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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 15 février 2023

De qui se moque-t-on au juste ?

Révélations autour des gazoducs Nord Stream…
 
Franchement, je me marre tellement le truc est drôlement bien fait !
Le principe : Tu prends une « gloire » ricaine et tu lui fais avaler un truc énorme, que, naturellement, il recrache et tu attends de voir où et comment ça retombe…
Par exemple, tu prends un Nobel de médecine et tu lui fais dire que la vaccination contre le « Conard-virus », ce n’est pas vraiment comme d’une grippe, ça ne sert à rien.
Là, on sort un octogénaire de la naphtaline, prix Pulitzer 70 s’il vous plait, l’équivalent du Nobel pour les « journaleux », et tu lui balances une information « de source sûre » et de première main et hop, d’un coup de billard, tu fais trois bandes avant de caramboler.
Première bande, ça dédouane sans frais les soupçons qui te pesaient dessus, tu désignes dans une « story » cohérente ton adversaire, et tu enfonces un coin « logique » dans l’alliance militaire de l’Otan en espérant qu’elle explose en vol !
Moâ, je trouve ça magnifique !!!
Pas vous ?
 
Ladite alliance, elle était en état de « mort cérébrale » d’après « Jupiter »… Ce qui n’était pas totalement faux quand la marine Turque pointait ses radars de tir sur les frégates de notre Royale et achetait du matériel militaire aux Russes.
Notez, on leur vendait bien des navires de commandement depuis Saint-Nazaire…
Passons : Un coup de « Bling-bling » pour financer sa campagne électorale, mais ça n’a pas bien fonctionné…
Et puis il y a eu cette « opération spéciale » russe dont tout le monde parle depuis un an et tout d’un coup, l’alliance grossit de deux pays réputés avoir toujours été neutres depuis la fin de la dernière guerre mondiale, et certains pays de la même alliance envoie du matériel militaire chez les agressés (et occupés) pour qu’ils se défendent efficacement.
L’Otan n’a toujours pas pris les armes, mais en vend plein aux Ukrainiens, histoire de tester les matériels…
Notez que l’Iran et la Corée du Nord en vendent bien aux Russes un peu à court de moyens et de munitions… mais pas de chair à canon.
Or, dans les grosses colères de l’Occident, y’a un « Baille-dan » qui menace de couper un gazoduc, un seul sur les quelques-uns, qui serpentent à travers l’Europe pour acheminer de quoi faire sauter les crêpes de la Chandeleur en « Teutonnie », et en plus il fait ça à l’occasion d’une rencontre avec le chancelier Teuton… qui n’en demandait pas tant et ne bronche même pas quand on lui tranche la gorge, puisqu’on ne savait pas alors comment mettre en place des sanctions et embargos sur les exportations russes, coupant ainsi ses financements habituels en « pétrodollars ».
 
Et quatre mois après, le truc tout neuf qui n’a jamais servi, et son frère jumeau qui est à l’arrêt, saute le même jour à une poignée d’heures d’écart !
Fabuleux : Personne ne s’y attendait et si tout le monde désigne le Kremlin, après tout, c’est à lui (et quelques associés cocus de l’expérience), et il n’avait qu’à fermer les vannes pour un résultat identique ― d’ailleurs il le fait pour la Finlande ― et depuis l’enquête piétine depuis pour déterminer les responsabilités.
D’ailleurs Moscou n’y participe pas et interdit même à des enquêteurs « hostiles » de fouiller dans ses tiroirs, armoires, placards et poubelles.
On pensait l’affaire entendue…
 
Mais que voilà la bonne idée de relancer le piège, notre « prix Pulitzer », informé aux sources les « plus sûres », citant même une (unique) source ayant « une relation directe de la planification de l’opération », affirme droits dans les yeux que les plongeurs de l’armée américaine ont été aidés par la Norvège.
Le bonhomme reste controversé : Déjà en 2015, sa réputation avait commencé à fortement décliner après un article consacré à la mort de Ben Laden au Pakistan qui remettait en cause la version officielle.
Par la suite, ses prises de position sur d’autres sujets sensibles comme la guerre en Syrie ou l’empoisonnement de Sergei Skripal avaient contribué à en faire un auteur « douteux ». On lui reprochait, notamment, le fait d’être parfois trop dépendant « d’une unique source anonyme ».
 
