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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 24 février 2023

Les vieilles recuites de Jean-Marc…

C’est l’histoire de…
 
…Ces soldats allemands lors de la dernière guerre qui entraient dans les couvents et violaient les sœurs.
Alors la supérieure rassemble toutes les sœurs de la communauté pour les avertir du danger.
C’est là que lui vient l’idée de leur demander ce qu’elles feraient pour se défendre au cas où les allemands forceraient les portes du cloître ?
La première dit :
« Je me sauverais dans la cave et je fermerais la porte à clef. »
La seconde dit :
« Je me jetterais par la fenêtre et j’irais me cacher dans le cabanon. »
La troisième dit :
« Moi, ma mère, je relèverais ma robe jusqu’à la ceinture et je baisserais les culottes de l’allemand jusqu’aux genoux. »
La supérieure répondit scandalisée :
« ― Je ne vous pensais pas aussi perverse.
― Mais non, vous n’avez rien compris ! On peut courir beaucoup plus vite la jupe relevée que les culottes aux genoux. »
 
Un patient, hospitalisé depuis un mois, sort de l’hôpital et avant de quitter passe au bureau de la comptabilité.
Une caissière lui remet une copie de la facture des soins reçus. Étonné à la vue de l’énorme montant inscrit au bas de la facture, Jean-Marc se tourne vers la caissière et lui dit :
« Maintenant je comprends pour pourquoi tout le monde portait des masques autour de la table d’opération. »
 
Une dame un peu niaise assiste à un spectacle de ventriloque.
Pendant le spectacle, le ventriloque fait une blague sur les femmes « un peu niaises », et celle-ci, mécontente, se lève et dit :
« Écoutez, je suis tannée que tout le monde rit de blagues lourdingues sur les femmes.
Nous ne sommes pas si stupides que vous le dites ! »
Et le ventriloque un peu mal à l’aise lui répond qu’il est désolé, que ce n’est que des farces, juste pour rire, et la blonde réplique :
« Hey ! Toi, j’te parle pas, je parle à ta marionnette. »
 
La scène se passe en prison, la veille d’une exécution.
Le bourreau :
« Que désirez-vous qu’on vous apporte pour votre dernier repas ? »
Le condamné :
« ― J’aimerais ben ça manger un bol de fraises avec de la crème !
― Voyons ! Vous n’y pensez pas ! Ce n’est pas la saison des fraises, on est en plein mois de janvier !
― Ah ! Bon, ce n’est pas grave, je vais attendre. »
 
« ― Dis-mois, Jean-Marc, il y avait deux gâteaux dans le frigo. Tu peux me dire pourquoi il n’en reste qu’un ?
― Ben… J’avais pas vu le deuxième ! »
 
Une vieille dame vient de se coucher et voit son mari se diriger vers la salle de bain.
Elle lui dit :
« Viens te coucher, Jean-Jacques ! »
Le vieil homme réplique :
« ― Non, je vais me laver les dents d’abord.
― Bon ! », répond la vieille. « Alors lave les miennes aussi, s’il te plaît. »
 
Parmi d’autres, voici plusieurs raisons qui font que c’est SUPER d’être un homme…
1. Les conversations téléphoniques ne durent jamais plus de 30 secondes.
2. La nudité dans les films ne s’applique qu’aux femmes.
3. Vous nécessitez qu’une valisette pour des vacances de 5 jours.
4. Le rugby du samedi soir est fait pour vous et le foot le dimanche aussi.
5. Il n’est pas nécessaire de mettre votre nez dans la vie sexuelle de vos amis.
6. La file d’attente pour la salle de bain est beaucoup plus courte avec vous.
7. Vous pouvez ouvrir tous vos boites de conserves et vos pots de confitures.
8. Vos amis s’en foutent que vous ayez pris ou perdu quelques kilos.
9. Les coiffeurs ne vous volent pas jusqu’à votre dernier euro.
10. Lorsque vous naviguez sur les postes à la Télé, vous ne vous arrêtez pas sur chaque scène où quelqu’un est en pleurs.
 
À force de vivre dans l’isolement d’un monastère, ces deux moines éprouvent un certain penchant l’un pour l’autre.
Une nuit, leur supérieur les surprend dans le même lit.
« ― Mais, vous rendez-vous compte de ce que vous faites ?
― Rien qui soit contraire au principe de la charité chrétienne, mon frère, puisque chacun de nous deux ne fait à l’autre que ce qu’il aime bien que l’autre lui fasse », répond l’un des moines.
 
