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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 16 février 2023

Étape suivante de « Poux-tine »

L’ogre russe ne se suffira probablement pas du Donbass
 
Déjà, il est tenté de passer à la phase suivante dans sa grande ambition de reconstituer l’ex-URSS.
Car c’est bien son objectif final : Mise au pas de la Tchétchénie, annexion de la partie russophone de la Géorgie, l’Abkhazie et l’Ossétie du Sud, annexion de la Crimée et création d’un continuum terrestre à travers l’Est de l’Ukraine, vassalisation de la Biélorussie, mise au pas du Haut-Karabagh arménien, menaces sur les pays Baltes, il reste les enclaves de Kaliningrad surarmée et de la Transnistrie à régler.
Avec les mêmes méthodes.
Et ça aurait déjà été fait si Kiev n’avait pas manifesté autant de résistance.
Résultat, la Moldavie reste encore une cible importante à déstabiliser…
C’est en tout cas ce que nous fait savoir la Présidente de ce pays.
Son allocution était courte, le ton était des plus sombres, Maia Sandu a prévenu ses concitoyens que Moscou préparait activement un plan pour renverser son gouvernement.
Et Moscou ne s’est même pas donné la peine de démentir et protester…
De toute façon, quelle utilité puisque « Poux-tine » est un menteur patenté et avéré ?
 
L’objectif est clair : Remplacer les autorités en place par un régime fantoche, comme en Ukraine avant la Révolution orange, stopper la procédure accélérée d’accession à l’Union européenne entamée en juin 2022, faire du pays un satellite servile des intérêts russes, comme peut l’être la Biélorussie et, pourquoi pas, s’en servir pour ouvrir un nouveau front dans la guerre en cours contre l'Ukraine voisine.
Une allocution qui est intervenue à un moment critique pour la petite république. Il y a quelques jours, Volodomy Zelensky prévenait, lors de sa visite à Bruxelles, que ses services de renseignement avaient intercepté le plan russe pour mettre la Moldavie à genoux.
Prises d’otages, attaques des institutions par des militaires camouflés en civils...
 
Un peu plus tôt, le pays était secoué par le survol de son espace aérien par l’un des missiles de croisière envoyés par Moscou sur son voisin que les Roumains n’ont même pas vu passer. Cela ressemblait déjà à une tentative de déstabilisation.
L’incident intervenait dans un contexte où la dépendance du pays le plus pauvre d’Europe au gaz russe le rend particulièrement vulnérable, et où la hausse des tarifs a déjà provoqué de sérieux remous publics.
Quelques heures plus tard, la Première ministre Natalia Gavrilița présentait d’ailleurs sa démission à Maia Sandu.
Les troubles fomentés en Transnistrie cherchent depuis longtemps à faire éclater le pays et le FSB s’emploie quotidiennement à perturber la vie démocratique du pays, notamment via sa marionnette Ilan Shor et son parti du même nom.
 
Récemment encore, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, déclarait à qui voulait bien l’entendre, en particulier dans la capitale moldave, que Chișinău pouvait constituer une prochaine cible « légitime » pour Moscou.
La Présidente moldave aura détaillé « qui, quand et comment serait brisée la démocratie moldave pour y établir le contrôle ». Le plan repose sur l’entrée en Moldavie d’agents provocateurs en provenance de Russie, du Monténégro, de Biélorussie et de Serbie.
Avec par conséquent l’appui en interne des troupes d’Ilan Shor, l’objectif étant de déclencher des troubles et de faire chuter le gouvernement actuel, pour le remplacer par un autre plus russo-compatible et anti-UE.
Des attaques contre des institutions publiques ou des prises d’otages d’élus seraient au programme, avec une possible participation d’une partie de l’armée moldave.
Voilà qui est rassurant…
 
Mais, Maia Sandu en dit que, « les tentatives du Kremlin pour importer la violence en Moldavie ne fonctionneront pas. Notre objectif principal est la sécurité de nos concitoyens comme de l’État. Notre objectif est la paix et l’ordre public dans le pays », quelques seulement jours après avoir remplacé sa Première ministre par Dorin Recean, un spécialiste des questions de sécurité…
Peu de temps auparavant, la Transnistrie (moldave) réaffirmait sa volonté de « rejoindre » la Fédération de Russie (exactement comme le Donbass) à l’occasion d’un entretien avec l’agence russe, « Ria Novosti », où le chef de la diplomatie de cette république autoproclamée de Moldavie a affirmé que les priorités de son pays restaient inchangées : Indépendance, pour une intégration à la Russie.
Le bel oxymore, qui se pose là !
 
