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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 26 novembre 2023

Avalanche de « trouvailles scientifiques »

Une quinzaine magnifique !
 
1 – On ne sait toujours pas précisément ce qui rend quelqu’un sexy.
Pour le constater, il fallait d’abord faire la distinction entre beauté et sex-appeal.
Pour ce dernier, le dictionnaire indique : « Personne sexuellement suggestive ou stimulante ».
Plus globalement, une personne sexy devrait déclencher chez celle ou celui qui la regarde une réaction corporelle, par exemple une certaine excitation.
À l’inverse, quelqu’un peut être beau sans nécessairement être considéré comme sexy, (traduction) te faire bander (ou mouiller pour vous, « mes-dames ») !
 
« Le sex-appeal est dans l’œil de celui qui regarde », explique-t-on généralement.
« Certaines personnes sont attirées par les traits d’un visage, l’intonation d’une voix, une odeur corporelle, ou même un langage corporel. »
« La gentillesse peut augmenter le sex-appeal d’une personne »
Essayez aussi l’humour… la répartie, les mots d’esprit…
Ainsi le caractère d’une personne et la façon dont elle se comporte influencent son potentiel de séduction auprès des autres. « Vous est-il déjà arrivé de rencontrer quelqu’un que vous ne trouviez pas spécialement beau, puis de changer d’avis après avoir appris à le connaître ? », demande une experte qui ajoute : « C’est très subjectif : La personnalité peut modifier le sentiment initial d’attirance, que ce soit positivement ou négativement. »
 
En bref, malgré d’âpres recherches, on ne sait toujours pas ce qui rend imparablement « sexy » dans l’œil qui regarde…
 
2 – Résultats, à défaut de comprendre, on constate une épidémie de solitude !
Ça peut paraître paradoxal dans nos sociétés post-modernes : Nous sommes connectés en permanence et pourtant, nous ne nous sommes jamais sentis aussi seuls me fait-on savoir.
Près de la moitié des « Gauloisiens » déclarent ressentir de la solitude : 46 %, selon l’étude sur le sujet réalisée pour la Fondation (« soce ») Jean-Jaurès (qui se mêle de tout et de n’importe quoi…)
 
La nouveauté se loge peut-être dans ce que l’on met derrière le mot. Ne devrait-on pas parler de solitude au pluriel ?
Il y a d’abord une différence fondamentale entre la solitude objective, qui se rattache plutôt à la notion d’isolement, et la solitude subjective, qui est de l’ordre du ressenti.
Alors que la première tend à baisser dans les chiffres, la seconde ne cesse d’enfler.
Leur étude a choisi de se concentrer sur ces solitudes subjectives en établissant une véritable cartographie de ces ressentis : Les auteurs utilisent le mot un peu obscur de « sociose » pour parler de cette pathologie des liens, qui s’est accentuée avec le « Conard-virus » et dont ils analysent la diversité des manifestations.
Ils distinguent des solitudes « heureuses », car choisies dans un cadre de reprise en main du temps pour soi, opposées aux solitudes « par épreuves relationnelles », ou encore des solitudes mélancoliques, « par sentiment d’inaction », de vide, d’inutilité (notamment par manque de sens dans le travail).
 
L’un des auteurs de ladite étude, souligne le rôle ambivalent des réseaux sociaux dans ces phénomènes : « En tissant des espaces de sociabilité, ils jouent le rôle de passe-temps et donnent l’illusion à ceux qui les utilisent de ne plus être seuls.
Cela se retrouve dans les chiffres des études : 6 personnes sur 10 déclarent qu’ils leur sont utiles pour lutter contre le sentiment de solitude, mais la nature et le fonctionnement de ces réseaux a changé et, avec eux, les conséquences sur nos relations.
La première génération fonctionnait sur la mise en contact, la connexion aux amis, au cercle proche ; c’est très différent à l’heure des réels et des « shorts » (vidéos d'inconnus envoyés sur ces nouveaux médias).
Les mêmes personnes interrogées reconnaissent que cela ne les aide pas à discuter ou à faire de nouvelles rencontres, mais au contraire les sédentarise, les enferme. »
Kon, ça…
 
