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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 novembre 2023

Dumè nous en rapporte une excellente.

Il était descendu à Erbalunga visiter sa sœur.
 
Et il en a profité pour arroser des retrouvailles avec quelques-uns de ses amis bastiais. 
Il raconte :
« Nous le savons tous, on risque de plus en plus gros si on se fait contrôler positivement en rentrant chez soi après une soirée arrosée. »
(Surtout lui, venu également faire un stage de récupération de points, son permis étant resté à la brigade de gendarmerie de Calvi).
« Eh bien, hier, j'ai passé une agréable soirée sur Bastia chez des amis et comme d’hab : Apéro, très bons vins et un petit pouss’café pour terminer en beauté.
Au moment de partir, bien que je me sentisse parfaitement bien, j’ai eu l’intelligence de prendre un bus pour rentrer chez moi.
Heureusement d’ailleurs, car sur la route pour rentrer chez ma sœur il y avait des policiers qui filtraient les véhicules et faisaient souffler les conducteurs dans le ballon.
Mais, voyant un bus, ils ont fait signe de passer et je suis arrivé chez ma sœur sans incident.
C’était vraiment une surprise, car je n’avais jamais conduit de bus auparavant, d’ailleurs, je ne me souviens plus où je l’ai pris, et maintenant il est devant la porte de chez ma sœur et je ne sais plus quoi en faire.
Si ça intéresse quelqu'un, je lui donne les clés ! »
 
Germaine et Marie-Chantal papotent chiffon devant un thé.
« Tu sais, ils ont tous une bite
Trouve-toi plutôt un homme qui ait des couilles ! »
 
Plus tard :
« ― J’ai demandé à mon fils ce qu’il préférait à l’école. Tu sais ce qu’il m’a répondu ?
― Non, comment veux-tu que je sache, chérie : Je n’y étais pas…
― Il m’a répondu mater des seins.
― Mais c’est très bien ça !
― Ah non : J’ai mis du temps à comprendre ! »
 
Marie-Chantal raconte que son fils lui a posé une question :
« Dis maman, tu voulais avoir une fille ou un garçon ? »
Elle lui aura répondu :
« À la base je voulais voir un film. »
 
Jean-Marc à Germaine :
« ― C’est quand la dernière fois que tu as pris ton pied ?
― Hier soir, pour me couper les ongles ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul se retrouve au café chacun devant une bière.
« ― Alors, ta femme est toujours aussi dépensière ?
― Épouvantable. Pour essayer de la convaincre, je lui ai acheté un livre sur la gestion du budget familial.
― Bon, ça !
― Ben elle m’a interdit de fumer, elle a annulé mon abonnement au club de golf, et elle a vendu notre hors-bord. »
 
Deux routiers arrivent, avec leur trente-cinq tonnes, à l’entrée d’un tunnel de montagne devant lequel est planté un grand panneau :
HAUTEUR MAXIMUM : 4 MÈTRES
« ― Dis-moi », fait le premier, « le camion je crois bien qu’il fait quatre mètres 10…
― Je vais descendre voir », répond l’autre.
Une minute après il remonte dans la cabine :
« Tu peux y aller, il n’y a pas de flic ! »
C’est une « revenue » : À l’origine il s’agissait d’une blague Ummo, arrêté devant l’ouverture d’un « tunnel de Idrss » rapportée par des Kameulfs.
 
Jean-Marc rapporte un information collectée dans une revue : Il paraît qu’au Canada, il y a une cinquantaine d’années, et plus, les partis politiques achetaient les votes en donnant des frigidaires, des emplois, des billets d’autobus.
Aujourd’hui, au Nigeria, des hommes politiques auraient acheté des votes aux élections avec du … viagra, dénonce l’opposition du pays.
Pas beaucoup.
À petites doses !
« Votez pour moi et vous banderez toujours ! »
 
Au restaurant, le garçon récapitule :
« Nous disions donc : Crème de champignons, pâté en croûte, homard, foie gras…
Et avec ça qu’est-ce que monsieur prendra ? »
Alors, Germaine réplique :
« Du ventre, certainement. »
 
