« Sœur-Âne » persiste à pourrir la vie des
Parigots
Et encore, si ce n’était qu’eux, on pourrait dire qu’ils
n’avaient qu’à pas voter pour elle : Ils étaient prévenus, que je sache.
Mais ce n’est pas le cas de tous les « Gauloisiens » qui viennent travailler ou visiter leur kapitale : Ils n’ont pas droit au chapitre !
Et encore, je crois que le pire, ce n’est pas tant une
question de coût. « Vivre » ou travailler voire « visiter »
Paris-sur-la-Seine, ça se mérite : Je peux vous le dire depuis que j’y
suis revenu après avoir fait un petit tour en Europe.
Il fallait bien que quelqu’un se montre présent auprès de ma « Môman » qui n’en demandait pas tant, mais tout de même…
Et elle, elle y a toujours habité durant sa vie d’adulte. Même sa scolarité aura été effectué à « Paris-sur-la-Plage ».
C’était pourtant une « chèvre corse », de celles des montagnes, non domesticable.
Enfin passons.
Le pire aura débuté avec « De-la-Nuée » et
cette idée de « démocratie-directe », où nous étions convoqués en
conseil de quartier « élargi » pour se prendre dans les narines la piqûre
de « monsieur le maire », la plupart du temps sur le ton haineux des
prédicateurs qui ne supportent pas d’être contredits et qui nous imposait « ses
plans » comme les seuls dignes d’être étudiés.
Le reste, forcément, c’était de la merde, puisque ça ne venait pas de lui…
D’ailleurs, s’il n’y avait eu que lui à se comporter de la sorte…
Mais non, ses adjoints étaient formatés de la même veine et je ne vous parle même pas de ses fonctionnaires territoriaux qui se comportaient comme des chiens de garde à aboyer plus fort que leur maître au moindre signal de « contrariété »…
Et puis, on est passé aux « budgets citoyens ».
Du fric pompé dans les poches des frocs des parigots dont la mairesse (« Sœur-Âne » soi-même pour la nommer) ne savait pas quoi faire.
Alors, un, elle ne pompe pas partout, mais seulement chez les « bourges-proprios », ceux qui possèdent une crotte habitable, à qui on leur demande d’être rançonnés pour parvenir en voiture jusqu’à chez eux, mais surtout, plus du tout à ceux qui y habitent, ses électeurs : La taxe d’habitation aura disparu au passage fiscal gauloisien.
Deux, mais là encore, pas disparu partout : J’ai appris comme ça que cet impôt, qui comme tous les autres ne devait pas augmenter d’un iota, à 60 % près en quelques années tout de même, est payé par les milliers de résidents secondaires, 134.000 logements dans la Kapitale selon « Lyne-sait-tout » (9,6 % du parc de logements privés), auxquels il faut ajouter près de 128.000 logements vacants (9,2 %), qui sont soumis à la taxe d’habitation comme à « Paris-sur-la-plage ».
Soit plus de 260.000 biens, comparés au 1,1 million de résidences principales.
Tous les ceux-ce qui habitent et travaillent en province mais qui louent un « baise-en-ville » pour éviter de payer une chambre d’hôtel et sa taxe de séjour quand ils sont en déplacement parisien pour leurs affaires et entreprises (avec des salariés qui en vivent)…
Une commodité coûtative.
Trois, elle reste incapable de prendre une décision : Je ne sais pas moâ, mais au lieu de planter des pots de fleur sur les trottoirs et en appeler pour ça aux citoyens, j’aurai rendu le pognon volé surnuméraire ou j’aurai fait une crèche ou des bancs publics en plus pour soulager les randonneurs… elle ne jure que par la consultation populaire.
Excusez-moâ, mais ça sert à quoi d’avoir des élus, au juste, dans ces conditions ?
