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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 9 novembre 2023

Les facéties de « Sœur-Âne »

Ou quand ma « Mairesse » triche honteusement
 
Hier, je m’étonnais qu’on ait pu nous la rapatrier depuis son exil polynésien. Mais pourquoi tant de dépit de ma part, moâ qui ai été ensorcelé par son parfum quand elle me bisouillait à une époque reculée où je faisais dans les crèches associatives ?
C’est qu’au fil du temps – et des discours – je me rends compte que quand on est « soce-native » on peut se croire tout permis et même cracher sur la parole donnée (cf. le laïus sur « Sœur-Âne » et les JO qu’elle ne voulait pas mais qu’elle aura accueilli avec la larme à l’œil car ils lui permettent de faire le tour de la planète aux frais du kontribuable parigot) et même de maquiller les comptes publics de sa ville.
En plus, elle est tellement kon, que si elle vole le kontribuable, ce n’est même pas pour en tirer un profit personnel (ce qu’à la limite j’aurai compris tout en condamnant le procédé avec la plus grande vigueur) et en plus ça se voit.
Moâ au moins, quand j’imagine une konnerie à faire, c’est sans que jamais elle ne puisse apparaître et que de toute façon j’en sois tenu pour responsable.
Démonstration.
 
Les « mobilités douces » et le « vivre-ensemble » ne lui suffisant pas, la mairie centrale veut également devenir un modèle pour la transparence comptable. À preuve, il y a quelques années, elle s’est volontairement lancée dans une « démarche de préparation à la certification de ses comptes », action indispensable pour instaurer une vraie démocratie citoyenne (dixit la cheffe).
Il s’agit, précise la municipalité, de pouvoir faire attester que ses présentations chiffrées sont « régulières et sincères » et offrent une « information irréprochable sur l’utilisation de l’argent public ». Ah reum…
Comme si c’était nouveau et au-delà des prescriptions légales en la matière… Mais d’avertir dès 2016, que « nous avons conscience que la route sera longue » : Comme quoi, c’était déjà le boxon total avec « De-la-Nuée ».
Bel aveu s’il en est… Elle n’était que première adjointe sous le règne de ce dernier.
 
En fait de « transparence », l’objectif aura toujours été de masquer aux citoyens la situation des finances de la kapitale.
Et d’une certaine façon, on les comprend, car exposer la vérité toute crue nuirait gravement.
Lors de sa campagne, début 2014, « Sœur-âne » avait promis tout à la fois aux électeurs de contenir les budgets, de maîtriser l’endettement et de ne pas augmenter les impôts d’un centime.
Des années de trous dans la chaussée et de folles dépenses plus tard (la masse salariale de la ville s’est envolée de 17 %, trois fois plus vite que l’inflation), il faut bien reconnaître que le résultat n’est pas tout à fait à la hauteur.
 
Pour essayer de cacher la misère, la mairie commence par « oublier » de mettre en ligne sur son site les documents administratifs compromettants : De nombreuses délibérations du conseil municipal concernant les dépenses ou l’endettement, par exemple, n’y figurent pas, au mépris des règles administratives les plus élémentaires.
Et il est impossible d’y dénicher les « budgets supplémentaires », documents essentiels que la loi NOTRe fait obligation aux communes de mettre à la disposition de leurs administrés : « Nous ne les publions pas », reconnaît-on aux services financiers, sans aucun trouble.
Il est vrai que, si d’aventure la « ville-lumière » était condamnée à une amende pour ce déni de droit, ce serait les contribuables qui la paieraient.
 
