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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 6 février 2023

On attendait le « Général hiver »

Et on a eu la corruption !
 
Elle s’est enfin révélée aux yeux du monde en Ukraine où même les autorités légales de Kiev ont lancé une vague de perquisitions. De hauts responsables ukrainiens, dont des proches du président, sont dans le viseur de leur justice : Ils tous sont accusés d’avoir détourné des millions d’euros, rien de moins !
Comme ce n’est pas le pognon des ukrainiens mais celui des kon-tribuables « ricains » et de l’UE (plus quelques autres) et que ça ne date pas d’hier, ça faisait et ça fait toujours un peu… désordre.
Comme je vous le disais il y a encore quelques temps, ils ont encore du chemin avant de parvenir aux « standards » des peuples « civilisés » avant de rejoindre l’UE…
 
C’était mercredi dernier que cette vague de perquisitions anticorruption visant administrations, fonctionnaires et personnalités, a été déclenchée, les autorités assurant faire de la lutte contre les détournements une priorité dans le contexte de l’effort de guerre et de l’aide occidentale.
Ils auraient pu y penser avant, mais il n’est jamais trop tard pour bien faire.
Le chef du parti du président Volodymyr Zelensky, aura annoncé sur Telegram qu’avaient été visés le milliardaire Igor Kolomoïski, l’ex-sinistre de l’Intérieur Arsen Avakov et le fisc ukrainien, tandis que la Direction des douanes a été limogée en son entier.
Et de hauts responsables du ministère de la Défense ont également reçu la visite d’enquêteurs.
« Le pays va changer avec la guerre et si quelqu’un n’est pas prêt au changement, l’État viendra le faire changer », a insisté David Arakhamia, faisant allusion au mal endémique de la corruption.
Je vous avais prévenus que les milieux d’affaires ukrainiens sont peuplés de voyous, au moins autant qu’à Moscou : Une guerre de voyous sans foi ni loi, ce qui, si vous vous souvenez bien, aura porté Zelensky au pouvoir par surprise contre les oligarques locaux.
Nous y reviendrons, parce que clairement, les études démontrent que là où il y a corruption, il y a forcément, tôt ou tard, la guerre.
Et inversement : La guerre entraîne des corruptions !
CQFD.
 
Là, la corruption concernait des approvisionnements de l’armée, premier scandale d’ampleur depuis l’invasion russe il y a près d’un an. Quand je vous indiquais que les matériels de guerre livrés sans compter aux ukrainiens seront recyclés, tôt ou tard, dans toutes les mafias du monde, je ne crachais pas vraiment face au vent !
 
Ce qui faisait encore plus tâche, c’est que Kiev accueillait vendredi dernier un sommet avec l’UE qui a fait de la lutte anticorruption une condition à l’accession de l’Ukraine au bloc européen : Il fallait faire un geste plus que symbolique, ça devenait urgent !
Car les autorités ukrainiennes, dont l'effort de guerre dépend en large partie du soutien militaire et financier de l’UE et des USA, sont également au défi de juguler les manigances financières pour ne pas écœurer ses alliés et soutiens.
Or, les électeurs de ces derniers pourraient demander des comptes…
 
Les enquêteurs des services de sécurité ukrainiens (SBU) auront diffusé mardi dernier des images de la perquisition chez Igor Kolomoïski, dans le cadre d’une affaire de détournement de pas moins 40 milliards de Hryvnia (un milliard d’euros environ au taux de change actuel) impliquant des compagnies pétrolières.
Ce milliardaire à la réputation sulfureuse et sanctionné par les États-Unis fut proche de Volodymyr Zelensky, avant que ce dernier ne prenne ses distances, bien forcé par la force des choses : Sans « Vlad-Poux-tine », il aurait persisté !
Le Bureau d’enquête d’État a quant à lui effectué des perquisitions dans les services des impôts, accusant « le chef du bureau du fisc de Kiev de machination à des fins d’enrichissement à hauteur de plusieurs millions de dollars ».
Une petite bite… quelques millions seulement ?
Enfin, des enquêteurs ont remis à de hauts responsables du ministère de la Défense des notifications faisant officiellement d’eux des suspects.
 