Même son déplacement à Tahiti devient polémique (elle
n’a pas consulté le parigot ?), polémique qu’elle organise encore autour d’équipements
superfétatoires de « végétalisation » à outrance en vue des JO, alors
qu’on merde toujours sur les transports des sportifs et des supporters qu’on
espère tellement nombreux qu’il a été envisagé de couper des arbres sur le
champ de Mars pour y installer une vaste bagagerie (5 bâtiments).
Sa dernière lubie, après la votation autour des trottinettes électriques (7,46 % de votants), c’est de renouveler l’exploit démocratique sur la taxation des 900.000 SUV qui parcourent les rues de la Kapitale…
La fille patauge dans ses contradictions et en
désespoir de cause en appel au référendum… Et dès qu’elle est prise la main
dans le pot de confiture, elle invente un contre-feu pour se dédouaner et noyer
le poisson dans son verre d’eau.
À défaut de fournir des éléments concrets sur son déplacement en terre polynésienne, elle s’enfonce encore un peu plus pour mettre même ainsi en balance, lors du même conseil municipal de ce 14 novembre, le voyage à Auschwitz qu’elle effectue chaque année.
Dans son tableau des équivalences, un recueillement sur un lieu de souffrance vaut une tournée des atolls paradisiaques !
Et son empreinte carbone démesurée sera « rachetée » par la sanction des « non-résidents » venant en SUV dans ma ville !
Choquée par l’indécence de l’argumentation, « Rachi-dada-Mimi »
proposait un tee-shirt portant la mention « Hidalgo Tour ». Pour les élus d’opposition,
la pataugeoire est pleine et ils en ont quitté la salle du conseil.
Et d’avancer également que notre globe-trotteuse municipale s’est rendue à Bagdad, avec le pognon des parigots qui en gèlent les recettes de la taxe sur les transactions immobilières : Les candidats au financement de l’andalouse ne se bousculent plus.
On a ainsi appris qu’elle aura voyagé « à la demande du quai d'Orsay. » C’est forcément toujours aux mêmes qu’on demande de sauver le monde ! « Sœur-Âne » dut ainsi courir auprès des populations pour participer « à la paix et à la reconstruction de Bagdad ».
Durant cette opération, elle a soutenu « les femmes qui sont des femmes extrêmement incroyables qui sont en train de reconstruire l’Irak ». Pendant que leurs hommes sont au bistrot, probablement, remplissant leur ticket de PMU et jouant au foot, j’imagine !
Ça ressemble fortement à la « bravitude » de notre « Ségololo-nationale » en vadrouille sur la « Grande Muraille », en Chine…
D’autant que selon une source diplomatique, « le Quai d’Orsay n’a jamais confié de mission officielle à Anne Hidalgo » : Il ne manquerait plus que ça.
C’est qu’ils s’en méfient, tiens donc…
Durant cette grande tournée des popotes en difficulté,
la mère Teresa de l’hôtel de ville accompagna aussi la livraison « d’un
générateur pour aider la ville de Kiev à passer l’hiver ». Pendant que « Rachi-dada-Mimi »
passait son temps à lire les cartes postales envoyées de Bora-Bora, l’autrice
distribuait chaleur et réconfort aux quatre coins du monde : Il y en a qui
bossent avec mon pognon !
Afin de ne pas trop humilier les contestataires, elle aura passé sous silence sa dégustation de caviar iranien en signe de soutien aux femmes opprimées de ce pays et bien d’autres actions militantes, tel cet envoi d’une petite cuillère dans le Pas-de-Calais pour venir en aide aux populations sinistrées, peut-on supposer.
Bref, nonobstant mon propos, elle sait prendre des initiatives.
Alors pourquoi cette idée d’un référendum sur les SUV ?
La principauté autonome de « Paris-sainte-Sœur-Âne », autoproclamée est autophobique, ça, on le savait…
D’après les première données, la proposition de la Mairie de Paris toucherait près de 16 % des véhicules « d’Île-de-Gauloisie ».