Pour enfumer les citoyens, les argentiers de la capitale ont eu recours à un procédé autrement plus audacieux : Ils glissent des chiffres erronés dans leurs présentations comptables.
Selon la nomenclature officielle, le compte administratif des communes doit donner, par exemple, dans son annexe IV, le détail des dettes de chaque ville au centime près.
Au 31 décembre 2018 la municipalité devait 4,38 milliards d’euros sous forme d’emprunts obligataires et 1,311 milliard d’euros sous forme de crédits octroyés par des établissements financiers, ce qui est parfaitement exact.
En revanche, plus loin à la ligne 1687 de ladite annexe du budget de l’année, censée regrouper tous les autres emprunts, les scribes municipaux ont inscrit la somme de 192,63 millions d’euros, ce qui est faux : Où ils ont inventé les « maths-quantiques ».
Le vrai chiffre apparaît dans la comptabilité établie par les fonctionnaires de Bercy, qui, eux en sont restés à faire des additions. Il est de 1,04 milliard.
En effet, pour connaître le vrai chiffre, il faut se référer – ce que personne n’a jamais eu l’idée de faire – au compte de gestion du trésorier de l’État.
 
Inutile d’aller chercher bien loin l’origine des 853 millions d’euros disparus : Pour l’essentiel, ils correspondent exactement aux loyers que la municipalité s’est fait verser avec trente ans d’avance par les offices HLM pour boucher ses trous de trésorerie.
Une pratique, qui revient à obérer l’avenir pour financer les dépenses actuelles, et qui s'assimile à une dette, comme le démontrent les documents de Bercy, et n’est jamais utilisée dans aucune autre ville de « Gauloisie-normale » sauf à « Paris-sur-la-plage » !
Et c’est tellement « limite » que la mairie centrale a dû demander une dérogation exceptionnelle au gouvernement pour pouvoir y avoir recours.
Grâce à quoi, dans son document officiel d’informations, qui sert de référence à toute la presse et à la classe politique, la ville peut chiffrer à 5,69 milliards d’euros son ardoise au 31 décembre 2018 (en « oubliant » au passage d’inclure dans ce total les 192,63 millions de sa propre ligne 1687), soit exactement 2.557,58 euros par habitant.
Et triomphalement de claironner que « c’est bien moins que dans la plupart des grandes villes ! ».
 
Le mensonge est si gros (et obère la trésorerie des bailleurs sociaux qui ne peuvent même plus entretenir les ascenseurs) qu’en réalité, la dette dépassait 6,7 milliards d’euros à la fin 2018, soit un montant moyen de 3.039 euros par parigot, selon Bercy.
Et c’est l’un des plus lourds fardeaux de l’Hexagone.
Dotant que, depuis, les choses se sont aggravées, car la dette dépasse désormais 7 milliards, en augmentation de 100 % depuis l'arrivée de la maire en 2014, un record.
 
Du coup, afin de brouiller encore un peu plus les pistes, on n’est plus à une tromperie près (quitte à risquer la prison, autant en justifier !), les élus parisiens travaillent au corps une autre donnée essentielle : La durée théorique de remboursement des emprunts.
Pour obtenir ce ratio, implacable pour juger la qualité de la gestion d’une municipalité, tous les comptables publics de « Gauloisie-ruinée » procèdent de la même manière : Ils calculent combien d’années il faudrait à la ville pour effacer son ardoise si elle y consacrait la totalité de sa « capacité d’autofinancement », autrement dit, de l’excédent de son budget de fonctionnement.
Les spécialistes considèrent qu’au-delà de douze ans la situation devient inquiétante.
Je retiens le même ratio pour mes analyses financières d’entreprise à redresser.
En moyenne, cette durée est de 5,4 ans dans les communes gauloisiennes et de 8,1 ans dans les villes de plus de 100.000 habitants.
Mais, à « Paris-sur-la-plage », l’application de ce ratio donne des résultats catastrophiques : Quatorze ans !
 
Nos élus dans le sillage de « Sœur-Âne » ont donc eu l’idée de le bidouiller un peu. Pour gonfler l’excédent de leur budget de fonctionnement, ils lui ajoutent le produit de la vente annuelle des bijoux de famille (les propriétés immobilières de la ville), qui rapporte environ 200 millions d’euros par an, bon an mal an.
En utilisant comme dénominateur, ce nouveau concept comptable unique dans les annales, finement baptisé « capacité de financement », les choses deviennent plus présentables, puisque la durée de remboursement théorique passe à moins de dix ans.
Dans un rapport de 2016, les magistrats de la Chambre régionale des comptes s’étaient gravement émus de cette trop grosse ficelle.
Mais elle perdure. Mensonge avoué à moitié pardonné, dit-on.
 