Rappelons qu’en septembre 2006, les quelque 400.000 électeurs de la Transnistrie avaient voté à 97,1 % pour un rattachement à la Russie, un référendum qualifié de « farce » par la Moldavie et resté jusqu’à présent non reconnu sur la scène internationale, tout comme celui de la Crimée et ceux des Oblast orientaux de l’Ukraine.
À la fin de juillet, rappelle l’agence Ria Novosti, trente années auront passé depuis le lancement de la « mission de maintien de la paix » conjointe : Depuis, la Russie dispose d’une base militaire près de Tiraspol, et quelque 1.500 soldats russes sont stationnés de manière permanente dans la république sécessionniste.
Ils n’ont même pas participé à la moindre percée sur Odessa, le port de l’Ukraine.
Leur présence ainsi que l’éventualité de l’ouverture d’un « deuxième front » depuis la Moldavie dans la guerre en Ukraine ont suscité de nombreuses inquiétudes. « Les Moldaves ont de bonnes raisons d’être inquiets pour leur avenir », a même déclaré le ministre des Affaires étrangères russe à cette occasion.
220.000 ressortissants russes vivent là-bas, entre « frères-slaves » et orthodoxe dans un monde roumanophone…
On va nous affirmer qu’ils seraient « persécutés » par les Moldaves d’ici peu si rien n’est fait par les russes pour les soutenir, surtout si Kiev finit par « tomber ».
Vous verrez…
 
Rappelons également que lorsque des milliers de manifestants se sont rassemblés pour la première fois en septembre devant le palais présidentiel moldave pour demander la démission du dirigeant pro-occidental du pays, l’homme derrière la manifestation ― un chef de parti d’opposition en exil en Israël ― a rapidement reçu des applaudissements de Moscou.
Un haut responsable politique russe a d’ailleurs salué l’organisateur de la manifestation, Ilan Shor, comme « un partenaire digne de longue date » et a même offert à la région moldave dirigée par le parti de Shor un accord gazier russe bon marché, selon le service de presse de Shor.
Surnommé « le jeune » par le Service fédéral de sécurité russe (FSB), Shor, âgé de 35 ans, est une figure de proue des efforts du Kremlin pour renverser cette ancienne république soviétique, selon des documents des services de renseignement et des entretiens avec des responsables moldaves, ukrainiens et occidentaux.
Des documents illustrent comment Moscou continue d’essayer de manipuler les pays d’Europe de l’Est alors même que sa campagne militaire en Ukraine vacille.
Le FSB a canalisé des dizaines de millions de dollars de certaines des plus grandes entreprises publiques russes pour cultiver un réseau de politiciens moldaves et réorienter le pays vers Moscou, indiquent les documents et les entretiens.
« Après l’Ukraine, c’est sur la Moldavie que nous concentrons notre attention », aura alors déclaré un responsable occidental.
Le contrôle de la gestion des deux principales chaînes de télévision pro-russes de Moldavie a été transféré à un proche associé de Shor à la fin du mois de septembre, selon Shor et le chef du conseil de surveillance des médias moldaves, lui fournissant une plate-forme majeure pour faire avancer un programme aligné sur Moscou dans ce petit pays pris en sandwich entre l’Ukraine et la Roumanie.
En outre, les communications interceptées montrent que le FSB a envoyé une équipe de stratèges politiques russes depuis plusieurs mois pour conseiller le parti de Shor.
Et, selon des documents interceptés, le FSB a supervisé un accord dans lequel un oligarque russe a acquis l’un des principaux actifs de Shor, pour le protéger des autorités moldaves.
Le parti Shor devait être positionné comme un parti « d’action concrète », populiste « dans le vrai sens du terme », un parti qui « changeait la vie des gens pour le mieux », ont écrit les stratèges russes dans un rapport au FSB
Dans une interview, Shor a nié avoir jamais reçu de soutien de Moscou, y compris des services de sécurité. « Nous sommes un parti absolument indépendant qui ne défend que la position des citoyens moldaves », a-t-il déclaré. Il a accusé l’inclinaison pro-occidentale du gouvernement moldave d’avoir rapproché le pays de ce qu’il a qualifié d’« effondrement économique ».
Dans une déclaration publiée plus récemment à la suite de l’imposition des sanctions américaines, Shor les a rejetées avec défi comme une « victoire » qui montrait que la présidente moldave avait « vraiment pris peur des manifestations, comprenant que ses jours sont comptés et que nous la jetterons de son siège ».
Les responsables moldaves et américains craignent ainsi que les efforts du Kremlin pour renverser la Moldavie, dans le cadre d’une campagne qui remonte à des décennies, ne puissent que s’intensifier si elle subit de nouvelles pertes en Ukraine. « Récemment, alors que la Russie fait face à des revers militaires et à l’indignation mondiale face à ses actions brutales en Ukraine, les agents russes ont envisagé des mesures de plus en plus désespérées pour empêcher une nouvelle érosion de son influence », a déclaré le Trésor US dans son communiqué annonçant des sanctions contre Shor et d’autres individus.
 
