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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 17 février 2023

Histoires débiles…

Histoire d’en rire !
 
C’est l’histoire du nouveau facteur hésite à pénétrer dans le jardin d’un pavillon de banlieue défendu par un effrayant bulldog.
« ― Ne craignez rien », lui lance Jean-Paul, le propriétaire de l’animal. « Je l’ai fait couper.
― Mais, mais… » fait le jeune facteur, « la seule chose dont j’ai peur, c’est d’être mordu. »
 
Une « vieille-revenue » :
Cendrillon, Quasimodo, Einstein et Don Juan discutent à propos de la personne la plus remarquable de l’univers.
Cendrillon : « C’est moi, la personne la plus remarquable de l’univers, car je suis la plus belle femme au monde. »
Des gamins dans une cour de récréation…
Einstein : « Oui, mais moi, je suis l’homme le plus intelligent du monde. »
Quasimodo : « Mais moi, je vous surpasse, car je suis l’homme le plus vilain au monde. »
Don Juan : « Peut-être, mais moi, je suis le plus grand niqueur de la planète. »
La conversation dure, et chacun reste sur ses positions.
Finalement, Einstein a une idée :
« Allons voir Merlin l’enchanteur, et lui pourra nous dire qui est la personne la plus remarquable. »
Arrivés chez Merlin, celui-ci leur dit :
« Je vais vous recevoir chacun son tour en tête à tête, puis je vous donnerai ma décision. »
Cendrillon entre donc la première, et ressort 10 minutes plus tard. Tous :
« ― Alors ? C’est toi la plus belle ?
― Oui, il m’a confirmé que je suis bien la plus belle femme au monde. »
Viens le tour d’Einstein. Il revient après 10 minutes, souriant Tous :
« ― Alors ? C’est bien toi le plus intelligent ?
― En effet, il m’a confirmé que je suis bien l’homme le plus intelligent. »
Entre ensuite Quasimodo, qui lui aussi revient au bout de 10 minutes.
« ― Alors, tu es le plus vilain ?
― Merlin a été formel, je suis bel et bien l’homme le plus laid, le plus vilain, au monde. »
Viens finalement le tour de Don Juan, qui entre, mais qui tarde à revenir.
30 minutes passent, 45 minutes, 1 heure.
Au bout de deux heures, il revient enfin, en pleurs. Tous :
« Alors ? C’est bien toi le plus grand niqueur au monde ? »
Et Don Juan, de répondre, toujours en pleurs :
« Vous connaissez, vous, un gars qui s’appelle Bill Clinton ? »
Mais ça aurait pu être n’importe qui d’autre de votre choix qui ne sait pas se retenir face à une dame… comme Jean-Marc !
 
C’est une histoire « arrangée » par Jean-Marc :
Celle du nouveau vicaire qui arrive dans une paroisse, et où le premier dimanche, le curé lui dit : 
« Moi, je vais faire les annonces et te présenter aux paroissiens et tu vas faire le sermon. Sur quel sujet veux-tu développer ton sermon ? »
Le vicaire dit :
« ― La multiplication des pains
― C’est parfait ! » lui répond le curé.
Après les présentations d’usages le vicaire monte en chair et commence son sermon.
« Mes biens chers frères, vous savez que le Christ a fait de grandes choses lors de son passage sur terre.
Aujourd’hui nous parlerons de la multiplication des pains. Vous savez tous que Jésus réunissait des gens pour les instruire.
Un jour, il y avait une foule qui l’écoutait depuis longtemps et n’avait pas mangé et Jésus fit un miracle et il a nourri 5 personnes avec 5.000 pains et 2.000 poissons. »
Il y avait un gars, Jean-Marc, qui riait à pleine fort sur son banc.
Le vicaire avait bien remarqué mais termina son sermon.
Après la messe le vieux curé lui dit :
« ― Tu as fait une erreur dans ton sermon, tu as dit que le Christ avait nourri 5 personnes avec 5.000 pains et 2.000 poissons.
― C’est vrai, je vais corriger cela dimanche prochain. »
Le dimanche suivant il monte en chair et dit :
« Mes biens chers frères dimanches derniers j’étais un peu ému, nouveau parmi vous et j’ai vous dit que Jésus avait nourri 5 personnes avec 5.000 pains et 2.000 poissons.
C’est le contraire Jésus a nourri 5.000 personnes avec 5 pains et 2 poissons. »
Notre Jean-Marc, qui avait ri le dimanche précédent était cette fois-ci plié en deux sur son banc, et le vicaire fâché le pointe du doigt et lui dit :
« ― Serais-tu capable toi d’en faire autant ?
― Oui, avec tes restes de dimanche dernier ! » 
 