Il écrit noir sur blanc que le président US a lui-même décidé de faire exploser ces pipelines, considérés à la Maison-Blanche comme « un moyen à la disposition de Vladimir Poutine pour transformer le gaz naturel en arme à des fins politiques et territoriales », ce qui objectivement n’est pas faux non plus.
Il rappelle même que le Nord Stream 1, déjà, « était perçu depuis ses débuts par Washington et ses partenaires anti-russes de l’Otan comme une menace à la domination occidentale ».
Des craintes justifiées puisque Poutine « bénéficierait d’une source de revenu supplémentaire et essentielle » tandis que « l’Allemagne et le reste de l’Europe occidentale deviendraient dépendants de son gaz naturel à faible coût tout en diminuant la dépendance européenne envers l’Amérique ».
Ce qui faisait déjà de l’ombre aux industriels « ricains »…
 
Et comme ça ne suffit pas, il ajoute que « la décision de Biden de saboter les pipelines a été prise après plus de neuf mois de débats très secrets avec la communauté de la sécurité nationale de Washington sur la meilleure façon d’atteindre cet objectif ».
Première incohérence : Ce serait donc à partir de décembre 2021, deux mois avant le début de l’offensive russe en Ukraine, que le « ricain » s’est réuni avec son conseiller à la sécurité en présence des chefs de la CIA, « pour réfléchir sur la manière de répondre à l’invasion imminente ».
Et avec un raccourci magistral, il ressortirait de cette réunion que la question centrale « n’était pas de savoir s’il fallait accomplir la mission, mais plutôt de savoir comment s’y prendre sans que le responsable ne soit identifié ».
Deuxième incohérence donc : N’y avait-il pas plus urgent à traiter deux mois avant le début de « l’opération spéciale » russe et six après un sommet raté de Genève ?
Souvenez-vous, décembre 2021, c’est l’époque où « Poux-tine » énonçait son ultimatum aux occidentaux, « à prendre ou à laisser », pas à la carte, mais au menu… et de revenir à leurs frontières de 1990 !
 
D’après « la source » tel qu’on nous le rapporte, l’opération d’installation des explosifs, déclenchés à distance (semble-t-il par un avion de patrouille maritime Orion P-3 parti des USA), a été menée « sous couvert d’un exercice de l’Otan, sous le nom BALTOPS 2 », lancé en juin à Stockholm (Suède). La Norvège, ajoute le Pulitzer, « était l’endroit idéal » pour préparer l’opération, en raison de la présence d’infrastructures militaires américaines dans le pays.
Là, ok, sauf que la Norvège, ce n’est pas la Suède, mais passons.
« Ils détestaient les Russes et la marine norvégienne regorgeait de marins et de plongeurs exceptionnels qui avaient des générations d’expérience dans l’exploration pétrolière et gazière en haute mer », aurait précisé « la source » du « journaleux ».
Ainsi on apprend que le « bon endroit » pour placer les explosifs a été repéré par la marine norvégienne qui craignait, avec les Américains, que leur « activité sous-marine inhabituelle dans les eaux au large de Bornholm alertent les marines suédoises et danoises », mais auraient insisté pour que des officiels et hauts gradés de ces deux pays soient informés de l’opération.
Troisième incohérence : Pourquoi avertir si on ne veut pas alerter, expliquez-moâ ?
Peu importe finalement…
 
Réaction de Moscou : « Certaines choses dans l’article sont contestables, d’autres ont besoin d’être prouvées, mais l’article est remarquable par son analyse profonde et son exposé harmonieux ».
Pour moâ, c’est plutôt l’inverse : Trois incohérences, c’est beaucoup pour être « harmonieux ».
Qu’ils doivent bien se marrer à Moscou, car il n’y a pas que ça…
 
Le « scoop » tombe finalement bien entre « piétinement » russe dans le Donbass, tremblement de Terre en Turquie et en Syrie (et réforme des retraites à l’ancienne en « Gauloisie »). Les enquêtes sur le sabotage du gazoduc piétinent également depuis plusieurs mois, et d’autres journaleux s’interrogent : Les accusations contre Moscou n’étaient plus devenues plausibles aux yeux de plusieurs qui estimaient que la Russie « avait peu à gagner à endommager les gazoducs » qui lui génèrent des « milliards de dollars de revenus annuels ».
Il faut dire que les médias n’avaient pas non plus perdu de temps, à l’époque.
Dix jours à peine après le sabotage, le journal Le Monde évoquait l’enquête d’un quotidien suédois « réalisée à partir des données du trafic maritime », qui indiquait que les autorités suédoises « auraient eu des soupçons sur de possibles agissements de la Russie avant même les explosions des gazoducs ».
Des détails troublants étaient rapportés : Un navire de la marine russe avait été repéré, naviguant « de façon inhabituelle » dans la « future zone du possible sabotage ». Des informations qui, à en croire Le Monde, avaient été « en partie » confirmées par la Marine suédoise.
Un mois et demi plus tard, le 18 novembre, un procureur suédois indiquait que son enquête concluait à un sabotage, sans plus : Les analyses réalisées montraient des restes d’explosifs (j’aurai pu le prédire !). Il ajoutait que l’enquête préliminaire allait continuer afin de déterminer si quelqu’un pouvait être « poursuivi pour crime ».
Il n’y a pas de crime, puisqu’il n’y a pas eu mort d’homme et que personne n’a déposer de plainte pénale…
 
