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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 10 novembre 2023

Jean-Marc nous rapporte…

Que c’est l’histoire d’un papi…
 
… de 80 ans bien sonnés qui fait sa promenade un soir dans la rue St -Denis à « Paris-sur-les-berges ».
Tout à coup, il entend une fille qui l'appelle...
« Hé papi, tu ne veux pas essayer un coup ??? Allez juste un p’tit ! »
Papi se retourne et répond !!!
« Mais non, je ne peux plus !!! C’est bien dommage, mais je ne peux plus… depuis qu'elle est devenue petite… ! »
La fille l’interrompt et insiste :
« Mais si !! Tu verras, avec moi ça marchera… Aller viens !! Je te promets que tu y arriveras !!! »
Papi répond :
« Mais non, je ne peux plus ! C’est bien dommage, mais je ne peux plus : Elle est si réduite… »
La fille l’interrompt de nouveau...
« Mais si tu verras, ce n’est pas une question de taille, je te promets que ça marchera… »
Devant la beauté de la fille et surtout son insistance, papi se laisse enfin convaincre et dit ...
« Ben allons-y puisque tu insistes, mais je t'aurais prévenue… »
Là-dessus ils prennent tous les deux une chambre. Et papi comme un jeune de 20 ans fait son affaire, recommence une deuxième fois, puis une troisième et, comme un fou, une quatrième fois !!!
La fille n'en revient pas, très fatiguée, épuisée et encore toute ébahie, elle dit :
« Eh ben dis donc, quelle santé !!!
Tu vois : Tu disais que tu ne pouvais plus ? T’as vu un peu ça ? »
Et papi lui répond froidement :
« Non c’est pas ça le problème, si tu m’avais laisser t’expliquer.
Ce que je ne peux plus, c'est payer comme avant … à cause de ma petite retraite ! »
 
« Germaine prend un thé avec Marie-Chantal :
« ― Hum, ce manteau de fourrure est très beau mais, t’as pas honte qu’un animal innocent paie pour tes caprices ?
― Et depuis quand défends-tu mon mari ? »
 
C’est l’histoire d’un gars qui ne va pas bien du tout.
Il se rend à l’hôpital.
Après une foultitude de tests, le médecin lui dit :
« J’ai des mauvaises nouvelles pour vous… Vous avez la syphilis, lèpre et le SIDA ! »
Le gars est effondré :
« ― Oh mon Dieu, et qu’est-ce que vous pouvez faire ?
― Pas grand-chose malheureusement. Vous devrez rester à l’hôpital et on vous prescrira un régime alimentaire à base de crêpes, de soles et de pizzas.
― Et comment est-ce que tout ça va me sauver ?
― Je ne sais pas, mais en tous cas ce sont des aliments qu’on peut facilement glisser sous la porte. »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« ― C’est quoi ton type de femme ?
― Celle qui dit oui. »
 
« ― Je te connais. Tu acceptes de me marier parce que je viens d’hériter du castel des bords de Loire de mon oncle Jean-Pierre…
― Totalement faux. Je me moque de qui tu as hérité ! »
 
Des effets de l’abus de bière sur le cervelet de Jean-Marc :
« On réalise qu’on est vieux quand, à la suite d’un coup de vent qui dévoile les cuisses d’une belle femme, on a des souvenirs plutôt que des désirs. »
 
Et aussi :
« Toutes les femmes cherchent l’homme idéal, mais les plus intelligentes se marient. »
 
De Jean-Paul à Jean-Marc :
« ― Non mais peux-tu me dire comment cette femme-là est devenue si riche ?
Elle ne travaille pas, n’a pas de commerce, elle vient d’une famille pauvre et n’a pas de diplôme.
Je sais, on pourrait penser qu’elle a une vie secrète, mais ce n’est même pas le cas.
― Simple, elle vient de réussir son troisième divorce. »
 
Jean-Claude revient de l’école avec son bulletin et des zéros partout.
« Quelle excuse vas-tu encore me donner cette fois-ci ? » soupire sa mère.
« J’hésite entre l’hérédité et l’environnement familiale… »
 
Jean-Marc venait de se marier.
Le lendemain de la noce, il dit à sa Germaine :
« Bon, alors chérie, maintenant dans cette maison, il va y avoir quelques règles à respecter.
Tout d’abord, il faut savoir que je rentrerai à la maison si je le veux et à l’heure que je veux.
Et je ne veux pas de chamaillerie pour autant au moment où j’arrive.
Je veux aussi qu’il y ait un bon repas sur la table en 30 minutes si j’ai envie de manger.
Je ne veux aucune discussion quand je m’en vais pêcher, chasser, boire un coup ou voir un match de foot avec les copains.
C’est bien compris ? »
Alors la jeune mariée lui répond :
« Oui, oui, c’est d’accord pour moi. J’aurai juste une seule règle :
Tous les soirs à 21 heures, il y aura du sexe à la maison, que tu sois là ou pas… »
 
