C’est dingue, ils ne savent plus quoi inventer !
Mais dans quel but ? Quel est l’objectif poursuivi par la
« presse aux ordres » à travers les divers des « torchons »
gauloisiens qui répliquent sans la moindre recherche ce que les trolls
pro-russes, qui manipulent jusqu’aux meilleurs, leur mettent à ronger.
Attendez du peu qu’on nous sert depuis un an sur l’affaire des Nord-Stream sabotés et vous me direz de quoi il retourne pour de vrai.
Car après avoir expressément et clairement accusé les USA au tout début,
avec la complicité des anglais, puis les anglais avec la complicité des
norvégiens, ils nous ont servis sans broncher la version Ukrainienne du
commando des faux-passeports (qui prouvent n’importe quoi et pas même la
nationalité de leurs détenteurs) sur un voilier de plaisance qui pose des
explosifs par 80 mètres de fond sans équipement particulier, notamment de
positionnement, mais avec des traces d’un explosif dont on se sert seulement
pour faire des amorces de cartouche de fusil.
Pas très dangereux, quoi…
Comme si c’était crédible de pouvoir descendre des charges au mètre près dans ces conditions-là…
Mais c’était un prix Pulitzer qui l’affirmait, alors hein, ça ne se discute pas.
Le même qui accusait les « ricains », naturellement…
Comme quoi, il s’est fait enfler au moins une fois et nous aura carabistouillé au moins une fois : Pourquoi pas deux tant qu’on y est, du moment qu’on avale tout ce qu’il raconte (et se laisse raconter de sources sûres mais invérifiables), sans même vérifier voire enquêter soi-même ?
Car désormais, de nouvelles révélations dans cette affaire de sabotage de
septembre 2022, viennent conforter l’hypothèse d’une implication ukrainienne.
Le « cerveau » de l’opération serait ainsi un agent secret controversé.
La blague !!!
Et « Libé » (ce torchon) de nous affirmer droit dans ses
bottes que « même si Kiev continue à nier toute implication, il ne fait
guère de doute que les services ukrainiens de renseignement jouent un rôle très
particulier dans cette guerre contre la Russie ».
Est-ce une tautologie ou une révélation d’origine divine ?
Décidément, ceux-là ne relèvent toujours pas le niveau du journalisme de mon pays que c’en est dramatique…
Après plus d’un an d’hypothèses à foison, l’énigme géopolitique du
sabotage des gazoducs Nord Stream aurait enfin trouvé son coupable : Roman
Tchervinski, 48 ans, ancien commandant des Forces d’opérations spéciales
ukrainiennes, mis en cause dans une enquête conjointe, a révélé samedi 11
novembre le quotidien « ricain » qu’on ne présente plus depuis le
Watergate, The Washington Post et le magazine « teuton » « d’investigation »
Der Spiegel.
Qui le présentent tous les deux comme le « coordinateur » des explosions survenues le 26 septembre 2022 dans les eaux de la mer Baltique. Ah ok, ce ne sont plus les cocoïs US, ni les plongeurs de combat de London…
Ce n’est pas deux enquêtes qui se recoupent, mais manifestement le partage de la même information…
On rajoute « Libé » comme troisième source… mais tricolore ce coup-ci, pour former ce « cartel de la vérité » qui nous épuise…
Et qui nous raconte qu’en s’appuyant sur des témoignages « anonymes »
(j’aime bien les sources anonymes, moâ) de responsables ukrainiens et
européens, l’enquête des deux médias (on parle de deux enquêtes alors, ou
non ?) privilégie la thèse du voilier l’Andromeda dévoilée par des médias
internationaux et la police « Teutonne », selon eux la piste la plus
prometteuse à ce jour.