Fin décembre, on attendait toujours. Interrogé par le New-York Times le chef du contre-espionnage suédois, prétendait ne pas pouvoir désigner un auteur mais aidait grandement à l’identifier. Il fallait, d’après lui, replacer ce sabotage « dans le contexte d’un espionnage russe éhonté ».
Des sous-marins russes violaient les eaux territoriales, jusqu’à s’échouer sur des hauts-fonds, il y a quelques années de ça.
À ce moment-là, en réalité, la presse américaine commençait à exprimer ses doutes. L’article du New-York Times en témoignait : Si la Russie avait détruit ses propres gazoducs, pourquoi prenait-elle maintenant des mesures coûteuses pour les réparer, s’interrogeaient-ils ?
Ils ajoutaient qu’il fallait bien comprendre que cette affaire comportait « plusieurs niveaux d’intrigue et de multiples acteurs aux motivations diverses ».
Et que de vous à moâ, ce gazoduc ne sera jamais réparé…
D’ailleurs les russes n’ont jamais démarrer la moindre opération en ce sens.
C’est donc que si c’étaient les auteurs, ils cherchaient autre chose, avaient un autre objectif, caché celui-là.
Seulement si c’étaient les auteurs, n’est-ce pas…
 
Suivait alors cette remarque, qui en disait long, à propos de la décision du gouvernement suédois « de garder secrets les détails de son enquête auprès de ses alliés occidentaux ». Ce qui, d’après les journalistes américains, avait provoqué de discrètes spéculations selon lesquelles les enquêteurs avaient peut-être résolu l’affaire mais avaient choisi de rester « stratégiquement silencieux ».
Eh oui, à quoi bon révéler ce que tout le monde supposait déjà ?
Sauf à générer de la suspicion sur laquelle notre Pulitzer fait le buzz depuis la semaine dernière …
 
Quelques jours avant, le 21 décembre, le Washington Post avait également fait paraître un article sur le sujet dont le titre avait le mérite de la clarté : « Aucune preuve concluante que la Russie est derrière l’attaque de Nord Stream. »
Et il n’y en aura jamais…
La condamnation de Moscou avait été immédiate et générale mais, après plusieurs mois d’enquête, de nombreux responsables occidentaux affirmaient « en privé » que la Russie n’était peut-être pas le responsable. Ces « sceptiques » soulignaient le fait que Moscou n’avait rien à gagner à endommager ses pipelines qui alimentaient l’Europe occidentale en gaz naturel et lui généraient des milliards de dollars de revenus annuels, on l’a déjà dit, tellement ça tombe sous le sens.
C’est là où ils se trompent dans les grandes largeurs.
Et c’est dans ce contexte que sort le scoop de notre Pulitzer : Les choses étaient mûres, le poisson ferré, il n’y avait plus qu’à mouliner !
 