C’est l’histoire d’une femme qui rentre chez elle et voit son chat complètement KO sur le sol :
« ― Euh…chérie, il lui arrive quoi au chat ?
― Bah, je ne sais pas, je lui ai donné du Whisky comme t’as demandé et…
― Whiskas, je t’ai dit WHISKAS !!!! Mais qu’il est bête… »
 
Dans une famille très pauvre, on avait remplacé le papier de toilette par de vieux patrons de couture qu’on avait trouvés dans un entrepôt abandonné.
La jeune fille de la famille va aux toilettes et prend une feuille pour s’essuyer sur laquelle est écrit : « Pour le devant. »
« Tiens ! Juste ce qu’il me faut. »
Le garçon de la famille va aussi aux toilettes…
Il prend une feuille sur laquelle est écrit : « Pour la poche, plier quatre fois. »
« C’est parfait ! C’est juste ce qu’il me faut. »
Puis c’est au tour du grand-père…
Il fait le même manège, rouspète et grogne tout haut à travers la porte.
« ― Qu’avez-vous grand-père ?
― Tu parles d’un papier de fou. ! C’est écrit… pour derrière, plisser et piquer ! »
 
« ― Quelle est la différence entre une femme et une maîtresse ?
― Environs 20 kg.
― Et entre un mari et un amant ?
― Environ 60 minutes … »
 
C’est l’histoire d’un voyageur de commerce qui vend des longs sous-vêtements, des combinaisons, arrive chez un vieux cultivateur et il tente de le convaincre de lui en acheter.
« ― Monsieur Reblochon, vous devriez essayer mes sous-vêtements d’hiver vous verrez comment c’est confortable.
― Monsieur le voyageur de commerce, je n’ai jamais porté de sous-vêtements de toute ma vie et je ne sais vraiment pas à quoi ça peut servir.
― Monsieur Reblochon, je vais vous donner deux raisons qui vous convaincront d’en acheter.
Premièrement, c’est beaucoup plus chaud et deuxièmement c’est beaucoup plus propre. »
Finalement le cultivateur décide d’en acheter et de porter les longues combinaisons, à grandes manches et à grandes jambes.
Il monte sur son tracteur et rendu complètement au bout de ses champs, il lui prend une forte envie de faire ses gros besoins.
Comme d’habitude, il baisse ses vêtements de travail mais il oublie qu’il porte des sous-vêtements.
Il fait ses besoins comme d’habitude et une fois terminé se retourne pour constater qu’il n’y a rien sur le sol.
Il se dit en lui-même :
« C’est vrai que c’est plus propre. »
Il remonte ses vêtements de travail et reprend place sur son tracteur.
Il s’assoit directement sur siège.
« C’est vrai que c’est plus chaud. »
 
« ― Docteur, docteur ! Je suis terriblement nerveux et stressé pendant les tests de conduite pour le permis de conduire.
― Ne vous en faites pas, vous finirez par l’avoir quand même.
― Mais docteur, c’est que je suis l’examinateur ! »
 
Un hérisson en vadrouille rencontre une brosse.
Il hésite, fait le tour, puis monte dessus.
Puis, déçu, il descend…
Soudain il aperçoit ses amis…
« Ben tout le monde peut se tromper, non ? »
 
Un curé passe dans la rue et voit le petit Jean-Marc qui fume une cigarette.
« Hé, Jean-Marc, tu es bien trop jeune pour fumer ! »
Jean-Marc lève les yeux au ciel, aspire une longue bouffée, détourne la tête sans répondre.
Le curé insiste.
« ― Quel âge as-tu ?
― Six ans.
― Six ans ? … Et à quel âge as-tu commencé à fumer alors ?
― Juste après avoir fait l’amour pour la première fois.
― Eh bien ! C’était quand alors, la première fois où tu as fait l’amour ? »
Jean-Marc hausse les épaules…
« J’m’en souviens pas… J’étais complètement saoul. »
 