De la « Teutonnie » qui enquête, on n’a toujours pas vu ces pièces d’enquête officielle, pas plus que celles de la police danoise et encore moins suédoise. Il paraît que les trois pays ne s’échangent même pas leurs informations sur le sujet…
C’est dire le sac de nœuds…
L’histoire « officielle » de ce yacht est qu’après avoir quitté
Rostock, sur la côte baltique de Germanie, le 6 septembre 2022, ce petit
voilier de tourisme de quinze mètres de long fait escale dans le port de
Christiansø, une minuscule île danoise en pleine mer Baltique, avant de
naviguer au-dessus des gazoducs.
À son bord, six personnes sous de fausses identités, matériel de plongée et charges explosives sous le bras… qui passent alors inaperçus.
Car force est de constater qu’aucun contrôle de police ou de douane entre ces deux escales n’est rapporté.
Quelques jours après son passage, deux geysers bouillonnants apparaissent à la surface des eaux baltiques, le 26 septembre 2022. Sous l’effet du choc, les pipelines se tordent et se déchirent.
Tu tords facile un tuyau en béton et acier, toa ?
À la limite, tu l’éventres, tu le coupes, mais tu ne le tords pas.
Dans les heures qui suivent, quatre énormes fuites de gaz sont décelées
sur le réseau de gazoducs, dans les zones économiques maritimes de la Suède et
du Danemark, qui ont lancé des investigations officielles.
« Depuis, un long mystère plane sur les circonstances exactes et les responsables possibles des explosions sur le réseau Nord Stream. Ce mystère fait l’objet d’un véritable bras de fer géopolitique sur fond de guerre en Ukraine entre la Russie et l’Europe, dépendante des exportations de gaz du Kremlin » nous rassure-t-on.
Désormais, et selon le Washington Post (seul), Roman Tchervinski n’aurait
ni planifié l’opération, ni agi seul. Ordres auraient été reçus de responsables
ukrainiens plus haut placés, dont le général Valery Zaluzhny, le plus haut
gradé de l’armée ukrainienne : « Toutes les spéculations sur mon
implication dans l’attaque de Nord Stream sont répandues par la propagande
russe sans aucun fondement », a nié le commandant des forces spéciales par
l’intermédiaire de son avocat.
Il en fait d’autres, mais pas celle-là.
C’est que tour à tour attribuée à la Russie, aux États-Unis ou à l’Ukraine
– tous ont nié en bloc –, la responsabilité des explosions reste pour le moins opaque.
Le président ukrainien, en particulier, a réfuté à plusieurs reprises ces allégations.
« Je ne ferais jamais cela », s’était-il défendu en juin dernier au quotidien « Teuton » Bild, ajoutant qu’il « aimerait voir des preuves ».
Sait-il déjà qu’il n’y en a pas ?
Le Washington Post avance que le chef de l’État ignorait tout de l’opération de sabotage. Tiens donc : Un incompétent à son poste ?
Et sollicité pour cette enquête, le gouvernement ukrainien a répondu par un silence.
Ils ne savent pas eux-mêmes, mais les « journaleux » savent mieux !
J’en rigole encore…
D’autant que Roman Tchervinski n’est pas un inconnu : Par le passé, il
a occupé des postes de haut niveau au sein de l’agence de renseignement
militaire et du service de sécurité ukrainiens. L’homme est un habitué des
opérations secrètes.
Les articles du Washington Post et de Der Spiegel font mention, pêle-mêle, d’un plan complexe pour attirer en Biélorussie, capturer et faire inculper en Ukraine des combattants du groupe mercenaire russe Wagner en 2020, d’une opération visant à tuer des dirigeants séparatistes pro-russes en Ukraine, ou encore de l’enlèvement d’un témoin susceptible de corroborer le rôle de la Russie dans l’abattage du vol 17 de la Malaysia Airlines au-dessus du Donbass…
Il n’était peut-être pas né, mais bientôt il aura participé à l’assassinat de J-F. Kennedy, ce « super agent » là…
Sauf qu’arrêté en avril dernier (2023), il est actuellement détenu dans
une prison de Kiev. Il est accusé d’avoir abusé de son pouvoir dans un complot
visant à inciter un pilote russe à faire défection vers l’Ukraine, en juillet
2022.