Jean-Marc rapporte que Jean-Paul, assis depuis mal longtemps à la taverne et après avoir consommé plusieurs bières en l’attendant, est évidemment un peu ivre.
Il appelle bruyamment le garçon :
« ― Garçon, garçon !
― Oui monsieur ?
― Ton horloge tourne très vite.
― Monsieur … c’est pas l’horloge, c’est le ventilateur… »
 
C’est l’histoire de Jean-Marc assis à la taverne, déguste lentement son unique verre de bière.
Cassé comme un clou, il ne peut s’en offrir un deuxième.
Mais il lui vient une forte envie d’uriner.
Après avoir fait trois nœuds et dans ses jambes et dans son instrument urinaire, il prend un morceau de papier sur lequel il écrit :
« J’ai craché dans mon verre. »
Il met l’écriteau sur le bord de son verre et se disant, personne n’osera me voler mon verre et le boire et s’en va se soulager.
Revenant des toilettes, il trouve son verre intact, personne ne l’a touché, mais sur son écriteau, on a ajouté :
« Moi aussi ! »
 
C’est l’histoire d’une femme qui monte dans un autobus bondé.
Elle s’approche d’un monsieur assis et lui dit :
« ― Pourriez-vous me laisser votre place, s’il vous plaît, je suis enceinte ?
― Oui, bien sûr », répond Jean-Marc, toujours galant avec le beau-sexe.
Il se lève et lui laisse sa place, puis il demande :
« ― Mais ça ne se voit pas du tout. Ça fait combien de temps ?
― Oh… Dix minutes. Mais ça m’a coupé les jambes ! »
 
Une gentille vieille dame va voir son docteur.
« ― Docteur, j’ai un petit problème avec mes gaz… je dois pourtant dire que ça ne me dérange pas tant que ça.
Ils ne sentent jamais et ils sont toujours silencieux.
Rien que pour dire, j’ai pété au moins dix fois depuis que je suis dans votre cabinet et je suis certaine que vous vous en êtes jamais aperçu parce qu’ils sont silencieux et qu’ils ne sentent pas.
― Je vois. Prenez ces pilules et revenez me voir la semaine prochaine. »
La semaine suivante, la vieille revient.
« ― Je ne sais pas trop ce que vous m’avez donné, mes gaz restent silencieux, mais ils puent terriblement.
― Très bien, dit le docteur. Maintenant que nous avons réglé le problème des sinus, travaillons sur votre ouïe. »
 
C’est une vieille histoire qui remonte à Boris Eltsine, Bill Clinton et Ernesto Zedillo, quand ils décident d’aller prendre un verre ensemble dans un café à Paris.
Une fois bien installé, le garçon leur demande :
« Messieurs, un apéritif ? »
De leur meilleur français, ils répondent :
« Oui ! »
Le garçon regarde Zedillo :
« Une tequila ? »
Et Zedillo de répondre :
« Oui ! »
Le garçon se tourne vers Eltsine :
« Une vodka ? »
Et Eltsine de répondre :
« Oui, s’il vous plaît ! »
Le garçon demande alors à Clinton :
« Et le whisky pour vous Monsieur le Président ? »
Clinton grogne alors au garçon :
« Ne mentionne jamais plus ce nom devant moi ! »
 
