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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 8 novembre 2023

Ça fait polémique !

Pourquoi est-elle rentrée ?
 
Le voyage de trois semaines de ma « mairesse » de « Paris-sur-le-plage », « Sœur-âne », jusqu’en Polynésie française, présenté comme « officiel » par son entourage et suivi de vacances (familiales), suscite une vive polémique.
Ce déplacement aux contours flous fait en tout cas grincer les dents de l’opposition à la « mairesse ».
Le plus drôle c’est que l’entourage de l’élue avait assuré dans un premier temps qu’elle avait visité le site olympique où se dérouleront les épreuves de surf.
Or, le Parisien a finalement révélé, vendredi 3 novembre, qu’elle ne s’y était même pas rendue !
 
Depuis, elle est hélas rentrée, après avoir salué longuement sa fille qui vit « aux îles ».
Plusieurs élus s’interrogent sur ce mélange des genres et dénoncent l’utilisation d’argent public pour payer les billets d’avion d’un séjour privé.
C’est se moquer sur les bords (il n’a jamais été interdit de mélanger « convenances personnelles » avec déplacement professionnel, d’autant quand il faut assumer un jet-lag d’une demi-journée entre les gencives) et le problème n’est pas vraiment là.
 
« Sœur-Âne », flanquée de son adjoint aux sports et aux Jeux olympiques, « Pierrot-Rabattant », est accueillie par un spectacle polynésien, collier de fleur et tout le toutime à Faaa.
La télé locale se déplace et au journal du soir, le présentateur parle d’une « visite non officielle », avec « un agenda alimenté par des événements d’ordre personnel ».
Néanmoins, « par urbanité républicaine », elle aura rencontré le président de la Polynésie Gauloisienne, Moetai Brotherson.
Notre « Canard déchaîné » révèle alors le but de la visite qui serait le site de Teahupoo, où se tiendront les épreuves olympiques de surf !
Il est vrai que sur la Seine…
Mais là encore, a-t-on vu ma « mairesse » se déplacer sur le site olympique de la Marina de Massilia qui recevra les régates, parce que sur la Marne, le vent n’est pas marin et n’accueillera que les épreuves d’aviron.
D’autant que pour se faire, « Sœur-Âne » aura séché un comité interministériel pour valider le plan de la circulation dans la capitale, même si elle n’était pas officiellement invitée… personæ non grata
 
À partir du 21 octobre, elle a complété son séjour avec une visite à sa fille, récemment installée sur une île située à 45 minutes en avion et son séjour s’y poursuivra jusqu’au 6 novembre.
Quel mal à ça au juste ?
Je vois très bien la fifille se réjouir d’avoir mis 20.000 km entre elle et sa mère qui débarque et ne la salue pas : Ça aurait glosé au-delà du cercle familial…
Mais voilà, les « grincheux », par l’entremise du groupe « Changer Paris » demande que soient précisés « les buts et le programme de ce voyage, en distinguant ce qui relève de la partie publique et de la partie privée », ainsi que le coût global du voyage.
 
Dans un communiqué, la mairie de ma ville explique qu’elle était également accompagnée de ses adjoints aux Sports, (déjà signalé) et de celui aux Outre-mer, « Jacquot-Mars-Yal ».
Un vrai gouvernement…
Et, selon la mairie-centrale, il s’agissait de travailler sur trois dossiers : Le premier, la Nuit blanche, manifestation culturelle qui sera placée en 2024 « sous le symbole des Outre-mer ».
Le second, « l’urgence climatique », « Sœur-Âne » « ayant proposé aux maires de Nouvelle-Calédonie et de Polynésie de se joindre à la délégation de l’Association internationale des Maires Francophones (AIMF), qu’elle conduira en tant que présidente lors de la COP 28 à Dubaï », a-t-elle justifié.
(Quel « cousin » ira-t-elle y visiter ?)
Et enfin, le dossier des Jeux olympiques.
Où c’est « à la demande du président polynésien (que) la maire de Paris ne s’est en effet pas rendue sur place le samedi, du fait de tensions locales liées à la construction d’une tour des juges, une rencontre sur site étant prévue le jour même par la présidence polynésienne », explicite encore le communiqué.
Confirmant l’existence du « temps privé », le communiqué assure qu’il a été « intégralement pris à sa charge » notamment en payant de sa poche son billet retour.
C’est où je m’insurge…
 