La semaine précédente, sur ordre de Zelensky, des hauts responsables de l’administration présidentielle et de ministères, des gouverneurs et des procureurs avaient été contraints au départ après avoir été mêlés à des affaires louches.
Quelques jours plus tôt, un scandale avait éclaté, après des révélations sur un contrat à des prix présumés surévalués concernant les produits alimentaires destinés aux rations de la soldatesque engagée dans des combats « pour la patrie » dans plusieurs régions.
Si cela ne semble pas être le cas dans cette nouvelle affaire, les Occidentaux voient, sans le dire ouvertement, d’un très mauvais œil que les milliards d’aides versés depuis un an pour repousser l’envahisseur russe puissent être détournés.
C’est que Kiev est aussi engagé dans une course contre la montre pour obtenir des armements plus puissants.
 
L’Ukraine veut en particulier des missiles de haute précision d’une portée de plus de 100 kilomètres pour détruire les lignes d’approvisionnement et les dépôts de munitions russes afin de surmonter son déficit en nombre d’hommes et en armement.
Ils recevront des « bombes guidées » de précision, d’une portée de 150 km, les bombes GLSDB pour « Ground-Launched Small Diameter Bomb » (soit des « bombes de petit diamètre lancées au sol », comme on dit en Auvergne).
C’est une bombe de petit diamètre GBU-39B à guidage GPS de 113 kilos montée sur le moteur de la roquette M26, que peuvent lancer les Himars.
 
Et puis, jusqu’ici, les Occidentaux ont refusé de livrer ces systèmes et des avions, de crainte de provoquer une nouvelle escalade russe.
Finalement, ils recevront des chars « teutons ».
Et le président « ricain » a indiqué mardi qu’il allait en discuter avec son homologue ukrainien pour livrer des chars Abrams.
Une grosse bestiole qui a fait merveille en Irak et au Koweït mais qui a un défaut majeur : Ce char est équipé d’une turbine d’hélicoptère pour se mouvoir, ce qui, moteur-froid, demande quelques minutes fatidiques pour démarrer et, moteur-chaud, bouffe beaucoup de kérosène au kilomètre parcouru…
Après de longues tergiversations, Européens et « ricains » ont finalement donné leur feu vert ce mois-ci à des livraisons de chars lourds modernes, même si leur nombre reste à ce stade en deçà de ce que réclame Kiev.
 
Et puis le « ricain » a dit « niet » pour envoyer des F16, le « Fighting Falcon » : Il n’y aura donc pas de « supériorité aérienne » au-dessus du territoire ukrainien avant longtemps.
Ça tombe bien, les russes n’envoient que des « clous » dans le ciel, de peur de perdre leurs bijoux de famille technologique…
Le F16 est de toute façon dépassé, mais c’est un avion « facile » et qui existe en grand nombre.
D’autant mieux que les chaînes de montage vont redémarrer : Une vraie « success-story » !
 
Car ils en sont à juger que Kiev comme Moscou préparent pour la fin de l’hiver ou le printemps de nouvelles offensives.
Après une série de revers humiliants à l’automne, la Russie a mobilisé des centaines de milliers de réservistes et s’est reposé sur les mercenaires du groupe Wagner pour conquérir un village en approche de Bakhmout… qui n’est pas encore tombée.
Et ils ont eu du mal : Même eux appelait ça « le hachoir » !
 
Depuis, leur armée, associée au groupe paramilitaire Wagner, a récemment intensifié les combats, pour prendre cette ville de l’Est qu’elle pilonne pour des prunes depuis l’été. Ces dernières semaines, Moscou a même revendiqué la prise de plusieurs localités avoisinantes.
Plus au Sud, ils ont aussi entrepris une offensive sur Vougledar. « Plus le temps passe, plus la situation empire », en a dit un soldat ukrainien qui tire des mortiers depuis son poste installé à cinq kilomètres de cette ville.
Le commandant de l’unité de défense de cette ville-pivot, assure tenir, mais note être en infériorité. « La situation est devenue très, très tendue », reconnaît-il.
« Ils ont de l’équipement, ils ont des armes et ils ont plus de monde que nous » en dit l’ukrainien.
De son côté, la Russie martèle qu’elle poursuivra coûte que coûte son assaut, assurant aussi que la livraison de missiles de plus longue portée à l’Ukraine ne changerait pas la donne : « Cela impliquerait pour nous des efforts supplémentaires, mais ça ne changera pas le cours des événements », a estimé le porte-la-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.
En tout cas, ça le ralentit drôlement…
On en est à combien de mois déjà, où le régime ukrainien devait être remplacé par un autre « à la botte » en 48 heures ?
 