Menée sans autorisation des autorités autorisantes (une fois de plus ?), l’opération aura permis de révéler les coordonnées d’un aérodrome ukrainien, où une attaque à la roquette russe avait tué un soldat et en avait blessé 17 autres quelque temps après. Le pilote était resté loyal à Moscou…
Critique du président Zelensky, il affirme naturellement que ces poursuites constituent des représailles politiques de la part du gouvernement.
Lors d’une de ses comparutions au tribunal de Kiev, des partisans du commandant ont arboré des t-shirts avec son visage et le hashtag #FreeTchervinski.
Pas mal pour un « espion » ukrainien qui agit si discrètement…
Pour certains, le vétéran aurait agi dans l’intérêt de l’Ukraine.
À l’époque, il émargeait bien aux effectifs des « forces spéciales » de l’armée ukrainienne, spécialisées dans les opérations de renseignement et de sabotage.
La belle réussite que voilà…
Le seul intérêt de ces informations est de constater que derrière la
guerre des tranchées en Ukraine, il y a aussi une guerre des services de
renseignement. Car nonobstant l’imbroglio autour de l’implication de Roman
Chervinsky, il n’en demeure pas moins que face à la grande machine à espionner
russe, les agents ukrainiens « se sont montrés à la hauteur et leurs
actions ont eu un impact sur le cours du conflit », assure un
spécialiste des questions militaires russes et consultant extérieur pour le New
Lines Institute (un centre américain de recherche en géopolitique).
Leurs activités ont démontré que les services ukrainiens de renseignement ont fait un sacré chemin depuis leurs heures sombres, après la chute de l’Union soviétique. « Jusqu’à 2014 environ, personne ne les prenait vraiment au sérieux. Ils étaient essentiellement utilisés pour chasser les opposants politiques et étaient accusés d’être très corrompus »
Des critiques qui valaient aussi bien pour les deux principales agences de renseignement, le SBU – le service de contre-espionnage qui dépend du ministère de l’Intérieur – et le GUR, l’agence de renseignement militaire.
Après la révolution pro-européenne de Maïdan en 2014 et le glissement géopolitique vers l’Occident de Kiev, la situation a évolué.
La vague de modernisation de l’État n’a pas épargné les services de renseignement, même si l’héritage soviétique – l’Ukraine était le deuxième plus important centre d’opération pour le KGB dans les anciennes républiques soviétique – a rendu la tâche d’autant plus ardue.
L’une des principales nouveautés des dix dernières années a été de
rajouter une troisième tête à l’aigle de l’espionnage ukrainien : En 2016,
l’armée s’est ainsi dotée de sa propre agence, les Forces opérationnelles
spéciales (SSO), censée être des combattants d’élite.
Le parcours de Roman Chervinsky illustre à quel point ces trois services peuvent se marcher sur les pieds. Il a, en effet, occupé des fonctions similaires à la fois au sein du SUB, puis de GUR, avant de rallier les forces spéciales, rappelle le canard « Teuton ».
Depuis le début de la grande offensive russe de février 2022, les
opérations imputées aux agents ukrainiens – hélas jamais officiellement
confirmées par Kiev, mais ne prête-t-on pas qu’aux riches ? – ont démontré un mode opératoire inspiré des
méthodes occidentales « et une détermination presque suicidaire qui
rappelle l’approche jusqu’au-boutiste des agents du KGB », résume une
autre spécialiste des services de renseignement russe à l’université de
d'Aberystwyth, au pays de Galles.
L’opération la plus surprenante, pour elle, a été l’assassinat de Daria Douguina, la fille de l’idéologue ultranationaliste Alexandre Douguine en août 2022, qui serait l’œuvre d’agents ukrainiens selon Washington.
