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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 29 novembre 2023

Version « officielle » du « plan B » de « Poux-tine »

C’est drôle comme certains veulent se moquer de nous !
 
C’est un peu comme la pub à la télé : Il y a des saisons récurrentes (en ce moment, ce sont les parfums, les eaux-de-toilettes, les Games-boys & Cie) mais aussi des « campagnes ».
La campagne actuelle, ce sont les voitures électriques et curieusement les enseignes du « commerce alimentaire pas cher ».
Moâ, j’aurai pensé que les marques de luxe auraient joué également à remplir les encarts publicitaires eh bien pas du tout : Tout simplement parce qu’elles n’en ont pas besoin pour faire leur beurre.
A contrario, plus il y a de pub sur les bagnoles électriques, à peu près sur tous les thèmes, avec les petites-voitures de nos enfance, histoire de retomber dedans, avec l’aigle qui ouvre la route, ou la pub psychédélique et la nana-bombasse au volant, cette débauche vous indique que ça ne marche pas.
Ils n’arrivent pas à les vendre, tout simplement une fois encore.
Actuellement, pour le commerce généraliste, vous ne voyez pas de pub pour « Au champ », ni pour les « mousquetaires », mais pour une nouvelle enseigne qui n’a pas encore démarré, ou pour « Lidel », qui semble marquer le pas sur « Carrouf’ » et « Le Clerc ».
Les autres, hors Monop’, Casino parce que dans la tourmente et sans patron, Système U qui quadrille pourtant le territoire, voire « Cora-lit » bien implanté, aux abonnés absents : C’est que les affaires vont bien.
Quant aux marques d’alcool ou de café épices et chocolats… disparu de vos écrans.
En bref, j’ai toujours pensé qu’un rallye (autre enseigne disparue) envoyait un message exactement contraire à la situation ressentie par le dirigeant qui le lance.
 
C’est exactement le cas pour la guerre en Ukraine. Plus mes « trolls-russes » m’en parlent sur le ton de la victoire éclatante et irréfragable, plus j’en conclue qu’ils sont très mal dans leurs pompes presqu’à espérer un miracle pour s’en sortir sans trop de dégâts.
Qu’on y réfléchisse : L’invasion de l’Ukraine par la Russie de « Vladimir-Vladimirovitch-Poux-tine » aurait dû être brève.
Six cents jours plus tard, la guerre est toujours en cours, et Kiev reprend même du terrain.
Lentement il est vrai, mais tout de même !
 
Et le plus drôle, c’est qu’est relayé sur tous les tons et par divers canaux a priori pas trop suspect, l’idée que le Kremlin use d’une des plus vieilles armes du monde, qui pourrait (pourrait seulement) lui « offrir » la victoire : Le temps qui passe, et l’usure des opinions occidentales.
Grosse rigolade, vous allez voir pourquoi…
L’expression serait même empruntée à un article publié par le « Royal Institute of International Affairs », un institut de réflexion basé à Londres plus connu sous le nom de « Chatham House », et relayé par « The Independant » (de royal sujet de sa gracieuse majesté « Karlos-le-troisième ») : Selon son auteur, « le plan b » de la Russie dans sa guerre d’invasion de l’Ukraine et tout simple et pourrait être en train de fonctionner parfaitement.
 
Ah bon ? Un « plan b » ?
Sur le fond, il semble même plus simple que le « plan a ». Cette opération spéciale qui aurait dû soumettre Kiev en quelques jours d’une guerre-éclair dans laquelle la supposée armée la plus puissante du monde ne pouvait échouer, a finalement échoué.
Il s’est enlisé en une âpre et coûteuse lutte de positions, un front désormais gelé par l’équilibre des forces : Dans le « plan b », il pourrait alors suffire à Moscou d’attendre.
De faire le dos rond, d’envoyer ses troupes ou mercenaires au massacre, de perdre des quantités colossales de matériel, de faire gravement souffrir une économie sous sanctions occidentales et désormais percluse de problèmes financiers et structurels, mais de tenir et d’attendre.
Car le « plan b » évoqué par Chatham House, c’est le temps, celui qui passe, tout simplement.
 