Dans les faits, depuis un mois, les Russes « grignotent » des « petites surfaces » dans le Donbass. Et ça change quoi ?
Si les avancées russes sont indéniables après leurs grandes reculades du printemps et de l’automne dernier, elles restent limitées et Kiev pourrait encore reprendre le dessus. Pourtant, « ça piétine beaucoup », résume un « chercheur » associé à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS).
 
Mardi dernier, le ministère russe de la Défense a revendiqué dans son point de situation quotidien que « la localité de Blagodatné avait été libérée ».
J’adore ce vocable dans la bouche des « envahisseurs », vous ne pouvez pas savoir combien !
La veille, le chef de l’occupation russe dans la région de Donetsk, « Pénis Pustchi-line » avait proclamé la victoire à Vougledar, ce qui a rapidement été démenti par Kiev.
« Il y a une dynamique de force du côté des Russes et le front n’est pas immobile », confirme la directrice des études stratégiques chez Eurocrise. Certes, les Russes « grignotent » mais ils avancent tout de même, précise-t-on.
Cette « stratégie d’attrition » adoptée par l’armée russe « semble user les Ukrainiens de façon à ce qu’ils n’aient plus l’initiative », ajoute-t-on.
Pour le moment, les troupes de Kiev résistent même si à terme, cette stratégie « peut payer car elle force la partie d’en face à consommer tous ses efforts, ses réserves », poursuit-on.
 
« De manière générale, le front tient », nuance un professeur au Centre d’études sur la Guerre à l’Université du Danemark du Sud. « Il n’y a pas de pénétration du front, pas d’enveloppement des forces ukrainiennes et pas de grand développement de la dynamique des opérations ».
« Enveloppement », je ne suis pas si sûr : Il suffit de lire une carte pour n’en être pas vraiment persuadé.
Et si on n’a aucun chiffrage objectif des pertes des deux côtés, les forces russes souffrent aussi beaucoup de ces offensives qui ne sont pas si significatives que cela.
Surtout comparé aux contre-offensives opérées par les forces ukrainiennes depuis septembre, notamment la reprise de la ville de Kherson.
 
Qu’il s’agisse de Blagodatné, Vougledar ou même Soledar, « si on regarde réellement le volume de terrain qui a été pris récemment par les Russes ou qui pourrait tomber, c’est assez petit en surface ». Exact !
Grâce à ces « petits gains qui s’accumulent, Moscou peut jouer sur l’impression qu’il reprend du terrain ce qui s’inscrit de manière coordonnée avec une stratégie de communication visant à affaiblir le soutien occidental à Kiev », observe-t-on.
Toutefois, ces victoires restent minimes et beaucoup moins décisives que si Moscou parvenait à prendre une ville comme Bakhmout, convoitée depuis des mois. « Malgré des dégâts militaires indéniables, ce sont des confettis ».
Or, depuis qu’on sait que la corruption endémique au régime de Kiev est combattue en interne, entre « 120 et 140 » chars lourds occidentaux vont enfin être livrés à Kiev dans les prochains mois, en espérant qu’on ne les retrouve pas en Sicile ou dans les rues de New-York, Lisbonne ou de Londres.
C’était une demande répétée de l’Ukraine et ils ont donné des « signaux » pour affirmer qu’ils seront bien utilisés contre les chars russes et pas ailleurs.
 