La Moldavie, qui, avec l’Ukraine, a obtenu le statut de candidat à l’UE en juin dernier, est particulièrement vulnérable aux pressions russes en raison de sa dépendance à près de 100 % du gaz russe. Le quintuplement des prix du gaz cette année ont durement frappé sa population de 2,5 millions d’habitants, et les factures d’énergie représentent désormais plus de 60 % du coût de la vie moyen d’un Moldave, ont déclaré des responsables de Chișinău.
Les responsables russes « sont très embarrassés par toute l’opération en Ukraine, et ils ont besoin d’un succès quelque part », aura déclaré Oleg Serebrian, vice-Premier ministre moldave, dans une interview.
« Ma crainte personnelle est que la Moldavie soit une cible plus facile que l’Ukraine. Ainsi, pour une sorte de réarmement moral de la société russe, ils pourraient utiliser différents outils en Moldavie. Le premier est économique. »
 
Gazprom, le monopole du gaz naturel contrôlé par l’État russe, a réduit ses livraisons à la Moldavie de 50 % ces derniers mois. Les frappes aériennes russes visant l’infrastructure énergétique de l’Ukraine augmentent encore la pression. L’Ukraine avait fourni 30 % de l’électricité de la Moldavie, mais le bombardement des centrales électriques ukrainiennes signifie que la Moldavie a dû se tourner vers la Roumanie pour faire face à la pénurie.
En outre, la Transnistrie, l’enclave occupée par les troupes russes qui contrôle la centrale électrique fournissant les 70 % restants des besoins en électricité du pays, a complètement coupé ces volumes en raison de la réduction de l’approvisionnement en gaz de Gazprom, laissant les autorités moldaves se démener désespérément pour parvenir à un accord avec la Roumanie pour combler le déficit et mettre en œuvre des mesures d’économie d’énergie d’urgence. « Chaque bombe qui tombe sur une centrale électrique ukrainienne est une bombe qui tombe également sur l’approvisionnement en électricité moldave », a déclaré Nicu Popescu, ministre moldave des Affaires étrangères.
 
Les responsables craignent donc que les manifestations organisées par Shor, bien que relativement petites pour l’instant, ne s’intensifient et que la crise énergétique puisse être utilisée pour renverser le gouvernement.
Le mois dernier, le nouveau procureur anti-corruption de Moldavie a arrêté 24 personnes, dont des membres du parti de Shor, en lien avec le financement illicite présumé des manifestations, le procureur affirmant que les enquêteurs avaient saisi 20 sacs noirs remplis de 3,5 millions de lei (environ 181.000 dollars) en espèces.
Le parti Shor a déclaré que les arrestations étaient des « pressions » des autorités pour perturber les manifestations anti-gouvernementales.
Dans l’interview, Shor a déclaré que le gouvernement moldave était à blâmer pour la crise économique croissante parce qu’il « brise le statut neutre de la Moldavie et nuit au peuple moldave parce qu’aujourd’hui, pour les gens normaux, (ayant forcément de bonnes relations avec Moscou) sont la base pour obtenir des prix normaux du gaz ».
 
Tous ces documents fournissent un rare aperçu du monde obscur des opérations d’influence de la Russie en Moldavie et des instruments jumeaux du gaz naturel et du financement illicite que le Kremlin exerce ici.
« Les Russes sont très doués pour exporter deux choses : l’une, l’énergie, et la seconde, la corruption », a déclaré un haut responsable de la sécurité moldave, qui, comme d’autres, a parlé sous couvert d’anonymat pour discuter d’une question sensible.
Rappelons également que depuis 2016, les opérations du FSB en Moldavie sont dirigées par Dmitry Milyutin, un général du service de sécurité qui occupe le poste de chef adjoint du Département de l’information opérationnelle, selon les documents.
Pendant la majeure partie de son mandat, il a travaillé par l’intermédiaire d’Igor Chaika, un homme d’affaires russe fils de l’ancien procureur général de Russie.
Or, Chaika est l’ambassadrice en Moldavie d’une association d’affaires liée au Kremlin, Delovaya Rossiya.
Le Trésor US a également imposé des sanctions à Chaika le mois dernier, affirmant qu’« en collaboration avec le secrétaire de presse du Kremlin, Dmitri Peskov », il avait « élaboré des plans détaillés pour saper la présidente moldave Maia Sandu et ramener la Moldavie dans la sphère d’influence de la Russie ».
En outre, le Trésor US a aussi déclaré que le gouvernement russe utilisait les « entreprises de Chaika comme façade pour acheminer de l’argent aux partis politiques collaborateurs en Moldavie. Certains de ces fonds de campagne illicites ont été affectés à des pots-de-vin et à des fraudes électorales. »
Est-ce assez clair pour vous ?
 
Des stratèges politiques embauchés par le Kremlin s’étaient d’abord rendus à Chișinău depuis la Russie en mars 2021 pour travailler secrètement avec le parti de Shor, selon les documents. Ils ont déployé de grands efforts pour s’assurer que leur présence n’était pas découverte, achetant des cartes SIM prépayées pour les téléphones à graveur et gardant les adresses des appartements qu’ils louaient cachées ― même aux membres du groupe de Shor, selon une note écrite par l’un d’entre eux qui fait partie du trésor de documents après la destitution dans les urnes de Dondon, chef du parti socialiste embourbé dans des affaires de corruption avec Moscou.
Parmi les mesures qu’ils ont recommandées au parti Shor figurait d’effacer autant que possible les « antécédents négatifs », probablement la condamnation pénale passée de Shor, et de tenter de nettoyer son image sur Internet. Dans un tableau qui faisait partie des recommandations renvoyées au FSB, les stratèges proposaient d’offrir aux journalistes des « récompenses » pour supprimer des articles « dans des circonstances extrêmes » ou pour obtenir « le contrôle des décisions de justice » si le parti Shor choisissait plutôt de poursuivre en diffamation.
Shor a déclaré que son parti avait utilisé les services de divers « consultants internationaux différents », mais qu’il n’était pas au courant de la visite de mars 2021 car il ne vivait pas en Moldavie à ce moment-là.
 
Shor a également reçu l’aide du FSB pour une autre partie de son empire commercial. Au milieu d’un conflit avec les autorités moldaves, le FSB a étroitement coordonné un accord de 2020 dans lequel la participation majoritaire de Shor dans la société exploitant l’aéroport stratégiquement important de Chișinău a été transférée à un puissant milliardaire russe, Andrei Goncharenko.
Mais Shor a déclaré dans l’interview qu’il n’avait jamais possédé de participation dans l’aéroport, et qu’il avait démissionné de son poste de président de son conseil d’administration à l’été 2019, lorsque le contrôle de la société a été, selon les médias, vendu à Nathaniel Rothschild, un homme d’affaires britannique.
Mais les documents du FSB discutant de l’accord font référence à l’aéroport comme étant toujours « l’atout de Shor » en janvier 2020, tandis que de hauts responsables moldaves ont également déclaré dans des interviews qu’il était contrôlé par Shor. Et une personne familière avec l’accord a déclaré que Rothschild n’avait acquis seulement qu’une option d’achat de la société, mais n’avait jamais terminé la transaction.
 
Dans les rues de la capitale moldave, les machinations financières peuvent sembler lointaines à ceux qui ont du mal à payer leurs factures. Pour de nombreux manifestants, quelles que soient les allégations du procureur selon lesquelles certains sont payés pour protester, leurs préoccupations sont réelles et pressantes.
« Les gens sortent parce que nous n’avons pas les moyens de vivre », déclare une retraitée. « Les prix de l’essence ont été multipliés par cinq et les retraites et les salaires sont les mêmes. Shor nous a donné des cadeaux les jours fériés. Et ces gars au pouvoir viennent de nous montrer leurs poings. »
Les manifestants soutenus par Shor se sont tournés vers des tactiques de plus en plus agressives au fil du temps et, alors que la crise énergétique de la Moldavie s’intensifie, l’inquiétude grandit à Chișinău et dans les capitales occidentales.
 
Les Russes « font tout ce qu’ils peuvent pour éteindre les lumières », a déclaré un deuxième responsable occidental. « Ils n’ont pas besoin de faire beaucoup plus que cela pour déstabiliser le gouvernement moldave. »
C’était en octobre 22. En février 2023, les choses s’aggravent pour les Moldaves…
Vous connaissez déjà la suite ?
Elle reste pourtant à écrire…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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