Elle va en faire des heureux !
Sont concernés les voitures particulières essence, diesel ou hybride de plus de 1,6 tonne, mais aussi les électriques de plus de 2 tonnes. Mais si !
« Paris-sur-la-plage » suit donc l’exemple de « Lugdunum » qui alourdira à partir de 2024 le stationnement des gros modèles.
Ça va faire 892.336 heureux propriétaires de 4x4 de plus qui vont se faire racketter s’ils passent le périphérique.
Les arguties municipales sont déjà prêtes : « Accidentogènes,
lourds, encombrants et polluants, les véhicules SUV sont identifiés par de
multiples acteurs institutionnels comme une cause de nombreux problèmes au sein
de l’espace public », justifie la mairie dans un communiqué.
Et comme les « sport utility vehicles » ne répondent à aucune définition réglementaire, les fonctionnaires de la Mairie se sont alignés sur les autres réglementations existantes.
En l’occurrence, le malus au poids, durci cet automne par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances 2024. Celui-ci a abaissé le tonnage du malus de 1,8 à 1,6 tonne pour les véhicules thermiques (avec une franchise de 200 kg pour les hybrides que ne retient pas « Sœur-Âne »).
Elle s’en fout : Sa Prius de « Toto-ya » est propriété de la ville (de moâ, quoi, avec tout ce que je paye depuis des années…)
Et comme le gouvernement n’est pas allé plus loin il est proposé aux Parigots, pénaliser les SUV électriques : Les équipes de l’adjoint aux Transports, ont donc dû innover en créant le seuil de 2 tonnes. Il est atteint ou dépassé par 18.982 SUV, soit 15,5 % du parc électrique de la région.
De la sorte, certains automobilistes passeront directement du parking gratuit au tarif de stationnement alourdi, car jusqu’à présent, les utilisateurs de voitures électriques, quels que soit leur poids et leur taille, bénéficiaient en effet de la gratuité du parking dans ma ville.
Notez que moâ aussi je stationne « gratuit » : J’ai une saloperie de bagnole à essence qui pollue ses 9 litres à l’heure à la vitesse d’un escargot en ville en remplacement de mon « tas-de-boue-à-roulettes-diesel » (qui roule toujours : Je reçois encore des PV, que la préfecture ne sait pas mettre à jour ses fichiers), et je me suis payé un parking « à vie » et même au-delà…
Un SUV mérite-t-il de payer plus cher le droit de
stationner à « Paris-sur-la-Seine » ? Telle est la question à
laquelle les Parigots seront donc invités à répondre le 4 février 2024.
Ah tiens : Mon anniversaire tombe un dimanche, l’année prochaine !!!
Une occasion de faire une dernière fête avec « ma nichée ».
La mairesse souhaite augmenter de manière « très significative des tarifs de stationnement non résidentiel des SUV et des 4x4 », (elle cherche désespérément des sous) pour « permettre un meilleur partage de l’espace public au bénéfice des mobilités douces, des rues aux écoles et des piétons ».
C’est qu’un SUV, selon la mairie, « est un type de véhicule qui combine des caractéristiques d’une voiture de tourisme avec celles d’un véhicule utilitaire, souvent caractérisé par sa taille plus grande et son poids plus important : un SUV pèse 200 kg de plus qu’un véhicule standard, mesure 25 cm plus long et 10 cm plus large. »
Je ne sais pas, le mien ne pèse que 1,2 tonne, est plus petit que mon veaux-diesel, moins large mais un peu plus haut, avec un habitacle plus vivable pour mes longues jambes et un coffre plus petit, mais a l’avantage de passer partout en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » sans arracher le fond de caisse (et abîmer les « dos-d’Âne » posés par les mairies locales).
Alors quid de ce délire démagogique-là ? Le
groupe d’opposition « Changer Paris » estime, que par cette annonce,
« Anne Hidalgo fait diversion, comme à chaque fois quand elle est en
difficulté », selon des propos rapportés par l’AFP.