Mais elle souligne qu’« il peut paraître étonnant de mobiliser des précieuses ressources en temps de guerre pour viser une personnalité qui ne participe pas directement à l’effort de guerre ».
A priori,
les opérations de sabotage menées contre le pont de Crimée, l’assassinat en
Russie du commandant de sous-marin Vladislav Rzhitsky en juillet 2023 – accusé
d’avoir ordonné une frappe de missile sur une ville ukrainienne ayant fait plus
de 20 morts civils – semblent être plus en phase avec les objectifs de guerre.
Mais, en fait, « ces actions démontrent que les services de
sécurité ont deux objectifs : affaiblir l’effort de guerre russe – en visant
des militaires et des infrastructures – et démontrer que rien ni personne n’est
hors de portée, même s’il s’agit de proches de Vladimir Poutine qui vivent à
Moscou ».
Ce qui rendrait crédible le sabotage du gazoduc Nord Stream qui rentrerait ainsi dans cette logique de prouver que les services secrets ukrainiens ont le bras long et peuvent frapper les intérêts russes n’importe où.
Même si objectivement, il est encore trop tôt pour évaluer l’impact de toutes ces opérations sur le cours du conflit.
Mais « même si ce sera toujours moins décisif qu’une percée de char, ces opérations laisseront des traces ».
Pour les experts, ces espions ukrainiens sont un poil à gratter mortel permanent pour les Russes en leur rappelant que la guerre se déroule aussi loin de la ligne de front…
Dans ce cadre-là, je veux bien comprendre les « contre-mesures »
russes contre cet agent en particulier, lui mettant sur le dos ce que l’enquête
russe, cette fois-ci, sur l’explosion de leur gazoduc, ne révèlera jamais aux
yeux de l’opinion publique, la leur (qui n’a aucun rôle à jouer dans la vie
politique du pays) et celle de la « presse aux ordres » des
occidentaux…
Tout le reste n’est jamais que désinformation, enfumage, carabistouille et je ne comprends toujours pas que nos « journaleux » puissent se faire le relais de ces campagnes d’intoxication sans même se poser des questions.
Soyons honnêtes : Sont-ce les « ricains » ou les ukrainiens
qui ont fait sauter ces gazoducs ?
Ou sont-ce les ukrainiens sur l’ordre de « ricains » avec l’aide des Norvégiens et des britanniques ?
Tout ça pue la manipulation pour couvrir des secrets inavouables.
Qui pourtant sautent aux yeux… malgré, ou justement à cause, de l’enfumage permanent et répétitif !
Mais je vous explique tout ça (et bien d’autres « mystères », comme ce G20 de Bali qui vire à la réunion de crise de l’Otan en une nuit parce qu’un missile s’est égaré en Pologne, ou encore le black-out total des vols civils dans le ciel américain le 11 janvier dernier, sans raison crédible, sans même vous raconter l’épisode hallucinant des ballons espions chinois qu’on laisse traverser le territoire d’Ouest en Est avant d’abattre le premier…) dans le dernier roman en ligne : I-Cube (l'exilé): Menaces de chaos (0/54) (flibustier20260.blogspot.com).
Et si vous n’aimez pas lire « en ligne », je me suis fendu d’un
opus imprimé-broché que vous trouverez chez Amazon, ma « librairie en
ligne » : Amazon.fr - Menaces de chaos: Les enquêtes de Charlotte -
Flibustier 20260, Dubois, Alexis - Livres
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Attendez du peu qu’on nous sert depuis un an sur l’affaire des Nord-Stream sabotés et vous me direz de quoi il retourne pour de vrai.
Pas très dangereux, quoi…
Comme si c’était crédible de pouvoir descendre des charges au mètre près dans ces conditions-là…
Mais c’était un prix Pulitzer qui l’affirmait, alors hein, ça ne se discute pas.