Car le temps est l’une des rares ressources dont l’univers et les créatures qui s’y agitent disposent à l’infini.
La patience et la solidarité, en revanche, sont des données beaucoup moins pérennes : C’est ainsi sur l’usure progressive des opinions occidentales, donc sur l’érosion de l’aide militaire apportée à l’Ukraine, et qui lui permet de tenir voire d’envisager une victoire, que repose ce fameux « plan b ».
Comme l’explique James Nixey, et comme le rapportait le 1er novembre le Point, un canular téléphonique russe dont a récemment été victime la « Première sinistre Ritale », la fasciite « Giorgina-Mélodie » en dit d’ailleurs assez long sur cette tendance générale et insidieuse à la lassitude.
Répondant à deux plaisantins se faisant passer pour des diplomates africains (là dis-donc), tout en continuant à clamer son soutien à l’Ukraine, elle expliquait également que « le moment approchait où tout le monde comprendra qu’il nous faudra une issue ».
Bien sûr qu’il y aura une issue : Celui qui y perd des plumes, c’est le premier qui lâche prise.
 
En filigrane, cette petite musique que l’on entend de plus en plus nettement dans certains cercles que l’impérialisme russe le plus brutal ne semble pas déranger, et qui sont souvent placés sous l’influence directe du Kremlin, parfois financière comme dans le cas du journaliste Hubert Seipel, payé 600.000 euros pour faire la secrète propagande de Moscou, comme l’a raconté « La Croix ».
La petite musique en question a un air assez simple : Cette guerre a assez duré, elle coûte cher au monde, à l’occident, et à ses contribuables, et il est désormais temps pour Kiev de faire quelques compromis territoriaux pour calmer son occupant russe.
Or, très tôt dans la guerre, le président ukrainien était conscient que la capacité d’attention de l’occident et de ses opinions publiques pouvait être courte.
Il l’expliquait même très clairement en juin 2022 dans une interview offerte à « Wired ». Quelques mois plus tard, en décembre 2022, « The Atlantic » titrait que « l’horloge tournait » pour l’Ukraine, en quête constante d’un indispensable soutien militaire et moral, de nouvelles armes lui permettant de repousser les armées russes.
 
Bientôt un an plus tard, l’horloge n’a pas cessé de tourner, l’actualité internationale s’est soudainement et logiquement détournée des malheurs de l’Ukraine pour se braquer sur l’éclatement du conflit entre Israël et le Hamas suite aux massacres du 7 octobre, et une « lassitude de la guerre » (le terme de « war fatigue » est souvent employé dans les médias anglo-saxons) s’est installée chez certains des soutiens de Kiev.
 
La « Teutonnie » ou les « Ricains », malgré des oppositions politiques internes de plus en plus marquées, continuent à apporter leur soutien à l’Ukraine avec les annonces régulières de nouveaux « packages » d’armes.
L’arrivée de plus en plus proche des F-16 entre les mains des pilotes de Kiev pourrait marquer une nouvelle étape dans le conflit, et tout n’est pas complètement figé pour Kiev, qui avance des pions intéressants du côté de Kherson, sur la rive occupée du fleuve Dniepr.
Mais d’autres signes inquiètent.
Face à une opinion publique de moins en moins favorable et alors que les élections présidentielles de 2024 approchent, « Bail-dan » bataille ferme avec certains élus « ricains » pour continuer à financer l’aide envoyée en Ukraine.
« L’Österreich », les « Polaks », la « Zerbi » ou le « Magyarország » illibéral de « Viktoir-Or-bahn » ont déjà annoncé l’arrêt de leur aide militaire à Kiev.
Et dans de nombreuses nations, l’extrême-droâte progresse ou conquiert le pouvoir.
Comme en « Batavie » où le « Trompe néerlandais » Geert Wilders a remporté les récentes élections législatives, ainsi que rapportent « Les Échos-du-matin » l’homme a de nombreuses fois affiché publiquement et explicitement sa proximité avec la Russie.
Chez nous, c’est « Marinella-tchi-tchi » et « Zézé-amour » les cartel des « traites-patriotes » auxquels il faut rajouter le « social-traite », « Monsieur-je-suis-la-république », « Mes-Luches »…
Or, la Russie a, d’une certaine manière, tout son temps pour appuyer sur cette usure, et finir par faire plier son voisin.
 
