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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 28 novembre 2023

Ils ne sont pas possibles !

Tentative de ratonnade sur Roman sur Isère
 
Samedi soir, une centaine de militants d’extrême droâte ont voulu pénétrer dans le quartier de la Monnaie, lieu de villégiature habituel des agresseurs du petit-bal de Crépol où Thomas aura été saigné à mort.
Heureusement, ils en ont été empêchés par la police (qui compte 5 blessés dans ses rangs) et qui est tout de même bien faite.
 
On rappelle que neuf personnes ont été mises en examen dans cette affaire délirante. Six ont été incarcérées indiquait le parquet le dimanche. Et trois autres placés sous contrôle judiciaire.
Et naturellement, aucun patronyme, ni aucun prénom n’ont circulé dans les médias à part celui de la victime.
Notez qu’il ne faut pas être faux-cul non plus : La victime s’appellerait Mohamed et non pas Thomas, jamais l’affaire n’aurait fait la Une de la « presse-aux-ordres ».
Peut-être seulement un entrefilet dans la rubrique « chiens écrasés » de la presse locale…
On pourrait aussi affirmer que c’était peut-être pour les protéger de la vindicte populaire…
Passons.
 
Après 96 heures de garde à vue, les neuf suspects, dont trois mineurs, ont été transférés au palais de justice de Valence samedi une semaine après les violences commises à Crépol, qui ont également fait huit blessés dont trois graves.
Le parquet avait requis l’ouverture d’une information judiciaire pour « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ».
Ces « neuf personnes ont été mises en examen conformément aux demandes du parquet », a écrit le procureur de la République dans un communiqué transmis à l’AFP, sans donner plus de détails sur les charges retenues pour chacun.
Samedi le procureur avait souligné que les 140 auditions menées depuis le drame n’ont pas encore permis « l’élucidation des faits » et notamment de déterminer les mobiles, le scénario des passages à l’acte, ni tous les auteurs.
Celui qui avait été désigné comme l’auteur des coups mortels « n’a pas été reconnu » par le témoin qui l’avait désigné, a-t-il également noté.
Kon ça…
Ce qui veut dire qu’il y a un meurtrier qui court toujours dans la nature…
 
Dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre, cet homme de 20 ans s’était rendu avec d’autres au bal d’hiver organisé dans la salle des fêtes de Crépol.
Selon les premiers éléments de l’enquête, une altercation entamée à l’intérieur, peut-être liée à une remarque sur la coupe de cheveux d’un des mis en cause, s’était poursuivie à l’extérieur. Au même moment, d’autres jeunes étaient arrivés dans un ou deux véhicules à vive allure.
« Tous les individus extérieurs à Crépol sont décrits comme portant des coups, certains des coups de couteaux », des cris et des insultes sont entendus, neuf témoins sur les 104 auditionnés entendent des propos hostiles « aux blancs », a rapporté le procureur.
C’est quoi « blanc » ?
C’est le négatif de « noir », n’est-ce pas ? En tout cas en photographie argentique…
 
Eh oui, mes amis de « gôche-prolo » du neurone, le racisme n’est pas l’apanage des blancs, bien trop souvent au contraire…
L’enquête ne permet toutefois pas à ce stade d’affirmer que les victimes ont pu être visées en raison de leur appartenance à une « prétendue race, une ethnie, une nation ou une religion déterminée », a toutefois précisé le proc’.
Il lui faut des preuves, pas des « paroles verbales » lancées en l’air…
 
Et, une semaine plus tard, dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 novembre, des militants d’extrême droâte (dont certains appartenant à des groupuscules violents) ont fait une descente dans le quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, d’où sont originaires plusieurs agresseurs du bal de Crépol.
« Vers 18 heures, 80 individus ont tenté d’entrer dans le quartier de la Monnaie pour en découdre », a annoncé la préfecture de la Drôme, citée par l’AFP. Ce qui a donné lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre, venues protéger ce quartier populaire (entendre « prolétaire », de ceux qui font le boulot trop mal payé que les « natifs » ne veulent plus faire).
Sur les réseaux sociaux, plusieurs vidéos issues de ce qui est présenté par l’extrême droâte comme « une manifestation » ont circulé dans la soirée, montrant des individus cagoulés scander des slogans racistes à la lumière de fumigènes.
Les kons, décidément…
Bilan de la soirée, 20 personnes arrêtées, dont 17 placées en garde à vue.
 
Des événements qui ont inquiété plusieurs faux-derches de gôche : « Voilà ce qui se passe quand l’extrême droite crée les conditions de la guerre civile… », a commenté le secrétaire national des « staliniens ».
Minute, « Fafa » : Qui a commencé à « ratonner » à Crépol ?
« Opération ratonnade pour intimider tout un quartier de Romans-sur-Isère par des néonazis. L’extrême droite attise la haine à partir d’un meurtre tragique et cherche à fracturer notre société. À quand l’interdiction de ces groupuscules ultraviolents et racistes ? », a interrogé un sénateur « stalinien ».
Bonne question…
Mais une fois que tu les as interdits, tu fais quoi de ses membres ?
« Euh… tu les mets en taule et tu les laisses mettre de l’ordre dans les « minorités visibles » ? »
Je te jure : Il y a des baffes qui se perdent.
 
