L’occasion de se poser les bonnes questions…
Ainsi, celle-là : Que se passe dans notre cerveau
lors d’un arrêt cardiaque ?
Avez-vous déjà essayé ?
Moâ, je vous préviens tout de suite, si ça me tombe dessus, je ne fais ni une ni deux : Je me laisse déconnecter avec joie !
Marre de devoir vivre avec toutes les absurdités de ce monde qui marche sur la tête, créées uniquement par des « sachants-trisomiques-autistes », histoire de me pourrir définitivement ma belle jeunesse, alors que j’ai déjà une place réservée au cimetière Montparnasse, bien à l’abri des sarcasmes de tous ces ignorants de « sachants ».
Vous, je ne sais pas…
Mais ne comptez pas sur moâ pour survivre à un arrêt
de mes fonctions cardiaques, d’autant que mon palpitant est tellement solide
que, même avec la totalité de ses trois artères bouchées, il continue à faire
son office.
Mais des patients ont vécu une expérience de mort imminente pendant un arrêt cardiaque.
Et du coup, on en sait un peu plus avant de devoir définitivement trépasser.
Le cerveau pourrait bel et bien rester actif pendant
un arrêt cardiaque, et même garder un certain niveau de conscience. Une
nouvelle étude menée par des chercheurs anglais et américains a examiné pour la
première fois la conscience et ses biomarqueurs électro-corticaux pendant la
réanimation cardio-pulmonaire (RCP).
Publiée dans la revue « Resuscitation » la bien nommée (mais elle n’est pas la seule), elle montre que certains patients présentaient des ondes cérébrales liées à la pensée consciente jusqu'à une heure après l’arrêt de leur cœur !
Et donc sans oxygénation…
Punaise de petite-vertu… ça doit être dur de mourir, finalement.
Une heure à rester conscient, ça doit être mortel avant de trépasser !
Déjà que la douleur au bras gôche propre aux accidents cardiaques fait un mal de chien dans le « Pfizer » (le deltoïde dans lequel ils injectaient leur vaccin ARN…)
Enfin, passons : Je n’y suis pas encore.
L’étude « AWAreness during REsuscitation-II » a suivi ainsi
567 adultes ayant subi un arrêt cardiaque lors d’un séjour à l’hôpital entre
mai 2017 et mars 2020 aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Sur les 567 patients, 9,3 % ont survécu, ce qui correspond au taux de survie moyen après un arrêt cardiaque.
Personnellement on m’avait assuré que le taux de décès dans l’année était de 20 %.
Ce qui laisse 80 % de chance d’en mourir après ce délai…
Parmi ces survivants, près de 40 % ont rapporté des souvenirs ou perceptions d’arrêt cardiaque suggérant une conscience.
Une technique d’électroencéphalogramme (EEG) a révélé
que ces patients présentaient des pics dans les ondes gamma, delta, thêta,
alpha et bêta, associées à des fonctions mentales plus élevées.
Je suis tranquille : Moâ, je n’ai que le « nerf honteux » qui fonctionne à l’état d’éveil…
Même la nuit, remarquez.
Ces « chercheurs-trouveurs » ont également surveillé l’oxygénation cérébrale pendant la RCP. « Malgré une ischémie cérébrale marquée, une activité EEG normale compatible avec la conscience est apparue après 35 à 60 minutes de RCP », écrivent-ils dans leur compte-rendu d’étude.
L’hypothèse mentionnée par ces « trouveurs »
avance qu’une certaine désinhibition du cerveau mourant pourrait engendrer de «
nouvelles dimensions de la réalité ».
Ouh là : Ça devient tout d’un coup surréaliste !
Toutefois, aucune recherche ne prouve encore la véracité des expériences de conscience rapportées par les patients.
« Le souvenir de l’expérience entourant la mort mérite une étude empirique plus approfondie », rapporte le communiqué qui accompagne la publication.
Les « trouveurs-chercheurs » « prévoient ainsi de mener des études qui définissent plus précisément les biomarqueurs de la conscience clinique et qui surveillent les effets psychologiques à long terme de la réanimation après un arrêt cardiaque ».
Bon, méfiez-vous si vous nous faites une crise cardiaque : Ils sont susceptibles de vous transformer en cobaye malgré vous…
C’est que les expériences de mort imminente sont un
phénomène qui intrigue encore les toubibs. L’étude Aware II aura ainsi regroupé
la centaine de témoignages de personnes ayant fait un arrêt cardiaque.
En bonus, ils ont pu enregistrer l’activité du cerveau alors qu’ils vivaient cette « mort lucide ».
En « Gauloisie-impériale », entre 40.000 et 50.000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque chaque année.