Ah ? Donc elle est en difficulté à se mêler de tout et de rien ?
Sur « Twister », le groupe affirme même que « pour faire oublier l’opacité et l’empreinte carbone désastreuse de son voyage à Tahiti », elle annonce « 3 mois à l’avance une votation sur les SUV ».
Et ça vise qui ?
Une simple « chasse aux banlieusards ! »
Ils sont priés de ne pas encombrer le peu des chaussées qui restent libres de circulation, de se déplacer exclusivement en transport en commun (ralentis par quantité de travaux et de panne) saturés tous les jours de la semaine et de rester chez eux quand on n’a pas besoin d’eux pour travailler…
L’idée est vraiment fumeuse et tuera la ville par asphyxie.
D’ailleurs, ça a déjà commencé depuis quelques années quand « Sœur-Âne » perd des habitants tous les jours, laisse fermer des commerces et veut transformer le centre-ville en un vaste barnum (cf. projets de zone commerciale sur l’île de la Cité, archi-classée et de réputation mondiale).
Il est temps que je rejoigne mes ancêtres au cimetière Montparnasse : Une ville si extraordinaire, laissée aux mains de « soces », c’est ahurissant de bêtise.
Ce monde n’est pas pour moâ, finalement
Merci à la « Panaf-à-roulette » et à « Sait-gain-le-bâfreur-de-pizza » qui ont vendu ma ville pour un plat de nouilles (qu’ils étaient) à « De-la-Nuée ».
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE
PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN
LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN
AGENT « NON RUSSE » !
Mais ce n’est pas le cas de tous les « Gauloisiens » qui viennent travailler ou visiter leur kapitale : Ils n’ont pas droit au chapitre !
Il fallait bien que quelqu’un se montre présent auprès de ma « Môman » qui n’en demandait pas tant, mais tout de même…
Et elle, elle y a toujours habité durant sa vie d’adulte. Même sa scolarité aura été effectué à « Paris-sur-la-Plage ».
C’était pourtant une « chèvre corse », de celles des montagnes, non domesticable.
Enfin passons.
Le reste, forcément, c’était de la merde, puisque ça ne venait pas de lui…
D’ailleurs, s’il n’y avait eu que lui à se comporter de la sorte…
Mais non, ses adjoints étaient formatés de la même veine et je ne vous parle même pas de ses fonctionnaires territoriaux qui se comportaient comme des chiens de garde à aboyer plus fort que leur maître au moindre signal de « contrariété »…
Du fric pompé dans les poches des frocs des parigots dont la mairesse (« Sœur-Âne » soi-même pour la nommer) ne savait pas quoi faire.
Alors, un, elle ne pompe pas partout, mais seulement chez les « bourges-proprios », ceux qui possèdent une crotte habitable, à qui on leur demande d’être rançonnés pour parvenir en voiture jusqu’à chez eux, mais surtout, plus du tout à ceux qui y habitent, ses électeurs : La taxe d’habitation aura disparu au passage fiscal gauloisien.
Deux, mais là encore, pas disparu partout : J’ai appris comme ça que cet impôt, qui comme tous les autres ne devait pas augmenter d’un iota, à 60 % près en quelques années tout de même, est payé par les milliers de résidents secondaires, 134.000 logements dans la Kapitale selon « Lyne-sait-tout » (9,6 % du parc de logements privés), auxquels il faut ajouter près de 128.000 logements vacants (9,2 %), qui sont soumis à la taxe d’habitation comme à « Paris-sur-la-plage ».
Soit plus de 260.000 biens, comparés au 1,1 million de résidences principales.
Tous les ceux-ce qui habitent et travaillent en province mais qui louent un « baise-en-ville » pour éviter de payer une chambre d’hôtel et sa taxe de séjour quand ils sont en déplacement parisien pour leurs affaires et entreprises (avec des salariés qui en vivent)…
Une commodité coûtative.