C’est l’histoire d’un vieux Monsieur et de sa dame, un peu Alzheimer tous les deux, qui sont assis dans un parc.
La dame dit à son vieux :
« ― Irais-tu me chercher une crème glacé molle à la vanille et au chocolat pour mon quatre-heure ?
― Ben oui ma vieille.
― Écris-le sur un papier, tu ne t’en rappelleras pas.
― Non, non, ma vieille, je vais le retenir.
― Ah ! Fais-la donc saucer dans le chocolat, écris-le, car tu ne t’en rappelleras pas.
― Non, non je vais être capable.
― Oh ! fais donc mettre des amendes sur le dessus, mais là, écris ma commande car tu vas tout oublier.
― Non, non ma vieille je vais m’en rappeler. »
Le vieux va chercher la commande et revient quelque minute plus tard, s’assoit à côté de sa vieille et il commence à manger.
Tout à coup la vieille lui dit :
« Je n’avais pas demandé des frites et du ketchup avec mon hot-dog ? »
 
Après avoir connu cinq mises à pied successives en l’espace de quatre mois, Jean-Roger est engagé dans un entrepôt comme conducteur de chariot élévateur.
Il travaille depuis quelques jours à peine quand il perd le contrôle de l’engin qui va s’écraser au bas d’un quai de chargement.
Son patron évalue les dégâts et lui déclare qu’il va devoir retenir 10 % de son salaire hebdomadaire pour payer les réparations.
« Et ça va coûter combien ? » demande Jean-Roger.
« ― Dans les 4.500 €.
― Super ! » fait Jean-Roger visiblement soulagé.
« J’ai enfin trouvé une sécurité de l’emploi ! »
 
Quatre religieuses se connaissant très bien se font tuer lors d’un accident de voiture.
Elles arrivent l’une derrière l’autre devant St-Pierre. Et c’est l’heure du jugement dernier pour chacune d’elle.
La première déclare :
« St-Pierre, je m’accuse d’avoir avec la main gauche… heu….toucher l’organe génitale d’un homme. »
St-Pierre toujours plein de bonté lui dit :
« Bof, trempez votre main gauche dans le bénitier qui est à côté de moi et entrez au paradis. »
La deuxième sœur avoue :
« Moi, St-Pierre, j’ai touché de mes deux mains un organe d’homme. »
Même sentence :
« Trempez vos deux mains dans le bénitier et entrez au paradis. »
C’est alors que la dernière sœur, devançant la troisième se précipite vers St-Pierre en s’écriant :
« St-Pierre je vais devoir boire une gorgée du bénitier, et je peux le faire avant que l’autre se mette les fesses dedans ? »
 
C’est la Sainte-Catherine et une fille au physique assez ingrat se présente au bal organisé pour l’occasion.
Elle est finalement invitée pour une danse par un bellâtre un peu benêt.
La valse se déroule pour le mieux jusqu’au moment où la vilaine cavalière laisse échapper un pet sournois qui éveille rapidement l’odorat et la suspicion du partenaire masculin.
Comme elle s’en rend compte, elle choisit, rouge de confusion, d’avouer la vérité :
« Je suis confuse, j’espère que ça va rester entre nous, n’est-ce pas ? »
Et le bellâtre de répliquer :
« Moi, j’aimerais autant que ça s’évente un peu. »
 
Deux vieilles filles faisaient du lèche-vitrine lorsque devant unn marchand de fruit.
L’une dit à sa copine :
« ― As-tu vu les grosses bananes, on devrait s’en acheter trois.
― Pourquoi trois ?
― Eh bien, la troisième on la mangera. »
 
Le juge à l’accusé :
« ― Accusé, qu’avez-vous à rajouter pour votre défense ?
― Plus rien, Monsieur le président : On m’a enlevé mon revolver et mon poignard avant de m’amener ici ! »
 
C’est l’histoire d’un « sahélien »qui découvre une lampe, la frotte, il en sort un génie qui lui permet de réaliser trois souhaits.
« Premièrement, je voudrais être blanc !
Deuxièment, je voudrais ne jamais manquer d’eau.
Troisièmement, j’adore les belles fesses, alors je voudrais pouvoir en voir toute ma vie. »
Le génie s’exécute et ABRACADABRA, le voilà transformé en toilette.
 
Jean-Marc quittant l’hôtel où il a mal dormi :
« ― C’est la dernière fois que je mets les pieds dans votre établissement !
― Mais… », s’exclame l’hôtelier. « Qu’est-ce qui n’allait pas dans le service ?
― Ben, il n’y avait jamais de papier au petit coin.
― Mais enfin, monsieur, c’est une défaillance de notre part. Le client peut toujours réclamer. Vous avez bien une langue tout de même ?
― J’ai une langue, mais je ne suis pas contorsionniste ! »
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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