Mais ces chars pourront-ils vraiment changer la donne sur le terrain ? « Un système d’armes en lui-même ne change pas le cours de la guerre, mais ça peut permettre aux Ukrainiens de reprendre l’avantage. »
En effet, « s’ils sont utiles, ce n’est pas une arme magique », complète-t-on, d’autant que la multitude de modèles qui va être livrée (Challengers 2, Leopard 2, Abrams 1, etc.), entraîne autant d’organisation, de logistique, de formation. « Cela va prendre du temps avant de voir un effet réel sur le terrain et dans une guerre d’usure, le temps ne joue pas en faveur de l’Ukraine. »
La question sera aussi de voir comment les forces ukrainiennes vont intégrer ces blindés dans leur structure de force. Vont-ils s’en servir pour reconstituer des unités perdues ou créer de nouvelles structures ?
« Il y aurait plus d’opportunités avec la seconde option car cela permettrait de reprendre de l’offensive » espère-t-on. Alors « si les Ukrainiens parviennent à employer ces chars de manière efficace, oui ça peut jouer ».
En attendant, le front pourrait se stabiliser, sachant que des deux côtés, il y a des « rotations importantes, qui signalent une volonté de retrouver du mouvement et de l’offensive ».
D’autant qu’un autre élément pourrait là aussi être déterminant : La météo.
Le redoux implique le dégel des terres et le risque de coincer de lourds engins dans la boue peut ralentir aussi les avancées du front.
Les engins blindés à roue sont plus agiles dans ces conditions, parce que justement moins lourds…
 
Par ailleurs, le Kremlin a estimé ce mercredi 1er février que la livraison potentielle de missiles de plus longue portée à l’Ukraine par les États-Unis ne changerait « pas le cours des événements » et que la Russie poursuivrait son offensive coûte.
Tant que les iraniens livrent leurs drones, ils peuvent toujours continuer à bombarder à l’aveugle les infrastructures du pays…
La « Gauloisie-éternelle » va même fournir 12 canons Caesar de 155 mm supplémentaires, nettement plus précis, pour des « frappes chirurgicales » en plus des pièces déjà livrées qui ont déjà démontré leur efficacité, lui permettant de disposer d’une cinquantaine d’exemplaires, « une masse qui n’a rien de négligeable » selon notre « sinistre des Armées ».
Personnellement, je m’interroge sur le sort de ceux déjà livrés : Toujours en fonction ou déjà « out » ?
On nous dit qu’ils viendront s’ajouter aux 18 Caesar déjà livrés ainsi qu’aux 19 canons Caesar promis par le Danemark à Kiev mi-janvier.
Copenhague avait commandé ces pièces d’artillerie au groupe Nexter entre 2017 et 2019. Mais les livraisons ont pris du retard et seuls quelques exemplaires ont déjà été livrés.
 
Les officiels ukrainiens tirent ainsi la sonnette d’alarme depuis plusieurs jours : Moscou serait en train de préparer une offensive majeure !
Un temps, on l’imaginait au printemps, mais elle serait désormais « imminente », selon les estimations de l’ISW.
D’autres ne partagent pas cet avis, jugeant que la Russie peine encore à remplacer les innombrables troupes perdues depuis le début de son invasion en février 2022, y compris ses parachutistes d’élite proprement décimés.
Mais d’après l’ISW comme selon les hauts gradés ukrainiens, Moscou aurait commencé à masser 200.000 hommes et de conséquentes quantités de matériels dans le Donbass en vue d’une nouvelle attaque qui devrait avoir lieu dans les régions de Donetsk et de Lougansk.
 
Effectivement, jusque-là les russes ne donnaient pas l’impression de vouloir gagner cette « opération spéciale » et les alliés de Kiev de vouloir donner les moyens aux ukrainiens de bouter les russes hors de leurs frontières originelles.
Il me semble que la stratégie occidentale reste de vouloir épuiser les russes jusqu’à la trogne, réduisant leur pouvoir de nuisance à leur ombrelle dissuasive et nucléaire.
Un nain régional en somme.
C’est à mon sens ce qui explique le non-engagement des biélorusses au pouvoir fragile qui voudraient peut-être éviter ce piège-là. Pourtant Minsk pourrait faire la différence… au Nord de Kiev !
 
Il n’y a qu’à voir la diarrhée mentale et verbeuse des « médias de vérité »… « alternatifs » et pro-russes qui s’énervent sur toutes le longueurs d’onde et dans tous les registres, promettant l’effondrement de l’Otan et de ses membres accusés de toutes les turpitudes possibles et imaginables que d’avoir osé « contrarier » « Poux-tine » dans ses « légitimes » ambitions de vouloir dénazifier la planète entière !
Question de temps, en disent-ils (car la mission est « sacrée » et sempiternelle, divine, même !) : Il suffirait que les « ricains » reconduisent « McDo-Trompe » à la Maison-Blanche le 5 novembre 2024 et en 24 heures, à compter du 2 janvier 2025, ils auront réussi…
Croient-ils dans leur incroyable naïveté !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » ! 

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