Trois, elle reste incapable de prendre une décision : Je ne sais pas moâ, mais au lieu de planter des pots de fleur sur les trottoirs et en appeler pour ça aux citoyens, j’aurai rendu le pognon volé surnuméraire ou j’aurai fait une crèche ou des bancs publics en plus pour soulager les randonneurs… elle ne jure que par la consultation populaire.
Excusez-moâ, mais ça sert à quoi d’avoir des élus, au juste, dans ces conditions ?
Sa dernière lubie, après la votation autour des trottinettes électriques (7,46 % de votants), c’est de renouveler l’exploit démocratique sur la taxation des 900.000 SUV qui parcourent les rues de la Kapitale…
À défaut de fournir des éléments concrets sur son déplacement en terre polynésienne, elle s’enfonce encore un peu plus pour mettre même ainsi en balance, lors du même conseil municipal de ce 14 novembre, le voyage à Auschwitz qu’elle effectue chaque année.
Dans son tableau des équivalences, un recueillement sur un lieu de souffrance vaut une tournée des atolls paradisiaques !
Et son empreinte carbone démesurée sera « rachetée » par la sanction des « non-résidents » venant en SUV dans ma ville !
Et d’avancer également que notre globe-trotteuse municipale s’est rendue à Bagdad, avec le pognon des parigots qui en gèlent les recettes de la taxe sur les transactions immobilières : Les candidats au financement de l’andalouse ne se bousculent plus.
On a ainsi appris qu’elle aura voyagé « à la demande du quai d'Orsay. » C’est forcément toujours aux mêmes qu’on demande de sauver le monde ! « Sœur-Âne » dut ainsi courir auprès des populations pour participer « à la paix et à la reconstruction de Bagdad ».
Durant cette opération, elle a soutenu « les femmes qui sont des femmes extrêmement incroyables qui sont en train de reconstruire l’Irak ». Pendant que leurs hommes sont au bistrot, probablement, remplissant leur ticket de PMU et jouant au foot, j’imagine !
Ça ressemble fortement à la « bravitude » de notre « Ségololo-nationale » en vadrouille sur la « Grande Muraille », en Chine…
D’autant que selon une source diplomatique, « le Quai d’Orsay n’a jamais confié de mission officielle à Anne Hidalgo » : Il ne manquerait plus que ça.
C’est qu’ils s’en méfient, tiens donc…
Afin de ne pas trop humilier les contestataires, elle aura passé sous silence sa dégustation de caviar iranien en signe de soutien aux femmes opprimées de ce pays et bien d’autres actions militantes, tel cet envoi d’une petite cuillère dans le Pas-de-Calais pour venir en aide aux populations sinistrées, peut-on supposer.
Bref, nonobstant mon propos, elle sait prendre des initiatives.
La principauté autonome de « Paris-sainte-Sœur-Âne », autoproclamée est autophobique, ça, on le savait…
D’après les première données, la proposition de la Mairie de Paris toucherait près de 16 % des véhicules « d’Île-de-Gauloisie ».
Elle va en faire des heureux !
Sont concernés les voitures particulières essence, diesel ou hybride de plus de 1,6 tonne, mais aussi les électriques de plus de 2 tonnes. Mais si !
« Paris-sur-la-plage » suit donc l’exemple de « Lugdunum » qui alourdira à partir de 2024 le stationnement des gros modèles.
Ça va faire 892.336 heureux propriétaires de 4x4 de plus qui vont se faire racketter s’ils passent le périphérique.
Et comme les « sport utility vehicles » ne répondent à aucune définition réglementaire, les fonctionnaires de la Mairie se sont alignés sur les autres réglementations existantes.
