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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 novembre 2023

Jean-Marc et Jean-Paul

S’attablent dans un café…
 
Une serveuse s’approche et leur demande :
« ― Que puis-je vous servir, Messieurs !
― Tequila !
― Je suis la serveuse, Monsieur… »
 
C’est l’histoire di prêcheur islamique Zakir Naik qui est monté dans un taxi à Londres et a dit à haute voix au chauffeur de taxi :
« Frère, stp éteins la radio, car comme le Saint Coran l’ordonne, je n’ai pas le droit d’écouter de la musique, car au temps du Prophète il n’y avait pas de musique, surtout la musique occidentale, qui est la musique des mécréants. »
Le chauffeur de taxi a poliment éteint la radio, a arrêté le taxi et a ouvert la porte.
Zakir lui demanda :
« Qu’est-ce que tu fais frère… »
Le chauffeur de taxi a répondu poliment :
« À l'ère du Prophète :
Il n’y avait pas de taxi.
Il n’y avait pas de bombes.
Il n’y avait pas de raccourcis.
Il n’y avait pas de haut-parleurs dans les mosquées pour réveiller les nouveau-nés, les personnes âgées et les malades à des heures étranges.
Il n’y a pas eu dattentats suicide.
Il n’y avait pas d’AK 47.
Il y avait la paix partout…
Alors ferme-la, sors et attends un chameau… »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« Comment cuire des carottes sans feu ?
Tu en mets neuf dans une casserole et tu en retires une : Les carottes sont qu’huit ! »
 
Germaine à Jean-Marc :
« ― Si tu insistes tant que ça, on va faire l’amour en position carte de crédit.
― C’est quoi ça ?
― C’est sans contact. »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« ― C’est quoi un franc-maçon ?
― C’est un sectaire qui fait des planches en douce dans un temple.
― Non, c’est un gars qui te construit un mur et qui te dit clairement que le chantier aura du retard. »
 
Jean-Marc à Germaine :
« ― On pourrait essayer la Grèce pour notre anniversaire de mariage…
― Je préférerai la vaseline… »
 
Germaine et Marie-Chantal :
« ― Mon gynécologue m’a reconnue hier après-midi à l’épicerie…
― Tu devrais porter des jupes plus longues. »
 
Dumè :
« Quand je passe en voiture au village, je klaxonne un petit coup : Ça donne trois heures de conversation aux petits vieux… »
 
« ― Maman, je crois que ma sœur fume
― Tu l’as vu faire ?
― Non mais j’ai vu un sms de son copain la remerciant pour la pipe. »
 
Jean-Paul se présente à la réception de l’auberge.
« ― Je veux une chambre pour ma femme et moi.
― Avec vue sur le lac ? » demande la réceptionniste.
Jean-Paul se retourne vers la jeune femme et demande…
« ― Tu veux une vue sur le lac, chérie ?
― Oh oui monsieur ! »
 
C’est l’histoire de la patiente qui arrive avec cinq minutes de retard.
« ― Excusez-moi, le trafic était très dense.
― Il était temps que vous arriviez car j’allais commencer sans vous. »
 
Encore une revenue (de loin) :
Dans un train, le contrôleur dit à une vieille dame :
« ― Votre billet est pour Bordeaux. Or ce train va à Nantes.
― Ça c’est ennuyeux », rumine la voyageuse.
« Et ça arrive souvent au chauffeur de se tromper comme çà ? »
 
Jean-Marc marche dans la rue, lorsqu’il entend un cri derrière lui :
« STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ PRENDRE UNE BRIQUE SUR LA TÊTE ! »
Jean-Marc s’arrête et au même moment, une brique qui s’était détachée d’un immeuble lui passe devant le nez.
Jean-Marc se retourne, personne …
Un peu plus tard, alors qu’il veut traverser la rue, il entend encore :
« STOP ! ARRÊTEZ SINON VOUS ALLEZ VOUS FAIRE RENVERSER ! »
Jean-Marc, par réflexe s’arrête, laisse passer une voiture et comme il ne voit personne derrière lui, il demande tout haut :
« ― Mais qui êtes-vous ?
― Je suis votre ange gardien.
― Ah ouais ?! Et où étais-tu quand je me suis marié alors ? »
 
C’est l’histoire des trois ingénieurs qui font une balade en voiture :
Il y a un électricien, un chimiste et un programmeur de chez Microsoft.
Ils devisent joyeusement, lorsque leur voiture tombe en panne.
Ne connaissant rien à la mécanique, chacun y va de son commentaire.
L'électricien pense que ce doit être un problème électrique et qu’il serait bon de vérifier les contacts.
Le chimiste suggère que l’essence s’est peut-être émulsifiée et qu’il faudrait sûrement vidanger et purger
L’ingénieur Microsoft, qui ne connaît rien à rien propose :
« Nous allons fermer les fenêtres, sortir, rentrer, ouvrir les fenêtres et probablement que ça marchera !… »
 