Dans le détail, les frais de transport de la délégation parisienne, composée de six personnes (trois élus et trois collaborateurs) se sont élevés à 40.955 euros, et les frais d’hébergement et de restauration à 18.545 euros, « conformément aux pratiques en vigueur dans les trois fonctions publiques territoriales », selon la Ville.
Alors que le groupe mené par « Rachi-Dada-Mimi » fustige les déplacements de « Sœur-Âne » : 20 voyages en avion entre 2020 et 2023 représentants 51 tonnes de CO2 émis, le tout « aux frais des Parisiens ».
Ce n’est pas le problème : De toute façon, ces vols auraient eu lieu…
 
Il y avait un mouvement social sur le site des surfeurs, il y a la guerre en Palestine, en Ukraine, des actes antisémites dans la « ville-lumière » de « Sœur-Âne », peut-être aurait-on pu décaler ce déplacement, ou le prendre sur les temps de congés-payés estivaux.
Mais « la situation ne justifiait pas pour autant de l’annuler ».
« On n’a pas arrêté : Nos journées commençaient à 8 heures et se terminaient à 19 heures », assure l’ancien rugbyman, désormais adjoint aux sports de la Kapitale.
Mais l’opposition municipale n’en démord pas reprochant « une vadrouille aux frais des Parisiens » et dénonçant son bilan carbone : « Quand on prétend à longueur de temps faire de l’écologie et du développement durable la pierre d’angle de sa politique municipale, on ne multiplie pas les déplacements officiels et on évite les vacances à titre privé dans le Pacifique sud », avait fustigé le groupe « Changer Paris », mené par Rachida Dati.
On ne convoque pas non plus les rugbymen du monde entier ni tous les athlètes de la planète qui ne viendront pas forcément en pédalo…
 
Et on rappelait ainsi que les « 20 voyages dans le monde » de la mairesse, à titre officiel, depuis sa réélection en 2020, équivalent à un bilan carbone de « 51 tonnes de CO2 », indique de son côté l’Agence « Transe-Presse ».
Et c’est la même qui m’emmerde avec mes 100 g/km à devoir me financer un nouveau « tas-de-boue-à-roulettes » m’obligeant à jeter mon « veaux-diesel » qui n’avait pas démérité (même sur la route des mouflons-corses) pour sauvegarder les délicates alvéoles pulmonaires de ma planète ?
De qui se fout-on au juste ?
D’autant que ce n’est toujours pas le problème…
 
Comme maire, « Sœur-Âne » a déjà effectué 13 voyages à l’étranger en 2023, la plupart nécessitant de prendre l’avion, (Kiev deux fois, Rome, Bagdad, Bruxelles, Varsovie, Reykjavik, Erevan, New-York, Cotonou, Nouméa et Papeete), rappelle l’opposition de droite qui raille un « Hidalgo carbone tour ».
Sur BFMTV, son entourage dénonce le 30 octobre une « polémique tellement affligeante », évoquant ce déplacement de la mairesse en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie du 16 au 21 octobre, suivi de vacances pour un retour à Paris ce lundi 6 novembre.
Des « vacances olympiques », dénonce l’ancien député RN « Gilbert-Co-lard ».
Et puis, hiatus, on apprend par hasard qu’en fait, concernant l’absence de l’édile sur le site de surf, la visite a été reportée au 22 octobre, jour où elle devait faire son voyage pour rejoindre sa fille.
Pingre quand il s’agit de son pognon personnel (pas quand c’est celui du kon-tribuable, on ne naît pas « soce » par hasard…), « elle avait décidé de profiter de ce voyage lointain pour aller rendre visite à sa famille dans le cadre de vacances privées. Elle aurait pu (repousser ce déplacement), mais il fallait qu’elle change son billet » ce qui a un coût.
À part la virée chez sa fille, il est précisé que la délégation avait « logé dans des hôtels confortables mais pas particulièrement luxueux. Et nous n’avons pas fait de dépenses particulières » rajoute son adjoint sportif.
Le tout à l’économie, quoi…
Ils ont d’ailleurs voyagé en classe économique sur la compagnie low cost French Bee.
À 59.500 euros le bout, soit 9.900 € par tête de pipe, c’est sûr qu’il a fallu en rajouter de sa poche pour payer les pourliches et autres extras.
Mais le problème n’est toujours pas là…
 