« Une milice recrutée dans toute la France est venue agresser les habitants d’un quartier populaire. Magnifique autoprotection de la population. Son sang-froid doit faire école car les agressions racistes par l’extrême droite se multiplient. La complaisance médiatico politique l’a encouragé jusqu’à cette situation insupportable », a renchéri « Mes-luches », alors que plusieurs députés de son parti s’alarmaient de la situation.
Moâ j’adore quand « Mes-Luches » confond les « habitants populaires » avec les CRS… mais bon, re-passons…
De même, la « sinistre des solidarités » aura dénoncé une « expédition punitive », elle est enfin dans son rôle, celle-là !
« Il y a une responsabilité politique, notamment à l’extrême droite, notamment du Rassemblement national, des troubles à l’ordre public qu’on a constatés hier à Romans-sur-Isère », dénonçait de son côté quelques heures plus tôt le président « Re-co-naissance » de la Commission des Lois qui discutaille sur la loi « immigration », puisque c’est le « sujet caché ».
 
Habituellement prompts à se saisir des faits divers ou à manifester un soutien indéfectible aux forces de l’ordre, les poids lourds de la droâte et de l’extrême droâte (qui ont parlé du jeune Thomas toute la semaine) n’ont quasiment pas réagi.
Silence radio chez le président des « Républicains-démocrates » tout comme au « Air-Haine » : Se payaient-ils l’apéro à la santé des « migrés » (sahélien ou beurs, parce que des migrants suédois, il n’y en a pas beaucoup du côté de Romans) assiégés ou buvaient-ils du petit-lait ?
Du côté de chez « Zézé-amour », le sujet a bien été évoqué, mais en réaction de la mort du maire de Lyon auteur d’un constat prophétique sur les banlieues et l’immigration.
Le fameux après le côte-à-côte d’aujourd’hui, le face-à-face de demain…
En revanche, chez « Fdesouche », navire amiral de l’extrême droâte en ligne on en dit que : « Ce qui est nouveau dans l’affaire de l’action nationaliste à Romans-sur-Isère c’est que de la droite dure au centre droit modéré personne ne dénonce totalement. Il y a 10 ans, ils auraient parlé de “milices de la haine” ».
Non : Ils parlaient de connards aux idées courtes et à la vue basse et, hélas, c’est toujours d’actualité…
 
Car ils n’ont rien compris, ni les uns ni les autres : Il ne s’agit que trouble à l’ordre public commis par des délinquants violents, voire, pour certains devenus criminels.
Ce sont exactement les mêmes qui étaient à l’origine des émeutes des banlieues qui avait conduit « Bling-bling » à promettre le Kasher pour nettoyer la place publique.
J’avais même espéré que l’armée investirait les caves des « zones » pour mettre fin aux « tournantes »…
Mais rien de tout ça : On aura laissé pourrir la situation depuis tant d’années.
Ne vous en faites pas, comme en juin dernier, le calme va revenir : Mettre des flics partout, ce n’est pas bon pour les dealers et autres petits-trafiquants.
Et puis ça met les nerfs en pelote des camés des quartiers d’affaires et autres financiers qui n’ont plus accès à leurs doses : Pas bon du tout pour le PIB !
(Ni les recettes de TVA…)
 
« C’est la loi du plus fort qui s’impose, des narcotrafiquants, des islamistes radicaux, qui a pris la place de la République », prévenait à son époque (pas si reculée que ça : 8 ans) feu le frère-trois-points, ex-maire de Lugdunum.
Un constat, énoncé dans l’indifférence générale, à l’époque.
« Zézé-Amour » (Moïse le « feuj ») en aura fait son beur beurre, un peu comme les écolologistes auront attiré l’attention des géants de l’industrie des réseaux et de la récupération sur la mine d’or que représente nos déchets et notre eau…
Tous citent ce constat, ou y font allusion.
Crépol, c’est leur fonds de commerce : Du pain béni, en somme.
 
Ce que j’ai du mal à comprendre, c’est que, comme d’autres, « comme ministre, il n’eut pas le temps de traduire en actes sa lucidité sur les risques de fracturation de notre société. »
En avait-il la possibilité ?
L’aurait-on laissé faire ?
Son discours, c’est bien : Tout le monde aurait pu le tenir depuis des décennies et il « interroge toutes les composantes de la vie politique sur les efforts qu’il y a à produire pour ne pas accroître les tensions, creuser les divisions et organiser ce que lui ne voulait absolument pas, c’est-à-dire une forme de guerre civile ».
Il faut souligner que lui-même semblait avoir conscience de l’instrumentalisation de ses propos.
Devenu conscient du poids et du caractère sensible de ses mots, il refusait d’endosser le rôle du prophète : C’est le début de la sagesse.
Parfois, il vaut mieux savoir se taire que de la ramener, surtout en public.
 