Durant la dernière guerre mondiale, les troupes ennemies entrent dans un couvent et commencent à violer les sœurs.
Celles-ci se mettent à implorer et à crier : « S’il vous plait, s’il vous plait, épargnez la sœur supérieure ! »
Après quelques minutes de ces cris, la sœur supérieure prend à son tour la parole :
« Hé les nonnes ! Ça va pas la faire, là ! Voulez-vous bien vous mêler de vos affaires ! »
 
Jean-Marc drague la fille depuis un bon bout de temps.
Il est prêt à n’importe quoi pour obtenir ce qu’il veut d’elle…
« ― Je ferais n’importe quoi pour toi.
― Ok. Vide ton compte en banque sur le mien ! »
 
Toujours au bar, autre tentative :
« ― J’irais au bout du monde avec toi.
― Vas-y, j’irai te rejoindre ! »
 
Encore au bar :
« ― Ah si je pouvais te voir nue, je pourrais mourir heureux !
― Et moi, si je te voyais dans toute ta splendide nudité, je crèverais de rire ! »
 
À propose des devinettes que Jean-Marc pose à Jean-Paul quand ils picolent chacun sa bière :
« ― Pourquoi les centres d’accueil donnent du Viagra aux petits vieux avant de les coucher ?
― Je ne sais pas…
― Pour ne pas qu’ils roulent en bas de leur lit dans la nuit. »
 
Un homme d’âge avancé, se rend à la pharmacie du coin et demande à ce qu’on lui donne du Viagra.
Le pharmacien lui dit :
« Aucun problème, combien en voulez-vous ? »
L’homme lui répond :
« Seulement quelques-uns, peut-être 4, mais coupez-les en quatre bouts, s’il vous plaît. »
Le pharmacien lui dit :
« Ça ne vous fera pas tellement effet. »
Et le vieil homme réplique :
« C’est très bien comme ça, je ne les utilise pas pour le sexe, après tout, j’ai 90 ans mais je veux que mon engin soit assez étiré pour ne pas uriner sur mes pantoufles ».
 
Jean-Paul résume :
« Lorsque j’avais 14 ans, tout ce que je désirais, c’était d’avoir une blonde avec une forte poitrine.
Lorsque j’ai eu 16 ans, j’ai rencontré une fille avec une superbe poitrine mais il n’y avait pas de passion.
J’ai alors décidé de me trouver une copine passionnée.
Au collège, j’ai eu l’occasion de rencontrer une fille passionnée, mais elle avait trop d’émotions, tout était URGENT, elle était la reine de la dramatique, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
J’ai alors opté pour une fille plus stable.
J’ai par la suite trouvé une fille stable mais elle était ennuyante. Elle était totalement prévisible et jamais qu’elle s’excitait à propos de rien. La vie est devenue tellement monotone que j’ai décidé de trouver une fille plus excitante.
J’ai finalement trouvé une fille très excitante, à un tel point que je ne pouvais plus la suivre. Elle me bousculait d’une chose à l’autre, ne s’arêètant jamais sur rien. Elle était de tout plaisir au début et très énergétique mais trop frivole. Elle courtisait tous les hommes sous son passage. Elle m’a rendu aussi souvent misérable qu’heureux.
J’ai alors décidé de chercher une femme avec un peu plus d’ambition.
J’ai finalement trouvé une femme intelligente et ambitieuse, avec les deux pieds bien ancrés sur terre et je l’ai épousé. Elle était tellement ambitieuse qu’elle m’a divorcé et parti avec tous mes avoirs.
Maintenant, tout ce que je cherche, c’est une femme avec une forte poitrine. »
 
Ça se passe à la direction d’une très grande entreprise…
« ― Patron, j’ai deux grosses nouvelles pour vous. Une mauvaise et une très mauvaise.
― Vite ! Commencez par la mauvaise.
― Bien votre femme a trouvé une photo qui vaut une fortune !
― Hein ? Vous appelez ça une mauvaise nouvelle ! Alors vite, vite, la très mauvaise !
― Disons que… ben…m…
― Allez, allez !
― C’est vous et la vice-présidente des ventes à quatre pattes dans la salle du conseil. »
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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