60 ans plus tard, ils ont tous les deux des problèmes de mémoire.
Leur médecin leur a suggéré d’écrire ce qu’elles voulaient faire.
Dans la soirée, en regardant la TV, Jean-Marc se lève et dit :
« ― Tu veux quelque chose, je vais dans la cuisine ?
― Apporte moi un bol de crème glacée, stp.
― Certainement !
― Tu devrais l’écrire pour pouvoir t’en souvenir !
― Non, je vais m’en souvenir.
― Bon ! J’aimerais aussi des fraises sur le dessus.
Tu devrais l’écrire !
― Non, je vais m’en souvenir, un bol de crème glacée et des fraises.
― J’aimerais aussi de la crème fouettée par-dessus.
Écris-le pour t’en souvenir.
― NONNN Je n’ai pas besoin de l’écrire : Je ne suis pas complètement gâteux non plus : Tu veux de la crème glacée avec des fraises et de la crème fouettée ! »
Au bout de 20 minutes, Jean-Marc revient de la cuisine et apporte à sa femme un plat de bacon et des œufs.
« Ah non ! Tu vois, tu as encore oublié mes TOASTS…! »
Ne riez pas trop car un jour ce sera ton tour…
 
La petite Marie-Anne se promène avec sa maman le long du fleuve.
Soudain, elle s’écrie :
« Oh, Maman ! Maman ! Un bateau… »
Effectivement, la maman l’aperçoit et précise :
« Oui ma fille, je le vois : C’est une péniche. »
La promenade continue quand à nouveau, Marie-Anne s’écrie :
« Maman ! Maman ! Regarde le joli pénis. »
 
Une revenue… d’un de mes romans I-Cube (l'exilé): Laudato si… (0) (flibustier20260.blogspot.com)
Il y a quatre types d’orgasme féminin :
L’orgasme positif : « Oh oui Oh oui … »
L’orgasme négatif : « Oh non Oh non … »
L’orgasme religieux : « Oh mon dieu … »                       
L’orgasme simulé : « Oh « nom_du_gars_à_qui_on_la_raconte » »
Parole d’expert de Jean-Marc (et de William River).
 
C’est l’histoire d’une dame d’une trentaine d’année qui entre dans le cabinet de consultation en se déshabillant :
« ― Docteur, je ne veux surtout pas risquer d’avoir un enfant. Que me conseillez-vous de faire ?
― À mon avis, la première chose serait de porter des lunettes.
― Et cela m’empêchera d’avoir des enfants ?
― Non, mais cela vous permettra de mieux lire ce qui est inscrit sur les plaques de marbre, dans le couloir.
Le gynécologue, c’est l’étage au-dessus. Moi, je suis architecte. »
 
C’est l’histoire déjà vue de deux pauvres fourmis qui sont employées au service du nettoiement de la ville.
Un jour, alors qu’elles balaient le trottoir, une Rolls blanche s’arrête à leur hauteur.
Le chauffeur ouvre la portière arrière, et une cigale en descend, couverte de bijoux.
« ― Mais je te reconnais », dit une des fourmis. « Tu es la cigale qui chantait tout l’été. Qu’est-ce que tu deviens ?
― Ça marche très fort pour moi.
Mon dernier disque est premier au hit-parade, je fais le Zénith le mois prochain et c’est déjà complet.
Ensuite je pars en tournée en Amérique. À un de ces jours les filles ! » et elle s’en va.
Tandis qu’elle s’éloigne, la première fourmi, tout en se remettant à balayer, dit à sa collègue :
« Ce La Fontaine, mais quel con ! »
 
Jean-Marc, ivre, se fait arrêter.
« ― Alors, vous n’avez pas vu le feu rouge ?
― Bof, m’sieur l’agent, quand on en a vu un, on les a tous vu !!! »
Il aura passé la nuit en cellule de dégrisement.
 
Tu es au volant de ta voiture et tu roules à vitesse constante.
À ta droite, un ravin à perte de vue.
À ta gauche, un camion de pompiers qui roule à la même vitesse et dans la même direction que toi (il est en train d’essayer de te doubler, en fait).
Devant toi, un cochon qui est plus gros que ta voiture.
Derrière toi, un hélicoptère qui te suit en rase-motte.
Tous deux vont à la même vitesse que toi.
Comment fais-tu pour t’arrêter sans dommages ?
Tu attends que le manège s’arrête…
Une histoire dérivée du manège de Bastia rapportée par Dumè il y a bien des années…
Histoires d'en rire: Les aventures de Dumé : Flibustier75006: Amazon.fr: Livres
 
Encore une revenue :
Holmes se réveille et aussitôt secoue son compagnon :
« ― Watson, regardez le ciel et dites-moi ce que vous voyez.
― Je vois des millions et des millions d’étoiles.
― Et qu’est-ce que vous en concluez ?
― Du point de vue astronomique », répond Watson, « cela me dit qu’il y a des millions de galaxies et potentiellement des milliards de planètes.
Du point de vue astrologique, j’observe que Saturne est en Lion.
Du point de vue chronologique, j’en déduis qu’il est environ 3 heures 15.
Du point de vue théologique, je vois que Dieu est tout-puissant et que nous sommes petits et insignifiants.
Du point de vue météorologique, je pense que nous aurons une belle journée demain.
Et vous, Holmes ? »
Sherlock Holmes reste pensif une minute, puis déclare :
« Watson, vous êtes un âne. On nous a fauché la tente. »
Dans l’originale c’était « Bling-bling » qui campait dans le jardin de « Karla » chez sa belle-mère…
 
Trois petits vieux qui étaient amis se retrouvent après de longues années :
« ― Que faites-vous depuis que vous êtes à la retraite ?
― Moi je fais de la photo » dit le premier.
« Moi je jardine », répond le deuxième.
Et le troisième annonce :
« ― Moi je fais de la recherche !
― Ah bon ! Et dans quoi ?
― Tous les jours je cherche ma cane, mes lunettes, mon dentier, mes clés, mon porte-monnaie ! »
 
Bon week-end (qui arrive) à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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