Souvenez-vous tout de même de « Sœur-Âne » émue aux larmes. Sur scène, elle savourait « sa » victoire au moment de la désignation de Ma ville par le CIO réuni à Lima (Pérou) (encore un déplacement onéreux…).
Los Angeles héritant pour sa part des JO de 2028.
Il faut dire qu’elle avait durement bataillé pour obtenir gain de cause dans ce dossier.
« Les jeunes sont conscients de l’opportunité que nous offrent ces jeux », avait-elle déclaré sur « Transe-Inter ».
Oublié sa position précédente et bien différente…
 
Pendant sa campagne pour les élections municipale de 2014, elle est très claire. « Les Jeux, ça coûte cher, y compris la candidature en soi coûte cher, et les Jeux dispendieux, je crois que ce n’est plus du tout d’actualité ».
Quelques temps plus tard, alors fraîchement élue mairesse de tous les parigots, le discours change pourtant de nature : « Nous sommes les uns et les autres dans des contraintes financières et budgétaires qui ne me permettent pas de dire si je porte, ou non, cette candidature. » déclare-t-elle à New-York (encore un déplacement en pédalo) lors d’une conférence de presse.
Elle se laisse donc, à l’époque, la possibilité de présenter un dossier au CIO en mon nom.
Une position qu’elle réaffirmera en fin d’année 2014.
 
Le 6 novembre 2014, « Tagada-à-la-fraise-des-bois », es-qualités de « capitaine de pédalo » s’exprime sur TF1 : Il qualifie les JO de « moment de ferveur » qui ramènera « plein d’emplois, plein d’industries ».
Et d’ajouter que la mairesse de « Paris-sur-la-plage » ne veut prendre « aucun risque » car « dans la vie on n’est jamais trop prudent ».
Réaction rapide de « Sœur-Âne », le lendemain : « 3 conditions essentielles à la candidature : l’éthique et la transparence, un nouveau modèle économique, l’exigence environnementale. »
Ce qui ne veut pas dire grand-chose.
Le même jour, lors d’une conférence de presse, elle précisera sa pensée : « Rien ni personne ne me fera changer de calendrier et de méthode en ce qui concerne la candidature de Paris. Après trois échecs, pas question de faire une candidature de témoignage. »
À l’époque l’hypothèse même d’organiser les JO 2024 est lointaine.
 
Et puis, « Exposition universelle ou JO » telle aura été la question qu’elle va devoir se poser dès 2015.
Elle a longtemps opté pour la première solution.
Mais deux événements vont venir chambouler ses certitudes : Le dossier de candidature à l’exposition universelle, tout d’abord, qui piétine et manque de clarté.
Tout l’inverse du rapport d’opportunité pour les JO. Ce document élaboré par les groupes de travail et les athlètes a fait changer d’avis la mairie de « Paris-sur-la-Seine ». Le chargé de ce rapport y précise les contours de la candidature et indique que « tous les voyants sont au vert » pour la capitale.
La mairesse, sous le charme, va alors jusqu’à affirmer en septembre 2016 au Parisien qu’il « n’existe pas de projet plus fédérateur et plus porteur que les Jeux olympiques ».
Elle devient ainsi coprésidente de la candidature de Paris en compagnie de Tony Estanguet, triple champion olympique de kayak.
Ce qui lui a permis d’aller embrasser sa fille jusqu’aux antipodes alors qu’on se relevait de plusieurs tempêtes centenaires.
Et ce n’est encore pas la question…
 
Quelle est-elle, cette question qui me vrille le nerf honteux ?
Je dépense un pognon de dingue à travers mes impôts locaux, j’endette ma famille sur plusieurs générations pas encore nées pour payer, à travers l’endettement de la « Ville-Lumière » le train de vie de « Sœur-Âne », et à chaque fois que je parviens à la jeter « hors les murs », tout le monde, je dis bien tout le monde (Kiev deux fois, Rome, Bagdad, Bruxelles, Varsovie, Reykjavik, Erevan, New-York, Cotonou, Nouméa et Papeete) me la renvoie !
Pour quelle raison ?
Même que je paye 59,5 K€ de plus pour ça et ce n’est pas suffisant…
Pourquoi je ne peux pas m’en débarrasser ?
Même sa fille à elle s’est exilée jusqu’à Tahiti pour échapper à mon sort funeste, et elle n’a même pas été foutue de garder sa mère-maternelle sur place !
Un véritable scandale…
Et personne pour m’expliquer.
Telle est la vraie question…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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