Dès que les faits de la mort de Thomas ont été connus, droâte et extrême droâte ont multiplié les tweets et les déclarations faisant le lien entre cet acte et l’immigration. Elles ont évoqué la « racaille », le « racisme antiblanc » le « jihad du quotidien » ou encore « une attaque organisée, émanant d’un certain nombre de banlieues criminogènes dans lesquelles se trouvent des milices armées qui opèrent des razzias ».
Résultat, samedi matin, une mosquée de Valence a reçu un courrier islamophobe évoquant le drame de Crépol et des tags ont été découverts sur les murs de la mosquée de Cherbourg-en-Cotentin (Manche).
Dimanche, une quarantaine de militants d’extrême droâte se sont rassemblés au centre-ville de Romans-sur-Isère en petits groupes et ont été dispersés par les forces de l’ordre, qui ont réalisé au moins une interpellation.
La veille au soir, une centaine de militants d’une mouvance d’ultradroâte venus de différentes villes du pays avaient déjà défilé cagoulés et habillés de noir dans la ville dans le but d’en « découdre » avec les jeunes du quartier sensible de La Monnaie.
Armés de bâtons, ils ont défilé derrière une banderole « Justice pour Thomas, ni pardon, ni oubli », selon des images diffusées sur les réseaux sociaux par cette mouvance.
Les forces de l’ordre, qui ont procédé à une vingtaine d’interpellations, les ont alors repoussés. Ces affrontements ont fait plusieurs blessés, dont cinq CRS souffrant de contusions et des manifestants, ai-je déjà dit.
Un militant venant de Mayenne pour cette manifestation interdite a par ailleurs été « sorti de sa voiture de force » par des inconnus, puis « tabassé » et son véhicule « brûlé », aura déclaré dimanche le préfet de la Drôme.
Depuis le drame, l’ultradroâte mène une campagne virulente sur les réseaux sociaux, avec notamment une liste de noms et des photos présentées comme celles des agresseurs.
 
Une source du renseignement assure que les services s’inquiétaient depuis plusieurs jours du rassemblement de cette ultradroâte qui a eu lieu ce samedi 25 novembre, jour des catherinettes.
Ils prévoyaient « un fort risque de trouble à l’ordre public ».
Notons également que la mouvance d’ultradroâte a été aussi galvanisée par les événements en Irlande où un hôtel accueillant des migrants a été incendié en marge de violences après une attaque au couteau à Dublin.
La victoire des fachots de « Batavie » leur aura donné des ailes…
Le ministère de l’Intérieur expliquait que ce rassemblement à Romans-sur-Isère avait été « anticipé dans l’après-midi » : « Le ministre avait passé des consignes très strictes et demandé à ce que le maximum d’interpellations soit réalisé, et le plus préventivement possible ». Il avait été demandé le renfort de la CRS 8 venue de Chassieu.
« Grâce à cela, la situation a été rapidement maîtrisée ».
Mais d’autres rassemblements sont à envisager, d’après le « renseignement ».
 
Et moâ, j’ai mal !
Mal pour Thomas.
Mal pour ses proches.
Il n’avait pas à mourir, même pour un mot mal placé ou seulement incompris.
C’est dément.
Ce qui l’est encore plus, c’est tout le tapage médiatique autour des récupérations politiques : Qu’on donc dans la tête ces « militants » d’extrême-droâte sinon d’affaiblir les institutions de la République qui les ont vu naître et les considère comme ses enfants ?
Exactement le même objectif de ces « extrêmes-gôchistes » qui ne supportent pas « l’ordre bourgeois » qui exploite le prolo-migrant (entre autres).
Les uns comme les autres scient consciencieusement la branche sur laquelle ils sont assis et quelle que part font le jeu de « narcotrafiquants » et des ennemis de la démocratie : Je pense à « Poux-tine » et ses sbires proactifs qui aspirent à ce que l’ensemble de nos démocraties s’effondrent sur elles-mêmes !
 
Tous ceux-là, dans la Drôme ce week-end, ou ailleurs hier et demain, sont-ils bien conscients des enjeux qu’ils favorisent et encouragent sans s’en rendre compte ?
Il faut, absolument, que cela cesse et je vous fais le pari que ce n’est pas une loi de plus votée à l’arrache qui le permettra…
Il n’y a pas vraiment de solution pour un apaisement durable : Il fallait s’y prendre il y a bien longtemps, probablement au moment du second empire.
Mais comment pouvait-on anticiper, à cette époque-là ?
Tout de même dommage, dans ce si beau pays qui est le mien (que j’aime tant et qui décidément me le rend si mal…).
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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