Les anthropologues ont démontré depuis longtemps que c’est généralement la femme qui se hasarde au premier contact physique en effleurant du bout des doigts le bras, l’avant-bras ou le dessus des mains du soupirant.
Elle le fait d’une façon la plus fortuite et « naïve » possible, mais, ne soyez pas dupe, elle le fait, la plupart du temps, de façon préméditée et calculée.
C’est une manière de vous dire : « Vous m’intéressez, Monsieur, continuez de me séduire ».
C’est là que votre test commence.
« Chez moi, elles me balancent leur poitrine… » indique Jean-Paul.
« Moi, je fais comme « Trompe » : Je saisis leur chatte, juste pour voir si elles se défendent… » précise Jean-Marc.
 
Dans le cadre des « revenues » :
Germaine et Marie Chantal se rencontrent après plusieurs années et décident de prendre un thé hebdomadaire ensemble depuis désormais.
À leur première rencontre :
« Moi, mon mari est un ange » dit Marie-Chantal.
« Tu es chanceuse, le mien vit encore » lui répond Germaine.
 
Ce sont deux nains originaires de Bretagne qui se rencontrent sur la Place St-Pierre à Rome.
« ― Henri-Jean !
― Jean-Pierre !
― Ça fait une éternité qu’on s’est vu !
― Ben oui, au moins 15 ans.
― Oui, c’est à peu près ça. Qu’est-que tu fais ici ?
― Les vacances…
― Moi aussi. C’est incroyable comme le monde est petit ! »
 
Jean-Marc dit à sa femme :
« Tous les matins, quand je me rase, j’ai l’impression de rajeunir de vingt ans ! »
Alors, madame rétorque :
« Rase-toi le soir, mon chéri ! »
 
Une dame vient de mourir et aujourd’hui, c’est son enterrement. Après la cérémonie religieuse, les employés du service de pompes funèbres transportent le cercueil hors de l’église jusqu’au corbillard.
Mais à la sortie, les porteurs évaluent mal la trajectoire et heurtent le mur de l’église avec le cercueil. Celui-ci tombe violemment sur le sol, provoquant une stupéfaction générale. Et dans la confusion qui s’en suit, l’un des croque-morts entend un gémissement plaintif qui semble venir du cercueil.
On décide donc de l’ouvrir et on découvre que la femme est encore bel et bien vivante. Elle vit d’ailleurs une bonne dizaine d’années et meurt.
Une nouvelle cérémonie est donc organisée à la même église. Et au moment où les employés des pompes funèbres transportent le cercueil hors de l’église, ils entendent le veuf hurler en paniquant :
« Faites attention à ce foutu mur ! »
 
La veille d’un examen final de physique, 2 amis se rendent à une soirée bien arrosée et se réveillent en retard.
Et, bien sûr, ils avaient très peu étudié.
L’un d’eux eut une idée pas bête. Il alla voir le professeur et lui expliqua qu’ils avaient été visiter une vieille tante à l’extérieur de la ville et avaient décidé de dormir là, ils se lèveraient tôt pour venir faire leur examen.
Mais voilà, ils eurent une crevaison, d’où leur retard.
Comme c’étaient de bons étudiants, le professeur leur dit qu’ils pourraient faire un examen demain matin.
Le lendemain, le prof de physique fit asseoir les 2 étudiants dans deux salles différentes. L’examen ne comportait qu’une question de 100 points :
« Quelle roue ? »
 
C’est l’histoire d’une charmante et belle à tomber par terre avec des pare-chocs à la Mae West qui vient consulter le médecin :
« Docteur, j’ai un très très gros problème de mémoire… Je ne parviens pas à me rappeler de ce que j’ai fait au-delà de cinq minutes ! »
Le docteur prend un air sérieux et lui dit d’un ton autoritaire :
« Eh bien… Veuillez retirer tous vos vêtements et vous coucher sur la table d’examen mademoiselle… »
 
