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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 9 février 2023

Guerre & corruption : Le couple infernal !

Je vous avais promis d’y revenir…
 
Parce que j’ai déjà abordé le sujet il y a quelques années de ça :
Cf. : https://flibustier20260.blogspot.com/2017/02/la-corruption.html
Même que ça avait eu provoqué quelques déboires dès le jour suivant :
Cf. :https://flibustier20260.blogspot.com/2017/02/attentat.html
Qu’il aura fallu que je décampe au plus vite. De toute façon, je ne pouvais plus loger dans mon « Palazzo » en ruine, ravagé par les flemmes.
Mais ça te fout les chocottes et on ne sait toujours pas qui ni pourquoi. Même mon « boss » de l’époque, s’il en a peut-être su plus que moâ sur cet épisode sans jamais m’éclairer, il est parti avec ses secrets jusque dans sa tombe…
 
Aujourd’hui, je prends une nouvelle fois le risque de « remettre le couvert » : À mon âge avancé, et avec toutes mes ALD sur le dos, c’est un risque sans la même portée (sauf pour la « Séc-Soc » qui va faire des économies…).
D’autant qu’un rapport, un de plus, est sorti sur le sujet la semaine dernière et qui fait le lien entre corruption et guerre.
Un lien qui saute aux yeux.
 
Il émane d’un type qui affirme ne pas travailler (le veinard…), ne pas conseiller, ne pas posséder de parts, ne pas recevoir de fonds d’une organisation qui pourrait tirer profit de son papier, et déclare n’avoir aucune autre affiliation que son organisme de recherche.
J’espère que celui-là le rémunère copieusement…
Moâ, je déclare seulement (n’en déplaise à « Poux-tine ») ne pas être russe, profiter des hébergeurs de blogs « non russes » et qu’il convient de considérer que par conséquent j’ai des « fonctions » proches, sinon identiques ou en tout cas similaires à un agent « non-russe » !
L’assimilation me convient très bien : Né so corsu, né so fieru !
Et j’emmerde tous les dictateurs de la planète, en long, en large et dans les grandes profondeurs !
(Ouf : Ça soulage une fois que c’est dit… !)
 
Il s’agit de l’ONG Transparency International qui vient de publier son palmarès des pays du monde selon le niveau de corruption perçue en 2022.
Je rappelle seulement que cette organisation a été fondée à Berlin en 1993 par un ancien directeur de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et de l’Est et l’Amérique latine, ainsi que par un ancien membre des services de renseignement de l’armée américaine, et un conseiller en communication pour le monde de la finance également passé par la Banque mondiale, plus un homme d’affaires anglo-saxon.
Et qu’ainsi son existence doit en beaucoup à des fondations et des multinationales anglo-saxonnes, ainsi que des institutions gouvernementales américaines.
L’organisation reçoit par ailleurs des financements d’entreprises faisant elles-mêmes l’objet de condamnation pour des faits de corruption…
Tout va bien dans le monde des bisounours !
 
Mon pays est classé 22ème sur 180. Pas vraiment le podium… mais dans la moyenne « basse » de l’UE.
L’ONG pointe notre manque de moyens et d’indépendance des acteurs de la lutte contre la corruption. Un chiffre suffirait à illustrer ce cruel manque de moyens : Le PNF ne compte que 18 magistrats et 7 assistants spécialisés, 13 greffiers et 3 adjoints techniques pour traiter les quelques 600 affaires dont il est chargé.
La justice financière n’a bénéficié d’aucun crédit supplémentaire dans un budget de la justice en hausse de 8 % en 2022.
Quant à l’indépendance, il suffit de rappeler notamment que l’AFA est soumise à la double tutelle de deux ministères, justice et budget, qui ne se sont jamais articulés entre eux sur ce sujet de l’anticorruption, sans oublier qu’en l’absence d’une réforme de la justice pourtant promise depuis 10 ans, la nomination et la gestion de carrière des magistrats du parquet dépend toujours du Garde des sceaux, « sinistre de la Justice », « Du-Pont-&-Moriarty ».
Elle pointe également une dynamique engagée durant le quinquennat 2012-2017, le renoncement de l’exécutif actuel à renforcer les dispositions de la loi Sapin II en matière de transparence du lobbying qui s’essouffle.
Malgré une évaluation parlementaire menée au cours de l’été 2021 et un consensus sur la nécessaire révision du décret d’application du texte, notamment sur le registre des représentants d’intérêts de la HATVP afin qu’il reflète plus précisément les relations entre les décideurs publics et les représentants d’intérêts particuliers, aucune amélioration n’a été apportée sur ce point au cours du mandat…
Merci « Jupiter » ?
 