En l’occurrence, le malus au poids, durci cet automne par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances 2024. Celui-ci a abaissé le tonnage du malus de 1,8 à 1,6 tonne pour les véhicules thermiques (avec une franchise de 200 kg pour les hybrides que ne retient pas « Sœur-Âne »).
Elle s’en fout : Sa Prius de « Toto-ya » est propriété de la ville (de moâ, quoi, avec tout ce que je paye depuis des années…)
Et comme le gouvernement n’est pas allé plus loin il est proposé aux Parigots, pénaliser les SUV électriques : Les équipes de l’adjoint aux Transports, ont donc dû innover en créant le seuil de 2 tonnes. Il est atteint ou dépassé par 18.982 SUV, soit 15,5 % du parc électrique de la région.
De la sorte, certains automobilistes passeront directement du parking gratuit au tarif de stationnement alourdi, car jusqu’à présent, les utilisateurs de voitures électriques, quels que soit leur poids et leur taille, bénéficiaient en effet de la gratuité du parking dans ma ville.
Notez que moâ aussi je stationne « gratuit » : J’ai une saloperie de bagnole à essence qui pollue ses 9 litres à l’heure à la vitesse d’un escargot en ville en remplacement de mon « tas-de-boue-à-roulettes-diesel » (qui roule toujours : Je reçois encore des PV, que la préfecture ne sait pas mettre à jour ses fichiers), et je me suis payé un parking « à vie » et même au-delà…
Ah tiens : Mon anniversaire tombe un dimanche, l’année prochaine !!!
Une occasion de faire une dernière fête avec « ma nichée ».
La mairesse souhaite augmenter de manière « très significative des tarifs de stationnement non résidentiel des SUV et des 4x4 », (elle cherche désespérément des sous) pour « permettre un meilleur partage de l’espace public au bénéfice des mobilités douces, des rues aux écoles et des piétons ».
C’est qu’un SUV, selon la mairie, « est un type de véhicule qui combine des caractéristiques d’une voiture de tourisme avec celles d’un véhicule utilitaire, souvent caractérisé par sa taille plus grande et son poids plus important : un SUV pèse 200 kg de plus qu’un véhicule standard, mesure 25 cm plus long et 10 cm plus large. »
Je ne sais pas, le mien ne pèse que 1,2 tonne, est plus petit que mon veaux-diesel, moins large mais un peu plus haut, avec un habitacle plus vivable pour mes longues jambes et un coffre plus petit, mais a l’avantage de passer partout en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » sans arracher le fond de caisse (et abîmer les « dos-d’Âne » posés par les mairies locales).
Ah ? Donc elle est en difficulté à se mêler de tout et de rien ?
Sur « Twister », le groupe affirme même que « pour faire oublier l’opacité et l’empreinte carbone désastreuse de son voyage à Tahiti », elle annonce « 3 mois à l’avance une votation sur les SUV ».
Et ça vise qui ?
Une simple « chasse aux banlieusards ! »
Ils sont priés de ne pas encombrer le peu des chaussées qui restent libres de circulation, de se déplacer exclusivement en transport en commun (ralentis par quantité de travaux et de panne) saturés tous les jours de la semaine et de rester chez eux quand on n’a pas besoin d’eux pour travailler…
D’ailleurs, ça a déjà commencé depuis quelques années quand « Sœur-Âne » perd des habitants tous les jours, laisse fermer des commerces et veut transformer le centre-ville en un vaste barnum (cf. projets de zone commerciale sur l’île de la Cité, archi-classée et de réputation mondiale).
Il est temps que je rejoigne mes ancêtres au cimetière Montparnasse : Une ville si extraordinaire, laissée aux mains de « soces », c’est ahurissant de bêtise.
Ce monde n’est pas pour moâ, finalement
Merci à la « Panaf-à-roulette » et à « Sait-gain-le-bâfreur-de-pizza » qui ont vendu ma ville pour un plat de nouilles (qu’ils étaient) à « De-la-Nuée ».
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