Quant aux impôts qui ne devaient pas augmenter, si « Sœur-Âne » a pris soin de ne pas toucher aux taux des taxes foncière (et d’habitation), sur lesquels la presse a les yeux rivés, elle a fait valser celui de la taxe de séjour, gonflé de 18 % celui des droits de mutation (au point que ces derniers, les fameux « frais de notaire », sont devenus un temps la première recette de la capitale), triplé celui de la taxe sur les résidences secondaires, fait exploser de 17 à 50 euros le montant des amendes de stationnement et ajusté à la hausse tout un tas de redevances dues par les administrés…
Du coup, à périmètre égal, la note pour les parigots a grimpé de plus de 20 % depuis l’arrivée de l’élue.
 
Cela n’empêche pas cette dernière de continuer à répéter partout qu’elle a tenu son engagement de ne pas augmenter les impôts, naturellement.
Même la main dans le pot de confiture, elle niera perpétuellement l’y avoir plongée.
Rappelons que dans son rapport de 2016, la Chambre régionale des comptes lui avait pourtant enjoint en termes très policés de cesser de mentir. « La ville devra veiller dans sa communication financière à prévenir toute ambiguïté entre les notions de stabilité de la fiscalité et celle, plus restrictive, de stabilité des impôts locaux », écrivaient avec une grande délicatesse les magistrats.
Or, en tenant compte des droits de mutation, un ménage propriétaire qui change de logement tous les quinze ans paie en moyenne 3.419 euros d’impôts par an à Lyon, 3.797 euros à Marseille, 4.193 euros à Bordeaux, et 4.854 euros dans la kapitale.
Le mythe de l’heureux parisien moins imposé que les autres ne tient plus du tout la route.
 
Pour comparer les charges fiscales, il faut en effet additionner les impôts payés par les ménages pour l’ensemble des quatre structures (ville, communauté urbaine, département, région) dans toutes les villes, y compris à « Paris-ville-lumière ».
Il en ressort que les propriétaires parisiens sont, et de loin, les plus imposés de toutes les grandes agglomérations.
Quant aux dettes, en retenant systématiquement celle des villes plus celle de leur communauté urbaine, avec 1.750 euros d’ardoise moyenne par habitant, la capitale est loin d’être la mieux lotie du classement : Strasbourg, Toulouse, Rennes, Bordeaux sont moins endettées qu’elle.
 
Mais où passe tout cet argent arraché à coups de mensonges ? On pourrait faire dans le détail : Par exemple la « végétalisation des toits », comptée pour 150 millions d’euros, ne représenterait pas 25 %, mais seulement 15 % du produit annuel de la taxe foncière versée à la ville, car cette dernière rapporterait 976 millions d’euros, et non pas 600 millions.
La dette de la capitale a un coût qui va augmenter. À l’arrivée aux affaires de « de-la-Nuée » elle n’était que de 1,4 milliard (ou la bonne gestion du « cousin Jean » [Tiberi]). La dette n’aurait sous l’ère de « Berre-trans » été simplement que multipliée par 2,6.
Elle est aujourd’hui à plus de 3,9 milliards. Elle a donc pratiquement quadruplé.
 