Cette étude nuance également les prétendus bienfaits de la solitude choisie que vantent tout à la fois les théories du développement personnel et les défenseurs du temps pour soi : « Les gens les plus positifs sont souvent ceux qui sont les moins exposés dans les faits. »
Le choix d’être seul se fait parfois au détriment du lien aux autres.
L’idée que le couple demande temps et investissement, que l’éducation des enfants est chronophage fait son chemin dans une ère où tout est jaugé, évalué, selon un calcul coût/bénéfices.
Cela va, par exemple, jusqu’à changer le regard de certaines jeunes femmes sur la maternité.
C’est d’ailleurs ce que montrait un sondage Ifop réalisé en 2022 selon lequel 30 % des femmes en âge de procréer déclaraient ne pas vouloir d’enfants.
Bien entendu, les causes sont multiples : Éco-anxiété, recul de l’âge de l’entrée dans la vie professionnelle, longues études supérieures, absence de partenaires…
Mais la peur que cela constitue un frein au développement personnel pèse également.
 
Plusieurs pays, les Nippons en tête, ont mis ces sujets au cœur de leurs politiques publiques, en créant un « ministère de la Solitude ». En « Gauloisie-romantique », on préfère parler des « solidarités » (surtout quand on bosse pour une fondation de « Soces-authentiques »).
« Les gouvernements renvoient ces questions au monde médico-social ou à la sphère associative », précise l’étude de 2023. Plusieurs associations, telle Les Hyper Voisins lancée il y a six ans, sont décidées à faire bouger le politique. Connue pour organiser chaque année un grand déjeuner géant de 1.000 couverts, dans le XIVème arrondissement parisien elle retisse le lien social à l’échelle d’un territoire.
« Nous imaginons à quoi pourrait ressembler le vivre ensemble dans les villes de demain », explique son fondateur.
« Mon Gardien », qui aura présidé aux destinées d’un centre social, pourrait vous en parler pendant des heures comme d’une vaste… fumisterie !
Et on n’en saura pas plus sur ses débouchés, car se posent un autre problème…
 
3 – Des femmes, à force de solitude, cherchent du sperme frais !
Mais si !
Notamment sur « Fesses-bouc » !
Elles seraient innombrables à rechercher des donneurs de sperme sur ce « réseau social ».
Car nombreuses sont celles qui n’ont pas les moyens de se procurer celui qui provient d’une banque de sperme : Un seul flacon peut coûter 1.000 dollars et plus aux USA.
« Les autres traitements de fertilité sont encore plus chers et ne sont généralement pas couverts par une assurance, ce qui pousse davantage de personnes à adopter des approches non réglementées et à faire elles-mêmes ».
Il n’y a pas (encore) d’étude qui expliquerait l’augmentation des prix au sein des banque de sperme chez les « ricains ».
Chez nous, c’est gratos, mais le « geste médical » d’une insémination artificielle a un coût.
D’autant que désormais, beaucoup plus qu’avant, on essaye de détecter les maladies génétiques chez les donneurs, ce qui entraînerait une pénurie d’hommes éligibles et donc, une augmentation des tarifs.
À croire que les « bons pineurs » sont tous atteints du SIDA ou d’autres MST chez les « ricains »…
 
Du coup, elles ont souvent recours à « l’insémination artificielle artisanale » : Lorsque Madame est en période d’ovulation, son donneur (présélectionné) se rend à son domicile pour éjaculer dans un gobelet. Elle utilise ensuite une seringue pour insérer le sperme en elle. Et tout le matériel peut s’acheter en ligne.
Des entreprises vendent même des kits spéciaux d’insémination à domicile.
Personnellement, me contenter d’un gobelet, je n’ose même pas imaginer…
Il est d’ailleurs difficile de savoir quelles motivations se cachent derrière les dons de ces hommes.
Inévitablement, les groupes « Fesses-bouc » où les gens échangent gratuitement du sperme manquent de réglementation, ce qui présente des risques à la fois pour les receveurs et les donneurs. Parmi ces derniers, certains exigent de procéder uniquement à une insémination naturelle, autrement dit, par un rapport sexuel. D’autres veulent assister à l’insémination.
 
