment une planète radioactive pour les générations futures ?
Bien sûr que non ! Et la meilleure solution pour éviter cela s’appelle la centrale à charbon, dépolluée et non-nucléaire !
Alors que la fission nucléaire, comme toute réaction chimique suit pourtant le second principe de thermodynamique (ou principe de Carnot, énoncé en 1824). L’énergie extraite du combustible nucléaire fait que cette matière est bien plus inerte avant qu’après.
En fait, il suffirait de mélanger les « déchets nucléaires » dans les roches dont est extrait le combustible d’uranium et de tout remettre à sa place pour constater que le résultat est bien moins radioactif que n’était le gisement de minerai originel.
Remplacez une religion, elle revient au galop et ce qui est visé par les libertaires « écololos-bobos », c’est que demain encore, il faudra un État-flic pour contrôler la filière.
Pour des millions d’années… ce qu’ils ne veulent pas : Ils préfèrent les « no-go-zone », sans flic.
Mais aussi sans radiations, parce que les flics n’iront pas, naturellement, à moins d’être suicidaire à espérance de vie-courte…

La morale laïque qui encombre les spots publicitaires et les magazines et qui vous dépeint le monde rempli d’œuvres diaboliques tentatrices qu’il faut fuir à tout prix, crée une mythologie qui nous pourrit la vie, nous détourne des vrais problèmes et des possibles solutions et est joyeusement instrumentalisée par toute une bande de gourous qui vivent grassement des peurs des gens au premier rang desquelles il y la peur des religions, surtout quand celles-ci proviennent de l’étranger et qu’elles nous sont inconnues.
Y a-t’il pourtant plus à craindre d’une religion, avec un ordre et donc des responsables identifiables ou d’une pseudo-religion sans visage, sans responsable, sans contre-pouvoir et qui se faufile insidieusement dans la société pour imposer sa vision morale coercitive et en décliner foultitude de lois et de taxes ?
C’est une question : Moâ, avec ce qui me reste à vivre, je m’en fous, finalement.

Mais revenons à notre sujet : Manger de la viande, c’est crime contre la planète.
Le bestiau pollue, eutrophise nos rivières à poisson avec ses excréments, bouffe une quantité de flotte ahurissante, monopolise quantité de champs agricoles pour son alimentation au détriment des pôvres affamés de la planète (on nous a tellement fait pleurer avec des images de gamins victimes de famines abominables générées par des guerres tribales qu’on s’est bien gardé de neutraliser… suscitant des dons aux œuvres de parrainages, même qu’un « sinistre-de-la-ville » allait livrer « à dos d’homme » des sacs de surplus de riz américains sur les plages africaines avec vos impôts… : Le dénommé « Couche-nerf », pas du tout instrumentalisé le « french-doctor »).
Faut devenir « végan » (végétariens, végétaliens et autres), pour la planète.
Euh, perso, me passer d’une belle entrecôte-bleue frite à l’huile d’olive… je sens que je vais avoir du mal.
Si j’avais dû naître herbivore ou fructivore, ça se saurait. Or, je suis né « omnivore » et je bouffe les bêtes (conçues, nées et élevées pour ça) qui bouffent de l’herbe.
La salade dans mon assiette, c’est juste pour la décoration : Même les « herbes-aromatiques », je les pousse du couteau vers le bord de l’assiette (ou de l’auge).
Et je ne me sens pas coupable pour autant, loin de là et au contraire.


Pensez donc à ces « agrikuls » qui bloquent vos raffineries quand plus personne ne voudra bâfrer des produits de leurs exploitations : C’est toute la filière, depuis le céréalier, en passant par le grainetier, le phytosanitaire, le vendeur de matériel agri-kul, la station à essence, le vétérinaire, l’abatteur, le préparateur, le routier-à-chaîne-de-froid, le grossiste à Rungis (et autres MIN), le détaillant qui mettront la clé sous la porte.
Je me souviens encore des boucheries-chevalines : C’est pas bien de manger ses chevaux. Du coup, il n’y en a plus une seule !
Tous ces gens-là laisseront les champs et pâturages en jachère, parce que ça ne les fera plus vivre. Vous n’aurez plus de lait, de fromage, de beurre, faute de vache à équarrir.
Pas plus que les poulets, ça ne sait pas faire de lait, ne comptez pas sur la production de poisson pour remplacer votre besoin de protéine, de fromage ou de je ne sais quoi.
D’abord, on vous fait pleurer avec les océans de plastique dans les estomacs des grands prédateurs marins, ensuite, un poisson, ça n’a jamais fait de lait (ou alors on a manqué de me le dire… et du fromage de soja, on ne sait pas faire) et en plus ça « respire » de l’eau où ils pissent, caguent, pètent et forniquent, sans plus de soins que ça : Une vraie dégueulasserie en plus de récupérer tous les métaux lourds qui se promènent dans leurs parages.


Moâ, je serai eux, au lieu de faire caguer les « pétroleux » et les distributeurs réunis sous des enseignes attractives ou d’investir dans la filière « bio » – un peu plus « propre » que d’autres élevages/cultures – je fermerai boutique et ferai des lotissements (surtout quand les terrains sont situés en « zones tendues » : C’est fait pour ça !)
Et je changerai de métier.
Me connaissant, et compte tenu de ce que je viens de dire, je me bien une reconversion dans de la vigne (pour ne pas mourir de soif) jusqu’en Angleterre, là où les romains en faisaient déjà autant à une époque reculée.
Mais bon, en attendant, c’est si bon d’entendre le pilonnage de ces nouvelles religions du « bien-être » qui ne visent qu’à détruire (en tout cas déstabiliser) ce qui existe depuis tout temps qu’on a le droit d’en rire à les fustiger.
Ils sont si fabuleux à énoncer l’inverse de leurs propres propositions dogmatiques qu’ils pourraient un jour en devenir une vaste « fake-news ».
Franchement, j’adore cette époque où marcher sur la tête ne gêne décidément plus personne. C’est comme le téléphone portable : Avant, tu croisais dans la rue un mek qui parlait tout seul, tu lui demandais s’il avait besoin d’aide. Aujourd’hui, avec leurs oreillettes, le aïe-phone dans la poche, ils parlent tous tout seul…

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