Le portage de 160 millions d’euros de dette par l’association pour la Philharmonie de « Paris-sur-plage » avait été validé par le Préfet. Il n’empêche si la mairie avait accepté de s’endetter directement, elle aurait en effet pu bénéficier de taux d’intérêt plus avantageux, 4,2 % contre 5,18 % ce qui aura coûté quelques millions au kontribuable parigot.
Les droits de mutation payés par les mêmes « parigots » lors de l’achat de leur logement ne devraient pas être comptabilisés avec les impôts car beaucoup de ménages n’en payent jamais nous dit-on et qu’il s’agirait d’une « dépense ponctuelle liée à l’achat d’un logement ».
En réalité ni l’impôt sur le revenu (dont la moitié des ménages sont exonérés), ni la TVA (assise sur les dépenses ponctuelles) ne devraient donc être considérés comme des prélèvements obligatoires avec cette analyse-là !
En réalité, les droits de mutation immobilière, entièrement perçus par la commune et le département, sont l’un des trois principaux impôts supportés par les parigots, à peu près à égalité avec la taxe foncière et feu la taxe d’habitation.
Or, leur montant aura triplé depuis le départ du « cousin Jean » et ils sont aujourd’hui deux à trois fois plus élevés que dans les autres grandes villes de Gauloisie-socialiste.
Et tout est à l’avenant : Il n’y a rien de sincère dans les dires et prétentions de « Sœur-Âne ».
 
Tenez, pour afficher des ratios financiers moins catastrophiques, la Ville de « Paris-sur-la-plage » a choisi de comptabiliser les résidences secondaires dans sa population.
Ce qu’interdit le code des collectivités locales.
Si la « mairesse » « oublie » d’inscrire certains emprunts dans ses comptes administratifs, afin d’y faire apparaître un niveau endettement largement inférieur à la réalité (5,8 milliards au lieu de 6,7 en 2018), pour mieux entourlouper l’opinion, la patronne de la municipalité ne s’est pas contentée de cela : Elle aura trouvé plus fin encore !
Il faut savoir que les communes sont tenues de publier chaque année dans leur budget une série de ratios (dépenses réelles de fonctionnement par habitant, encours de la dette par habitant, produit des impositions directes par habitant etc.) afin d’éclairer au mieux le choix des citoyens.
Le principal objet de ces données étant de permettre d’établir des comparaisons entre les villes, elles doivent donc être calculés exactement de la même façon dans toutes les communes.
Voilà pourquoi l’article R.2313-2 du code des collectivités locales précise que la population à prendre en compte pour faire les divisions est la « population totale, municipale et comptée à part, telle qu’elle résulte du dernier recensement connu à la date de production des documents budgétaires ».
Et il n’y a d’ailleurs rien là de bien compliqué, « Lyne-sait-tout » publie tous les ans ce chiffre pour chacune des 35.000 communes et quelques, qu’il suffit de le recopier. Sauf à « Paris-sur-la-plage » : Au moment de l’établissement de son budget 2020, la population légale de la capitale était de 2.210.875 habitants.
Or, au lieu de retenir ce chiffre, les argentiers de « Sœur-Âne » l’ont discrètement remplacé par la « population DGF », une autre donnée qui sert, elle, de référence au calcul de la dotation de l’État, et qui est nettement plus élevée (2.323.526) puisqu’elle englobe les 112.651 résidences secondaires de la capitale.
 
Cet audacieux coup de pouce présente un double avantage : D’abord, il lui permet de faire disparaître l’un des stigmates les plus embarrassants de sa gestion municipale à savoir la dépopulation.
Sale, thrombosée par un plan de circulation démoniaque, plus du tout adaptée aux familles, et de surcroît de moins en moins sûre, ma « ville-lumière », qui se repeuplait avant son arrivée, a perdu 70.000 habitants depuis sa prise de fonction. Et ce petit tripatouillage permet opportunément d’effacer l’hémorragie.
Mais il est surtout très utile pour maquiller la situation financière de la ville.
En augmentant le dénominateur (la population), l’astuce ramène nos fameux ratios à des proportions plus acceptables, et permet de gagner de précieux rangs chaque fois que la presse établit des comparaisons avec les autres grandes villes.
 
Les dépenses de fonctionnement par habitant, par exemple, passent ainsi de 3.634 à 3.456 euros, et les recettes, constituées essentiellement d’impôts, de 3.894 à 3.706 euros.
Quant à l’endettement, la double moulinette auquel la maire l’a fait passer (sur l’encours de la dette et sur la population) l’a fait rétrécir au lavage dans des proportions ubuesques : Dans son budget officiel, la mairie l’annonce à 2.465 euros par habitant alors qu’il dépasse en réalité 3.107 euros, l’un des pires chiffres de nos grandes villes !
Et à noter que ce tour de passe-passe permet à « Sœur-Âne » d’afficher une… diminution de l’ardoise par habitant par rapport à l’année précédente, alors que la capitale n’a cessé de s’endetter pendant la période.
Magnifique !
 
