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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 12 février 2023

Les questions importantes de la quinzaine

Elles ont enfin trouvé des débuts de réponses…
 
Comme vous l’aviez déjà imaginé, je reste un obsédé sexuel véritable esclave de l’activité de mon « nerf-honteux ».
Aussi, je collectionne les perles « scientifiques » ayant un rapport avec cette activité ludique (et indispensable à la perpétuation de l’espèce).
Deux points cette semaine :
 
1 ― Quel est le secret des couples qui durent ?
Le romantisme ? Le sexe ? Les petites attentions ? Les mensonges ? Ou l’humour ?
C’est ce dernier point que semble confirmer une étude parue en septembre dans la revue scientifique Personality and Individual Differences.
 
Des « trouveurs » ont tenté d’analyser comment le rire pouvait contribuer à faire durer un couple hétérosexuel sur le long terme. Ils ont mené l’enquête auprès de 149 binômes hétérosexuels, ensemble depuis au moins six mois et vivant sous le même toit depuis au moins trois mois.
Trois mois, s’ils trouvent que c’est « durable »… je veux bien.
Ils ont ainsi scruté les différences entre hommes et femmes dans la production, l’appréciation et la qualité de l’humour : Fréquence et style des plaisanteries, succès des blagues auprès du partenaire, et même, perception que chacun a de son propre humour par rapport à celui de l’autre.
Les résultats « trouvés » sont ainsi un parfait résumé de la vie à deux au quotidien !
 
Commençons par les hommes, ces vrais boute-en-train. Ils sont plus blagueurs, c’est un fait. En revanche, ils ont l’impression que les femmes plaisantent moins que ce qu’elles font vraiment.
L’étude n’explique pas cet écart entre leur perception et la réalité, mais les médisants auront vite fait de conclure 1. Que les hommes ne comprennent pas toujours l’humour féminin, 2. Que les femmes ne sont pas toujours drôles.
Cette dernière explication semble retenir la faveur des hommes. Car lorsqu’on leur demande d’évaluer la qualité de leurs propres vannes, ils les trouvent bien meilleures que celles de leur partenaire…
 
D’où la question suivante : Les hommes seraient-ils vraiment plus drôles ?
Le problème, c’est qu'ils ont tendance à surestimer la qualité de leurs mots d’esprit. Du moins si l’on se fie au jugement implacable des femmes, qui trouvent finalement ces blagues… moins bonnes que ce qu’en pensent leurs auteurs.
Et comme au sein du couple, elles constituent la cible unique de ces facéties de bonhomme, il est raisonnable de penser que leur jugement est fiable.
 
Vient ensuite l’épineuse question du rôle de la gaudriole ― au sens spirituel du terme ― dans l’harmonie du couple. Et là, surprise !
Les « trouveurs » ont noté qu’une grande similitude du sens de l’humour entre deux amants n’était pas si déterminante dans une relation à long terme (trois mois, je rappelle…).
Hommes et femmes ne sont à peu près d’accord sur rien quand il s’agit d’autoévaluer la fréquence de leurs blagues, de leurs rires ou encore la qualité de leurs propres plaisanteries.
Les uns et les autres ne s’accordent pas non plus sur le jugement de leur partenaire sur ces mêmes critères.
Toutefois, en moyenne, ces différences sont assez faibles.
 
Ce qui signifie que les couples dont les partenaires ont un sens de l’humour très différent sont rares. D’ailleurs, les « trouveurs » rappellent que d’autres travaux ont déjà montré que « la production et l’appréciation de l’humour étaient positivement corrélées à la satisfaction relationnelle ».
Ce que semble confirmer leur étude quand elle indique, par exemple, que les couples qui s’entendent le mieux sont aussi ceux où les personnes rient le plus aux blagues de leurs partenaires.
Un bon sens de l’humour, partagé entre amoureux, est donc probablement l’un des facteurs pouvant expliquer la longévité des couples.
 
C’est mignon, mais sur le plan de l’évolution de l’espèce, cela change la donne. « L’humour n’est pas une spécificité humaine. Il existe aussi chez les animaux et notamment chez les primates comme les chimpanzés et peut-être chez de nombreuses espèces sociales.
Mais on peut supposer qu’il est plus développé au sein de notre espèce où les comportements sociaux sont particulièrement raffinés », suggère un « rechercheur » en biologie évolutive à Institut des sciences de l’évolution de Montpellier.
En effet, une étude américaine de 2011 a même montré que l’intelligence générale et verbale était positivement corrélée à la capacité à produire de l’humour.
Mieux, le niveau d’humour d’un individu serait un moyen de prédire son succès d’accouplement. En d’autres termes, les personnes drôles auraient plus de partenaires au cours de leur vie.
Une véritable sélection sexuelle par la blague !
 
Ainsi, l’avenir de l’humanité reposerait en partie sur notre capacité à manier la boutade.
Mais pour se reproduire, il faut ovuler et encore même « spermer ».
Seconde question du moment :
 
2 ― Les odeurs du sperme ! (Oui, vous le savez, je reste un obsédé…)
On a beau savoir ce que c’est et à quoi ça ressemble, les connaissances de tout un chacun sur le sujet restent pourtant bien vite limitées.
Connaissez-vous, par exemple, la composition exacte de ce fluide sexuel sécrété par les hommes ?
Bon, d’accord, il y a des spermatozoïdes dans sa composition ― en moyenne près de 50 millions par millilitre pour être précis. Mais encore ?
 