Les gestes de réanimation doivent être prodigués le plus rapidement possible pour augmenter les chances de survie de la victime.
C’est surtout qu’il s’agit de ne pas trop nécrosé le muscle malade. Mais mon « cousin calvais » vit depuis des décennies avec un cœur nécrosé à 30 % : Ça va, il a toujours une bonne descente !
Et parmi les survivants, 20 % disent avoir vécu une « mort consciente » alors que l’on essayait de les réanimer.
Lui, il n’en dit rien…
Les patients ont expliqué aux médecins avoir eu la
sensation de quitter leur corps et d’observer les évènements qui les
entouraient sans ressentir de douleur ni de détresse.
Tranquille Bill !
Ils ont aussi passé en revue leur vie, leurs actions, et leurs pensées vis-à-vis de leurs proches.
En plus de ces témoignages, les médecins ont pu enregistrer l’activité du cerveau pendant ces « morts lucides. »
Et ils ont fait une découverte importante : Comme on vient de le dire, certaines ondes cérébrales connaissent un pic d’émissions jusqu’à une heure après le début de la réanimation.
Ces pics apparaissent normalement quand on pense ou quand on se souvient ou bien encore tout simplement, lorsque l’on est conscient d’un évènement.
(Un événement majeur, quand ça me concerne, car probablement rarissime ou alors permanent, vu le taux de konnerie que je croise…)
Plus d’une centaine de personnes ont ainsi décrit leur « mort lucide ».
« Ces expériences de remémoration et ces
changements dans les ondes cérébrales pourraient être les premiers signes de ce
que l’on appelle une expérience de mort imminente, et nous les avons capturés
pour la première fois dans une étude de grande ampleur », explique le « scientifique-sachant »,
auteur principal d’une autre étude à paraître dans le journal « Circulation »
(qui reprend l’essentiel des dires de son confrère).
En effet, car c’est la même étude portant sur les mêmes 567 patients qui ont fait un arrêt cardiaque entre 2017 et 2020 dans les mêmes 25 hôpitaux américains et britanniques participant à l’étude, 126 personnes ont témoigné de leur « mort lucide ».
Si la présentation ne prouve pas formellement la
réalité biologique des expériences de mort imminente, les témoignages des
patients ne peuvent pas non plus être ignorés.
Les médecins de l’initiative Aware II espèrent que d’autres études scientifiques (appels aux dons et aux subventions à peine déguisés…) qui permettront de comprendre ce phénomène encore mystérieux.
Moa, je dois vous avouer que ça m’amuse.
Je me vois très bien mourir sommairement et brutalement en savourant le souvenir de ce « pain-perdu » brioché vanillé fondre dans ma bouche en compagnie de ma petite-sœur : Un régal.
Mais avec le bol que j’ai depuis ma naissance, ce sera probablement le souvenir de cet appel de ma « Môman à moa » depuis une cabine téléphonique de « l’hôpital » de Corti, m’annonçant le décès par assassinat de mon « Papa-à-moâ »… il y a si longtemps !
Notez que j’aurai peut-être la grande chance de lui faire enfin face et qu’il m’accueille à bras ouverts : J’ai déjà vécu cette scène deux fois et deux fois, il y a mis fin promptement : « Ce n’est pas le moment ».
Et à chaque fois, je me suis réveillé en pleurant…
Bonne journée à toutes et tous !
I3
PS : Ah oui… Il n’y aura pas de post « scientifique »
dimanche prochain…
Donc, je profite de l’occasion pour commencer le mois avec ce billet qui vient incrémenter la rubrique « La science en marche ».
C’est un clin d’œil, naturellement…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
Avez-vous déjà essayé ?
Moâ, je vous préviens tout de suite, si ça me tombe dessus, je ne fais ni une ni deux : Je me laisse déconnecter avec joie !
Marre de devoir vivre avec toutes les absurdités de ce monde qui marche sur la tête, créées uniquement par des « sachants-trisomiques-autistes », histoire de me pourrir définitivement ma belle jeunesse, alors que j’ai déjà une place réservée au cimetière Montparnasse, bien à l’abri des sarcasmes de tous ces ignorants de « sachants ».
Vous, je ne sais pas…
Mais des patients ont vécu une expérience de mort imminente pendant un arrêt cardiaque.
Et du coup, on en sait un peu plus avant de devoir définitivement trépasser.
Publiée dans la revue « Resuscitation » la bien nommée (mais elle n’est pas la seule), elle montre que certains patients présentaient des ondes cérébrales liées à la pensée consciente jusqu'à une heure après l’arrêt de leur cœur !
Et donc sans oxygénation…
Punaise de petite-vertu… ça doit être dur de mourir, finalement.
Une heure à rester conscient, ça doit être mortel avant de trépasser !