« La Russie a mené une guerre misérable – sa flotte s’est retirée de Crimée, ce qui signifie qu’elle aura des problèmes pour défendre la péninsule. La contre-offensive ukrainienne à Avdiïvka a coûté cher au Kremlin », écrit même James Nixey de Chatham House.
« Mais la Russie peut absorber les coûts comme aucune autre nation. Son industrie est désormais mobilisée pour la guerre et ses soldats sont une matière première dispensable et remplaçable.
La dépopulation et la fuite des cerveaux sont des problèmes pour le futur, et touchent sans doute l’Ukraine plus encore. »
Autant d’éléments qui, lors d’une récente rencontre dédiée à la défense à Halifax et rapportée par le média « Defence One », ont fait dire au représentant ukrainien que « Poux-tine » « militarisait le temps ».
Et si les choses ne semblent pas glorieuses pour Moscou ces derniers mois, les horizons pourraient se dégager un peu plus tard.
J’en rigole encore…
Vous allez voir pourquoi.
 
Car l’occident, et en particulier l’Europe comme l’a rapporté le « Figue-à-rots » (ce troisième torchon), admet ne pas pouvoir tenir la cadence pour fournir en nombre des munitions à Kiev, indispensables à sa résistance.
Comme le révélait « Axios » en octobre, une partie des obus prévus pour l’Ukraine est désormais dévolue par les États-Unis à Israël.
De l’autre côté, Moscou profite de son partenariat avec la Corée du Nord, qui lui envoie des millions de projectiles, ou avec l’Iran qui lui fournit déjà des drones low-cost Shahed – ou l’aide à les produire sur son propre sol.
La Russie souffre, mais a des ressources, et pourrait se refaire dans les prochains mois et années.
Pourrait seulement, car quelle gloire d’avoir été le second marchand de mort au monde pendant des décennies et de devoir importer des obus de chez ses anciens clients ?
Ça doit faire drôle, n’est-ce pas de se penser le plus fort et de dépendre que quelques cinglés pour poursuivre son combat…
Quand je vous dis que j’en rigole… vous commencez à deviner !
 
Notez que sans une aide militaire beaucoup plus massive de la part de l’occident, suffisamment décisive pour infliger une défaite militaire claire et définitive à la Russie, l’Ukraine pourrait devoir plier face à cet ogre qui patiente en reconstituant ses forces.
Sauf qu’il n’est pas question que l’Ukraine inflige une défaite « claire et définitives » à son voisin.
La Russie n’est pas la seule à patienter. L’Otan elle-même a besoin de temps pour se préparer à un éventuel conflit direct contre Moscou si Kiev venait à baisser les armes.
L’organisation aurait ainsi, selon un récent rapport, entre six et dix ans pour adapter ses armées en conséquence : Là encore, le temps est une arme.
Car la guerre va durer, encore et encore.
 
« Poux-tine » est tombé dans un piège qui va faire exploser « sa fédération ». Exactement le même qui aura désagrégé le Pacte de Varsovie, toujours sans tirer un coup de fusil ni faire la moindre victime dans les rangs de GIs « Ricains ».
Et ce piège, c’est justement le temps qui passe.
Et qui passe à épuiser qui au juste ?
Mais à épuiser la Russie et son industrie de guerre, ses finances, à saigner ses populations, à faire fuir ses cerveaux, à épuiser ses quelques alliés, à vider ses réserves financières rendant très aléatoire la formation d’une monnaie alternative autour des « Brics ».
Dans le temps, c’était un club de pays d’avenir, désormais c’est un ramassis de losers qui sombrent plus ou moins rapidement dans le fascisme…

Alors laissez moâ rire des prétentions, propagandes et professions de foi de mes « trolls russes » : Leur réveil va être difficile et je préfère ne plus être là pour les consoler, car plus cette guerre dure, plus la « sainte Russie » ne s’en remettra pas.
Pourvu que « Poux-tine » soit maintenu en vie par la médecine occidentale de pointe le plus longtemps possible, peut-on en rire !
Mais vous en serez témoins : Je les aurai prévenus !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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