Deux copains au bar…
« ― Dis-moi Jean-Paul, ça fait bien 20 ans qu’on se connaît, t’as eu des filles comme ça et tu ne t’es pas marié. Jamais. C’est quoi ton problème ?
― Ben je vais te dire… Moi je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
― Hé ! Raconte-moi une autre histoire.
― Je te dis, je cherche une femme qui fait la cuisine comme ma mère.
― Viens pas me dire que tu n’as rien trouvé ?
― Qui font la cuisine comme ma mère ?
― Ouais…
― Oui, des tas, sauf que chaque fois que j’en ai trouvé une, elles voulaient faire chambre à part. Comme ma mère ! »
 
Toujours une « revenue », mais très ancienne, celle-là :
Des dizaines de personnes se bousculent au coin d’une rue.
Et plus le temps passe, plus l’attroupement prend de l’ampleur.
Un policier approche, fend la foule et voit deux gars couchés par terre, l’oreille collée au sol.
« ― Alors ? » demande le policier. « Vous entendez quelque chose ?
― Non », répond un des deux gars.
« ― Et c’est justement ce qui nous embête » ajoute l’autre. « Ça fait une heure qu’on est ici et on n’entend rien. 
― Mais vous pensez entendre quoi au juste ?
― Nous ? Ben on ne le sait pas. »
 
« ― Comme ça tu a pris une maîtresse », lance Germaine en hurlant à son mari qui vient d’entrer aux petites heures du matin. « Comme ça tu en as assez de moi ?
― Non. Justement, je n’en ai pas assez ! »
 
Nos deux compères, Jean-Marc et Jean-Paul, deux vieux amis complètement saouls, se racontent des histoires depuis des heures.
Soudain, Jean-Paul éclate en sanglots…
« ― Je dois t’avouer une chose terrible. Il faut que je te le dise. Je l’ai sur le cœur depuis des années.
― Bof. Vas-y, on est des amis.
― Ben, ta femme…
― Quoi…
― Ta femme, je couchais avec elle quand tu travaillais à Bordeaux.
― Ah ?
― C’est tout ce que ça te fait.
― Ben oui. Moi je couchais avec la tienne la veille de ton mariage. »
 
Marie-Chantal explique à Germaine qu’hier, elle a raconté à son petit-fils les grands changements depuis qu’elle, sa grand-mère, j'étais un enfant.
« Regarde, quand j’étais enfant comme tu l’es maintenant, ma maman m’envoyait à l’épicerie du coin avec 5 francs, ce qui représente aujourd’hui 76 centimes d’euro, pour faire les courses.
Et je revenais à la maison avec une plaquette de beurre, un litre de lait, un sac de patates, un morceau de fromage, un paquet de sucre, une baguette et une douzaine d’œufs !
Et mon petit-fils m’a répondu : Mamy, à ton époque il n’y avait pas de caméras de surveillance ! »
 
Scène de ménage :
« ― Tu m’énerves avec ta façon de toujours répondre à mes questions par une question », dit Jean-Marc à sa femme.
« ― Ah oui. Comment ça ? »
 
C’est l’histoire des deux ados, flambant nus, qui fument un joint assis près d’une fontaine.
La police les arrête.
Les policiers leur donnent le droit de faire un appel, sur leur cellulaire, puis ils les embarquent.
Au bout d’une demi-heure, au poste de police, un gars arrive.
« ― Vous êtes sans doute l’avocat des p’tits ?
― Non, j’apporte leur pizza royale. »
 
Un kangourou ne cesse de s’échapper de son enclos au zoo.
Les gardiens, sachant que ces bestiaux peuvent sauter très haut, élèvent une barrière de 3 mètres de hauteur.
Le lendemain matin, ils le retrouvent rodant autour du zoo.
Ils élèvent alors une barrière de 5 mètres.
Le kangourou s’échappe encore.
Quand la barrière atteint les 10 mètres, quelques jours plus tard, un chameau de l’enclos d’à côté demande au kangourou :
« ― Jusqu’à quelle hauteur crois-tu qu’ils vont aller ?
― Jusqu’à un kilomètre, à moins que quelqu’un ne ferme la porte à clé ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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