Or, le manque d’empressement des pouvoirs publics à clarifier leurs liens avec les intérêts privés et à lutter efficacement contre la corruption transforme la légitime exaspération des citoyens en un populisme qui menace l’Etat de droit.
Comme au « Liban, Bulgarie, Irak, Russie, Zimbabwe, Afrique du Sud… »
Mais on reste « mieux » que les USA, mais derrière le Canada, la Norvège, la « Teutonnie » ou « l’Helvétie », par exemple…
 
Cette année, l’étude de ce document confirme, une fois de plus, les liens étroits qui existent entre le degré de corruption d’un pays et le risque que ce pays soit engagé dans une guerre, extérieure ou civile. Il apert que dans un cercle vicieux inextricable, un pays plongé dans un conflit voit aussi son niveau de corruption croître.
 
Depuis sa création en 1995, l’Indice de perception de la corruption (IPC) est devenu le principal indicateur, à l’échelle mondiale, de la corruption dans le secteur public uniquement, ignorant superbement les entreprises privées et leurs financeurs.
Il permet de classer 180 pays et territoires plus ou moins corrompus, en utilisant des données provenant de 13 sources externes, dont celles de la Banque mondiale, du Forum économique mondial (Davos), de sociétés privées de conseil et de gestion des risques, de groupes de réflexion et autres.
Les scores attribués ― sur une échelle qui va de zéro (0 = forte corruption) à cent (100 = aucune corruption), en fonction du « degré de perception de la corruption », dans le secteur public, donc ― reflètent l’opinion d’experts et de personnalités du monde des affaires.
Bref, rien que du « très suggestif » dès lors qu’on entre dans le monde des « opinions ».
Mais c’est déjà mieux que rien, n’est-ce pas ?
 
La médaille d’or au concours des pays les plus corrompus vient d’être remise à la Somalie, suivie du Soudan du Sud, de la Syrie, du Venezuela, du Yémen, de la Libye, du Burundi, de la Guinée équatoriale, de Haïti, et de la Corée du Nord.
Détentrice du titre peu envié de pays le plus corrompu de la planète depuis 2007, la Somalie a plusieurs points communs avec ses « challengers » liés à leur haut niveau de corruption.
Les pays très corrompus sont tous caractérisés par une grande faiblesse de l’État. Exemple : La Somalie n’a quasiment plus d’État !
Depuis 30 ans, elle a connu deux guerres civiles, des famines catastrophiques, des interventions internationales ratées, des flux de réfugiés, des morts par centaines de milliers, la corruption entraînant une absence continue de services et d’institutions étatiques même rudimentaires.
Les Somaliens vivent dans un environnement de prédations, de menaces omniprésentes et de privations, cette insécurité impliquant des comportements de survie, comme le recours à la corruption pour avoir accès à de la nourriture ou à des médicaments.
 
La faiblesse d’un État détérioré par la guerre et la corruption se manifeste aussi au niveau du système judiciaire.
Quand l’État est déstabilisé, c’est la loi du plus fort qui s’applique et le plus corrompu peut avoir gain de cause dans un procès, même s’il est coupable.
C’est ainsi le cas de la Syrie, deuxième pays à être sur la liste (à égalité avec le Soudan du Sud), où l’enchevêtrement de la corruption et de la terrible guerre civile a fait du système judiciaire une jungle où gagnent ceux qui corrompent le mieux les juges.
Tout va bien chez « Assad-le-chimique », soutenu par un « brave d’entre les braves » dans la lutte contre les néonazis qu’est devenu « Poux-tine » (dont le pays est moins bien classé que son voisin biélorusse !
C’est dire…
 
Car naturellement, la corruption entraîne une perte de confiance des populations dans les institutions publiques, détruisant la moindre considération dans le système politique, ce qui accroît le risque d’une chute dans la violence politique, comme on le constate notamment au Venezuela, classé quatrième, qui s’est retrouvé ces dernières années au bord de la guerre civile.
Il faut dire qu’ils sont assis sur une éponge à pétrole, mais que récemment ils ont encore été capables de se priver de courant électrique (pour sauver la planète ?)
Et puis les « chavistes » et ses héritiers, s’ils n’ont plus le soutien efficace des castristes de chez La Havane (Cuba), ils restent au pinacle de l’olympe de « Mes-Luches » et de ses sbires qui harcèlent les marseillais et siègent en notre « Assemblée Nationale » : La République, la seule, la vraie, une et indivisible, ce sont eux, figurez-vous !
 
Logique : La corruption détériore le système démocratique par différents biais. Les populations reçoivent de l’argent pour voter en faveur du pouvoir, les commissions électorales sont achetées pour proclamer des plébiscites en faveur des dirigeants en place, les candidats indépendants sont menacés et même parfois assassinés…
Ainsi, le Soudan du Sud, deuxième du classement, est un cauchemar démocratique.
Ce pays indépendant depuis 2011 et dévoré par la guerre civile depuis 2013 est le théâtre de violations permanentes des droits de l’homme : Arrestations arbitraires, détentions illégales, tortures, meurtres…
Et avec la guerre, l’insécurité s’accroît et la corruption se développe encore plus.
 