Le même qui accusait les « ricains », naturellement…
Comme quoi, il s’est fait enfler au moins une fois et nous aura carabistouillé au moins une fois : Pourquoi pas deux tant qu’on y est, du moment qu’on avale tout ce qu’il raconte (et se laisse raconter de sources sûres mais invérifiables), sans même vérifier voire enquêter soi-même ?
Le « cerveau » de l’opération serait ainsi un agent secret controversé.
La blague !!!
Et « Libé » (
Est-ce une tautologie ou une révélation d’origine divine ?
Décidément, ceux-là ne relèvent toujours pas le niveau du journalisme de mon pays que c’en est dramatique…
Qui le présentent tous les deux comme le « coordinateur » des explosions survenues le 26 septembre 2022 dans les eaux de la mer Baltique. Ah ok, ce ne sont plus les cocoïs US, ni les plongeurs de combat de London…
Ce n’est pas deux enquêtes qui se recoupent, mais manifestement le partage de la même information…
On rajoute « Libé » comme troisième source… mais tricolore ce coup-ci, pour former ce « cartel de la vérité » qui nous épuise…
De la « Teutonnie » qui enquête, on n’a toujours pas vu ces pièces d’enquête officielle, pas plus que celles de la police danoise et encore moins suédoise. Il paraît que les trois pays ne s’échangent même pas leurs informations sur le sujet…
C’est dire le sac de nœuds…
À son bord, six personnes sous de fausses identités, matériel de plongée et charges explosives sous le bras… qui passent alors inaperçus.
Car force est de constater qu’aucun contrôle de police ou de douane entre ces deux escales n’est rapporté.
Quelques jours après son passage, deux geysers bouillonnants apparaissent à la surface des eaux baltiques, le 26 septembre 2022. Sous l’effet du choc, les pipelines se tordent et se déchirent.
Tu tords facile un tuyau en béton et acier, toa ?
À la limite, tu l’éventres, tu le coupes, mais tu ne le tords pas.
« Depuis, un long mystère plane sur les circonstances exactes et les responsables possibles des explosions sur le réseau Nord Stream. Ce mystère fait l’objet d’un véritable bras de fer géopolitique sur fond de guerre en Ukraine entre la Russie et l’Europe, dépendante des exportations de gaz du Kremlin » nous rassure-t-on.
Il en fait d’autres, mais pas celle-là.
Le président ukrainien, en particulier, a réfuté à plusieurs reprises ces allégations.
« Je ne ferais jamais cela », s’était-il défendu en juin dernier au quotidien « Teuton » Bild, ajoutant qu’il « aimerait voir des preuves ».
Sait-il déjà qu’il n’y en a pas ?
Le Washington Post avance que le chef de l’État ignorait tout de l’opération de sabotage. Tiens donc : Un incompétent à son poste ?
Et sollicité pour cette enquête, le gouvernement ukrainien a répondu par un silence.
Ils ne savent pas eux-mêmes, mais les « journaleux » savent mieux !
J’en rigole encore…
Les articles du Washington Post et de Der Spiegel font mention, pêle-mêle, d’un plan complexe pour attirer en Biélorussie, capturer et faire inculper en Ukraine des combattants du groupe mercenaire russe Wagner en 2020, d’une opération visant à tuer des dirigeants séparatistes pro-russes en Ukraine, ou encore de l’enlèvement d’un témoin susceptible de corroborer le rôle de la Russie dans l’abattage du vol 17 de la Malaysia Airlines au-dessus du Donbass…
Il n’était peut-être pas né, mais bientôt il aura participé à l’assassinat de J-F. Kennedy, ce « super agent » là…
Menée sans autorisation des autorités autorisantes (une fois de plus ?), l’opération aura permis de révéler les coordonnées d’un aérodrome ukrainien, où une attaque à la roquette russe avait tué un soldat et en avait blessé 17 autres quelque temps après. Le pilote était resté loyal à Moscou…
Critique du président Zelensky, il affirme naturellement que ces poursuites constituent des représailles politiques de la part du gouvernement.
