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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 3 novembre 2023

Après l’heure des thés,

Arrive l’heure dix verres !
 
En arrivant le matin au bureau, Jean-Philippe, un collègue de Jean-Marc, lui lance :
« ― J’ai été patient, j’ai attendu, maintenant ça suffit ! J’ai rendez-vous à dix heures chez le patron, et là je vais lui dire : Ou vous m’augmentez sérieusement, ou je m’en vais !
― Tu vas vraiment le lui dire comme ça ?
― Et comment ! »
Et à dix heures moins deux, il se lève. Dix minutes plus tard, il est de retour.
« ― Alors ? » demande Jean-Marc, « tu as obtenu ce que tu voulais ?
― Ce n’est pas aussi simple que ça. Quand il y a deux points de vue opposés, il faut savoir négocier.
Alors nous avons discuté, et finalement on a coupé la poire en deux : Lui ne m’augmente pas, et moi je reste… »
 
Histoire post-« conard-virus » :
Un jour, un anglais se présente à l’hôpital de Beauvais et s’adresse à l’accueil (avec l’accent) :
« Bonjour, je voudrais me faire stériliser. »
On l’adresse à un chirurgien qui lui explique :
« ― Écoutez, monsieur, je veux bien vous stériliser, mais savez-vous, c’est une opération délicate et surtout irréversible.
― Ça ne fait rien, je veux me faire stériliser. »
Le chirurgien lui faire alors signer une décharge puis, le lendemain, procède à l’opération et quelques heures plus tard notre anglais est autorisé à rentrer chez lui.
Au moment où il quitte l’hôpital, il rencontre un de ses amis français qui lui demande :
« ― Alors Bob ! Ça y est, tu t’es fait vacciner ?
― Ha ! Vacciné ! C’est ça, je cherchais le nom. »
 
Jean-Marc raconte : « Samedi dernier, j’étais à la mairie pour un mariage, quand le maire a dit : « S’il y a une personne qui s’oppose à ce mariage qu’elle se manifeste maintenant ou se taise à jamais. »
Alors du fond de la salle, il y a une femme enceinte qui s’est levée et a commencé à s’avancer dans l’allée avec un enfant de 3 ans qui lui tenait la main.
Le marié transpirait, la mariée s’est évanouie.
L’assistance, témoins compris retenait son souffle.
Tous les cœurs battaient à tout rompre.
La tension était à son maximum.
Arrivée devant le maire, elle dit :
« Excusez-moi, mais quand on est derrière, on n’entend pas bien… »
 
Ce sont deux moustiques qui sont en train de discuter :
« ― Tu sais », explique le premier, « en vrai, les hommes nous aiment bien. 
― Ah, je pensais plutôt le contraire », dit l’autre.
« Si, si, je te jure. Hier soir, il y en a un qui a passé toute la nuit à m’applaudir ! »
 
C’est en hiver.
Dans la cour d'un établissement psychiatrique, les pensionnaires se promènent.
Le chien du gardien qui gambade dans la cour, s'approche de l’un d’eux.
Apeuré, celui-ci se baisse pour ramasser une pierre.
Mais celle-ci reste collée au sol par la gelée.
Alors, il s'enfuit vers la porte.
Le gardien l'arrête :
« ― Où courez-vous comme ça ?
― Je m'en vais. C'est une maison de fou ici !
Les chiens sont en liberté mais on attache les pierres. »
 
Jean-Marc et Jean-Paul :
« ― Dis donc, tu savais que les bossus ont un sexe deux à trois fois plus long que la normale ?
― Non ! Qui t’a dit ça ?
― Je l’ai entendu de mon toubib
― Je ne crois pas que ce soit vrai. Ils sont tous mal-foutus les pauvres, de partout !!!
― Écoute, on finit nos bières et on va aller devant l’église. Il y a toujours ce bossu qui fait la manche, on lui demandera… »
Et voilà les deux amis devant l’église.
Ils demandent au bossu :
« Dis-nous, il paraît que tu as un engin énorme… Si tu nous le montres, on te donne 20 euros »
Le bossu ne se le fait pas dire deux fois, il ouvre sa braguette et sort un truc énorme !
Les deux gars, éberlués, donnent au bossu ses 20 euros et, avant de partir, Jean-Marc lui dit :
« Si j'avais un engin pareil, je me ferais des pipes tout seul… »
Et le bossu de lui répondre :
« Et comment tu crois que je suis devenu bossu ? »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, devant une autre bière :
« ― Je suis certainement possédé : Tous les jours j’entends une voix qui me dit ce que je dois faire.
― Mais non, tu es simplement marié… »
 
Elle se réveille pendant la nuit et constate que son mari n’est pas au lit.
Elle enfile son peignoir et descend voir où il est.
Elle le trouve dans la cuisine, assis devant une tasse de café.
Il paraît bouleversé et fixe le mur.
Elle le voit essuyer une larme comme il avale une gorgée de café.
« Qu’est-ce qui ne va pas chéri ? »
Le mari lève les yeux de son café, il lui demande solennellement :
« Tu te souviens il y a 20 ans, quand on s’était donné rendez-vous.
Tu n’avais alors que 16 ans ? »
« Oui je m’en souviens », répond-elle, émue.
Le mari fait une pause, les mots lui viennent difficilement
« Te souviens-tu que ton père nous a surpris en train de faire l’amour à l’arrière de la voiture ? »
« Oui je m’en souviens très bien », dit la femme en s’asseyant à ses côtés.
Le mari continue :
« Te souviens-tu, quand il a pointé son flingue sur ma tempe et qu’il a dit : « Ou tu épouses ma fille, ou je t’envoie en tôle pour 20 ans » »
« ― Je m’en souviens aussi » répond-elle tendrement.
Il essuie une autre larme et dit :
« J’aurais été libéré aujourd’hui !!! »
 