En fait, notre savoir se limite bien souvent à notre expérience. Odeur, goût, quantité. On connaît le sperme grâce à nos rencontres avec ce dernier. Et il faut le dire, on prend rarement le temps de l’étudier en détail.
C’est pourquoi ses caractéristiques, odeur en tête, nous sont si difficilement descriptibles.
Or, justement, il y en a pour tous les goûts. S’il est difficile de faire une généralité, une odeur bien particulière revient néanmoins avec insistance : Celle de la javel, voire de l'ammoniac.
Un soupçon d’effluve de piscine qui titille légèrement les narines, mais qui est le résultat d’un processus plus fondamental.
 
La légère odeur de chlore du sperme n’est en effet pas anodine. Elle est due au pH de ce fluide, supérieur à 7, légèrement alcalin donc, qui assure une protection à toute épreuve. Une protection notamment contre la flore vaginale, plus acide, au pH compris entre 3,8 et 4,5.
La rencontre entre ces deux acteurs lors d’un rapport sexuel, dégage de la chaleur et de l’eau salée, m’avait-on appris en cours de chimie.
Mais il crée ainsi, à son tour, un cocktail odorant différent.
Et il y en a pour tous les goûts, je vous l’ai dit.
 
Sa composition y est aussi pour quelque chose. L’éjaculat est, entre autres, un mélange de spermatozoïdes (1 %), de sécrétions issues de la prostate (entre 15 % et 20 %) et des vésicules séminales (70 %), qui se réunissent lors d’une production minute, prêts à partir à l’unisson par l’urètre prostatique !
Un cocktail rapide et sur-mesure…
Et en regardant de plus près, on retrouve dans cette semence un cocktail de protéines, d’acide citrique, de fructose, de vitamines, de minéraux et de ces fameux fluides alcalins à l’odeur si reconnaissable.
Un sacré mélange qui fournit le plein d’énergie et de protection pour la survie du sperme, contre les vents et marées vaginales.
 
Évidemment, ce parfum, qui peut aussi être très discret, et varie d’une personne à une autre. Parfois, l’odeur s’apparente plus à celle d’un marché aux poissons rempli de daurades qu’à celle d’une piscine municipale.
J’ai d’ailleurs toujours pensé que les piscines puait le sperme-javel uniquement pour dissimuler les éjaculats éparses des ébats nautiques…
Mais bon, je me trompe peut-être car, dans une moindre mesure, elle dépendrait aussi de ce que nous mangeons !
L’alimentation joue en effet son rôle à tous les étages, même celui du pantalon !
Les asperges, le café et l’ail donneraient notamment une odeur particulièrement intense et désagréable à votre urine, et par extension aux sécrétions sexuelles.
Si rien de tout cela n’a formellement été prouvé, pas de doutes : Asperges et urine, c’est une combinaison fatale (testée et désapprouvée).
 
Niveau goût, là aussi, quelques modifications pourraient être faites en suivant un régime strict. Si certaines personnes trouveront le sperme salé, il serait possible de lui donner une teinte plus agréable, plus douce, en consommant des fruits acides qui viendront baisser son pH.
Si l’ananas et les oranges ont la cote, la prune ou encore le thé vert seraient également efficaces.
 
D’ailleurs, question subsidiaire : Peut-on changer le goût de nos sécrétions sexuelles ?
Comme bien souvent, ce qui sort de notre corps est le reflet de notre état de santé. Il en va de même pour le sperme, dont un changement de couleur, de goût mais aussi d’odeur peuvent indiquer un problème, notamment une infection.
C’est particulièrement vrai pour la couleur du fluide.
Si du jour au lendemain ce dernier devient rouge, c’est probablement à cause de la présence de sang : Un phénomène appelé hémospermie, qui est un peu effrayant au premier abord mais bien souvent temporaire et sans danger.
Cependant, si la présence de sang persiste, il ne faut pas hésiter à aller voir un urologue.
 
Il se peut également que le sperme vire au jaune. Là encore, ce n’est, en règle générale, pas bien grave : Cela peut être dû à la présence d’urine, ou alors c’est parce que votre dernière éjaculation remonte à un bout de temps et que les tuyaux ne sont pas propres…
Selon d’autres des aliments riches en soufre comme l’avocat, le brocoli, l’oignon et l’ail peuvent également en influencer la couleur.
Mais s’il y a une couleur qui est plutôt de mauvais augure, c’est le vert !
Si le sperme prend cette désagréable teinte, cela peut être causé par une maladie sexuellement transmissible, comme la gonorrhée ou la chlamydia.
S’il est noir, il faut changer l’huile… c’est bien connu !
Comme quoi, il ne faut pas négliger l’analyse de ce fluide !
 
Vous voilà plus savant, désormais !
 
Bonne fin week-end à toutes et à tous,
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
 
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