Lors d’une de ses comparutions au tribunal de Kiev, des partisans du commandant ont arboré des t-shirts avec son visage et le hashtag #FreeTchervinski.
Pas mal pour un « espion » ukrainien qui agit si discrètement…
Pour certains, le vétéran aurait agi dans l’intérêt de l’Ukraine.
À l’époque, il émargeait bien aux effectifs des « forces spéciales » de l’armée ukrainienne, spécialisées dans les opérations de renseignement et de sabotage.
La belle réussite que voilà…
Leurs activités ont démontré que les services ukrainiens de renseignement ont fait un sacré chemin depuis leurs heures sombres, après la chute de l’Union soviétique. « Jusqu’à 2014 environ, personne ne les prenait vraiment au sérieux. Ils étaient essentiellement utilisés pour chasser les opposants politiques et étaient accusés d’être très corrompus »
Des critiques qui valaient aussi bien pour les deux principales agences de renseignement, le SBU – le service de contre-espionnage qui dépend du ministère de l’Intérieur – et le GUR, l’agence de renseignement militaire.
Après la révolution pro-européenne de Maïdan en 2014 et le glissement géopolitique vers l’Occident de Kiev, la situation a évolué.
La vague de modernisation de l’État n’a pas épargné les services de renseignement, même si l’héritage soviétique – l’Ukraine était le deuxième plus important centre d’opération pour le KGB dans les anciennes républiques soviétique – a rendu la tâche d’autant plus ardue.
Le parcours de Roman Chervinsky illustre à quel point ces trois services peuvent se marcher sur les pieds. Il a, en effet, occupé des fonctions similaires à la fois au sein du SUB, puis de GUR, avant de rallier les forces spéciales, rappelle le canard « Teuton ».
L’opération la plus surprenante, pour elle, a été l’assassinat de Daria Douguina, la fille de l’idéologue ultranationaliste Alexandre Douguine en août 2022, qui serait l’œuvre d’agents ukrainiens selon Washington.
Mais elle souligne qu’« il peut paraître étonnant de mobiliser des précieuses ressources en temps de guerre pour viser une personnalité qui ne participe pas directement à l’effort de guerre ».
Ce qui rendrait crédible le sabotage du gazoduc Nord Stream qui rentrerait ainsi dans cette logique de prouver que les services secrets ukrainiens ont le bras long et peuvent frapper les intérêts russes n’importe où.
Même si objectivement, il est encore trop tôt pour évaluer l’impact de toutes ces opérations sur le cours du conflit.
Mais « même si ce sera toujours moins décisif qu’une percée de char, ces opérations laisseront des traces ».
Pour les experts, ces espions ukrainiens sont un poil à gratter mortel permanent pour les Russes en leur rappelant que la guerre se déroule aussi loin de la ligne de front…
Tout le reste n’est jamais que désinformation, enfumage, carabistouille et je ne comprends toujours pas que nos « journaleux » puissent se faire le relais de ces campagnes d’intoxication sans même se poser des questions.
Ou sont-ce les ukrainiens sur l’ordre de « ricains » avec l’aide des Norvégiens et des britanniques ?
Tout ça pue la manipulation pour couvrir des secrets inavouables.
Qui pourtant sautent aux yeux… malgré, ou justement à cause, de l’enfumage permanent et répétitif !
Mais je vous explique tout ça (et bien d’autres « mystères », comme ce G20 de Bali qui vire à la réunion de crise de l’Otan en une nuit parce qu’un missile s’est égaré en Pologne, ou encore le black-out total des vols civils dans le ciel américain le 11 janvier dernier, sans raison crédible, sans même vous raconter l’épisode hallucinant des ballons espions chinois qu’on laisse traverser le territoire d’Ouest en Est avant d’abattre le premier…) dans le dernier roman en ligne : I-Cube (l'exilé): Menaces de chaos (0/54) (flibustier20260.blogspot.com).
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