Un officier de police arrête une voiture pour excès de vitesse.
L’officier dit : « Notre radar vous a chronométré à 80 km/h Monsieur. »
Jean-Marc dit :
« Mon Dieu, brigadier, je l’avais sur régulateur de vitesse à 60, peut-être que votre radar a besoin d’être recalibré ».
Ne regardant pas les yeux depuis son tricot, Germaine gentiment :
« Ne sois pas si stupide chéri, tu sais que cette voiture n’a pas de régulateur de vitesse. »
Alors que le brigadier écrit sur la contredanse, Jean-Marc regarde sa femme et grogne : « Tu ne peux pas vous taire pour une fois ? »
Germaine sourit et dit sans hésitation :
« Tu devrais être reconnaissant que ton détecteur de radar se soit déclenché quand il l’a détecté… »
Alors que le birgadier établit une deuxième contredanse pour possession d’un détecteur de radar illégal.
Jean-Marc braille contre sa femme et dit à travers les dents serrées :
« Merde, Germaine, tu ne peux pas la fermer ! »
Le brigadier fronce les sourcils et dit :
« Et je remarque que vous ne portez pas votre ceinture, monsieur. C’est une amende automatique de 35 € ».
Jean-Marc dit alors :
« Ouais, vous voyez officier, je l’avais sur moi, mais je l’ai enlevé quand vous m’avez arrêté pour que je puisse sortir mon permis de ma poche arrière. »
Germaine dit alors :
« Mais enfin, tu sais très bien que tu n’avais pas ta ceinture de sécurité. Tu ne portes jamais ta ceinture quand tu conduis. »
Et alors que le brigadier de police rédige la troisième contredanse, le Jean-Marc se tourne vers sa femme et aboie : « POURQUOI NE TAIS-TU PAS ? LA FERME ! »
Le brigadier regarde la femme et lui demande :
« ― Est-ce que votre mari vous parle toujours de cette façon, madame ? »
― Oh Dieu heureusement que non, monsieur le gendarme.
Seulement quand il a bu. »
 
Anne-Sophie, 6 ans, court vers sa mère :
« ― Maman, nos voisins sont très très pauvres.
― Pourquoi crois-tu cela ?
― Parce qu’ils sont en train de crier très fort parce que mon amie a avalé une pièce de 5 centimes. »
 
Remarque de Jean-Paul à l’adresse de Jean-Marc :
« Les dauphins sont tellement intelligents qu’après quelques jours de captivité, ils apprennent aux hommes à les nourrir de poissons frais tous les jours. »
 
Une très vieille « revenue » :
C’est un p’tit gars sort de l’école.
Une voiture arrive à sa hauteur.
Le chauffeur baisse la vitre…
« ― Hé, tu montes ?
― Nan !
― J’ai des bonbons…
― Nan !
― Hé, j’ai des bonbons et des caramels ! Monte !
― Nan je ne monterai pas.
― Si tu montes, je serai très gentil avec toi…
― Nan !
― Bon, ok, si tu montes, on va au cinéma.
― Nan !
― Mais enfin, qu’est-ce que tu veux à la fin ?
― Papa, je t’ai déjà dit 1.000 fois de ne pas venir me chercher avec la Lada ! »
 
Une autre :
C’est un homme qui s’évade de prison après 15 ans.
Il entre dans une maison pour voler de l’argent et un fusil.
Il trouve un jeune couple au lit.
Il ordonne à l’homme de sortir du lit et l’attache à une chaise.
Il attache ensuite la femme au lit.
Il se met dessus et l’embrasse dans le cou.
Ensuite il se lève et s’en va dans la salle de bain.
Le mari tout affolé en profite pour dire à sa femme :
« Écoute ma chérie, c’est un évadé de prison, regarde ses vêtements.
Cela doit faire longtemps qu’il n’a pas vu de femme. J’ai vu comment il t’embrassait dans le cou.
S’il veut du sexe, ne résiste pas, fais ce qu’il veut.
Donne-lui satisfaction même si ça te répugne. S’il se fâche, il peut nous tuer. Sois forte chérie.
Je t’aime. »
Sa femme lui répond :
« Il ne m’embrassait pas dans le cou, il m’a chuchoté à l’oreille qu’Il était gay, qu’il te trouvait de son goût et voulait savoir si on avait de la vaseline. Je lui ai dit oui, dans la salle de bain.
Sois fort chéri…
Je t’aime. »
 
C’est l’histoire de deux pauvres fourmis qui sont employées au service du nettoiement de la ville. Un jour, alors qu’elles balaient le trottoir, une Rolls blanche s’arrête à leur hauteur. Le chauffeur ouvre la portière arrière, et une cigale en descend, couverte de bijoux.
« ― Mais je te reconnais », dit une des fourmis, « tu es la cigale qui chantait tout l’été. Qu’est-ce que tu deviens ?
Ça marche très fort pour moi.
Mon dernier disque est premier au hit-parade, je fais le Zénith le mois prochain et c’est déjà complet.
Ensuite je pars en tournée en Amérique.
À un de ces jours les filles ! »
Et tandis qu’elle s’éloigne, la première fourmi, tout en se remettant à balayer, dit à sa collègue :
 
« Ce La Fontaine, quel con ! »
 
Jean-Marc consulte un psychanalyste pour une première fois.
Le médecin l’interroge :
« ― Depuis quand avez-vous envie de faire l’amour avec votre mère ?
― Hé, oh, qu’est-ce que c’est que ça ? Je n’ai jamais dit ça !
― Woah ! », rugit le psy, « si vous ne vous montrez pas plus coopératif, comment voulez-vous que je vous soigne ? »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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