En outre, la corruption détruit la liberté de la presse. Un dommage collatéral, s’il en est…
Dans les pays très mal classés en termes de liberté de la presse, comme la Corée du Nord de « Kim-tout-fou » ou la Russie de « Poux-tine », la propagande des autorités se déploie sans que le moindre désaccord ne puisse être formulé dans l’espace public (c’est même devenu un délit grave en Russie), ce qui laisse se propager le discours belliqueux des dirigeants et les agressions se multiplient.
Normal : C’est antifasciste et même anti-nazillon !
 
Pays particulièrement corrompu, le Yémen, cinquième au classement établi par Transparency International, est ravagé par la guerre depuis 2014 ― un conflit alimenté par la sous-information des populations du fait d’une presse aux ordres des acteurs qui contrôlent les diverses zones du pays.
L’ONG Reporters Sans Frontières (encore un repère à haute densité de fachots-gôchisants qui en perdent les repères des prérequis de leurs dogmes-dogmatiques…) présente ainsi la situation du pays : « Les médias yéménites sont polarisés par les différents acteurs du conflit et n’ont d’autre choix que de se conformer au pouvoir en place, en fonction de la zone de contrôle dans laquelle ils se trouvent, sous peine de sanctions. »
 
Enfin, dans une nation où règne la corruption, une petite minorité accapare la richesse nationale, la corruption pouvant être définie comme « l’utilisation de son pouvoir personnel à des fins d’intérêts privés contre l’intérêt collectif ».
Quand l’injustice sociale qui en découle, les tensions économiques se développent, ce qui crée un terreau particulièrement favorable à la guerre civile.
Le Soudan du Sud a été ainsi dépeint comme une « kleptocratie », un système dans lequel la classe dirigeante s’approprie les ressources publiques pour son propre profit au détriment du bien-être public.
Ça ne vous rappelle rien des pratiques de nos « sachants » ?
Mais eux prennent soin de s’abriter derrière la loi régulièrement votée par un « parlement-représentatif » de l’électorat : Autrement dit, c’est légal !
Pas au Soudan du Sud : Ils n’ont pas de loi à voter…
 
L’histoire d’Haïti est également parsemée de despotes, comme la famille Duvalier, qui ont mis en place un système de prédation économique visant à les enrichir au détriment de leur population.
Au final, un cercle vicieux s’est installé qui débute par la corruption, impliquant des tensions permanentes puis des conflits et, par suite, plus de crimes et de guerres.
Chez nous, on a au moins pris la précaution d’user d’un comité scientifique qui justifie de mettre tout le monde en « assignation à domicile » sous prétexte d’un « Conard-virus » venu de la Chine-démocratique & populaire !
Même que quand une de nos « sinistres » s’est fait épinglée pour mésusage des stocks de masques (que « Si-Bête-la-Diarrhée », « porte-la-parole » officielle du gouvernement, ne savait même pas comment se le mettre sur le nez… si, je n’invente rien !), même la Cour de cass. n’en dit rien puisque le délit d’« imprudence » qui met en danger la vie des gueuses & gueux, nés « sans dent » n’existe pas dans notre Code pénal…
Pas encore… une malencontreuse carence dans la « très grande sagesse du législateur », figurez-vous !
(Cf. https://flibustier20260.blogspot.com/2023/02/mise-en-danger-dautrui.html)
 
Force est donc de constater, comme le fait le dernier indice de corruption (ressentie) de Transparency International, que les pays les plus corrompus sont tous des pays instables économiquement, politiquement et socialement.
Si tous ne sont heureusement pas en guerre (le règne absolu de la violence brute, gratuite et aveugle), tous sont, selon des modalités différentes en crise profonde.
Et au fil des conflits, toutes les institutions de gouvernance ont été détruites.
 
Or, l’insécurité incite à se livrer à tous les trafics.
Sans institutions de contrôle, un sentiment d’impunité totale s’installe et la corruption devient systémique (comme on peut le voir au Liban voire jusqu’en Ukraine).
La diffusion de la corruption en fait alors une norme sociale : « Corrompre, c’est la seule manière de survivre », pourraient s’exclamer en cœur les populations des pays les plus corrompus…
 
Est-ce donc ce « monde-là » que je lègue à ma « Nichée » en héritage ?
J’en ai hérité moâ-même et mon « Papa-à-moâ » (celui qui me fait encore « frémir » à chaque fois que je l’évoque…) qui en est bien mort sous le feu de son voisin instrumentalisé par quelques corrupteurs qu’il cherchait à empêcher de nuire…
Et il n’a pas été le seul.
Autrement dit, je n’ai pas fait mieux que lui !
Et c’est bien triste mais comme ça…

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