Il y a aussi des escrocs. Dans certains posts sur le réseau social, des femmes dénoncent des donneurs qui ont demandé de l’argent pour expédier leur sperme à l’autre bout du pays, avant de disparaître avec le paiement.
Afin de minimiser les risques, certaines personnes s’accordent autour d’un contrat, qui définit dès le départ le rôle que le donneur jouera dans la vie de l’enfant à venir. Les futurs parents peuvent ainsi s’assurer que le donneur ne reconnaîtra pas l’enfant comme sien, tandis que le donneur s’assure de ne pas avoir à payer une pension alimentaire plus tard.
 
4 – Tout ça pour nous rassurer (nous les « kouillus ») : Nos femmes ont besoin de nous et contrairement aux stéréotypes répandus, même les féministes ne détestent pas les hommes !
(Ça sert de lire les sujets « scientifiques » des revues « scientifiques », croyez-moi !)
 
C’est en tout cas ce que révèle une étude « scientifique » de psychologie appliquée réalisée à grande échelle.
Les scientifiques ont recueilli les réponses de plus de 10.000 participantes de neuf pays différents à des questions telles que : « Les hommes se comportent-ils comme des bébés lorsqu’ils sont malades ? » ou « Les femmes cherchent-elles à acquérir plus de pouvoir en contrôlant les hommes ? »
Étonnamment, les conclusions étaient globalement les mêmes côté féministe et « non féministe ».
Il faut dire que comme questions kons, elles se posaient là…
Passons…
Et la même étude a été menée dans des pays asiatiques comme la Chine, l’Inde, le Japon, la Corée du Sud et Taïwan. Là aussi, les femmes ont adopté une attitude positive à l'égard des hommes.
 
Depuis l’avènement du mouvement féministe, du tsunami de « #MeToo » et du mouvement, « Touche pas à mon porc ! » « Balance-ton-porc », les défenseuses des droits des femmes ont souvent été accusées de haïr la gent masculine. Ces clichés largement répandus alimentent, à tort, le « mythe de la misandrie ».
« Les relations hommes-femmes sont entourées d’un mensonge. Les gens ont tort de rejeter le féminisme à cause de ce mythe », en conclue l’équipe de recherche avant d’ajouter : « Les attitudes des féministes à l’égard des hommes sont largement positives et similaires aux attitudes des autres personnes à l’égard des hommes. Pourtant, les gens pensent souvent le contraire, ce qui dissuade les femmes de prendre part à la cause féministe et la délégitime. »
Ah, voilà donc le ressort intime de cette étude-là ?
Recruter de l’adhérente !!!
 
Si, par exemple, au Royaume-Uni, la part de femmes s’identifiant au mouvement féministe (70 %) est en hausse chez les 18-24 ans, les « Ricaines » semblent plus timides : Là-bas, la question reste polarisée, un grand nombre pensant que le féminisme blâme injustement les hommes pour les problèmes qu’elles peuvent rencontrer dans leur vie quotidienne.
Or, l’étude avance que ses « conclusions peuvent apporter au débat public sur les relations hommes-femmes un cadre plus rationnel et plus éclairé ».
(Personnellement, je préfère le clair-obscur des relations intimistes, mais comme tous les goûts sont dans la nature…)
Les féministes semblent capables d’entretenir des relations positives et saines avec les hommes de leur entourage, tout en conservant une attitude critique à l’égard des inégalités persistantes entre les hommes et les femmes.
 
Tout ça pour finalement enfoncer des portes ouvertes, avouez que parfois la « science-en-marche » nous réserve des avalanches de « trouvailles scientifiques » sidérantes.
Ça méritait d’être signalé !
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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