D’autant qu’après des semaines d’enquête, notre « Pulitzer » indique que les repérages et les charges auraient été posées à l’occasion des exercices « BALTOPS 22 ». Ils en font régulièrement tous les ans, sauf en période de « Conard-virus ». Il s’agit de quatorze Alliés ainsi que deux pays partenaires de l’Otan, la Finlande et la Suède mettant en jeu plus de 45 bâtiments, plus de 75 aéronefs et 7.500 personnels.
16 pavillons qui tournent plus au Nord de la Baltique autour d’une île partagée entre la Finlande et la Suède à défendre, à savoir Gotland, pas au Sud à deux pas du Danemark et de la Teutonnie.
C’est le principal exercice annuel à dominante maritime qui s’est déroulé du 5 au 17 juin l’année dernière et offre une occasion unique d’effectuer un entraînement pour renforcer les capacités de réaction conjointes qui sont essentielles pour préserver la liberté de navigation et la sécurité en mer Baltique. Il s’agissait de la 51ème édition de cette série d’exercices, qui a commencé en 1972.
Les pays participants sont la Belgique, la Bulgarie, le Danemark, l’Estonie, la Finlande, la « Gauloisie-impériale », la « Teutonnie » (également impériale), la Lettonie, la Lituanie, les Pays-Bas des « bataves », la Norvège, la Pologne (des « polaks »), la Suède, la Turquie, le Royaume-Uni des « rosbeef » et les « ricains » des États-Unis et personne n’aurait remarqué un navire spécialement équipé pour aller poser des charges sur deux tuyaux d’un mètre quinze posés au fond par 80 à 110 mètres, comme si c’était d’usage courant dans la région ?
Certes, nos « militareux » savent faire.
Mais de là à passer inaperçu… permettez-moâ d’en douter bigrement !!!
 
Et pourtant, les scénarios d’exercice incluaient des Opérations amphibies, destirs au canon, la lutte anti-sous-marine, la défense aérienne, des opérations de déminage, le traitement de dispositifs explosifs, des véhicules sous-marins sans pilote et des interventions médicales dont, en particulier un entraînement à la récupération de personnels à bord d’un sous-marin.
Vachement « cohérent » et « harmonieux » quand on sait qu’un sous-marin chinois est déjà capable de se faufiler en douce dans une « Task force » US en mouvement au large de Taïwan et de faire surface au beau milieu sans déclencher la moindre alerte…
J’en rigole encore très fort, figurez-vous.
 
Mais alors quoi et pourquoi ?
D’abord, une cinquième incohérence : Pas de trace du MI6 britannique dans le dire du « Pulitzer » alors qu’ils ont tout à portée de main.
Eux aussi ont des plongeurs de combats expérimentés, des oléoducs à surveiller, du matériel à foison et étaient sur place pour les exercices.
Qui plus est, ils ont également des avions « Orion » et de toute façon ravitaillent ceux venus des USA.
Voilà qui est curieux alors qu’ils n’ont pas d’état d’âme dans leur lutte contre la « Sainte-Russie » (qui le leur rend bien, même si c’est « en douce »).
C’est d’ailleurs ce qui m’a étonné dans le papier du « Pulitzer » : Manifestement, il s’est fait enfler le ciboulot !
L’UK, ça reste la cheville ouvrière de la CIA en Europe.
Et puis il ne dit pas un mot des câbles Interne sectionné au large de Marseille, à peu près à la même époque.
Peut-être que ça n’a rien à voir.
 
Comment alors ?
Bé un simple chariot bourré d’explosif qui se faufile discrètement dans les tuyaux depuis Saint-Pétersbourg, ce n’est pas si compliqué que ça à imaginer… et surtout à mettre en œuvre.
Bien plus facile que d’enfiler des charges sur 50 mètres de long même pour des équipes « expérimentées » et de devoir stationner un bâtiment support en surface.
Et puis les charges, ça « implose » le tuyau avant d’en disperser les morceaux, ça ne l’explose pas nettement comme sur les rares photos de l’attentat peuvent le montrer.
Sixième incohérence…
 
Pourquoi ?
Pas pour le plaisir de le réparer une fois que la paix sera revenue en Europe, naturellement.
Pour piéger le « ricain ». Il s’est vanté un peu vite et bien trop tôt de pouvoir détruire le gazoduc, n’importe quand. Et qu’il le ferait, même en temps de paix…
Eh bien on lui a forcé la main, ni plus ni moins… avec un tuyau qui ne servait plus à rien !
Dans quel but ?
Mais là c’est assez simple : Pour dégrader la confiance des alliés européens dans l’alliance Nord-Atlantique, pardi !
Bé oui, il est écrit qu’ils sont solidaires entre eux si l’un d’entre eux était agressé.
Mais il n’est dit nulle part ce qui se passe quand l’un d’entre eux agresse un autre d’entre eux.
Les Turcs font caguer depuis bien longtemps les Grecs à ce jeu-là !!!
Chypre en est le témoin privilégié depuis des décennies.
 
Là, le jeu de Moscou paraît bien plus limpide au moment où ses troupes se font décimer par le matériel occidental depuis presqu’un an pour protéger le Donbass, ces tireurs d’élite criminels qui n’hésitent pas à abattre des avions civils dans leurs cieux : Le MH 17, par exemple !
Bref, une fois de plus, on nous prend pour des andouilles…

Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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