C’est monsieur David sort de chez lui et se rend à sa banque tenue par monsieur Simon.
« ― Bonjour monsieur Simon, je viens pour effectuer un retrait de 10.000 euros.
― Oh monsieur David, vous êtes sûr de vouloir 10.000 euros ?
― Eh comme on dit au pays quand tu as besoin, tu vas chercher !
― Eh, 10.000 euros c’est de l’argent.
― Eh c’est le mien !
― Bon je vous donne 10.000 euros. »
2 minutes plus tard monsieur Simon arrive avec les 10.000 euros et présente une feuille de retrait pour une signature.
« Voilà vos 10.000 euros. »
Monsieur Simon compte une fois, puis s’interroge, compte une 2ème fois, devient perplexe et recompte une 3ème fois.
Surpris le banquier lui demande :
« ― Alors monsieur David, il y a un problème ?
― Non pas de problèmes !
― Sûr il y a bien le compte ?
― Eh oui bien sûr, mais juste juste !! »
 
Jean-Marc informe Jean-Paul devant une bière :
« Le viagra est maintenant disponible en poudre pour le thé ou café.
Il n’augmente pas votre performance sexuelle mais il empêche vos biscuits de devenir mous… »
 
C’est l’histoire d’Ernesto, entrepreneur en bâtiment qui arrive le matin et dit à son ouvrier pendant qu’il manœuvre son camion :
« Descend et va dire à la religieuse que nous sommes arrivés pour réparer son mur. »
L’ouvrier portugais sonne à la porte et dit à la religieuse :
« Zé viens faire la mour. »
La sœur, furieuse :
« Ça va pas, non ! Malotru ! »
Et, elle lui claque la porte au nez.
L’ouvrier portugais revient vers Ernesto :
« ― Elle veut pas !
― Comment ça, elle veut pas ? Qu’est-ce que tu lui as dit ?
― Z’ai dit, zé viens faire la mour.
― Ouais, et qu’est-ce qu’elle t’a répondu ?
― Elle a dit non mal au trou ! »
 
La tête sous le capot, le mécanicien dit à Jean-Marc :
« ― Si je vous disais qu’il faut changer le moteur, auriez-vous assez d’argent ?
― Si je vous répondais que je n’ai pas assez d’argent, faudrait-il encore changer le moteur au complet ? »
 
C’est l’histoire d’un p’tit gars qui se réveille pendant la nuit.
Il entend du bruit dans la chambre de ses parents.
Le matin, il demande à sa maman :
« ― Maman, la nuit dernière, j’ai entendu du bruit dans votre chambre. Je me suis levé pour voir ce que vous faisiez. Je t’ai vu en train de rebondir sur papa ?
― Oh… eh bien…ah… en fait, je rebondissais sur l’estomac de papa, parce que tu sais, papa a un gros ventre, et comme ça, j’arrive à aplatir le ventre à papa.
― Eh ben, ça ne pourra jamais marcher votre affaire !
― Comment ça ?
― Parce que la voisine qui vieny après ton départ passe son temps à regonfler le ventre de papa. »
C’était une revenue qui date…
 
Jean-Paul chez son toubib :
« ― Docteur, j’ai besoin d’aide.
― Allez-y : Dites moâ votre problème.
― Bien, j’ai les photos des plus belles femmes du monde épinglées au plafond de ma chambre.
― Et alors…
― Je m’en prive toujours !
― Et pourquoi ?
― Je dors sur le ventre. »
 
Jean-Marc, après une fellation réalisée par sa secrétaire :
« Alors, contente ? C’était bon ? »
 
Germaine et Marie-Chantal devant leur thé
« ― Sais-tu pourquoi les hommes ont le cerveau de la grosseur d’un pois, chérie ?
― Parce qu’il est enflé ! »
 
C’est l’histoire d’un touriste breton dont la voiture est immatriculée 22 (Côte d’Armor) qui est en vacances à Marseille.
Il descend le Boulevard d’Athènes pour se rendre sur le Vieux Port.
Il est 14 heures et comme d’habitude, c’est le grand embouteillage.
Devant la voiture du breton se trouve celle d’un papi marseillais immatriculé 13 (Bouches du Rhône).
Ledit papi change de file en permanence, un coup à droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi de suite.
Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le dépasser.
Arrivé à la hauteur du papi, il se penche vers sa fenêtre de droite et hurle : « Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans arrêt ! On roule à droite un point c’est tout ! »
Le brave papi, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le breton d’un air complètement étonné et lui répond : « Oh fada ! Ici on est à Marseille ! On roule ni à droite ni à gauche ! »
Le conducteur breton n’en croit pas ses oreilles et enchaîne : « Ah bon ! Et vous roulez où à Marseille ? »
Le papi lui rétorque alors : « Eh, comme d’habitude couillon, on roule à l’ombre ! »
 
Jean-Marc entre dans le confessionnal d’une petite église paroissiale dans la région de Naples, en Italie.
« ― Mon Père, j’ai surpris ma femme en pleine liaison avec un autre homme.
― Hum… hum… Et puis… ?
― Bien voilà, j’ai donné une raclée à ma femme. Et j’ai aussi l’intention de donner une raclée à l’homme qui couche avec elle.
― Mon fils, il faut pardonner, et refuser la violence. Le Seigneur… »
Jean-Marc sort alors prestement du confessionnal, ouvre la porte du poste où se trouve le curé, le prend par la gorge, et lui donne toute une volée : Le curé couchait avec Germaine depuis deux ans !
Vœu de célibat n’est pas vœu d’abstinence…
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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