Et puis il nous faut parler d’Autolib’ et de Vélib’.
Un gouffre.
Les élus franciliens ont voté la résiliation du contrat de gestion des voitures électriques par le groupe « Beau-L’Orée ».
On savait le service déficitaire. On a découvert que c’était un gouffre. Selon les prévisions de l’exploitant, le déficit cumulé aurait dû atteindre 294 millions d’ici 2023. Devant un tel risque, « Sœur-Âne » avait décidé d’arrêter les frais : À sa demande, le conseil du Syndicat Autolib’ Vélib’ Métropole (SVAM) a résilié le contrat avec le groupe du milliardaire.
Sauf que la facture de cette rupture sera très douloureuse pour le Kontribuable.
Mais ça, c’était prévisible dès le démarrage, d’autant que le choix technologique était particulièrement désastreux (et que les puces de lit étaient nombreuses dans ces voitures-là).
Personne ne peut dire quand prendra fin cet accident industriel et à quel prix. Le contrat prévoit une pénalité de 1 million d’euros par mois de retard. Mais pas un euro n’a été versé. Les poids lourds derrière Smovengo, à savoir Mobivia (Norauto, Midas, le dieu de l’antiquité qu’elle ne connaît pas pour transformer l’or en plomb…) et Indigo (ex-Vinci Park), sont décidés à négocier ferme.
 
Mais il n’y a pas que le « fiascolib’ ». Depuis le 1er janvier, 1.630 mobiliers urbains destinés à la publicité n’affichent plus rien. Et JCDecaux, leur exploitant historique, a même dû se résoudre à tous les démonter avant la mi-juin. C’est la conséquence de deux contrats annulés en 2017 par la justice.
La ville n’aurait pas fait jouer la concurrence. Plus navrant, son appel d’offres autorisait 15 % d’écrans numériques, alors même que le règlement local de publicité les interdit. On en est là, avec un manque à gagner de 24 à 30 millions d’euros par an.
Je ne vous cause même pas non plus de la légalité des arrêtés de piétonnisation des voies sur berge rive droâte.
Si le coût de cette histoire reste à établir (les aménagements prévus sont chiffrés à 5,5 millions d’euros), on pressent que la facture sera énorme sur les autres dossiers où des textes mal ficelés ont conduit « Sœur-Âne » dans le mur.
 
Quoi d’autre ? Ah oui, la privatisation des PV de stationnement, renommés FPS. L’adjoint chargé des transports, « Chrichri-Nage-au-ski » (ex-élu « petite-enfance », prof d’économie publique dans un bahut de ZEP, écololo de naissance), s’est félicité d’un doublement des recettes de janvier – mais quand l’amende passe de 17 à 35 ou 50 euros, ce n’est pas un exploit : C’est un « écololo-punitif »…
Il faut déduire de ce bilan flatteur les 5.000 FPS dressés indûment, le comportement étrange de verbalisateurs non assermentés et l’enquête ouverte par le parquet de Paris pour faux et escroquerie à l’encontre de Streeteo, l’un des deux prestataires.
 
Même piéton, le contribuable va passer à la caisse…
La note d’Autolib’ : 117 millions d’euros
Les voies sur berge : 0 à 5,5 millions d’euros
L’appel d’offres raté des Abribus : 24 à 30 millions d’euros
Le fiasco du nouveau Vélib’ : Pas encore chiffré
Les bugs de Streeteo : Pas encore chiffré…
 
Pensez bien que je peux l’avoir mauvaise, tellement je suis déçu, écorché à vif et sans anesthésie dans ma « fibre sociale » par tant d’incompétence crasse.
Et ça veut accueillir les JO dans la joie, la liesse et « la transparence » ?
Excusez du peu…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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