Déjà que la douleur au bras gôche propre aux accidents cardiaques fait un mal de chien dans le « Pfizer » (le deltoïde dans lequel ils injectaient leur vaccin ARN…)
Enfin, passons : Je n’y suis pas encore.
Sur les 567 patients, 9,3 % ont survécu, ce qui correspond au taux de survie moyen après un arrêt cardiaque.
Personnellement on m’avait assuré que le taux de décès dans l’année était de 20 %.
Ce qui laisse 80 % de chance d’en mourir après ce délai…
Parmi ces survivants, près de 40 % ont rapporté des souvenirs ou perceptions d’arrêt cardiaque suggérant une conscience.
Je suis tranquille : Moâ, je n’ai que le « nerf honteux » qui fonctionne à l’état d’éveil…
Même la nuit, remarquez.
Ces « chercheurs-trouveurs » ont également surveillé l’oxygénation cérébrale pendant la RCP. « Malgré une ischémie cérébrale marquée, une activité EEG normale compatible avec la conscience est apparue après 35 à 60 minutes de RCP », écrivent-ils dans leur compte-rendu d’étude.
Ouh là : Ça devient tout d’un coup surréaliste !
Toutefois, aucune recherche ne prouve encore la véracité des expériences de conscience rapportées par les patients.
« Le souvenir de l’expérience entourant la mort mérite une étude empirique plus approfondie », rapporte le communiqué qui accompagne la publication.
Les « trouveurs-chercheurs » « prévoient ainsi de mener des études qui définissent plus précisément les biomarqueurs de la conscience clinique et qui surveillent les effets psychologiques à long terme de la réanimation après un arrêt cardiaque ».
Bon, méfiez-vous si vous nous faites une crise cardiaque : Ils sont susceptibles de vous transformer en cobaye malgré vous…
En bonus, ils ont pu enregistrer l’activité du cerveau alors qu’ils vivaient cette « mort lucide ».
En « Gauloisie-impériale », entre 40.000 et 50.000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque chaque année.
Les gestes de réanimation doivent être prodigués le plus rapidement possible pour augmenter les chances de survie de la victime.
C’est surtout qu’il s’agit de ne pas trop nécrosé le muscle malade. Mais mon « cousin calvais » vit depuis des décennies avec un cœur nécrosé à 30 % : Ça va, il a toujours une bonne descente !
Et parmi les survivants, 20 % disent avoir vécu une « mort consciente » alors que l’on essayait de les réanimer.
Lui, il n’en dit rien…
Tranquille Bill !
Ils ont aussi passé en revue leur vie, leurs actions, et leurs pensées vis-à-vis de leurs proches.
En plus de ces témoignages, les médecins ont pu enregistrer l’activité du cerveau pendant ces « morts lucides. »
Et ils ont fait une découverte importante : Comme on vient de le dire, certaines ondes cérébrales connaissent un pic d’émissions jusqu’à une heure après le début de la réanimation.
Ces pics apparaissent normalement quand on pense ou quand on se souvient ou bien encore tout simplement, lorsque l’on est conscient d’un évènement.
(Un événement majeur, quand ça me concerne, car probablement rarissime ou alors permanent, vu le taux de konnerie que je croise…)
Plus d’une centaine de personnes ont ainsi décrit leur « mort lucide ».
En effet, car c’est la même étude portant sur les mêmes 567 patients qui ont fait un arrêt cardiaque entre 2017 et 2020 dans les mêmes 25 hôpitaux américains et britanniques participant à l’étude, 126 personnes ont témoigné de leur « mort lucide ».
Les médecins de l’initiative Aware II espèrent que d’autres études scientifiques (appels aux dons et aux subventions à peine déguisés…) qui permettront de comprendre ce phénomène encore mystérieux.
Je me vois très bien mourir sommairement et brutalement en savourant le souvenir de ce « pain-perdu » brioché vanillé fondre dans ma bouche en compagnie de ma petite-sœur : Un régal.
Mais avec le bol que j’ai depuis ma naissance, ce sera probablement le souvenir de cet appel de ma « Môman à moa » depuis une cabine téléphonique de « l’hôpital » de Corti, m’annonçant le décès par assassinat de mon « Papa-à-moâ »… il y a si longtemps !
Notez que j’aurai peut-être la grande chance de lui faire enfin face et qu’il m’accueille à bras ouverts : J’ai déjà vécu cette scène deux fois et deux fois, il y a mis fin promptement : « Ce n’est pas le moment ».
Et à chaque fois, je me suis réveillé en pleurant…
Donc, je profite de l’occasion pour commencer le mois avec ce billet qui vient incrémenter la rubrique « La science en marche ».
C’est un clin d’œil, naturellement…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire