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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 7 février 2023

Vous faites grève, aujourd’hui ?

Non ? Alors vous êtes dans le kaka !
 
Et pour en finir de vous pourrir la vie, j’en rajoute une couche. Parce que même quand un maire « écololo », d’une grande ville, né pour gâter la vie de ses électeurs, se met à faire l’andouille (pour rester poli), j’enrage à m’en étouffer de rire/pleur.
Ces gars-là, ce sont les enfants des professeurs des ékoles qui ont été formés par des enseignants soixante-huitards : Et question « déconstruction » (en vue d’abattre la société capitaliste-bourgeoise), ils sont passés archiprêtres dans le non-sens !
Que ça va se loger jusque dans leur caleçon et ce qu’il y a dedans. La preuve : Le bon-sens est battu en brèche quand un « kouillu » est reconnu coupable de viols qui, entre temps, aura décidé de « transitionner » vers le genre féminin et que la seule question qu’ils se posent c’est de savoir s’il doit être incarcéré dans une prison masculine ou féminine ?
Hein, je te demande un peu…
Tel est ainsi l’imbroglio juridique qui secoue l’Écosse depuis quelques semaines autour de la condamnation d’Isla Bryson, une Écossaise transgenre de 31 ans, condamnée en janvier dernier pour deux viols commis avant sa transition et ça déborde jusque dans les ékoles primaires de la cité (historiquement) négrière de « Bord-d’eau » (la malnommée pour savoir faire de si bon pinard…).
J’ai noté aussi qu’on en fait état jusque dans ma presse nationale (et régionale), comme s’il n’y avait rien de plus important en ce moment…
 
Initialement, Isla Bryson (une trans non-castrée) devait être incarcérée à la prison pour femmes de Cornton Vale à Stirling, mais face à la polémique, la « Première sinistre » indépendantiste du pays a voulu rassurer son opinion publique : « Il n’y a pas de droit automatique pour une femme trans condamnée pour un crime de purger sa peine dans une prison pour femmes ».
Non mais on en rigolerait presque : Un violeur avec tous ses attributs dans une prison de « poulies fendues », c’est le renard dans le poulailler !
Finalement, et au terme d’une levée de boucliers de plusieurs semaines, l’accusée purgera sa peine dans une aile masculine du HMP Edinburgh. Elle aura peu-être l’occasion de croiser des mâles, des vrais…
Et justement, ce n’est pas assez pour contenter l’opposition qui accuse par la voix du chef conservateur (mais oui, un « réac’ »), Douglas Ross un revirement plus politique que lié à la sécurité des femmes détenues. Il est allé jusqu’à déclarer à la BBC : « Il n’aurait pas fallu le dégoût du public et une multitude de gros titres négatifs sur l’envoi d’un double violeur dans une prison pour femmes pour que Nicola Sturgeon se rende compte que c’était complètement inacceptable et faux. »
 
Qui l’eut cru à une époque où on ne parle que de lutte contre les ignobles et affreux « LGBTphobiques » ?
Cette question de l’inclusion des personnes « trans » dans des groupes ou lieux accueillant des personnes du même genre, ici des cellules de prison, mais aussi dans les compétitions sportives, toilettes scolaires, voire même de marche des fiertés est un sujet dont s’empare depuis longtemps la communauté homosexuelle.
Moâ, je veux bien au nom de la Liberté, du moment que je ne suis pas concerné.
Sauf que cette « communauté-là » ne voit pas finalement toujours d’un bon œil cette intrusion dans leurs affaires de personnes, non pas du même sexe, mais se sentant d’un sexe différent.
Ainsi, ces homosexuels militent pour que le « T » soient retiré du LGBT, de même que des lesbiennes demandent que le « L » ne soit plus inclus dans ce sigle. De ces combats est né en 2019 la « LGB Alliance » en UK, qui cherche à défendre le droit des lesbiennes, des bisexuels et des homosexuels à se définir comme attirés par le même sexe et considère que ce droit est menacé par « des tentatives visant à engendrer une confusion entre sexe biologique et notion de genre ».
Ils n’ont pas totalement tort, au moins de leur point de vue, mais si on discute aussi du sexe des anges, on n’est pas sorti de l’auberge, en présume-je…
 
Dès lors et contrairement à ce que la doxa tente de nous faire avaler à longueur de journée, ces gays militent contre la sexualisation, l’endoctrinement et la médicalisation des enfants : Événements drag impliquant des enfants, mutilation et stérilisation des mineurs, théorie du genre enseignée en classe, etc.…
Tandis que la bien-pensance en « Gauloisie-de-gôche-de-progrès » associe bien hâtivement la lutte contre l’idéologie du genre à de l’homophobie et résume la transphobie à de la LGBTphobie, ce sont les « LGB » eux-mêmes Outre-Manche qui rappellent que la transidentité n’a rien à voir avec l’homosexualité !
Ainsi, même le chef de service du CHS de Bonneval (Eure-et-Loir) en dit que : « Beaucoup d’entre eux ont été des enfants non conformes qui auraient probablement été poussés aujourd’hui vers une transition. Ils considèrent l’affirmation de genre comme une thérapie de conversion de l’homosexualité ».
Je demande à voir…
Mais une théorie que confirme ce papier du Times (relevé pour vous) : « Un si grand nombre d’enfants potentiellement homosexuels ont été envoyés sur le chemin du changement de sexe que deux des cliniciens (interviewés) ont déclaré qu’une note d’humour noir circulait parmi le personnel, selon laquelle “il ne resterait plus d’homosexuels”. Cela ressemble à une thérapie de conversion pour les enfants homosexuels ».
Bon, c’est de l’humour britannique, totalement et définitivement inaccessible aux neurones continentaux…
 
Le « The Spectator » se demandait même en août dernier, si les lesbiennes étaient toujours bienvenues aux marches des fiertés.
Leur tort ? Elles ne reconnaissent pas les femmes à pénis !
L’horreur pour des « puristes », que j’en rigole encore à gorge déployée (façon caverne pérhistorique…).
Accusées de « transphobies », ce sont les fameuses « TERF » (Trans-exclusionary radical feminist) alors que notre « sinistre de Les Ducs-à-Sion » à nous vient de rappeler qu’il comptait instaurer dans chaque académie, les observatoires des LGBTphobies, « de manière à sensibiliser et former les communautés éducatives ».
N’aurait-il pas déjà un train de retard dans son progressisme en matière de revendications ?
« Pape-N’dia-yéyé » devrait peut-être s’informer sur ce que pensent les gays anglosaxons que j’en dis avec d’autres…
 
Rappelons simplement que techniquement l’embryon paraît s’accommoder jusqu’à huit semaines environ d’un statut intersexué. Certes, on voit poindre un tubercule génital qui hésite encore entre clitoris et pénis. Mais, très vite, le biologique et les chromosomes reprennent le dessus.
Le sexe se dessine en surface et en profondeur. Selon que l’embryon est garçon ou fille, des structures anatomiques initialement communes se développent tandis que d’autres régressent : C’est comme ça !
Des bourrelets vont former les grandes lèvres autour de l’orifice vaginal ou se souder pour donner les bourses dans lesquelles viendront, plus tard, se loger les testicules. Le tubercule génital s’affirme clitoris ou pénis avant de naître. Tout cela sous l’influence de chromosomes sexuels et d’hormones qui orientent le développement de façon irréversible.
Ainsi, chez le garçon, on enregistre vers la neuvième semaine de vie intra-utérine une nette augmentation de la sécrétion de testostérone par les testicules, qui peut être corrélée avec les changements observés. Hommes et femmes se distinguent par leurs taux d’hormones sexuelles, œstrogènes et testostérone en particulier, dont les concentrations diffèrent nettement en fonction du sexe.
Et elles agissent en modulant l’expression des gènes, c’est-à-dire leur niveau d’activité, dans une grande variété d’organes.
Cerveau compris, dans la mesure où il contient de nombreux récepteurs d’hormones sexuelles, grâce auxquels elles peuvent exercer leurs actions.
La science médicale sait qu’à l’exception d’une poignée d’entre eux situés sur le chromosome Y, nos quelque 20.000 gènes sont communs aux deux sexes, mais cela n’infère en rien que ce patrimoine génétique s’y exprime de manière identique.
 
D’ailleurs, une étude de l’université Yale publiée en 2011 montrait ainsi que, dans le cerveau humain, plus d’une centaine de gènes communs à l’homme et la femme s’exprimaient différemment selon le sexe. Parmi eux, des gènes liés à des pathologies, dont un à la dépression et un autre à la schizophrénie.
Faire fi de ces différences, pourtant de plus en plus documentées, ne saurait être qu’une option en médecine : En s’appuyant sur une étude danoise publiée en 2019, on constate que nombre de pathologies sont diagnostiquées plus tardivement chez les femmes que chez les hommes. L’insuffisance de prise en compte des spécificités féminines est effectivement un sujet qui focalise depuis des années l’attention d’organismes de recherche, dont les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis.
« Le sexe et le genre jouent un rôle dans la façon dont la santé et la maladie affectent les individus », déclarait en 2016 Janine Austin Clayton, qui dirige les recherches sur la santé des femmes aux NIH. « Il fut un temps où nous étudiions les hommes et extrapolions les résultats aux femmes, mais nous avons appris qu’il existe des différences biologiques entre eux », ajoutait-elle.
« Femmes et hommes ont des hormones différentes, des organes différents et des influences culturelles différentes, tout cela peut conduire à des différences en matière de santé. »
On sait, par exemple, que les femmes sont plus sujettes que les hommes aux maladies auto-immunes, que les symptômes d’infarctus du myocarde sont, chez elles, différents, qu’elles ne réagissent pas de la même manière aux antidépresseurs, etc.
Et que chacune des 100.000 milliards de cellules qui constituent un humain est sexuée : XX pour la femme, XY pour l’homme. Il eût été étonnant que cela soit sans incidence sur l’ensemble de leur biologie…
 
Et pourtant, sur les bords de la Garonne, l’idéologie des élus veut imprimer sa marque sur des manifestations destinées jusqu’à la petite enfance !
On ne sait jamais : Il ne faudrait pas rater le train des délires…
Pensez donc, en Gironde, un atelier de maquillage pour les tout-petits, sera organisé dans une bibliothèque et animé par une drag-queen !
Quoi de mieux, n’est-ce pas ?
Un atelier de maquillage destiné aux enfants de 18 mois à 4 ans, au-delà, c’est foutu pour l’humanité, tiens donc !
Cependant, cet atelier novateur animé par le beau-Serge, présenté comme un « homme en jupe » ou comme drag queen, fait polémique. Quel dommage pour les forces de « progrès » !!!
Mais c’est pour satisfaire au plus grand bonheur de la mairie écolologiste qui administre la ville, puisque cela permet à ses élus d’adopter des postures de drama queen, d’entonner le grand air de la persécution « fasciste » et de mettre en avant leur tolérance et leur progressisme !
Moâ, j’attends le jour où « Poux-tine » (ou un de ses successeurs) imposera sa loi de Vladivostok à Lisbonne : On verra alors ce qu’est vraiment le fascisme…
Dans cette affaire, la seule chose dont tout le monde semble se moquer concerne l’intérêt de ce type de manifestation pour de très jeunes enfants.
Mais la municipalité préfère mettre en avant sa belle âme et son esprit de résistance face à la menace de l’extrême droâte. « Dès qu’il y a des initiatives portant sur les sujets d’égalité entre les filles et les garçons et de lutte contre les stéréotypes de genre, une frange radicalisée de la population se lâche sur les réseaux sociaux et les sites d’extrême droite », s’agace ainsi l’adjoint au maire en charge des discriminations dans la commune.
J’en ris encore, figurez-vous ! Car il nous fait ça sans même user du langage fleuri « inclusif »… style : Dès qu’il y a des initiativ.e.s portant sur les sujets d’égalité(e) entre les fill.e.s et les garçon(e)s et de lutt.e contre les stéréotyp.e.s de genr.e, un.e frang(e) radicalisé.e de la population(e) se lâche sur les réseaux sociaux et les sit.e.s d’extrêm.e droât.e…
Fastoche l’écriture inclusive !
 
La mairie de Bordeaux a ainsi sagement décidé de placer son « mois de la petite enfance » sous le thème de l’égalité filles-garçons.
Bien et pourquoi pas, sauf que…
Si la chose est déjà en soi amusante car, à cet âge-là, les enfants découvrent à peine l’existence des différences sexuelles et n’ont guère l’idée de ce que peut-être un « stéréotype de genre », ils sont dans l’apprentissage de la conscience de soi.
Ce type d’affichage est donc purement idéologique, rien de plus…
Il permet essentiellement à des élus qui n’ont sans doute pas réfléchi à ce qu’ils pourraient apporter en matière de petite-enfance, d’exhiber leur bonne et grande conscience et de faire croire qu’ils agissent, alors qu’ils ne font que faire des pâtés de sable avec des concepts qui les dépassent manifestement.
On peut et on doit tout à fait comprendre l’importance de lutter contre les discriminations. Un homme qui assume son sexe et son envie de porter des jupes et du maquillage ne mérite pas d’être ostracisé, moqué, encore moins humilié.
Au moins autant qu’une femme (ou un homme) qui préfère les pantalons ou des shorts…
C’est juste une question de mode (et de température ambiante).
Mais justement, les très jeunes enfants n’ont pas ce type de réflexe.
C’est dire l’ignorance de ces élus-là…
 
En réalité, pour avoir fait quelques-années dans les crèches au sein de mes « assoces-à-la-petite-enfance », la question des discriminations concerne plutôt les jeunes, moins jeunes, et les adultes, mais pas les gamins qui ne savent déjà pas dire « je ». Et ça ne peut alimenter qu’un discours en direction de personnes aptes à le comprendre et concernés par celui-ci.
Expliquez-moâ en quoi des enfants de 18 mois à 4 ans doivent-ils être instrumentalisés pour faire passer un message à leurs parents qui ne les concerne pas ?
En quoi le fait d’être surpris par le parti pris des organisateurs devrait se traduire par un procès en « fascisme » fait aux individus et aux familles qui trouvent l’initiative contestable ? À moins que la liberté d’expression soit devenue un interdit constitutionnel dans les dogmes « écololos »…
En quoi des élus doivent-ils faire de toute manifestation un tract politique destiné à leur tendre un miroir dans lequel ils se contemplent en chevalier blanc du politiquement correct, sans se soucier de ceux à qui l’initiative est censée être destinée ?
 
Il se trouve hélas que de plus en plus d’élus mettent leur mandat au service de leurs obsessions, se mettent à faire la morale à leur population en s’érigeant arbitrairement en directeurs des consciences, le tout sans n’avoir plus aucun rapport avec l’intérêt général qu’ils sont sensés gérer.
On a d’ailleurs du mal à comprendre l’intérêt de l’atelier en question.
Le fameux Serge est censé se maquiller, ensuite les enfants sont censés l’imiter.
En général, les ateliers maquillage qu’adorent les enfants consistent à les maquiller, en tigre, papillon, grenouille ou lion.
Dans toutes les kermesses de maternelles, ces stands sont pris d’assaut.
S’il s’agit juste de les laisser se barbouiller le visage et les mains de maquillage lavable à l’eau tiède, pas bien sûr qu’il y ait besoin d’un tuto, encore moins sûr qu’à 3 ans, un enfant ait la coordination nécessaire pour « imiter » la précision d’un maquillage de drag queens qui sont parfois, il faut le reconnaître, splendides.
Parfois seulement…
Mais comme tout le monde se moque de ces réalités-là, passons.
 
Si vraiment des élus voulaient lutter contre les inégalités et développer à terme la tolérance, il existe à mon sens des dispositifs plus pertinents qui se concentrent sur la période de la petite enfance, notamment autour du développement du langage et de l’acquisition de vocabulaire. Mais déjà, tenir un crayon… c’est l’horreur pour les instits de maternelle…
Ces approches ont notamment pour but l’acquisition, par les enfants issus des milieux défavorisés, d’un niveau de langage permettant de faire face aux apprentissages scolaires et de réduire ainsi la fracture sociale. Tout le monde sait bien que le fait de ne pas maîtriser le langage est un facteur de violence et de difficulté à tisser le lien à l’autre…
Seulement voilà, ce type d’engagement ne se résume pas à quelques heures, peu coûteuses, vite effectuées et vite oubliées : Cela demande un véritable investissement, et la participation des crèches, et ne peut porter de fruits que sur la durée.
Or, il est rare que les élus se fassent attaquer sur ce type de programme, ce qui rend difficile la mise en scène de soi-même en martyr de la cause du progressisme éclairé et en cible de la méchante et abominable extrême-droâte…
Sauf que des initiatives utiles et qui ne se suscitent aucune polémique, voilà ce qui ne fait pas les affaires d’élus dont le service de leur propre ego paraît être la motivation principale.
En attendant, ces ateliers-maquillage ne devraient en rien faire avancer une quelconque lutte, car l’essentiel est que les enfants s’amusent.
Pour le reste, cette affaire n’est finalement que la énième illustration d’un certain dogmatisme qui tente d’enrégimenter les enfants dès le plus jeune âge, avant même qu’ils n’aient développé leur personnalité.
Que cela puisse heurter certains parents n’est pas étonnant. En revanche, que des élus, au lieu d’interroger leurs choix et leurs pratiques, renvoient illico presto toute critique à la fachosphère, m’interroge bigrement…
 
Mais ça reste la norme chez les acéphales, fussent-ils « écololos » : Une démonstration de plus, finalement.
À moins que ce soit fait uniquement pour faire pleurer de rire et me permettre de vous escagasser un peu plus pendant une journée de grève des transports « pue-blics ».
Je ne sais pas au juste…

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